La pension Les Mimosas (Partie 3)
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La pension Les Mimosas (Partie 3)
Le lundi Virginie était donc d’après-midi. Sœur Sylvie avait charge du rez-de-chaussée et elle de l’étage. Sœur Sylvie, on ne lui donnait pas d’âge. Son visage respirait la bonté.
On dit que l’habit fait le moine. Au genre près, il s’agissait de cela. Virginie était un peu angoissée à l’idée de rentrer seule dans la chambre de Raoul, se doutant des avances qu’il ne se priverait pas de lui faire. Et pourtant elle se sentait impatiente et excitée. Elle commença par les autres chambres, prenant son temps pour discuter avec les pensionnaires. Victor, bien que la regardant en coin, semblait avoir oublié ses envies de voir ses seins. Il fallut bien qu’elle rentre dans la chambre de Raoul. Il eut un sourire carnassier en la voyant. Elle devait vérifier sa tension artérielle et son pouls. Il était en robe de chambre, une robe de chambre courte qui s’arrêtait à mi cuisses. Il lui tendit son bras. Bien entendu elle ne pouvait remonter la manche. « Il faudrait que vous enleviez votre robe de chambre Raoul que je puisse vous prendre la tension ». Raoul se leva et, la regardant dans les yeux, défit la ceinture. La robe de chambre s’ouvrit sur son corps nu. Il bandait, le sexe pulsant à l’horizontale. Il se débarrassa du vêtement.
Virginie posa le brassard sur son bras. Ses deux mains étaient prises. Raoul en profita et posa sa main libre sur sa hanche. Elle réussit à prendre tant bien que mal sa tension.
Elle libéra son bras. Son autre main vint se poser sur son autre hanche. Elle lui faisait face. Il l’attira contre lui. Elle sentait son sexe dressé contre son pubis. Il retroussa sa blouse sur ses reins. Elle sentait à présent son sexe presser contre sa culotte. Elle mouillait malgré elle. « Demain, je veux voir tes seins. Ne mets pas de soutien-gorge.
Et ne boutonne pas le dernier bouton. Mercredi, je te veux sans culotte, la chatte à l’air. Tu finiras par moi après t’être exhibée chez les copains... Je sais que tu ne travailles ni jeudi ni samedi. Vendredi on ira voir Gédéon dans le bureau de la dirlo.
Dimanche, c’est le jour du seigneur. Je te baiserai sur le lit. Voilà ton programme de la semaine. » Tout en lui parlant il donnait de petits coups de rein, écrasant sa verge contre son bas ventre. « Je suis sûr que tu mouilles. Tu es une chaude toi. Une bonne salope comme je les aime. Vas-y, frotte-toi contre moi. Frotte-toi bien. Oui comme ça.
Laisse-moi toucher ton cul ». Complètement excitée, Virginie se laissait faire, comme dépourvue de toute volonté. Son bas ventre protégé par le fin nylon tournoyait contre le sexe dressé. Elle se laissait caresser par cet homme au sexe épais. Elle regardait autour d’elle. Elle accrocha leur image dans le miroir de l’armoire. Raoul était nu, collé contre elle. Sa blouse était retroussée sur ses reins. Ses fesses étaient caressées par les mains baladeuses glissées sous la culotte. Ils se trémoussaient l’un contre l’autre, dansant sur place. La jeune femme avait soif de sexe et de jouissance. Raoul donnait à présent de grands coups de reins. Soudain il gronda sourdement et elle sentit un liquide chaud gicler sur son ventre. « Vas-y, finis toi à la main, montre-moi comment tu fais « lui ordonna Raoul. « Les petites salopes elles aiment se branler ». Virginie, comme un automate, glissa sa main dans sa culotte. Ses doigts habiles et entrainés trouvèrent rapidement le clitoris. Perdant toute pudeur, il lui fallut moins d’une minute pour jouir en hoquetant.
