La petite souris et Monsieur Matou s’envoient en l’air ! 1/2
Récit érotique écrit par A_MA POMME [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La petite souris et Monsieur Matou s’envoient en l’air ! 1/2
Le vol 69 à destination d’Auckland va bientôt décoller, veuillez vous
présenter à l’embarquement ! La voix de l’hôtesse raisonne dans tout
l’aéroport.
- Vite , vite !!! Nous allons être en retard !
- Mr et Mme Matou sont priés de se présenter au guichet immédiatement !
- Oui nous voilà !!! on arrive !!!
- Il est moins une ! dans trente secondes nous fermons les guichets ! , nous
informe une splendide hôtesse dans sa tenue de fonction sujet à de
nombreux fantasmes ! Petite jupe, chemisier ouvert laissant deviner des
atouts non négligeable, un jolie sourire et une voix tellement sensuelle que
l’on deviendrait ivre à boire ses paroles.
- Désolé, nous avons pris du retard et n’avons pas vu l’heure tourner.
Faut dire que la petite souris a encore les joues rougies par un plaisir
orgasmique pris avec son conjoint peu de temps avant dans un recoin des
toilettes de l’aéroport.
Très spacieux au demeurant, même si pas très sexy, cela reste encore
l’endroit le plus sûr pour ne pas être entendu avec le vacarme des roulettes
de valises, les appels au micro, et le brouhaha des touristes.
- Mr et Mme Matou vous être attendu en business class ! Bon voyage !
Nous dit l’hôtesse avec un large sourire et un petit clin d’oeil malicieux.
Sur le coup pourquoi autant d’amabilité charmante de la part de cette
jolie créature qui en ferait bander plus d’un ! Je compris plus tard…..
Deux fois douze heures de vol avec une escale à Los Angeles à l’aller
et Hong Kong au retour. Nous faisons le tour du monde en avion pour
notre voyage de noces avec un arrêt de trois semaines en Nouvelle-
Zélande, le pays au long nuage blanc avec ses traditions, le kiwi, les All
Blacks , ses paysages de rêves. Quel beau voyage offert par nos amis et
famille lors de notre mariage. Eh oui nous sommes mariés ! Qui a dit que
c’était impossible qu’un matou et une petite souris puisse se marier ?
Quelle belle fête avec un réveil difficile vers 5 heures du mat’ avec la
traditionnelle soupe à l’oignon que nos amis avaient préparé avec amour et
passion. Un sacré souvenir !… comme mon enterrement de vie de garçon
d’ailleurs…. !
C’était seulement deux jours avant notre mariage et il ne fallait pas
moins pour que je puisse me remettre de cette soirée mémorable.
Les filles d’un côté, les garçons de l’autre ! Seul les témoins savent où
nous sommes pour prévenir en cas de problème.
De mon côté, nous sommes partis dans un gîte à la campagne. Je fus un
peu surpris lorsque mes amis mon retiré mon bandeau après un trajet qui
m’a parut très long, car je m’attendais à quelque chose de plus urbain.
Mais la demeure est magnifique avec un très joli jardin pas fait pour me
déplaire et me rappeler un si doux et orgasmique souvenir…Un endroit
calme, à l’abri des regards indiscrets et permettant de faire du bruit en
toute quiétude. La soirée se présente sous les meilleurs hospices, bonnes
bouteilles, mets de choix, musique à tu-tête, bref , j’ai échappé au
déguisement stupide que l’on voit souvent en ville à demander à de jolies
filles, ou pas d’ailleurs, de me faire un bisou avec un énorme gode à la
main.
Lorsqu’au moment où je danse sur Daniella ! Oooh Daniella, mes
amis me saisissent et me font asseoir sur une chaise capitonnée, ils me
bandent les yeux et m’attachent les mains à l’arrière. En deux temps trois
mouvements je suis immobilisé , à la merci de n’importe quel jeu sadique.
Du coup Daniella est partie pour être remplacée par Lady Marmalade
chantée par cette sublime Christina.
Enfin un peu de piquant dans cette soirée, je ne suis pas au bout de mes
surprises….
Je sens instantanément l’atmosphère changer dans la pièce où nous
sommes. Je ne voyais rien avec mon bandeau mais j’entends mes
camarades de jeu chuchoter des mots qui me laisse entendre qu’une jolie
demoiselle allez s’occuper de moi.
