La petite souris et Monsieur Matou s’envoient en l’air ! 2/2
Récit érotique écrit par A_MA POMME [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La petite souris et Monsieur Matou s’envoient en l’air ! 2/2
Cette fois-ci pas de retard, la petite souris est moi sommes trop
impatient de reprendre le vol qui nous emmène vers notre destination de
rêve. Nous reprenons nos places et attendons avec fébrilité le décollage de
l’avion.
Sensation particulière de poussée au moment où l’avion s’arrache du
sol et nous montons à une vitesse vertigineuse vers notre route de
croisière.
Le dîner est servi peu de temps après le décollage et j’ai une faim de
loup !ayant dormi une bonne partie du temps lors de la première partie du
vol.
Cela m’a permis de revoir cette charmante hôtesse qui a eu la
délicatesse de me laisser me reposer auparavant. Très serviable et très
professionnelle, j’adore lorsqu’elle se penche devant moi pour servir ma
dulcinée qui est assise côté hublot.
Si je ne me retiens pas je glisserai bien ma main sous sa jupe avec ma
main gauche et palper ses seins avec la droite. Ma petite souris remarque le
manège est s’en amuse de connaître mon envie et par la même occasion
m’a retenue. Cela l’excite et le repas à peine terminé elle se lève de son
siège pour passer devant moi en tortillant du popotin. Elle se retourne et
me dit : Tu as intérêt à me suivre sinon je vais me faire le steward.
Ni une ni deux nous voilà renfermés dans des toilettes exigus ou
l’insonorisation avait oublié d’être installé tellement il y avait du vacarme.
Je pousse le loquet afin de verrouiller la porte est signaler à l’assistance
qu’ils sont occupés pour un moment.
Ma coquine ne perd pas une seconde, à peine rentrée elle relève sa
jupe au dessus de ses fesses nues sans textile… certainement oublié à
l’aéroport…
Elle baisse le couvercle des toilettes et s’agenouille dessus afin de bien
tendre sa croupe rebondie vers moi.
-Baise moi ! , pas de détours, vas-y direct, dit-elle en me regardant avec
des yeux et un regard me suppliant d’être prise comme une bonne salope
qu’elle aime être avec moi.
Je ne perd pas de temps à défaire mes boutons. La situation m’excite
tellement que ne fut mon soulagement de sortir mon gourdin tendu et le
libérer de cette prison.
Pas une seconde à perdre, sa chatte est déjà luisante de plaisir et j’y
pénètre sans difficultés d’un coup sec et profond qui lui fait déjà pousser
un premier cri de satisfaction jouissive.
Comme un bon soldat je la baise énergiquement comme demandé
avec de grands coups de reins. Une main sur la hanche et l’autre qui lui
tient les cheveux en la tirant légèrement vers l’arrière.
- Tu aimes que je te baise comme une bonne salope !
- Oui mon matou d’amour j’adore çà, sentir ta queue en moi et me dire des
mots cochons. Çà m’excite tellement ! Elle serre les dents pour ne pas
hurler tellement le plaisir est intense.
Sentir un bâton dur en elle est une obsession, un fantasme assouvi, un
désir profond, mais uniquement celui de son homme. Son obsession et ses
déviances sexuelles ne sont destinés qu’à son mari. Du moins c’est ce
qu’elle croyait…
Elle attends ce moment de prise brutale depuis le départ du vol.
L’interlude, dans l’aéroport avant le départ, n’avait eu comme effet
uniquement de la mettre sur l’orbite du plaisir mais n’avais pas assouvi
toutes ses envies par manque de temps.
Elle aurait bien voulue continuer durant la première partie du vol
mais Monsieur Matou s’était endormi rapidement.