Le lendemain, comme Raoul lui avait ordonné, Virginie ne mit pas de soutien-gorge. Les pointes de ses seins frottaient contre le tissu, les maintenant en état d’excitation permanente. Quand elle se penchait en avant, ses seins dansaient dans l’encolure de sa blouse sous le regard intéressé des pensionnaires. Victor semblait apprécier plus que les autres. Il déboutonna les deux autres boutons et glissa ses deux mains dans l’ouverture de la blouse, empoignant les seins dénudés qu’il caressa longuement, s’attardant sur les mamelons sensibles. Elle se laissait faire. Quand elle rentra dans la chambre de Raoul, il était assis sur sa chaise. Il se leva et se mit devant elle. « Vas-y, défais-toi. Enlève ta blouse. Montre-moi tes jolis seins. Victor a dû apprécier et s’en occuper. » Virginie se retrouva en culotte devant Raoul. Il se recula et s’assit sur le lit. Il l’attira contre lui. Sa langue lécha et suça les seins de la jeune femme, mordillant les pointes hypersensibles. Il la garda avec lui une demi-heure, léchant, mordillant, embrassant, titillant les seins, tandis que ses mains, glissées sous la culotte, caressaient ses fesses, venant au contact de l’œillet violacé qu’un doigt inquisiteur honorait de temps à autre en s’enfonçant jusqu’à la garde. Virginie haletait sous ce double traitement. Raoul l’amena aux portes de la jouissance et l’abandonna au dernier moment.
Le mercredi, Virginie retira sa culotte juste avant de rejoindre Raoul. Elle n’avait pas osé l’enlever avant. Pourtant elle mouillait comme une folle. Raoul se leva et s’avança vers elle. Il s’agenouilla devant elle et plongea la tête sous la blouse contre le ventre tiède. Sa langue trouva rapidement la fente détrempée et s’enfonça, entamant un ballet terriblement efficace. Pendant ce temps les deux mains de Raoul prirent possession des fesses féminines, les caressant. Elle sentit un doigt s’immiscer contre son anus et forcer l’étroit canal. Raoul amena ainsi Virginie au plaisir. Elle jouit dans un long feulement rauque. Raoul se redressa. Il descendit son pantalon et appuya sur les épaules de Virginie. « A toi de me donner du plaisir. Suce ». Virginie entreprit de faire pénétrer le pénis dans sa bouche, agaçant les bourses de ses doigts. Raoul donnait des coups de bassin, coulissant dans la bouche accueillante. Il faisait durer le plaisir.
Virginie commençait à avoir mal aux mâchoires. Enfin il éjacula dans la bouche de la jeune femme, maintenant son sexe rivé, l’empêchant de recracher la semence. Virginie avala le sperme tiède.
Le vendredi, Virginie passa rapidement dans les chambres. Elle finissait par Raoul. « Il est bientôt dix-sept heures Virginie, ne fais pas attendre l’abbé. Déshabille-toi ici, enlève ton soutien-gorge et ta culotte et remets ta blouse. Tu dois te présenter à Dieu comme au jour de ta naissance. Viens, je t’accompagne » Ils descendirent au rez-de-chaussée et entrèrent dans le bureau de la directrice. Virginie se laissait guider. Elle se sentait excitée. Elle savait ce qui l’attendait. Ce pieu d’ébène dans son ventre.
Gédéon était déjà arrivé. Grand, les cheveux crépus, vêtu d’une soutane et de sandalettes. Virginie remarqua d’emblée l’imposante bosse visible sur le devant à hauteur de l’entre-jambe. Raoul s’était placé derrière Virginie. « Gédéon, je te présente Virginie. C’est une pêcheresse qui doit se confesser car elle a fauté. Beaucoup fauté.
Les plaisirs de la chair avec plusieurs hommes. En plus elle a désobéi. Elle devait faire sa tournée cul nu mais elle avait gardé sa culotte. Je vous laisse. Virginie, à dimanche pour ce que tu sais. » Gédéon regarda Virginie. « Mets-toi à genou ma fille.