Effectivement, sans la vue, les autres sens se développent et je suis à
l’écoute d’un mouvement autour de moi, et d’un parfum…. Une odeur
que j’ai déjà senti par le passé mais impossible de me rappeler. Une
fragrance à base de muguet que j’adore particulièrement et qui éveil en
moi mon odorat pas si développé habituellement.
Qui cela peut-il bien être ? Est-ce que je connais cette personne ?
Impossible de voir, impossible de toucher, j’étais au supplice, un agréable
supplice, un doux supplice, surtout lorsque la demoiselle commence à
s’asseoir dos à moi car je sens ses fesses se frotter sur mes jambes et
remonter plus haut afin de durcir mon envie de la prendre.
Douce sensation d’être à la merci d’une femme qui ne souhaite que
donner du plaisir à son compagnon de jeu.
Après un certain nombre de vas et vient, elle se retourne et s’assoit
face à moi, jambes écartées. Je ne bouge pas, j’entends mes camarades
rigoler car ils commencent à bien voir mes chaussettes, preuve de mon
désir grandissant qui a pour effet de remonter de plusieurs crans mon
pantalon.
Je sens qu’elle se rapproche de moi et prends ma tête pour la placer
entre ses seins. Elle est encore habillée mais son décolleté me permet de
sentir sa peau et le galbe d’une poitrine généreuse et tendue. La demoiselle
prend également du plaisir au regard de ses extrémités mammaires
tellement érigées que je peux les mordiller à travers la lingerie.
A ce moment là , je remercie dans ma tête mes camarades de me faire
vivre cette expérience avant mon mariage. Après tout, je ne fais rien de
mal ! J’ai les yeux bandés et les mains liées ! ….cela n’a pas duré….
La demoiselle me demande de fermer les yeux le temps qu’elle retire
le bandeau. Je m’exécute afin d’être au diapason de ses désirs, ce n’est pas
le moment de la contrarier.
Je sens le bandeau glisser doucement vers le haut de ma tête pour être
retiré complètement, j’ai toujours les yeux fermés et hésite même à les
ouvrir tellement mon imagination est en ébullition. Est-elle brune, blonde ,
rousse, son regard, son sourire, ses lèvres, ses formes !?
Elle m’invite à les ouvrir doucement et là !!!!….. je reconnais la jolie
serveuse du club libertin (cf Monsieur Matou se dévergonde) qui m’avait
tant fait d’effet. Des yeux de biche, une bouche tellement sensuelle et
charnue que m’imaginer la sentir s’occuper goulûment de ma verge
provoque en moi un émoi sans nom qui humidifie mon caleçon.
Elle se recule pour que je puisse encore mieux l’admirer, la regarder,
la désirer. Habillée en tenue d’hôtesse, elle est terriblement sexy. Je vois
également mes camarades sans voix et certainement jaloux de ne pas être à
ma place. Certains commencent même à se caresser...
C’est le début de son effeuillage.
Ces talons aiguilles claquent le sol, elle a une sacré démarche, très
féline et son déhanché de cul aimante mon regard.
A cela s’ajoute cette poitrine qui devait faire un agréable 95 C qu’elle
cache à peine sous une lingerie apparente et un chemisier de soie. Les deux
boutons du haut sont ouverts ainsi que deux du bas ce qui me permet à la
fois d’avoir une jolie vision de son décolleté mais également sur le
diamant accroché à son nombril.
A cela s’ajoute une mini-jupe qui ne demande qu’à être remontée et
des bas sombre avec de la dentelle et des motifs qui ont pour effet
d’allonger ses longues jambes de déesse.
Lorsqu’elle se retourne, sa petite jupe couvre à peine le porte jarretelles
noir qu’elle porte en dessous pour faire un ensemble qui suscite
le désir de tous les hommes normalement constitués.
Elle déambule dans la pièce comme un mannequin professionnel,
puis se positionne devant moi à moins d’un mètre. Dos à moi elle se
penche doucement en avant ce qui me laisse découvrir une partie de son
anatomie encore discrètement caché sous un textile des plus léger. Elle
écarte doucement les jambes comme pour me dire que je pouvais la
prendre et qu’elle attendais la visite de mon gourdin dans l’antre du plaisir.
