La petite salope, sait ce qu'elle veut 2 - histoire érotique

Luc regarde, il est comme hypnotisé par le spectacle, sa queue est raide comme du bois. Sa fille haletante cherche une deuxième jouissance. Sa maman lui triture le clito avec de plus en plus de violence. Elle ne cesse de dire :

-Jouit ma chérie, jouit !

Léa est très excitée, sa chatte est en feu. Elle se dresse d'un coup, retire sa culotte trempée et reprend place au côté de sa fille. Elle lui attrape le clito qui n'a pas dégonflé au contraire, il est énorme. Léa ouvre largement les cuisses et regarde son mari qui se branle comme un sauvage. Le bougre comprend ce que sa femme désir, il s'avance et frotte sa bite contre la chatte en ébullition. Il la maintient en pression contre les grandes lèvres.

Il s'agrippe aux hanches larges de sa femme, et pousse. C'est en poussant un long gémissement, que Léa reçoit dans le ventre la verge épaisse de son mari. Sans le vouloir, elle écrase le clito de sa fille, qui explose de jouissance. Léa lâche le bouton magique et se donne totalement à son mari.

Elle subit en geignant, les assauts violents qu'elle aime tant. Manon voit pour ma première fois la bite de son papa. Elle a les yeux exorbités, tellement la verge de son papa est longue et épaisse. Elle voit l'engin entrer et ressortir du ventre maternel, en prenant de la vitesse. Elle serre les cuisses pour tenter de retenir le jus que sa chatte rejette. sa maman geint de plaisir en agitant son bassin, elle s'accroche à son mari en donnant des coups de reins.

Manon se demande comment sa maman peut recevoir un tel engin dans son ventre, sans être ouverte en deux. Mais sa maman pâme de bonheur elle ne cesse de répéter :

-Oui, oui Luc défonce-moi bien, oui comme ça, encore mon chéri, encore, oh oui c'est merveilleux continue, je vais jouir !

Luc accélère, ses coups de reins deviennent brutaux et très profonds. Sa femme se cabre en poussant un grognement de bête blessée, sa jouissance est terrible. Son corps se met à trembler, il est parcouru de frissons incontrôlables. Manon n'en croit pas ses yeux, elle voit la bite puissante de son papa ressortir entièrement du ventre de sa maman, pour se réenfoncer aussi tôt au plus profond de ses entrailles. Léa pousse un gémissement d'agonisante et jouit une seconde fois.

Luc grogne comme un fauve, il travaille la chatte de sa femme comme un soudard, tout cela, en présence de sa fille, qui salive bruyamment sans perdre une image. Soudain , il se cambre, et rugit comme un lion. Il envoie plusieurs giclées de sperme dans le ventre de sa femme qui gémit de bonheur. Il donne encore quelques estocades avant de se retirer du puits d'amour. Sa bite hyper gonflée, laisse tomber sur les sol quelques gouttelettes de sperme. Léa la saisit brutalement, la décalotte et sans se soucier de la présence de sa fille. Se met a sucer le champignon large et épais, qui trône sur la hampe fortement veinée. sa bouche fait gémir Luc, il faut dire que Léa est une suceuse exceptionnelle.

Le traitement que subit Luc et très, très efficace, et comme pour remercier sa femme il lui remplir en geignant la bouche de semence. Léa avale sans rechigner le nectar si généreusement offert par son mari. Manon est brulante, elle se caresse rageusement la chatte en regardant ses parents en plein action. Un filet continu de cyprine s'échappe de son temple. Elle n'en peut plus :

Son clito est terriblement gonflé, elle l'agite si fort qu'elle serre les dents. Une jouissance la fait hurler, sa chatte en folie, expulse plusieurs jets de cyprine. C'est en haletant que Manon s'affale, jupe retroussée sur le canapé. Ses yeux sont vitreux, sa respiration est rapide, elle peine à retrouver ses esprits.

Quant à sa maman, honteuse de ses agissements, elle est rouge comme une pivoine. Elle regrette ses gestes immoraux qu'elle a commise avec sur sa fille (consentante). Luc regarde la chatte dégoulinante de sa fille, il serre les poings pour ne pas commettre l'irréparable. Il saisit sa bite encore dressée, et commence un branlage d'enfer. Il grogne en agitant son engin plein de vie. Soudain, il se cabre un jet puissant fuse de sa verge et va atterrir sur le bas-ventre dénudé de sa fille. Manon inconsciemment étale sur son bas-ventre le liquide visqueux.



Luc disparait dans la salle de bain suivit par sa femme, ils prennent une douche en commun. Puis montent dans leur chambre, et s'étendent nus sur le lit. Manon prend le relai dans la salle de bain. Luc dit en regardant le plafond :

-Ma chérie, tu sais, il était moins deux, que je saute sur Manon pour lui défoncer la chatte, oh la vache, te voir la branler m'a exciter comme un fou. Si je ne me retenais pas, je foncerais dans sa piaule la baiser !

Léa le regarde et répond en déglutissant bruyamment :

-Je le regrette amèrement, j'ai commis l'irréparable, je suis une mère indigne, j'ai abusée de ma fille. Mais, je dois avouer, que cela m'a excitée terriblement, rien que d'y penser, j'ai des frissons. C'est immoral et monstrueux ce que je ressent, je ne mérite pas le nom de maman !

Luc pose sa main sur son corps et la caresse doucement, elle frémit. Automatiquement, elle ouvre largement les cuisses. La main fébrile quitte le torse et se dirige vers l'entrejambe. Elle fait de petits cercles sur le ventre plat avant de se poser sur la fente humide. Deux doigts s'insèrent entre les grandes lèvres, montent est descentes dans le sillon avant de saisir la boule des plaisirs. Rapidement le clito double de volume, Luc le branle sans brusquerie avec des gestes bien contrôlés. Léa ne peut retenir ses gémissements. Sa chatte semble avoir une fuite, une tache humide s'étend sur le lit.