Confesse tes pêchés et je t’absoudrai » Disant cela, il s’était rapproché de la jeune femme. Il posa ses mains sur sa tête, psalmodiant une prière indistincte. Il avança son bassin à hauteur du visage féminin, frottant peu à peu son sexe contre la bouche de la jeune femme. Elle sentit le sexe grossir et se tendre. Petit à petit, abandonnant la tête de Virginie, il fit remonter sa soutane et la faisant passer par-dessus tête et s’en débarrassa. Entièrement nu, uniquement vêtu de ses sandales, il présenta sa verge noire à la bouche de Virginie, appuyant pour forcer le chemin. Elle ne pouvait l’absorber en entier. Jamais de sa vie elle n’avait vu une verge si grosse. Le mandrin était large, long, au gland luisant. Elle le lécha, le suça, l’humidifia, agaçant le gland avec sa langue. Le pénis était doux et dur à la fois. Le prêtre continuait sa litanie. Virginie prenait plaisir à sucer cette queue. Elle savait qu’elle allait être prise par ce sabre d’ébène et que ce serait bon. Toute l’attente érotique accumulée depuis ces trois semaines allait se concrétiser dans un feu d’artifice dont elle profiterait. Gédéon la fit se relever et se tourner. Passant ses mains sur le côté, collé à son dos, il défit un à un les boutons de sa blouse. Ses mains prirent possession de ses seins. Elle sentait la hampe dure frotter contre le haut de ses fesses. Elle réalisa qu’il l’avait tournée face à un pan de mur en haut duquel de petites fenêtres donnaient sur une pièce surélevée en demi-étage. Elle l’identifia. Et derrière les fenêtres, elle apercevait Marinette, Juan, sœur Geneviève et Raoul. Ils regardaient le spectacle qu’elle offrait. Les deux femmes avaient la blouse ouverte sur leur corps nu. Les deux hommes étaient nus. Comme elle dans le bureau, la blouse grande ouverte, leur offrant la vision de son corps caressé par le noir. Il l’attira vers le bureau et l’allongea dessus. Il releva largement ses cuisses et plongea sa tête vers son abricot ruisselant. Il joua avec ses lèvres, remontant vers le clitoris hypersensible puis plongea sa langue aussi loin qu’il put dans son sexe avide.
Elle sentait le plaisir monter. Il faisait durer. Il savait y faire. Il l’abandonna aux portes de l’orgasme. Il la retourna et, allongé sur elle présenta son glaive triomphant aux portes de sa grotte. « Je te lave de tes fautes passées, présentes et à venir. Tu n’as pas été sage, tu as commis le pêché de chair. Tu as désobéi. Je dois purifier ton corps. » Il poussa et s’enfonça d’un coup en elle. Elle crut manquer d’air pendant l’intromission. Elle se sentait remplie comme jamais. Elle noua ses jambes autour des reins de l’homme pour mieux le sentir en elle. Il entama un long mouvement de va et vient, sortant presque sa verge pour la replonger aussitôt, coulissant dans ce fourreau détrempé. Il la besogna doucement longtemps, lui arrachant des gémissements sonores.
Elle tourna la tête vers les fenêtres. Les deux femmes étaient assises sur les hommes et bougeaient en cadence. Tous regardaient dans sa direction. Elle entendait des gémissements et des soupirs. D’être vue ajoutait à son excitation.
Gédéon se désaccoupla et la positionna, les mains en appui sur le bureau. Il la prit en levrette. Le rythme n’était plus le même, il accélérait, la besognant avec force. Elle sentait un incroyable plaisir monter en elle. Elle était face aux fenêtres. Là-haut, les corps semblaient repus. Les hommes avaient sans doute déchargé. Tous guettaient la fin de sa joute amoureuse. Gédéon donnait de grands coups de rein en la tenant aux hanches. D’un coup, le plaisir l’emporta. Elle jouit dans un long cri étranglé, bougeant convulsivement la tête dans tous les sens. Un orgasme comme elle en avait rarement connu. En tout cas depuis longtemps. Gédéon se retira d’elle. Elle sentit des jets gicler sur ses fesses et le bas de son dos. Il semblait ne pas devoir s’arrêter d’éjaculer. Il se rhabilla en silence et quitta la pièce. Elle mit du temps à récupérer. Là-haut, les protagonistes étaient partis. Elle se rhabilla. Son sexe était meurtri par les assauts de cette verge hors du commun. Elle avait pris un plaisir insensé. La porte du bureau s’ouvrit.
Geneviève entra. « Je vois que vous vous êtes confessée. D’ailleurs, j’ai assisté à cette charmante confession. Vous avez expurgé vos pêchés dans ce cri destiné à Dieu. Vous nous avez émerveillés. Vous avez bien mérité votre jour de repos. Soyez en forme dimanche.