Mais j’étais toujours attaché à cette chaise !!! et seul mes yeux pouvaient
touchaient du regard ce petit coin de paradis. Devant ce supplice de tantale
elle fait le tour de la chaise pour me libérer de mes attaches et se
repositionne devant moi, au plus près.
Ma main glisse le long des bas qui crissent légèrement et caresse les
attaches du porte-jarretelles, frôle son string avant de remonter vers son
chemisier pour lui arracher les derniers boutons attachés, son soutien-gorge
est à ma merci ainsi que ses seins sublimes qui frissonnent au
contact de mes doigts.
Quel grain de peau !, quelle douceur au toucher en passant le revers
de ma main caresser son ventre.
Au diable l’avarice ! Je n’y vais plus par quatre chemins, je passe ma main
sous son string pour ressentir son clitoris déjà bien gonflé. Elle me laisse
faire quelques instants et s’assoit sur moi à califourchon me faisant encore
plus bander.
Sa poitrine sous mes yeux je ne peux m’empêcher d’en agacer
légèrement les pointes. Elle garde son self-control, en vraie pro, pour finir
par se redresser devant moi.
Son chemisier retiré, elle fait glisser sa jupe minimaliste le long de
ses jambes pour la récupérer d’une main agile et la lancer dans
l’assistance, comme un bouquet de fleurs que l’on envoie aux demoiselles
d’honneur lors d’un mariage. Elle me fixe du regard, nous sommes une
vingtaine dans cette pièce de mâle en rûte près à bondir par l’excitation sur
leur proie mais pour elle, nous sommes que tous les deux.
A ce moment là mon sang avait déserté une partie de mon cerveau pour se
concentrer plus au sud !
Elle se rassoit sur moi, devant moi, pour moi, uniquement pour moi.
Je lui caresse son flan, pour descendre jusqu’à ses fesses qu’elle soulèvent
légèrement pour que mes mains puissent les prendre.
Je passe ma main entre son string et sa peau, j’entends sa respiration
changer comme si un plaisir ultime commence à monter. J’agrippe à pleine
main ses fesses et l’attire au plus près de moi pour qu’elle sente mon
érection déjà très visible.
De ces mains expertes elle descend la fermeture éclair de mon
pantalon, mon sexe est érigé devant elle à travers mon caleçon dont les
boutons avaient cédés sous la pression.
Elle m’embrasse dans le cou ce qui a pour effet de me faire
frissonner de plaisir et se relève à nouveau sans oublier de laisser traîner
un peu sa main sur ma queue en fusion.
Je l’attrape par le poignet, me lève, et l’invite à s’asseoir sur la
chaise. A moi de prendre la main pour quelques instants. Je m’agenouille
devant elle, lui écarte doucement les jambes , elle résiste un peu mais pas
longtemps. Je lui écarte le string et plonge ma langue directement sur sa
fente qui ne semble attendre que cela tellement elle est déjà très humide.
Ma jolie hôtesse ouvre largement ses compas pour m’accueillir, je me
délecte de se nectar, elle est délicieuse. Je met ses jambes sur mes épaules
pour lui lécher alternativement le clito puis l’anus pour son plus grand
plaisir, sa respiration est de plus en plus forte.
Quand soudain, alors qu’elle s’approche de plus en plus de l’orgasme, avec
une force insoupçonnable elle arrive à se libérer de mon étreinte pour se
lever à nouveau.
Je me rassoit et elle se trouve de nouveau face à moi. Elle fait un
demi-tour complet sur elle même, doucement, sensuellement, afin que je
puisse admirer encore et encore ce corps sublime offert à moi.
Elle pose son talon droit sur l’accoudoir, je répond à son invitation et
m’approche d’elle pour écarter de nouveau son string et lui butiner le
bourgeon mais cette fois j’utilise également mes doigts alors que son côté
elle commence à me branler en cadence.
Impossible pour moi de dire combien de temps cela à durer, je suis dans
une autre espace. Tout ce que je sais c’est que nous avons joui ensemble,
d’une force et d’une intensité que nous nous sommes aspergés
mutuellement.
-Mon chéri ! Mon chéri ! À quoi tu rêves encore tu n’arrêtes pas de gigoter
sur ton fauteuil. Nous allons bientôt arriver à la première escale.
Quelle bizarre sensation de se faire réveiller par sa femme après un
souvenir si torride mais cela m’a terriblement excité.
