La petite maison dans la prairie. Où je passe la tondeuse ! ! ! ! ! ! (Suite3)
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 43 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Norbert ont reçu un total de 89 858 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 454 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La petite maison dans la prairie. Où je passe la tondeuse ! ! ! ! ! ! (Suite3)
Nous sommes donc avec Jeanne dans le gîte rural de Hubert (hub) et Marie Thérèse (MT) qui sont assistés de Fred leur valet de ferme. L'accueil a été plus que chaleureux, puisque a la fin de l'épisode précédent, le père Antoine un vieux voisin faisait irruption dans la salle ou je venais de raser la chatte de MT pendant que Jeanne suçait le gourdin de Hub et que ce dernier bouffait la moule de sa femme pendant que Fred plus modeste limait le cul de sa patronne.
L'arrivée du père Antoine, un bonhomme de 65 ans environ, à l'air rude des gens de la terre, au physique robuste et à l'air vicieux, me laisse penser que notre soirée va se terminée sans aller à son but. Mais le peu de réaction de Hub et de Mt fini par me laisser imaginer que le vieux à l'air vicieux qui mate sans vergogne les deux cochonnes à l'abricot lisse comme une jeune fille, n'est pas le malvenu bien au contraire.
Je suis conforté dans cette idée lorsque MT lui dit, alors père Antoine, des abricots comme ça tu en a jamais vu dans ton verger, et surtout aussi juteux. Se disant elle écarte la tête de Hub qui est toujours en train de lui bouffer la fente et elle se tourne vers Antoine écartant largement les cuisses en invitant Jeanne à faire de même pour faire bander leur ami.
Jeanne qui n'aime pas spécialement les hommes âgés, semble subjuguée par le regard salace du vieux qui sans vergogne ouvre la braguette de son pantalon de velours, et sort un sexe pas très long mais trapu et noueux avec d'énorme couilles qui semblent pleines, le tout surmonté d'un gland gros comme une prune. De grosses veines bleues donnent à cette bite un air rustique qui va bien avec le personnage.
Il s'astique en quelques va et vient puis s'approche de MT et lui passe le gland dans la fente lui faisant écarter les cuisses encore plus largement. De la mouille suinte de la brèche ou le vieux continu de faire aller et venir sa queue sans la pénétrer.
Il laisse enfin MT qui reste sur sa faim et se tourne vers Jeanne qui excitée par le spectacle s'astique le bouton comme une folle. Les sexes de Hub et Fred et le mien sont prêt d'exploser devant cette scène torride.
Il demande alors à Jeanne de lui sucer le vit puisqu'elle semble être une belle salope qui aime les grosses bites, il est plus court que Hub mais aussi large et le gland est énorme, violacé, recouvert des sécrétions de MT et des premières gouttes de liquide blanchâtre. Jeanne se met alors à genoux devant ce sexe hors norme et commence par le lécher, récupérant la mouille de Mt puis elle titille de la langue le méat avant de tenter de prendre le mandrin en bouche, elle doit s'y reprendre à plusieurs fois avant que le gland ne passe la frontière de ses lèvres, puis petit à petit elle arrive à pomper ce sucre d'orge taillé pour les gourmandes.
Pendant qu'il se fait sucer, Antoine commence à doigter MT qui n'a pas resserré les cuisses, il a les mains de son âge, mais en plus elle sont rugueuses comme celle des hommes qui travaillent la terre. Un doigt puis deux pénètrent MT qui en redemande tant et si bien que Antoine lui met les cinq doigt dans la moule mais il ne pourra la fister, bien que MT soit élargie depuis longtemps par la bite de son homme.
MT qui en veut toujours plus me demande de m'approcher pour me sucer, Hub lui est placé derrière Jeanne et lui enfonce son pieu dans la chatte, celle-ci sans doute surprise ne peut rien exprimer tant la queue du vieux lui rempli la bouche. Cette cochonne de Jeanne est on peut le dire comblée au propre comme au figuré.
La pièce est remplie des halétement des hommes car Fred s'astique dans un fauteuil en regardant l'orgie qui se déroule sous ses yeux, il est le premier à partir, ensuite HUB décharge un foutre épais dans la chatte de Jeanne ensuite moi dans la bouche de MT qui avale tout et fait le ménage, ne reste plus que Antoine toujours engouffré dans la bouche de Jeanne, mais le talent de cette salope vient à bout du vieux qui lui balance de long jet de sperme sur le visage et les seins. Jeanne récupère ce qu'elle peut de ce bon jus, puis roule une pelle à MT pour lui en faire profiter. Hub donne sa queue à nettoyer aux deux femmes à qui se joint Fred qui a été un peu frustré.