Raoul vous attend avec impatience. J’ai profité de son cierge aujourd’hui mais le coquin garde des munitions. Et vous lui plaisez diablement » Dimanche après-midi. Dernier jour. Virginie était excitée. Elle savait qu’elle allait vivre un nouveau moment particulier. Elle avait mis une paire de bas couleur chair tenant tout seuls. Elle était nue sous sa blouse. Elle alla directement dans la chambre de Raoul. Il était allongé sur son lit, nu, le sexe déjà prêt pour la bataille. Il se leva et vient à elle. Il défit les boutons de la blouse un à un et la débarrassa du vêtement inutile. Nus l’un en face de l’autre, ils se regardaient dans les yeux, savourant ce moment de calme avant la bataille, tenaillés par le désir. Elle tourna la tête pour accrocher leur image dans le miroir. Ils se faisaient face, on voyait de lui son sexe tendu, dressé. Il était moins bien doté que Gédéon mais sa queue était de belle taille.
D’elle, elle voyait les jambes gainées de nylon, le ventre plat, les seins en pomme aux mamelons dressés. Il y avait trente ans d’écart entre eux, mais un même désir sexuel, une même envie. Il la tira doucement vers le lit, la fit assoir et présenta sa verge roide à sa bouche. « Vas-y ma salope, suce le sucre d’orge de Raoul. Oh comme tu es bonne tu suces mieux que toutes les femelles de la pension réunies. Et je te parle en connaissance de cause, il n’y a pas une semaine sans que je me fasse au moins une d’entre elles. La plus salope, c’est sœur Geneviève. Mais toi tu les surpasses toutes. Vas-y lèche, aspire, pompe. Gratte-moi les bourses. Ah tu fais ça bien coquine. » Il se laissa sucer pendant un gros quart d’heure. Puis il allongea Virginie sur le lit, parcourant son corps avec sa langue, s’attardant sur les seins, la vulve et l’anus. Il l’amena ainsi aux portes du plaisir, sans jamais le lui laisser atteindre. Il monta sur le lit et s’allongea sur elle. « Dis ce que tu veux. Demande » « Vas-y, prends moi, viens en moi, fourre moi, baise moi. J’ai envie. Tellement envie ». Il se guida avec sa main et la pénétra. Il commença à bouger en elle. « J’ai pris du Viagra à midi. Tu vas passer un bon moment ». Elle sentait le sexe dur aller et venir en elle. Le plaisir venait. Dès qu’il la sentait venir, il ralentissait, s’arrêtant parfois pour mieux repartir. Il mordillait son cou comme un jeune chiot. La vague arriva brutalement et la cueillit. Il accéléra et s’épancha en grondant. Il se retira d’elle, le sexe encore raide, la retourna et la fit mettre à quatre pattes. Il la prit en levrette, claquant ses fesses en l’invectivant. Il semblait inarrêtable, la besognant telle une machine-outil avec une régularité d’un horloger suisse. « Dommage que tu finisses ton stage, on t’aurait bien fait ton affaire avec Juan. Une bite devant, une bite derrière. Geneviève adore ça. » Virginie sentit l’orgasme revenir. Un orgasme long et intense qui la désarticula. Raoul continuait à la pilonner. Sa respiration se faisait sifflante. Il se retira et présenta sa verge contre l’œillet violacé. « Dis-moi que tu veux » « Oui.
Viens. Prends-moi encore » « Tu la veux où ? Je veux t’entendre le dire » « Dans le cul. Oui. Encule moi » Raoul poussa contre l’anus et l’investit centimètre après centimètre. Quand il fut entièrement entré, il commença à remuer. Virginie, à quatre pattes sur le lit, subissait l’assaut final. Une nouvelle vague naissait au fond de son ventre. Ils jouirent au même moment et s’effondrèrent sur le lit.
Virginie ne revint jamais aux Mimosas. Quelques années plus tard, en vacances dans le sud, elle reconnut Marinette, habillée en civil. Marinette lui apprit que les Mimosas avaient fermé cinq ans après le passage de Virginie, n’étant plus aux normes réglementaires. Les pensionnaires avaient été dispersés dans d’autres maisons de retraite. L’équipe avait été remise à disposition de l’évêché. Marinette avait quitté la congrégation, changé de région et s’était reconvertie comme infirmière libérale. Elle avait rencontré un veuf et l’avait épousé. Mais elle regrettait parfois les récréations érotiques des Mimosas….
