La petite salope c'est ce qu'elle veut - histoire érotique

Je m'attends à recevoir une volée, mais j'assume.


Dépucelée bien avant sa majorité par un de ses amis, Manon est devenue une obsédée du sexe, elle se donne souvent à son dépuceleur, jusqu'à épuisement. La salope ne pense qu'à la bite. Souvent Manon entend ses parents faire l'amour, sa maman très expressive ne retient pas des cris, cela excite tellement Manon, qu'elle doit se masturber. La coquine aimerait se faire baiser par son papa, elle s'imagine plantée sur son pieu en train de gémir.


Elle se dit que pour faire hurler sa maman comme ça, il doit être un amant terrible. Elle ne rêve que de se faire défoncer par lui. Manon ne cesse de draguer son papa. Sa maman prend ça pour un jeu, cela la fait sourire. Les baises avec son copain deviennent monotones, elle a quelques chose en tête. La coquine prend de plus en plus d'assurance.
Elle se met sur les genoux de son papa en s'accrochant à son cou, et s'agite sur lui, en ondulant du bassin. Elle lui couvre le visage de baiser, qui souvent dérapent et glissent sur ses lèvres. Le pauvre homme se sent pris au piège, les fesses de sa fille glissent sur sa verge, l'effet est malsain. Il s'accroche aux hanches de sa fille en serrant les dents.


Il attrape une monstrueuse érection incontrôlable. Manon sent contre ses fesses le manche raide, la coquine regarde son papa droit dans les yeux et agite son bassin en appuyant encore plus fort son fessier sur la verge qui semble douloureuse.

Luc doit chasser sa fille en cachant péniblement la grosse bosse. Mais pas folle la guêpe, avant de descendre de ses genoux, elle agite son bassin en le regardant droit dans les yeux, elle se penche à son oreille et lui murmure :

-Elle t'excite ta fille hein, elle te fait bander, mais tu peux en profiter si tu veux !

Luc reste sans voix, il dévisage sa fille, et croise les jambes pour cacher tant bien que mal l'érection monstrueuse qui déforme son pantalon. Manon disparait dans sa chambre. La maman Léa, qui prenait ça pour un jeu, regarde la bosse en écarquillant les yeux, elle s'approche, passe sa main sur la verge raide comme du bois et dit :

-Oh mon cochon, tu bandes comme un cerf, c'est ta fille qui te fait de l'effet !

En se raclant la gorge, Luc répond :

-Mets-toi à ma place, ses fesses s'agitaient sur ma queue, je ne suis pas de bois, tu sais !

Léa ne cesse de caresser l'engin enfouit dans le pantalon. Elle le presse, Luc pousse de nombreux soupirs, habilement, Léa ouvre la braguette et en sort l'engin qui se dresse comme un mat en oscillant. En ironisant, elle dit :

-Hum belle bête, elle doit avoir faim !

Elle saisit la verge et commence un branlage, Luc se cabre en geignant, sa femme, très douée, ne le ménage pas. Elle se penche et décalotte le gland, elle donne quelques coups de langue bien ajustés sur le chapeau, avant de le gober. Léa suce divinement, sa bouche fait de merveilles. Soudain, elle sursaute, elle entend du bruit dans l'escalier, elle lâche la verge et rapidement la replace dans le pantalon. Elle se jette sur le canapé auprès de son mari, sa respiration est rapide.

Manon réapparaît, elle sourit, pas folle la guêpe, elle voit la forte érection qu'à son papa et l'émotion de sa maman. Elle vient prendre place sur les genoux de sa maman. Elle la prend par le cou, Léa lui saisit les hanches. Manon se blottit contre sa maman, et se met à ronronner comme une chatte. Mais la vicieuse qui n'a pas mis de culotte, a une idée derrière la tête. Comme avec son papa, elle agite doucement son fessier sur les cuisses de sa maman. Léa demande de changer de position, Manon se lève, sa maman ouvre les jambes, Manon en profite avec un geste habile, de reprendre place sur une jambe de sa maman et non plus sur les deux.

Elle s'accroche au cou de sa maman et commence à agiter son bassin en ondulant comme une danseuse orientale. La maman trouve cela agréable, elle emprisonne entre ses cuisses la jambe de sa fille. Qui continue de se frotter doucement. La chatte qui frotte sur sa cuisse, commence à humidifier de plus en plus sa jupe. Léa sent la vulve glisser sur sa cuisse, inconsciemment, elle saisit les hanches de sa fille et tire vers elle. Manon agit comme si elle pénétrait sa maman, aidée par elle, son corps fait des allers et retours sur la cuisse de sa maman qui ne peut plus ignorer où sa fille veut en venir.

Cela excite, ses yeux se mettent à pétiller. Léa, tire de plus en plus fort sur les hanches de sa fille, qui gémit faiblement. La jupe de Léa, à hauteur de sa cuisse est trempée, elle ravale sa salive, et sans savoir pour quelle raison, accélère, elle tire de plus en plus rapidement sur les hanches de sa fille qui souffle comme un dragon. Luc regarde en écarquillant les yeux. Sa fille grimace, elle s'agite avec l'aide de sa maman, à la recherche de la jouissance.

Il se lève, et se place face au deux femmes, il glisse sa main sous la jupe de sa femme et longe la cuisse. Il sursaute, la culotte de Léa est trempée, il la regarde, elle a les yeux vitreux, elle continue de tirer sur les hanches de sa fille qui geint de plus en plus fort.

Luc appuie sur le clito de sa femme au travers le fin tissu de la culotte. Léa pousse un petit râle rauque. Puis, il le presse entre ses doigts et se met à le branler comme il peut. Sa femme pousse un hurlement et au bout d'un instant, elle jouit si fort que sa culotte est inondée de cyprine. Elle repousse sa fille, qui, frustrée, lui crie :

-Oh maman, maman, non, non, c'était si bon, j'allais jouir moi aussi, tu es une vilaine !

Léa haletante, culpabilise. Elle enlace sa fille et lui donne une multitude de baisers sur le visage, puis lui dit :

-C'est vrai ma chérie, j'ai été égoïste, maman va se faire pardonner, tu vas l'avoir ta jouissance ma chérie !


Elle se blottit contre elle et commence à lui caresser la cuisse, Manon ouvre les cuisses pour laisser le passage à la main, qui arrive à son temple très humide. En glissant sous la jupe, la main de la maman retrousse la jupe sur le haut des cuisses de sa fille en dévoilant la chatte imberbe. Luc regarde la jeune chatte qui ne retient pas son jus. Il ne reconnait plus sa femme, il découvre avec bonheur que sa femme ne rechigne pas de caresser une autre femme, et qu'elle est en train de commettre un inceste.

Sa queue n'a pas dégonflé, il l'extirpe de son pantalon et la branle sauvagement en regardant sa femme caresser la chatte de sa fille. Léa presse le clito ultra-gonflé, elle le triture à en faire rugir sa fille. Manon grogne de plaisir en murmurant :

-Oui, oui maman, oh, c'est si bon, continue maman chérie, oui, oui, ça vient !

Une fulgurante jouissance la fait cabrer. La maman, surprise par la giclée, est enivrée par la bonne odeur de la cyprine. Elle continue de lui malaxer le clito.