Malgré tout, elle est excitée, et une envie de se caresser est plus forte
que tout. Ce qu’elle commence à faire, discrètement, en mettant une
couverture polaire sur elle et se tournant légèrement côté hublot afin de ne
pas éveiller quelques soupçons de voisins curieux. Pour autant, le client du
siège à l’arrière avait bien repéré le manège et voyait bien cette jolie
cliente se tortiller curieusement sur son siège et entendre sa respiration
évoluer progressivement. Assis derrière elle sur le côté, il est au première
loge ! Il était prêt à se lever pour voir la scène de plus prêt encore mais
l’hôtesse passe à se moment-là pour proposer une boisson et cela met fin à
ce moment de légèreté.
La petite souris , surprise et un peu gênée fit mine de chercher
quelque chose sous sa couverture pour en ressortir des écouteurs.
L’hôtesse, pas dupe, a bien compris ce qu’il se passe mais à préférer y
mettre fin en proposant une coupe de champagne à cette jeune
dévergondée qui, manifestement lui plaît également.
- Oui, prends moi fort !
Elle a enfin ce mâle qui l’a prend fermement et la réduit en l’état de
femelle soumise à son homme.
Il faut dire que je sais m’y prendre ayant les mêmes envies et
perversités que ma femme. Nous somme connectés , et ces moments de
sexe intense, virils voir brutales sont un défouloir pour nous deux et le
ciment de notre relation amoureuse. Heureusement accompagné également
de beaucoup d’instants tendres. Nous sommes au diapason et nous savons
parfaitement à quelle moment la douceur supplante la fougue et
inversement.
Elle ne fut pas longue à jouir, ce qui m’excite énormément, la voir se
comporter avec moi en vraie chienne et une preuve d’amour partagé et je
ne pu me retenir plus longtemps en remplissant de mon foutre cet antre du
plaisir ultime.
Pas encore rassasiée, elle continu à me ramoner la queue avec sa chatte en
chaleur. Elle tourne la tête vers moi avec un regard bestial et me dit :
-Je la veux dans mon cul maintenant.
Je sens bien effectivement que c’est le moment de passer par un
chemin plus étroit si je veux garder une certaine vigueur et ma chérie sais
parfaitement cela.
Ce que femme désire ! Je m ‘exécute et présente mon gland devant la porte
arrière. Pas de gel, pas de préparation, mais ma queue encore luisante de
mon sperme fera l’affaire pour rentrer. Ce que je fis sans difficultés
finalement tellement l’excitation de ma partenaire est importante, ce qui
me surpris sur l’instant mais pas le temps de réfléchir, il faut y aller !
Elle échappe un gémissement entre ses dents serrés tellement j’y vais
fort et mon gland glisse à l’intérieur de son cul et commence son travail de
vas et vient.
Ce n’est pas une sodomie ordinaire, un rapport anal forcé, mais je
l’encule purement et simplement. Sauvagement, bestialement, comme une
envie simple de se vider les couilles dans un bon cul de petite cochonne.
Tel ne fut ma satisfaction de l’entendre jouir de nouveau sans retenu
ni chi chi alors qu’elle se fait prendre comme une bête dans un rûte animal
des plus primaires.
Elle tourne la tête vers moi et je vois des larmes coulés sur ses joues
tellement elle jouit. Une répétition d’orgasme psychique, pas physique, des
orgasmes qui se jouent entre ses deux oreilles et non entre ses cuisses.
Devant tellement de plaisir donné je ne pu me retenir de nouveau et
sorti ma queue de cette orifice afin d’exprimer ma gratitude et mon amour
en lui déversant ce qu’il me reste de sirop de corps d’homme sur son
visage reconnaissant. Elle me sourit et me fait comprendre qu’elle aime ce
final en léchant mon gland du reste de sperme qui sort.
Nous prenons un peu de temps pour reprendre nos esprits et nettoyer
son visage. En sortant des toilette nous croisons notre hôtesse qui nous fait
un petit sourire en coin de celle qui a tout compris et me glisse un papier
dans la main. De retour à nos sièges, je déplie la missive et la montre à ma
chérie. Il était inscrit .