Nous sommes restés deux jours dans ce gîte et les deux soirées ont été aussi chaudes, même plus une nièce de nos Hôtes étant passée les voir.
L'arrivée du père Antoine, un bonhomme de 65 ans environ, à l'air rude des gens de la terre, au physique robuste et à l'air vicieux, me laisse penser que notre soirée va se terminée sans aller à son but. Mais le peu de réaction de Hub et de Mt fini par me laisser imaginer que le vieux à l'air vicieux qui mate sans vergogne les deux cochonnes à l'abricot lisse comme une jeune fille, n'est pas le malvenu bien au contraire.
Je suis conforté dans cette idée lorsque MT lui dit, alors père Antoine, des abricots comme ça tu en a jamais vu dans ton verger, et surtout aussi juteux. Se disant elle écarte la tête de Hub qui est toujours en train de lui bouffer la fente et elle se tourne vers Antoine écartant largement les cuisses en invitant Jeanne à faire de même pour faire bander leur ami.
Jeanne qui n'aime pas spécialement les hommes âgés, semble subjuguée par le regard salace du vieux qui sans vergogne ouvre la braguette de son pantalon de velours, et sort un sexe pas très long mais trapu et noueux avec d'énorme couilles qui semblent pleines, le tout surmonté d'un gland gros comme une prune. De grosses veines bleues donnent à cette bite un air rustique qui va bien avec le personnage.
Il s'astique en quelques va et vient puis s'approche de MT et lui passe le gland dans la fente lui faisant écarter les cuisses encore plus largement. De la mouille suinte de la brèche ou le vieux continu de faire aller et venir sa queue sans la pénétrer.
Il laisse enfin MT qui reste sur sa faim et se tourne vers Jeanne qui excitée par le spectacle s'astique le bouton comme une folle. Les sexes de Hub et Fred et le mien sont prêt d'exploser devant cette scène torride.
Il demande alors à Jeanne de lui sucer le vit puisqu'elle semble être une belle salope qui aime les grosses bites, il est plus court que Hub mais aussi large et le gland est énorme, violacé, recouvert des sécrétions de MT et des premières gouttes de liquide blanchâtre. Jeanne se met alors à genoux devant ce sexe hors norme et commence par le lécher, récupérant la mouille de Mt puis elle titille de la langue le méat avant de tenter de prendre le mandrin en bouche, elle doit s'y reprendre à plusieurs fois avant que le gland ne passe la frontière de ses lèvres, puis petit à petit elle arrive à pomper ce sucre d'orge taillé pour les gourmandes.
Pendant qu'il se fait sucer, Antoine commence à doigter MT qui n'a pas resserré les cuisses, il a les mains de son âge, mais en plus elle sont rugueuses comme celle des hommes qui travaillent la terre. Un doigt puis deux pénètrent MT qui en redemande tant et si bien que Antoine lui met les cinq doigt dans la moule mais il ne pourra la fister, bien que MT soit élargie depuis longtemps par la bite de son homme.
MT qui en veut toujours plus me demande de m'approcher pour me sucer, Hub lui est placé derrière Jeanne et lui enfonce son pieu dans la chatte, celle-ci sans doute surprise ne peut rien exprimer tant la queue du vieux lui rempli la bouche. Cette cochonne de Jeanne est on peut le dire comblée au propre comme au figuré.
La pièce est remplie des halétement des hommes car Fred s'astique dans un fauteuil en regardant l'orgie qui se déroule sous ses yeux, il est le premier à partir, ensuite HUB décharge un foutre épais dans la chatte de Jeanne ensuite moi dans la bouche de MT qui avale tout et fait le ménage, ne reste plus que Antoine toujours engouffré dans la bouche de Jeanne, mais le talent de cette salope vient à bout du vieux qui lui balance de long jet de sperme sur le visage et les seins. Jeanne récupère ce qu'elle peut de ce bon jus, puis roule une pelle à MT pour lui en faire profiter. Hub donne sa queue à nettoyer aux deux femmes à qui se joint Fred qui a été un peu frustré.
Nous sommes restés deux jours dans ce gîte et les deux soirées ont été aussi chaudes, même plus une nièce de nos Hôtes étant passée les voir.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Norbert
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...