La petite boutique de lingerie
Récit érotique écrit par Philippe chaumont [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2012 dans la catégorie Plus on est
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La petite boutique de lingerie
Quelques jours de congés au Grau du Roi, Ginou et moi en profitons pour souffler un peu, nous détendre, profiter du soleil de la mer, découvrir la région. Aujourd’hui c’est Montpellier qui nous accueille, nous flânons dans le quartier de la Comédie, Ginou s’arrête devant un boutique de lingerie, un sourire aux lèvres elle me montre une nuisette mauve en voile transparent.
“ C’est joli non? tu aimerais pas me voir avec?”
“Ma chérie, tu n’as pas besoin de ça pour me donner envie....”
“ C’est pas que tu deviendrais radin mon Amour?”
“ Je trouve que la boutique fait un peu désuète, et que , sans doute, dans les centres commerciaux on trouverait davantage de choix, non?”
“Si tu ne veux pas me l’offrir, je me l’offrirai moi-même”
Après cette affirmation, que faire d’autre que de suivre ma chère et tendre dans cette échoppe d’une autre époque.
La boutique est minuscule, l’espace est rempli par des rayonnages et une immense banque style table de drapier, derrière laquelle se tient le patron, un grand brun d’une cinquantaine d’années et son commis, un jeune blondinet aux yeux bleus.
Après un “bonjour m’sieur dame” lancé de concert par les deux hommes, Ginou exprime son souhait de voir “cette ravissante nuisette de la vitrine” je perçois le regard égrillard du jeune commis, tandis que le patron jauge d’un regard Ginou et l’estime à un 40.
Il cherche dans les rayonnages derrière lui la boite correspondant à l’article souhaité, l’ouvre et en sort la nuisette qu’il déballe: ” Cette ravissante babydoll dos nu est en mousseline de soie d’une grande finesse, notez l’élégance du ruban rouge qui la maintient à la taille , et le rappel de couleur du lien qui passe derrière la nuque pour maintenir le haut très largement décolleté, (en réalité composé de deux caches seins) . Passant sa main à l’intérieur il met en évidence la transparence : “Cet article mettra particulièrement bien en évidence les charmes de Madame”......
Ginou semble conquise par cette très sexy babydoll de chez Chantal B, elle se retourne vers moi, interrogative, le vendeur ne me laisse pas le temps de m’exprimer: “ peut-être madame souhaite t- elle voir sur elle même?”
Ginou, naturellement le souhaite, Le vendeur désigne un escalier étroit si vous voulez bien...
Je décide de rester en bas, le patron, galant homme précède Ginou dans l’escalier, le commis, portant la boite, lui préfère monter derrière elle sans doute pour pouvoir admirer le gracieux postérieur de mon épouse.
J’entends le bruit d’une tringle à rideau, j’imagine que c’est celui de la cabine d’essayage. Au bout de quelques instants, j’entends le rideau s’ entrebâiller, et nettement la voix du vendeur, c’est parfaitement votre taille, oui tout à fait, magnifique, à ces mots je monte discrètement quelques marches de l’escalier pour profiter du spectacle, je ne suis pas jaloux, au contraire Ginou et moi pratiquons l’échangisme.
Le vendeur poursuit: “nous nous rendrions mieux compte si vous retiriez votre soutien gorge, vous permettez, et comme si cela allait de soi, il dégrafe le soutien gorge de Ginou, libérant ses deux seins, je perçois la bosse qui s’est dessinée sur le pantalon du commis, dont le regard est fixé sur la poitrine de ma femme, Ginou glisse un regard vers le bas de l’escalier, me voit, nous échangeons un clin d’ œil, bien que rapide et discret il n’échappe pas au patron, qui m’en retourne un pour signer notre connivence.