« Invitation pour vous deux à me rejoindre ce soir vers 22h chambre 117 à
l’hôtel de l’aéroport ».
L’amour appel l’amour et notre voyage de noces commence à merveille !
impatient de reprendre le vol qui nous emmène vers notre destination de
rêve. Nous reprenons nos places et attendons avec fébrilité le décollage de
l’avion.
Sensation particulière de poussée au moment où l’avion s’arrache du
sol et nous montons à une vitesse vertigineuse vers notre route de
croisière.
Le dîner est servi peu de temps après le décollage et j’ai une faim de
loup !ayant dormi une bonne partie du temps lors de la première partie du
vol.
Cela m’a permis de revoir cette charmante hôtesse qui a eu la
délicatesse de me laisser me reposer auparavant. Très serviable et très
professionnelle, j’adore lorsqu’elle se penche devant moi pour servir ma
dulcinée qui est assise côté hublot.
Si je ne me retiens pas je glisserai bien ma main sous sa jupe avec ma
main gauche et palper ses seins avec la droite. Ma petite souris remarque le
manège est s’en amuse de connaître mon envie et par la même occasion
m’a retenue. Cela l’excite et le repas à peine terminé elle se lève de son
siège pour passer devant moi en tortillant du popotin. Elle se retourne et
me dit : Tu as intérêt à me suivre sinon je vais me faire le steward.
Ni une ni deux nous voilà renfermés dans des toilettes exigus ou
l’insonorisation avait oublié d’être installé tellement il y avait du vacarme.
Je pousse le loquet afin de verrouiller la porte est signaler à l’assistance
qu’ils sont occupés pour un moment.
Ma coquine ne perd pas une seconde, à peine rentrée elle relève sa
jupe au dessus de ses fesses nues sans textile… certainement oublié à
l’aéroport…
Elle baisse le couvercle des toilettes et s’agenouille dessus afin de bien
tendre sa croupe rebondie vers moi.
-Baise moi ! , pas de détours, vas-y direct, dit-elle en me regardant avec
des yeux et un regard me suppliant d’être prise comme une bonne salope
qu’elle aime être avec moi.
Je ne perd pas de temps à défaire mes boutons. La situation m’excite
tellement que ne fut mon soulagement de sortir mon gourdin tendu et le
libérer de cette prison.
Pas une seconde à perdre, sa chatte est déjà luisante de plaisir et j’y
pénètre sans difficultés d’un coup sec et profond qui lui fait déjà pousser
un premier cri de satisfaction jouissive.
Comme un bon soldat je la baise énergiquement comme demandé
avec de grands coups de reins. Une main sur la hanche et l’autre qui lui
tient les cheveux en la tirant légèrement vers l’arrière.
- Tu aimes que je te baise comme une bonne salope !
- Oui mon matou d’amour j’adore çà, sentir ta queue en moi et me dire des
mots cochons. Çà m’excite tellement ! Elle serre les dents pour ne pas
hurler tellement le plaisir est intense.
Sentir un bâton dur en elle est une obsession, un fantasme assouvi, un
désir profond, mais uniquement celui de son homme. Son obsession et ses
déviances sexuelles ne sont destinés qu’à son mari. Du moins c’est ce
qu’elle croyait…
Elle attends ce moment de prise brutale depuis le départ du vol.
L’interlude, dans l’aéroport avant le départ, n’avait eu comme effet
uniquement de la mettre sur l’orbite du plaisir mais n’avais pas assouvi
toutes ses envies par manque de temps.
Elle aurait bien voulue continuer durant la première partie du vol
mais Monsieur Matou s’était endormi rapidement.