On dit que l’habit fait le moine. Au genre près, il s’agissait de cela. Virginie était un peu angoissée à l’idée de rentrer seule dans la chambre de Raoul, se doutant des avances qu’il ne se priverait pas de lui faire. Et pourtant elle se sentait impatiente et excitée. Elle commença par les autres chambres, prenant son temps pour discuter avec les pensionnaires. Victor, bien que la regardant en coin, semblait avoir oublié ses envies de voir ses seins. Il fallut bien qu’elle rentre dans la chambre de Raoul. Il eut un sourire carnassier en la voyant. Elle devait vérifier sa tension artérielle et son pouls. Il était en robe de chambre, une robe de chambre courte qui s’arrêtait à mi cuisses. Il lui tendit son bras. Bien entendu elle ne pouvait remonter la manche. « Il faudrait que vous enleviez votre robe de chambre Raoul que je puisse vous prendre la tension ». Raoul se leva et, la regardant dans les yeux, défit la ceinture. La robe de chambre s’ouvrit sur son corps nu. Il bandait, le sexe pulsant à l’horizontale. Il se débarrassa du vêtement.
Virginie posa le brassard sur son bras. Ses deux mains étaient prises. Raoul en profita et posa sa main libre sur sa hanche. Elle réussit à prendre tant bien que mal sa tension.
Elle libéra son bras. Son autre main vint se poser sur son autre hanche. Elle lui faisait face. Il l’attira contre lui. Elle sentait son sexe dressé contre son pubis. Il retroussa sa blouse sur ses reins. Elle sentait à présent son sexe presser contre sa culotte. Elle mouillait malgré elle. « Demain, je veux voir tes seins. Ne mets pas de soutien-gorge.
Et ne boutonne pas le dernier bouton. Mercredi, je te veux sans culotte, la chatte à l’air. Tu finiras par moi après t’être exhibée chez les copains... Je sais que tu ne travailles ni jeudi ni samedi. Vendredi on ira voir Gédéon dans le bureau de la dirlo.
Dimanche, c’est le jour du seigneur. Je te baiserai sur le lit. Voilà ton programme de la semaine. » Tout en lui parlant il donnait de petits coups de rein, écrasant sa verge contre son bas ventre. « Je suis sûr que tu mouilles. Tu es une chaude toi. Une bonne salope comme je les aime. Vas-y, frotte-toi contre moi. Frotte-toi bien. Oui comme ça.
Laisse-moi toucher ton cul ». Complètement excitée, Virginie se laissait faire, comme dépourvue de toute volonté. Son bas ventre protégé par le fin nylon tournoyait contre le sexe dressé. Elle se laissait caresser par cet homme au sexe épais. Elle regardait autour d’elle. Elle accrocha leur image dans le miroir de l’armoire. Raoul était nu, collé contre elle. Sa blouse était retroussée sur ses reins. Ses fesses étaient caressées par les mains baladeuses glissées sous la culotte. Ils se trémoussaient l’un contre l’autre, dansant sur place. La jeune femme avait soif de sexe et de jouissance. Raoul donnait à présent de grands coups de reins. Soudain il gronda sourdement et elle sentit un liquide chaud gicler sur son ventre. « Vas-y, finis toi à la main, montre-moi comment tu fais « lui ordonna Raoul. « Les petites salopes elles aiment se branler ». Virginie, comme un automate, glissa sa main dans sa culotte. Ses doigts habiles et entrainés trouvèrent rapidement le clitoris. Perdant toute pudeur, il lui fallut moins d’une minute pour jouir en hoquetant.