Vivement que nous reprenions l’avion après cette pause technique car j’ai
bien envi de m’envoyer en l’air avec ma dulcinée….
présenter à l’embarquement ! La voix de l’hôtesse raisonne dans tout
l’aéroport.
- Vite , vite !!! Nous allons être en retard !
- Mr et Mme Matou sont priés de se présenter au guichet immédiatement !
- Oui nous voilà !!! on arrive !!!
- Il est moins une ! dans trente secondes nous fermons les guichets ! , nous
informe une splendide hôtesse dans sa tenue de fonction sujet à de
nombreux fantasmes ! Petite jupe, chemisier ouvert laissant deviner des
atouts non négligeable, un jolie sourire et une voix tellement sensuelle que
l’on deviendrait ivre à boire ses paroles.
- Désolé, nous avons pris du retard et n’avons pas vu l’heure tourner.
Faut dire que la petite souris a encore les joues rougies par un plaisir
orgasmique pris avec son conjoint peu de temps avant dans un recoin des
toilettes de l’aéroport.
Très spacieux au demeurant, même si pas très sexy, cela reste encore
l’endroit le plus sûr pour ne pas être entendu avec le vacarme des roulettes
de valises, les appels au micro, et le brouhaha des touristes.
- Mr et Mme Matou vous être attendu en business class ! Bon voyage !
Nous dit l’hôtesse avec un large sourire et un petit clin d’oeil malicieux.
Sur le coup pourquoi autant d’amabilité charmante de la part de cette
jolie créature qui en ferait bander plus d’un ! Je compris plus tard…..
Deux fois douze heures de vol avec une escale à Los Angeles à l’aller
et Hong Kong au retour. Nous faisons le tour du monde en avion pour
notre voyage de noces avec un arrêt de trois semaines en Nouvelle-
Zélande, le pays au long nuage blanc avec ses traditions, le kiwi, les All
Blacks , ses paysages de rêves. Quel beau voyage offert par nos amis et
famille lors de notre mariage. Eh oui nous sommes mariés ! Qui a dit que
c’était impossible qu’un matou et une petite souris puisse se marier ?
Quelle belle fête avec un réveil difficile vers 5 heures du mat’ avec la
traditionnelle soupe à l’oignon que nos amis avaient préparé avec amour et
passion. Un sacré souvenir !… comme mon enterrement de vie de garçon
d’ailleurs…. !
C’était seulement deux jours avant notre mariage et il ne fallait pas
moins pour que je puisse me remettre de cette soirée mémorable.
Les filles d’un côté, les garçons de l’autre ! Seul les témoins savent où
nous sommes pour prévenir en cas de problème.
De mon côté, nous sommes partis dans un gîte à la campagne. Je fus un
peu surpris lorsque mes amis mon retiré mon bandeau après un trajet qui
m’a parut très long, car je m’attendais à quelque chose de plus urbain.
Mais la demeure est magnifique avec un très joli jardin pas fait pour me
déplaire et me rappeler un si doux et orgasmique souvenir…Un endroit
calme, à l’abri des regards indiscrets et permettant de faire du bruit en
toute quiétude. La soirée se présente sous les meilleurs hospices, bonnes
bouteilles, mets de choix, musique à tu-tête, bref , j’ai échappé au
déguisement stupide que l’on voit souvent en ville à demander à de jolies
filles, ou pas d’ailleurs, de me faire un bisou avec un énorme gode à la
main.
Lorsqu’au moment où je danse sur Daniella ! Oooh Daniella, mes
amis me saisissent et me font asseoir sur une chaise capitonnée, ils me
bandent les yeux et m’attachent les mains à l’arrière. En deux temps trois
mouvements je suis immobilisé , à la merci de n’importe quel jeu sadique.
Du coup Daniella est partie pour être remplacée par Lady Marmalade
chantée par cette sublime Christina.
Enfin un peu de piquant dans cette soirée, je ne suis pas au bout de mes
surprises….
Je sens instantanément l’atmosphère changer dans la pièce où nous
sommes. Je ne voyais rien avec mon bandeau mais j’entends mes
camarades de jeu chuchoter des mots qui me laisse entendre qu’une jolie
demoiselle allez s’occuper de moi.