“Madame a une splendide poitrine, elle est bien mise en valeur par cette jolie nuisette, qu’en penses tu Brice?” demande t il au jeune homme Brice rougit et murmure un timide “oh oui”
Je remarque que les pointes des seins de Ginou se dressent se dessinant parfaitement sur la mousseline de soie , sans doute à cause du regard de braise que Brice porte sur eux... et aussi sur celui du patron, qui posant le soutien de gorge qu’il vient d’ ôter à ma moitié, glisse sa main sur ses seins sous prétexte de les mettre bien en place dans la babydoll, il le fait en prenant le temps de bien titiller les bouts desquels Ginou est d’une très grande sensibilité, je m’ aperçois qu’ elle n’est pas insensible à ces attouchements, du bas de l’escalier, je vois bien la tache grandissante qui se dessine sur le fond de sa petite culotte; il prend un peu de recul pour juger de l’effet, et bien que la nuisette s’arrête un peu plus haut que le pubis, il ajoute:” voyez-vous, pour que nous ayons une idée parfaite il serait excellent que vous ne portiez pas de petite culotte.....Brice, débarrassez Madame je vous prie!”
Brice n’ose pas, il est tout intimidé, Ginou lui fait un grand sourire, et d’un léger signe de tête l’invite, il s’approche, se baisse, saisit la petite culotte qu’il baisse doucement, lentement, le pubis soyeux châtain apparaît a ses yeux, Ginou relève un pied puis l’autre, il n’y a plus de culotte, ma femme est nue dans sa Babydoll, effectivement la transparence ne cache aucun de ses charmes! pour ne pas rester en reste le patron montre au moins l’un des siens, il extirpe de sa braguette un sexe épais et raide au gland violacé, qu’il masturbe, il glisse son autre main entre les jambes de Ginou, et la caresse doucement, d’en bas de l’escalier j’entends le bruit de sa mouille sous les doigts du vendeur, Brice est face à elle, il n’ose rien, n’entreprend rien, Ginou l’attire vers elle, le prend dans ses bras et lui offre sa bouche pour un baiser qu’il exécute maladroitement, il n’ose pas se plaquer contre elle, comme s’il avait honte de son érection, il lui demande à embrasser ses seins, Ginou les libère de la nuisette pour les lui offrir, sa bouche vient sucer un des bouts tandis que de sa main il pétrit l’autre, ma femme met la main sur sa braguette il sursaute gêné, mais se laisse faire, Ginou défait la ceinture de son pantalon, le déboutonne, ouvre la braguette, baisse le shorty un joli bâton bien raide apparaît, le bout est déjà humide, Mon épouse lui demande si il a déjà fait l’amour, Brice rougissant lui murmure que non, elle le prend dans ses bas lui donne un langoureux baiser, auquel il répond avec frénésie, “tu veux que je te suce?” Brice n’en rêvait pas temps, elle descend le long de son corps prend le long sexe du commis dans sa bouche gourmande savoure le gland avant d’aspirer au plus loin la queue du jeune Brice, le patron et moi, chacun de son coté nous masturbons en regardant , très vite Brice lui demande d’arrêter, il a peur de jouir, Ginou lui dit qu’elle adore se faire jouir dans la bouche et avaler ce divin nectar, Brice implorant lui répond qu’il est puceau et qu’il voudrait la baiser pour ne plus l’être, il n’a pas de capote, fort heureusement je suis la pour dépanner, il rougit en prenant conscience de ma présence, Ginou se charge de lui mettre le condom sensuellement, et de le faire s’allonger sur la moquette, Brice en position ma femme s’empale sur le sexe de Brice impliquant elle même les mouvements de bassin s’arrêtant dès qu’elle sent son jeune amant au bord de la jouissance, Elle invite le patron a garnir sa bouche de sa queue excitée, celui ci ne se fait pas prier, et avec sa grande habileté Ginou s’arrange pour faire jouir ses deux amants et elle-même en cœur, on entendit des gémissements poussés à l’unisson.