Le lendemain, comme Raoul lui avait ordonné, Virginie ne mit pas de soutien-gorge. Les pointes de ses seins frottaient contre le tissu, les maintenant en état d’excitation permanente. Quand elle se penchait en avant, ses seins dansaient dans l’encolure de sa blouse sous le regard intéressé des pensionnaires. Victor semblait apprécier plus que les autres. Il déboutonna les deux autres boutons et glissa ses deux mains dans l’ouverture de la blouse, empoignant les seins dénudés qu’il caressa longuement, s’attardant sur les mamelons sensibles. Elle se laissait faire. Quand elle rentra dans la chambre de Raoul, il était assis sur sa chaise. Il se leva et se mit devant elle. « Vas-y, défais-toi. Enlève ta blouse. Montre-moi tes jolis seins. Victor a dû apprécier et s’en occuper. » Virginie se retrouva en culotte devant Raoul. Il se recula et s’assit sur le lit. Il l’attira contre lui. Sa langue lécha et suça les seins de la jeune femme, mordillant les pointes hypersensibles. Il la garda avec lui une demi-heure, léchant, mordillant, embrassant, titillant les seins, tandis que ses mains, glissées sous la culotte, caressaient ses fesses, venant au contact de l’œillet violacé qu’un doigt inquisiteur honorait de temps à autre en s’enfonçant jusqu’à la garde. Virginie haletait sous ce double traitement. Raoul l’amena aux portes de la jouissance et l’abandonna au dernier moment.
Le mercredi, Virginie retira sa culotte juste avant de rejoindre Raoul. Elle n’avait pas osé l’enlever avant. Pourtant elle mouillait comme une folle. Raoul se leva et s’avança vers elle. Il s’agenouilla devant elle et plongea la tête sous la blouse contre le ventre tiède. Sa langue trouva rapidement la fente détrempée et s’enfonça, entamant un ballet terriblement efficace. Pendant ce temps les deux mains de Raoul prirent possession des fesses féminines, les caressant. Elle sentit un doigt s’immiscer contre son anus et forcer l’étroit canal. Raoul amena ainsi Virginie au plaisir. Elle jouit dans un long feulement rauque. Raoul se redressa. Il descendit son pantalon et appuya sur les épaules de Virginie. « A toi de me donner du plaisir. Suce ». Virginie entreprit de faire pénétrer le pénis dans sa bouche, agaçant les bourses de ses doigts. Raoul donnait des coups de bassin, coulissant dans la bouche accueillante. Il faisait durer le plaisir.
Virginie commençait à avoir mal aux mâchoires. Enfin il éjacula dans la bouche de la jeune femme, maintenant son sexe rivé, l’empêchant de recracher la semence. Virginie avala le sperme tiède.
Le vendredi, Virginie passa rapidement dans les chambres. Elle finissait par Raoul. « Il est bientôt dix-sept heures Virginie, ne fais pas attendre l’abbé. Déshabille-toi ici, enlève ton soutien-gorge et ta culotte et remets ta blouse. Tu dois te présenter à Dieu comme au jour de ta naissance. Viens, je t’accompagne » Ils descendirent au rez-de-chaussée et entrèrent dans le bureau de la directrice. Virginie se laissait guider. Elle se sentait excitée. Elle savait ce qui l’attendait. Ce pieu d’ébène dans son ventre.
Gédéon était déjà arrivé. Grand, les cheveux crépus, vêtu d’une soutane et de sandalettes. Virginie remarqua d’emblée l’imposante bosse visible sur le devant à hauteur de l’entre-jambe. Raoul s’était placé derrière Virginie. « Gédéon, je te présente Virginie. C’est une pêcheresse qui doit se confesser car elle a fauté. Beaucoup fauté.
Les plaisirs de la chair avec plusieurs hommes. En plus elle a désobéi. Elle devait faire sa tournée cul nu mais elle avait gardé sa culotte. Je vous laisse. Virginie, à dimanche pour ce que tu sais. » Gédéon regarda Virginie. « Mets-toi à genou ma fille.