Effectivement, sans la vue, les autres sens se développent et je suis à
l’écoute d’un mouvement autour de moi, et d’un parfum…. Une odeur
que j’ai déjà senti par le passé mais impossible de me rappeler. Une
fragrance à base de muguet que j’adore particulièrement et qui éveil en
moi mon odorat pas si développé habituellement.
Qui cela peut-il bien être ? Est-ce que je connais cette personne ?
Impossible de voir, impossible de toucher, j’étais au supplice, un agréable
supplice, un doux supplice, surtout lorsque la demoiselle commence à
s’asseoir dos à moi car je sens ses fesses se frotter sur mes jambes et
remonter plus haut afin de durcir mon envie de la prendre.
Douce sensation d’être à la merci d’une femme qui ne souhaite que
donner du plaisir à son compagnon de jeu.
Après un certain nombre de vas et vient, elle se retourne et s’assoit
face à moi, jambes écartées. Je ne bouge pas, j’entends mes camarades
rigoler car ils commencent à bien voir mes chaussettes, preuve de mon
désir grandissant qui a pour effet de remonter de plusieurs crans mon
pantalon.
Je sens qu’elle se rapproche de moi et prends ma tête pour la placer
entre ses seins. Elle est encore habillée mais son décolleté me permet de
sentir sa peau et le galbe d’une poitrine généreuse et tendue. La demoiselle
prend également du plaisir au regard de ses extrémités mammaires
tellement érigées que je peux les mordiller à travers la lingerie.
A ce moment là , je remercie dans ma tête mes camarades de me faire
vivre cette expérience avant mon mariage. Après tout, je ne fais rien de
mal ! J’ai les yeux bandés et les mains liées ! ….cela n’a pas duré….
La demoiselle me demande de fermer les yeux le temps qu’elle retire
le bandeau. Je m’exécute afin d’être au diapason de ses désirs, ce n’est pas
le moment de la contrarier.
Je sens le bandeau glisser doucement vers le haut de ma tête pour être
retiré complètement, j’ai toujours les yeux fermés et hésite même à les
ouvrir tellement mon imagination est en ébullition. Est-elle brune, blonde ,
rousse, son regard, son sourire, ses lèvres, ses formes !?
Elle m’invite à les ouvrir doucement et là !!!!….. je reconnais la jolie
serveuse du club libertin (cf Monsieur Matou se dévergonde) qui m’avait
tant fait d’effet. Des yeux de biche, une bouche tellement sensuelle et
charnue que m’imaginer la sentir s’occuper goulûment de ma verge
provoque en moi un émoi sans nom qui humidifie mon caleçon.
Elle se recule pour que je puisse encore mieux l’admirer, la regarder,
la désirer. Habillée en tenue d’hôtesse, elle est terriblement sexy. Je vois
également mes camarades sans voix et certainement jaloux de ne pas être à
ma place. Certains commencent même à se caresser...
C’est le début de son effeuillage.
Ces talons aiguilles claquent le sol, elle a une sacré démarche, très
féline et son déhanché de cul aimante mon regard.
A cela s’ajoute cette poitrine qui devait faire un agréable 95 C qu’elle
cache à peine sous une lingerie apparente et un chemisier de soie. Les deux
boutons du haut sont ouverts ainsi que deux du bas ce qui me permet à la
fois d’avoir une jolie vision de son décolleté mais également sur le
diamant accroché à son nombril.
A cela s’ajoute une mini-jupe qui ne demande qu’à être remontée et
des bas sombre avec de la dentelle et des motifs qui ont pour effet
d’allonger ses longues jambes de déesse.
Lorsqu’elle se retourne, sa petite jupe couvre à peine le porte jarretelles
noir qu’elle porte en dessous pour faire un ensemble qui suscite
le désir de tous les hommes normalement constitués.
Elle déambule dans la pièce comme un mannequin professionnel,
puis se positionne devant moi à moins d’un mètre. Dos à moi elle se
penche doucement en avant ce qui me laisse découvrir une partie de son
anatomie encore discrètement caché sous un textile des plus léger. Elle
écarte doucement les jambes comme pour me dire que je pouvais la
prendre et qu’elle attendais la visite de mon gourdin dans l’antre du plaisir.
Mais j’étais toujours attaché à cette chaise !!! et seul mes yeux pouvaient
touchaient du regard ce petit coin de paradis. Devant ce supplice de tantale
elle fait le tour de la chaise pour me libérer de mes attaches et se
repositionne devant moi, au plus près.