Brice n’était plus puceau, le Patron avait “nourri” Ginou, et moi je m’attendais à un geste commercial, il n’en fut rien la babydoll Chantal B me fut facturé 89€ comme il était écrit sur l’étiquette, Ginou fit la bise à tous, griffonnât son numéro de tel qu’elle donnât à Brice, quant à moi je me promis de ne plus remettre les pieds dans cette boutique....
Radin va!
“ C’est joli non? tu aimerais pas me voir avec?”
“Ma chérie, tu n’as pas besoin de ça pour me donner envie....”
“ C’est pas que tu deviendrais radin mon Amour?”
“ Je trouve que la boutique fait un peu désuète, et que , sans doute, dans les centres commerciaux on trouverait davantage de choix, non?”
“Si tu ne veux pas me l’offrir, je me l’offrirai moi-même”
Après cette affirmation, que faire d’autre que de suivre ma chère et tendre dans cette échoppe d’une autre époque.
La boutique est minuscule, l’espace est rempli par des rayonnages et une immense banque style table de drapier, derrière laquelle se tient le patron, un grand brun d’une cinquantaine d’années et son commis, un jeune blondinet aux yeux bleus.
Après un “bonjour m’sieur dame” lancé de concert par les deux hommes, Ginou exprime son souhait de voir “cette ravissante nuisette de la vitrine” je perçois le regard égrillard du jeune commis, tandis que le patron jauge d’un regard Ginou et l’estime à un 40.
Il cherche dans les rayonnages derrière lui la boite correspondant à l’article souhaité, l’ouvre et en sort la nuisette qu’il déballe: ” Cette ravissante babydoll dos nu est en mousseline de soie d’une grande finesse, notez l’élégance du ruban rouge qui la maintient à la taille , et le rappel de couleur du lien qui passe derrière la nuque pour maintenir le haut très largement décolleté, (en réalité composé de deux caches seins) . Passant sa main à l’intérieur il met en évidence la transparence : “Cet article mettra particulièrement bien en évidence les charmes de Madame”......
Ginou semble conquise par cette très sexy babydoll de chez Chantal B, elle se retourne vers moi, interrogative, le vendeur ne me laisse pas le temps de m’exprimer: “ peut-être madame souhaite t- elle voir sur elle même?”
Ginou, naturellement le souhaite, Le vendeur désigne un escalier étroit si vous voulez bien...
Je décide de rester en bas, le patron, galant homme précède Ginou dans l’escalier, le commis, portant la boite, lui préfère monter derrière elle sans doute pour pouvoir admirer le gracieux postérieur de mon épouse.
J’entends le bruit d’une tringle à rideau, j’imagine que c’est celui de la cabine d’essayage. Au bout de quelques instants, j’entends le rideau s’ entrebâiller, et nettement la voix du vendeur, c’est parfaitement votre taille, oui tout à fait, magnifique, à ces mots je monte discrètement quelques marches de l’escalier pour profiter du spectacle, je ne suis pas jaloux, au contraire Ginou et moi pratiquons l’échangisme.
Le vendeur poursuit: “nous nous rendrions mieux compte si vous retiriez votre soutien gorge, vous permettez, et comme si cela allait de soi, il dégrafe le soutien gorge de Ginou, libérant ses deux seins, je perçois la bosse qui s’est dessinée sur le pantalon du commis, dont le regard est fixé sur la poitrine de ma femme, Ginou glisse un regard vers le bas de l’escalier, me voit, nous échangeons un clin d’ œil, bien que rapide et discret il n’échappe pas au patron, qui m’en retourne un pour signer notre connivence.