Soudain la porte de la chambre s'ouvre brusquement. Manon apparait entièrement nue et sans un mot se jette sur le lit. Son papa surpris retire sa main du temple. Toujours sans dire un mot, Manon place sa tête entre les cuisses ouvertes de sa maman, et plaque sa bouche sur la fente suintante. Elle aspire le jus avant d'enfoncer sa langue dans le puits profond. Sa maman se cabre, elle tente de la repousser, mais les forces lui manques. Elle bégaye :

-Manon, Manon ma chérie, non, non je t'en prie arrête !

La coquine ne l'écoute pas, sa fouille le conduit brulant de sa maman qui ne peut retenir ses gémissements. Le papa sans voix; reste bouche bée. Mécaniquement, sa bite se met en érection. Manon fait geindre sa maman de plus en plus fort. Léa, appuie sur la tête de sa fille en miaulant :

-Oh ma chérie, tu es le diable en personne, cesse je t'en prie, je deviens folle mon Dieu je vais jouir !

Léa se cambre comme un pont et explose de jouissance. Manon lui gobe le clito et commence à le dévorer comme une affamée. Une seconde jouissance fait hurler Léa, qui se laisse retomber lourdement sur le lit. Manon rapidement se place tête bèche sur sa maman et reprend en bouche la boule magique. Dans le feu de l'action, Léa gobe elle aussi le clito de sa fille. les deux se broutent le minou comme jamais. Luc est scotché sur les deux amantes qui ne cessent de se bouffer la chatte, en geignant comme des animaux en ruts. Léa jouit en gémissant terriblement, Manon jouit à son tour en remplissant la bouche de sa maman avec sa cyprine suave. Dans leur folie, les langues s'égarent sur les anus, les muscles rectaux très sollicités, gonflent terriblement.

Luc regarde les deux femmes déchainées, se faire gémir de plaisir. Il se branle en serrant les dents, sa bite devient douloureuse. Il ne tient plus, et se dit au diable les préjugés, il se place derrière sa fille, et appuie sa verge contre le temple détrempé. Il donne un coup de reins et l'enfonce jusqu'aux couilles. Manon pousse un long râle, et se redresse en délaissant la chatte de sa maman. La bite épaisse du papa distend la gaine étroite, et bute fortement contre le col de l'utérus. Le gland large et épais, rabote les parois sensibles du conduit en le dilatant. Luc commence un lent va-et-vient. A chaque recule de sa verge, sa femme donne un grand coup de langue sur la hampe.

Manon geint de plaisir, elle reprend en bouche la vulve inondée de sa maman, et la fouille en la faisant geindre de bonheur. la coquine prise férocement pas son papa, tout en dévorant la chatte de sa maman, gémit comme une bête. La bite épaisse coulisse sans répit dans la gaine étroite de Manon qui, bien que très fortement dilatée, elle subit en geigant les assauts continuels de son papa amant.

La verge puissante enserrée dans son étui de chair, laboure le col de l'utérus à chacun de ses enfoncements dans le ventre de la soumise. Elle voyage en prenant de plus en plus de vitesse. Soudain, Manon ressent comme une déflagration lui exploser le ventre. Une jouissance terrible, la fait hurler.

-Oh papa, papa, tu me fais mourir, continu, continu défonce-moi, défonce-moi !

Luc, tire fortement sur les hanches de sa fille, à chaque fois qu'il lui enfonce son pieu dans les entrailles. Il dit en donnant des coups de reins dévastateurs :

-Oh putain Léa, ce qu'elle est étroite notre salope, je vais la remplir de mon sperme, oh putain, oh putain ce qu'elle est bonne !

Plusieurs giclées de sperme, sont envoyées dans le ventre de Manon qui ne cesse de gémir. Léa happe avec sa bouche les couilles de son mari et les suce en l'en faire gémir. Il se dit en serrant les dents :

-Oui ma chérie, encore, encore c'est trop bon !

Enfin il se retire, Léa plaque sa bouche sur la chatte qui rejette le surplus de sperme et l'aspire, elle fouille le conduit pour en extraire le plus possible de semence. Luc n'en revient pas sa femme se déchaine, il ne l'a jamais vu aussi entreprenante et aussi salope. Manon est en plein délire, elle hurle :

-Maman, maman je vais jouir oui, oui, continue. Mon Dieu comme c'est bon, ta bouche est divine maman chérie !

Manon explose une seconde fois, son corps se met à trembler, des frissons incontrôlables parcourent son corps. Léa délaisse la chatte, pour placer sa bouche sur l'anus qui ne cesse de s'ouvrir et de se refermer, les contractions du muscle rectal, sont dû à sa jouissance féroce. La maman déchainée, appuie fortement sa langue sur l'anus. Avec persévérance, elle réussie à introduire quelques centimètres de sa langue dans le conduit anal. Pour Manon c'est une nouveauté, elle se cambre, cet attouchement jusqu'à présent inconnu d'elle, la fait geindre de plaisir.


Léa lui travaille le cul comme jamais, elle le fouille du mieux qu'elle peut. Manon plane, son anus se contracte. Une violente brulure lui traverse le ventre, elle connait pour la première fois la jouissance anale. Elle grogne :

-Maman, maman, c'est fantastique, fais moi encore jouir du cul, vas-y, vas-y !

Léa délaisse l'anus et répond :

-Maintenant, c'est papa qui va te faire jouir du cul avec sa grosse bite, il adore m'enculer le cochon, et moi j'aime qu'il me prenne par le cul, c'est un expert !