Ma main glisse le long des bas qui crissent légèrement et caresse les
attaches du porte-jarretelles, frôle son string avant de remonter vers son
chemisier pour lui arracher les derniers boutons attachés, son soutien-gorge
est à ma merci ainsi que ses seins sublimes qui frissonnent au
contact de mes doigts.
Quel grain de peau !, quelle douceur au toucher en passant le revers
de ma main caresser son ventre.
Au diable l’avarice ! Je n’y vais plus par quatre chemins, je passe ma main
sous son string pour ressentir son clitoris déjà bien gonflé. Elle me laisse
faire quelques instants et s’assoit sur moi à califourchon me faisant encore
plus bander.
Sa poitrine sous mes yeux je ne peux m’empêcher d’en agacer
légèrement les pointes. Elle garde son self-control, en vraie pro, pour finir
par se redresser devant moi.
Son chemisier retiré, elle fait glisser sa jupe minimaliste le long de
ses jambes pour la récupérer d’une main agile et la lancer dans
l’assistance, comme un bouquet de fleurs que l’on envoie aux demoiselles
d’honneur lors d’un mariage. Elle me fixe du regard, nous sommes une
vingtaine dans cette pièce de mâle en rûte près à bondir par l’excitation sur
leur proie mais pour elle, nous sommes que tous les deux.
A ce moment là mon sang avait déserté une partie de mon cerveau pour se
concentrer plus au sud !
Elle se rassoit sur moi, devant moi, pour moi, uniquement pour moi.
Je lui caresse son flan, pour descendre jusqu’à ses fesses qu’elle soulèvent
légèrement pour que mes mains puissent les prendre.
Je passe ma main entre son string et sa peau, j’entends sa respiration
changer comme si un plaisir ultime commence à monter. J’agrippe à pleine
main ses fesses et l’attire au plus près de moi pour qu’elle sente mon
érection déjà très visible.
De ces mains expertes elle descend la fermeture éclair de mon
pantalon, mon sexe est érigé devant elle à travers mon caleçon dont les
boutons avaient cédés sous la pression.
Elle m’embrasse dans le cou ce qui a pour effet de me faire
frissonner de plaisir et se relève à nouveau sans oublier de laisser traîner
un peu sa main sur ma queue en fusion.
Je l’attrape par le poignet, me lève, et l’invite à s’asseoir sur la
chaise. A moi de prendre la main pour quelques instants. Je m’agenouille
devant elle, lui écarte doucement les jambes , elle résiste un peu mais pas
longtemps. Je lui écarte le string et plonge ma langue directement sur sa
fente qui ne semble attendre que cela tellement elle est déjà très humide.
Ma jolie hôtesse ouvre largement ses compas pour m’accueillir, je me
délecte de se nectar, elle est délicieuse. Je met ses jambes sur mes épaules
pour lui lécher alternativement le clito puis l’anus pour son plus grand
plaisir, sa respiration est de plus en plus forte.
Quand soudain, alors qu’elle s’approche de plus en plus de l’orgasme, avec
une force insoupçonnable elle arrive à se libérer de mon étreinte pour se
lever à nouveau.
Je me rassoit et elle se trouve de nouveau face à moi. Elle fait un
demi-tour complet sur elle même, doucement, sensuellement, afin que je
puisse admirer encore et encore ce corps sublime offert à moi.
Elle pose son talon droit sur l’accoudoir, je répond à son invitation et
m’approche d’elle pour écarter de nouveau son string et lui butiner le
bourgeon mais cette fois j’utilise également mes doigts alors que son côté
elle commence à me branler en cadence.
Impossible pour moi de dire combien de temps cela à durer, je suis dans
une autre espace. Tout ce que je sais c’est que nous avons joui ensemble,
d’une force et d’une intensité que nous nous sommes aspergés
mutuellement.
-Mon chéri ! Mon chéri ! À quoi tu rêves encore tu n’arrêtes pas de gigoter
sur ton fauteuil. Nous allons bientôt arriver à la première escale.
Quelle bizarre sensation de se faire réveiller par sa femme après un
souvenir si torride mais cela m’a terriblement excité.
Vivement que nous reprenions l’avion après cette pause technique car j’ai
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