“Madame a une splendide poitrine, elle est bien mise en valeur par cette jolie nuisette, qu’en penses tu Brice?” demande t il au jeune homme Brice rougit et murmure un timide “oh oui”
Je remarque que les pointes des seins de Ginou se dressent se dessinant parfaitement sur la mousseline de soie , sans doute à cause du regard de braise que Brice porte sur eux... et aussi sur celui du patron, qui posant le soutien de gorge qu’il vient d’ ôter à ma moitié, glisse sa main sur ses seins sous prétexte de les mettre bien en place dans la babydoll, il le fait en prenant le temps de bien titiller les bouts desquels Ginou est d’une très grande sensibilité, je m’ aperçois qu’ elle n’est pas insensible à ces attouchements, du bas de l’escalier, je vois bien la tache grandissante qui se dessine sur le fond de sa petite culotte; il prend un peu de recul pour juger de l’effet, et bien que la nuisette s’arrête un peu plus haut que le pubis, il ajoute:” voyez-vous, pour que nous ayons une idée parfaite il serait excellent que vous ne portiez pas de petite culotte.....Brice, débarrassez Madame je vous prie!”
Brice n’ose pas, il est tout intimidé, Ginou lui fait un grand sourire, et d’un léger signe de tête l’invite, il s’approche, se baisse, saisit la petite culotte qu’il baisse doucement, lentement, le pubis soyeux châtain apparaît a ses yeux, Ginou relève un pied puis l’autre, il n’y a plus de culotte, ma femme est nue dans sa Babydoll, effectivement la transparence ne cache aucun de ses charmes! pour ne pas rester en reste le patron montre au moins l’un des siens, il extirpe de sa braguette un sexe épais et raide au gland violacé, qu’il masturbe, il glisse son autre main entre les jambes de Ginou, et la caresse doucement, d’en bas de l’escalier j’entends le bruit de sa mouille sous les doigts du vendeur, Brice est face à elle, il n’ose rien, n’entreprend rien, Ginou l’attire vers elle, le prend dans ses bras et lui offre sa bouche pour un baiser qu’il exécute maladroitement, il n’ose pas se plaquer contre elle, comme s’il avait honte de son érection, il lui demande à embrasser ses seins, Ginou les libère de la nuisette pour les lui offrir, sa bouche vient sucer un des bouts tandis que de sa main il pétrit l’autre, ma femme met la main sur sa braguette il sursaute gêné, mais se laisse faire, Ginou défait la ceinture de son pantalon, le déboutonne, ouvre la braguette, baisse le shorty un joli bâton bien raide apparaît, le bout est déjà humide, Mon épouse lui demande si il a déjà fait l’amour, Brice rougissant lui murmure que non, elle le prend dans ses bas lui donne un langoureux baiser, auquel il répond avec frénésie, “tu veux que je te suce?” Brice n’en rêvait pas temps, elle descend le long de son corps prend le long sexe du commis dans sa bouche gourmande savoure le gland avant d’aspirer au plus loin la queue du jeune Brice, le patron et moi, chacun de son coté nous masturbons en regardant , très vite Brice lui demande d’arrêter, il a peur de jouir, Ginou lui dit qu’elle adore se faire jouir dans la bouche et avaler ce divin nectar, Brice implorant lui répond qu’il est puceau et qu’il voudrait la baiser pour ne plus l’être, il n’a pas de capote, fort heureusement je suis la pour dépanner, il rougit en prenant conscience de ma présence, Ginou se charge de lui mettre le condom sensuellement, et de le faire s’allonger sur la moquette, Brice en position ma femme s’empale sur le sexe de Brice impliquant elle même les mouvements de bassin s’arrêtant dès qu’elle sent son jeune amant au bord de la jouissance, Elle invite le patron a garnir sa bouche de sa queue excitée, celui ci ne se fait pas prier, et avec sa grande habileté Ginou s’arrange pour faire jouir ses deux amants et elle-même en cœur, on entendit des gémissements poussés à l’unisson.
Brice n’était plus puceau, le Patron avait “nourri” Ginou, et moi je m’attendais à un geste commercial, il n’en fut rien la babydoll Chantal B me fut facturé 89€ comme il était écrit sur l’étiquette, Ginou fit la bise à tous, griffonnât son numéro de tel qu’elle donnât à Brice, quant à moi je me promis de ne plus remettre les pieds dans cette boutique....
Radin va!
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