Confesse tes pêchés et je t’absoudrai » Disant cela, il s’était rapproché de la jeune femme. Il posa ses mains sur sa tête, psalmodiant une prière indistincte. Il avança son bassin à hauteur du visage féminin, frottant peu à peu son sexe contre la bouche de la jeune femme. Elle sentit le sexe grossir et se tendre. Petit à petit, abandonnant la tête de Virginie, il fit remonter sa soutane et la faisant passer par-dessus tête et s’en débarrassa. Entièrement nu, uniquement vêtu de ses sandales, il présenta sa verge noire à la bouche de Virginie, appuyant pour forcer le chemin. Elle ne pouvait l’absorber en entier. Jamais de sa vie elle n’avait vu une verge si grosse. Le mandrin était large, long, au gland luisant. Elle le lécha, le suça, l’humidifia, agaçant le gland avec sa langue. Le pénis était doux et dur à la fois. Le prêtre continuait sa litanie. Virginie prenait plaisir à sucer cette queue. Elle savait qu’elle allait être prise par ce sabre d’ébène et que ce serait bon. Toute l’attente érotique accumulée depuis ces trois semaines allait se concrétiser dans un feu d’artifice dont elle profiterait. Gédéon la fit se relever et se tourner. Passant ses mains sur le côté, collé à son dos, il défit un à un les boutons de sa blouse. Ses mains prirent possession de ses seins. Elle sentait la hampe dure frotter contre le haut de ses fesses. Elle réalisa qu’il l’avait tournée face à un pan de mur en haut duquel de petites fenêtres donnaient sur une pièce surélevée en demi-étage. Elle l’identifia. Et derrière les fenêtres, elle apercevait Marinette, Juan, sœur Geneviève et Raoul. Ils regardaient le spectacle qu’elle offrait. Les deux femmes avaient la blouse ouverte sur leur corps nu. Les deux hommes étaient nus. Comme elle dans le bureau, la blouse grande ouverte, leur offrant la vision de son corps caressé par le noir. Il l’attira vers le bureau et l’allongea dessus. Il releva largement ses cuisses et plongea sa tête vers son abricot ruisselant. Il joua avec ses lèvres, remontant vers le clitoris hypersensible puis plongea sa langue aussi loin qu’il put dans son sexe avide.
Elle sentait le plaisir monter. Il faisait durer. Il savait y faire. Il l’abandonna aux portes de l’orgasme. Il la retourna et, allongé sur elle présenta son glaive triomphant aux portes de sa grotte. « Je te lave de tes fautes passées, présentes et à venir. Tu n’as pas été sage, tu as commis le pêché de chair. Tu as désobéi. Je dois purifier ton corps. » Il poussa et s’enfonça d’un coup en elle. Elle crut manquer d’air pendant l’intromission. Elle se sentait remplie comme jamais. Elle noua ses jambes autour des reins de l’homme pour mieux le sentir en elle. Il entama un long mouvement de va et vient, sortant presque sa verge pour la replonger aussitôt, coulissant dans ce fourreau détrempé. Il la besogna doucement longtemps, lui arrachant des gémissements sonores.
Elle tourna la tête vers les fenêtres. Les deux femmes étaient assises sur les hommes et bougeaient en cadence. Tous regardaient dans sa direction. Elle entendait des gémissements et des soupirs. D’être vue ajoutait à son excitation.
Gédéon se désaccoupla et la positionna, les mains en appui sur le bureau. Il la prit en levrette. Le rythme n’était plus le même, il accélérait, la besognant avec force. Elle sentait un incroyable plaisir monter en elle. Elle était face aux fenêtres. Là-haut, les corps semblaient repus. Les hommes avaient sans doute déchargé. Tous guettaient la fin de sa joute amoureuse. Gédéon donnait de grands coups de rein en la tenant aux hanches. D’un coup, le plaisir l’emporta. Elle jouit dans un long cri étranglé, bougeant convulsivement la tête dans tous les sens. Un orgasme comme elle en avait rarement connu. En tout cas depuis longtemps. Gédéon se retira d’elle. Elle sentit des jets gicler sur ses fesses et le bas de son dos. Il semblait ne pas devoir s’arrêter d’éjaculer. Il se rhabilla en silence et quitta la pièce. Elle mit du temps à récupérer. Là-haut, les protagonistes étaient partis. Elle se rhabilla. Son sexe était meurtri par les assauts de cette verge hors du commun. Elle avait pris un plaisir insensé. La porte du bureau s’ouvrit.
Geneviève entra. « Je vois que vous vous êtes confessée. D’ailleurs, j’ai assisté à cette charmante confession. Vous avez expurgé vos pêchés dans ce cri destiné à Dieu. Vous nous avez émerveillés. Vous avez bien mérité votre jour de repos. Soyez en forme dimanche.