Malgré tout, elle est excitée, et une envie de se caresser est plus forte
que tout. Ce qu’elle commence à faire, discrètement, en mettant une
couverture polaire sur elle et se tournant légèrement côté hublot afin de ne
pas éveiller quelques soupçons de voisins curieux. Pour autant, le client du
siège à l’arrière avait bien repéré le manège et voyait bien cette jolie
cliente se tortiller curieusement sur son siège et entendre sa respiration
évoluer progressivement. Assis derrière elle sur le côté, il est au première
loge ! Il était prêt à se lever pour voir la scène de plus prêt encore mais
l’hôtesse passe à se moment-là pour proposer une boisson et cela met fin à
ce moment de légèreté.
La petite souris , surprise et un peu gênée fit mine de chercher
quelque chose sous sa couverture pour en ressortir des écouteurs.
L’hôtesse, pas dupe, a bien compris ce qu’il se passe mais à préférer y
mettre fin en proposant une coupe de champagne à cette jeune
dévergondée qui, manifestement lui plaît également.
- Oui, prends moi fort !
Elle a enfin ce mâle qui l’a prend fermement et la réduit en l’état de
femelle soumise à son homme.
Il faut dire que je sais m’y prendre ayant les mêmes envies et
perversités que ma femme. Nous somme connectés , et ces moments de
sexe intense, virils voir brutales sont un défouloir pour nous deux et le
ciment de notre relation amoureuse. Heureusement accompagné également
de beaucoup d’instants tendres. Nous sommes au diapason et nous savons
parfaitement à quelle moment la douceur supplante la fougue et
inversement.
Elle ne fut pas longue à jouir, ce qui m’excite énormément, la voir se
comporter avec moi en vraie chienne et une preuve d’amour partagé et je
ne pu me retenir plus longtemps en remplissant de mon foutre cet antre du
plaisir ultime.
Pas encore rassasiée, elle continu à me ramoner la queue avec sa chatte en
chaleur. Elle tourne la tête vers moi avec un regard bestial et me dit :
-Je la veux dans mon cul maintenant.
Je sens bien effectivement que c’est le moment de passer par un
chemin plus étroit si je veux garder une certaine vigueur et ma chérie sais
parfaitement cela.
Ce que femme désire ! Je m ‘exécute et présente mon gland devant la porte
arrière. Pas de gel, pas de préparation, mais ma queue encore luisante de
mon sperme fera l’affaire pour rentrer. Ce que je fis sans difficultés
finalement tellement l’excitation de ma partenaire est importante, ce qui
me surpris sur l’instant mais pas le temps de réfléchir, il faut y aller !
Elle échappe un gémissement entre ses dents serrés tellement j’y vais
fort et mon gland glisse à l’intérieur de son cul et commence son travail de
vas et vient.
Ce n’est pas une sodomie ordinaire, un rapport anal forcé, mais je
l’encule purement et simplement. Sauvagement, bestialement, comme une
envie simple de se vider les couilles dans un bon cul de petite cochonne.
Tel ne fut ma satisfaction de l’entendre jouir de nouveau sans retenu
ni chi chi alors qu’elle se fait prendre comme une bête dans un rûte animal
des plus primaires.
Elle tourne la tête vers moi et je vois des larmes coulés sur ses joues
tellement elle jouit. Une répétition d’orgasme psychique, pas physique, des
orgasmes qui se jouent entre ses deux oreilles et non entre ses cuisses.
Devant tellement de plaisir donné je ne pu me retenir de nouveau et
sorti ma queue de cette orifice afin d’exprimer ma gratitude et mon amour
en lui déversant ce qu’il me reste de sirop de corps d’homme sur son
visage reconnaissant. Elle me sourit et me fait comprendre qu’elle aime ce
final en léchant mon gland du reste de sperme qui sort.
Nous prenons un peu de temps pour reprendre nos esprits et nettoyer
son visage. En sortant des toilette nous croisons notre hôtesse qui nous fait
un petit sourire en coin de celle qui a tout compris et me glisse un papier
dans la main. De retour à nos sièges, je déplie la missive et la montre à ma
chérie. Il était inscrit .
« Invitation pour vous deux à me rejoindre ce soir vers 22h chambre 117 à
l’hôtel de l’aéroport ».
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