La petite salope sait ce qu'elle veut 3 - histoire érotique

L'anus de Manon ne cesse de se contracter, son papa regarde en salivant le petit trou qu'il va forer, sa bite encore gluante de sperme frétille d'impatience. Toujours tête bêche sur sa maman, Manon attend l'estacade anale. Mais avant de lui planter sa bite dans le cul, Luc dirige sa verge vers la bouche affamée de sa femme, qui gobe l'engin et se met à le téter comme une vorace. De longues minutes, elle savoure le gland épais au bord de l'explosion, avant de le libérer.

Luc place son mandrin contre la petite porte, Manon prend une grande aspiration et la bloque. Le papa s'accroche à ses hanches et pousse doucement. Manon grimace ouvre toute grande la bouche, l'engin de fort diamètre commence à ouvrir l'anus qui ne peut résister au monstre de chair qui s'avance doucement en lui.

Luc ne cesse de pousser, Manon, croit que son cul va se déchirer tellement la bite le dilate. Avec lenteur, le baobab de chair progresse dans le conduit très, très étroit. Manon souffle comme un dragon, sa maman voit l'engin d'enfoncer millimètre par millimètre dans le rectum de sa fille. Elle réussit, avec habilité, à donner quelques coups de langue sur l'engin avant qu'il ne disparaisse entièrement dans les entrailles fortement dilatées. Puis, elle plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante de sa fille et lui aspire le clito.

Luc se cambre pour laisser œuvrer sa femme, Manon geint de bonheur ou de douleur, nul ne le sait. Ses grognements sont ceux d'une bête blessée. Son papa commence un lent va-et-vient. À chaque fois qu'il ré enfonce sa verge dans le rectum de sa fille, elle pousse un gémissement en grimaçant. Pendant de longues minutes, le bougre de papa, lui laboure le cul avec sa grosse bite infatigable. Mais au fur et à mesure, la douleur s'estampe, et laisse la place au plaisir.

Manon agite doucement sa croupe, en geignant de bonheur. La bouche de sa maman lui fait beaucoup de bien. Son clito est devenu comme une grosse cerise, sa chatte suinte comme un fruit trop mûr. Léa avale la cyprine abondante que la chatte sécrète. Luc sait que c'est le bon moment, il accélère le rythme, ses coups de reins deviennent dévastateurs. À chaque enfoncement de son pal dans le cul de sa fille, ses couilles frappent violemment ses fesses. Léa, malheureusement, reçoit des coups de bas-ventre sur le haut de son crâne. Cela semble la stimuler, car elle s'acharne sur la boule de chair comme une affamée. Elle la mordille, l'étire le plus possible.

Manon, exprime son plaisir :

-Oh maman, maman, encore, encore, je vais te pisser dans la bouche, je ne peux pas me retenir. Papa mon Dieu comme tu m'éclates bien le cul, oh putain, je vais jouir. Elle se cabre comme un cheval qui rue, et pendant sa jouissance, un jet d'urine, mêlé à la cyprine, remplit la bouche de sa maman qui n'a pas d'autre choix que d'avaler. Luc donne des coups de pilon comme un sauvage, au bord de l'explosion, il est en plein délire, il dit inconsciemment :

-Tiens, tiens, salope, prend ça dans le cul sale pute, tu l'aimes ma bite hein salope !

Luc se cabre et remplit de sa semence le cul de sa fille qui jouit une seconde fois en grognant :

-Oui, oui, je suis une pute papa, ta pute, vas-y bourre-moi le cul encore, oh comme c'est bon, je veux encore jouir du cul maman, maman, aide-moi !

Léa reprend en bouche la boule de tous les plaisirs et la suce avec une telle voracité que sa fille défaille. Luc en profite pour reprendre l'enculage, mais avec plus de violence. Une jouissance terrible fait hurler Manon. Le papa enculeur retire sa verge. Manon se laisse tomber sur sa maman, qui est sous elle, le cul qui rejette le surplus de sperme. Léa ne peut s'empêcher de plaquer sa bouche sur l'orifice béant, et d'aspirer tout le liquide visqueux qu'elle peut.


La coquine de gave de semence, elle enfonce sa langue dans le conduit bien ouvert et le fouille en faisant gémir sa fille comme une malade. Une nouvelle jouissance, la terrasse. Elle semble agoniser, elle halète fortement, sa respiration est rapide, son souffle court, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Enfin, elle reprend peu à peu ses esprits. Sa maman la bascule pour pouvoir se dégager du corps qui à la longue devient lourd. Les deux femmes se regardent, leurs yeux brillent de mille feux. Léa dit à sa fille :

-Maintenant ma chérie, tu peux remercier ton papa, en lui faisant une bonne gâterie pipe !

Sans se faire prier, Manon saisit la bite de son papa et la décalotte, elle l'observe un moment avant de gober le gland. Bien qu'elle soit jeune, la coquine sait pratiquer la fellation. Son papa rugit comme un fauve et lui remplit la bouche de son sperme. La coquine avale sans rechigner la décharge abondante qui a manqué de l'étouffer.


Depuis ce jour, le trio s'adonne à des ébats monstrueux, l'inceste ne compte pas, ce qui compte, c'est le plaisir que les trois éprouvent dans l'immoralité totale.