Raoul vous attend avec impatience. J’ai profité de son cierge aujourd’hui mais le coquin garde des munitions. Et vous lui plaisez diablement » Dimanche après-midi. Dernier jour. Virginie était excitée. Elle savait qu’elle allait vivre un nouveau moment particulier. Elle avait mis une paire de bas couleur chair tenant tout seuls. Elle était nue sous sa blouse. Elle alla directement dans la chambre de Raoul. Il était allongé sur son lit, nu, le sexe déjà prêt pour la bataille. Il se leva et vient à elle. Il défit les boutons de la blouse un à un et la débarrassa du vêtement inutile. Nus l’un en face de l’autre, ils se regardaient dans les yeux, savourant ce moment de calme avant la bataille, tenaillés par le désir. Elle tourna la tête pour accrocher leur image dans le miroir. Ils se faisaient face, on voyait de lui son sexe tendu, dressé. Il était moins bien doté que Gédéon mais sa queue était de belle taille.
D’elle, elle voyait les jambes gainées de nylon, le ventre plat, les seins en pomme aux mamelons dressés. Il y avait trente ans d’écart entre eux, mais un même désir sexuel, une même envie. Il la tira doucement vers le lit, la fit assoir et présenta sa verge roide à sa bouche. « Vas-y ma salope, suce le sucre d’orge de Raoul. Oh comme tu es bonne tu suces mieux que toutes les femelles de la pension réunies. Et je te parle en connaissance de cause, il n’y a pas une semaine sans que je me fasse au moins une d’entre elles. La plus salope, c’est sœur Geneviève. Mais toi tu les surpasses toutes. Vas-y lèche, aspire, pompe. Gratte-moi les bourses. Ah tu fais ça bien coquine. » Il se laissa sucer pendant un gros quart d’heure. Puis il allongea Virginie sur le lit, parcourant son corps avec sa langue, s’attardant sur les seins, la vulve et l’anus. Il l’amena ainsi aux portes du plaisir, sans jamais le lui laisser atteindre. Il monta sur le lit et s’allongea sur elle. « Dis ce que tu veux. Demande » « Vas-y, prends moi, viens en moi, fourre moi, baise moi. J’ai envie. Tellement envie ». Il se guida avec sa main et la pénétra. Il commença à bouger en elle. « J’ai pris du Viagra à midi. Tu vas passer un bon moment ». Elle sentait le sexe dur aller et venir en elle. Le plaisir venait. Dès qu’il la sentait venir, il ralentissait, s’arrêtant parfois pour mieux repartir. Il mordillait son cou comme un jeune chiot. La vague arriva brutalement et la cueillit. Il accéléra et s’épancha en grondant. Il se retira d’elle, le sexe encore raide, la retourna et la fit mettre à quatre pattes. Il la prit en levrette, claquant ses fesses en l’invectivant. Il semblait inarrêtable, la besognant telle une machine-outil avec une régularité d’un horloger suisse. « Dommage que tu finisses ton stage, on t’aurait bien fait ton affaire avec Juan. Une bite devant, une bite derrière. Geneviève adore ça. » Virginie sentit l’orgasme revenir. Un orgasme long et intense qui la désarticula. Raoul continuait à la pilonner. Sa respiration se faisait sifflante. Il se retira et présenta sa verge contre l’œillet violacé. « Dis-moi que tu veux » « Oui.
Viens. Prends-moi encore » « Tu la veux où ? Je veux t’entendre le dire » « Dans le cul. Oui. Encule moi » Raoul poussa contre l’anus et l’investit centimètre après centimètre. Quand il fut entièrement entré, il commença à remuer. Virginie, à quatre pattes sur le lit, subissait l’assaut final. Une nouvelle vague naissait au fond de son ventre. Ils jouirent au même moment et s’effondrèrent sur le lit.
Virginie ne revint jamais aux Mimosas. Quelques années plus tard, en vacances dans le sud, elle reconnut Marinette, habillée en civil. Marinette lui apprit que les Mimosas avaient fermé cinq ans après le passage de Virginie, n’étant plus aux normes réglementaires. Les pensionnaires avaient été dispersés dans d’autres maisons de retraite. L’équipe avait été remise à disposition de l’évêché. Marinette avait quitté la congrégation, changé de région et s’était reconvertie comme infirmière libérale. Elle avait rencontré un veuf et l’avait épousé. Mais elle regrettait parfois les récréations érotiques des Mimosas….
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