La petitte fleur
Récit érotique écrit par Lotrebord [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La petitte fleur
Mon excitation est à son comble, mon imagination galope et je ne cesse d’imaginer ce que sera demain. Être le jouet sexuel d’Hélène devient le seul but des jours à venir.
Resté seul à la maison, je passe mon temps nu. Après une douche, pour entretenir mon absence de poils , je commence à raser mon ventre , ma verge et mes testicules. J’utilise un blaireau et un savon à barbe mentholé. L’idée m’est venue de couvrir de mousse mon gland décalotté.
Une extraordinaire sensation de fraicheur me aussitôt fait bander. Je passe mon blaireau sur mon anus et j’ éprouve le même plaisir. Il faudra que je mette du gel à cet endroit avant de me faire prendre.
J’ai fais en sorte que mon corps reste lisse et doux à caresser. J’utilise un lait de beauté qui tout en me parfumant, me rend plus femme.
J’ enfile mon peignoir de bain pour attendre le retour d’Hélène.
Elle est arrivée plus tard que d’habitude, avec quelques paquets à la main. En me voyant dans cette tenue, elle ouvre mon peignoir, m'observe, me renifle et me caresse avant de me dire qu’elle passe par la salle de bain.
Surtout, tu ne touches pas à mes achats dit-elle et ranges ton peignoir, tu n’en as plus besoin ce soir.
Lorsqu'elle revient, après sa douche, elle ne porte qu'une chemise de soie. Elle prend le grand sac qui contient ses achats et le pose sur la table basse du salon.
Elle sort d’abord une boîte à chaussures et me présente une paire d'escarpins à hauts talons, noires, avec une boucle se fermant sur la cheville. C’est du 41 : ma pointure.
- Enfiles les dit-elle. Je m'assieds en face d’elle et elle me regarde attentivement ouvrir mes cuisses et croiser mes jambes pour attacher les chaussures.
- J’ai du mal à marcher.mais c’était agréable de devoir être cambré pour conserver mon équilibre. Je suis obligé de tendre mon ventre et par conséquent de cambrer mes reins, ce qui met mon fessier en valeur.
- Maintenant, tu vas ôter tes chaussures et passer ceci.
J’ouvre le second paquet qu'elle me tend et sorts un porte-jarretelles noir en dentelle ainsi qu’une paire de bas. C’est la première fois que je vais porter ces accessoires. Je commence par le porte-jarretelles qu’elle m’aide à régler puis j’enfile les bas et les fixe. Je remets les chaussures et marche vers le miroir de l’entrée pour d’admirer. C’est extraordinaire la sensation du nylon, de la dentelle sur la peau. Je me caresse le ventre, les seins, les fesses.
- Ouvres le dernier paquet
Il y a une nuisette de tulle, noire, courte.
- mets la.
J’obéis et marche dans le salon en me sentant devenir femme..
Mon vêtement s’arrête juste au dessus de mon sexe rasé et à chaque pas, le frôlement du tissus sur ma peau m’excite au maximum. Je bande.
Voilà ta tenue pour ce soir ma belle. Je vais faire des photos que je vais envoyer à Geneviève pour qu’elle vois à quoi tu ressembles maintenant. Ah, j’ai aussi pris un loup pour que tu puisses être exhibé sur Internet sans être reconnu. En attendant, sers nous le champagne et apprends à mettre tes fesses en valeur lorsque tu te déplaces. N'oublies jamais que tu dois tout faire pour plaire aux hommes.
Jamais je n’avais imaginé à quel point c’est excitant de ne porter que du nylon et de la dentelle. Ça me rend folle.
Je revins de la cuisine avec une bouteille de champagne et deux flûtes. Je cambre mes reins pour lui obéir. Elle m’attendait avec son appareil photo numérique.
J’ai pris toutes les poses qu’elle ordonnait, même les plus osées. Elle a mitraillé puis choisi celles qui lui plaisait le plus et a téléphoné à Geneviève pour lui dire : je t’envoie sur internet des photos d’Alain. Regardes ce que j’ai réussi à faire de lui.. Je devrais dire d’elle maintenant.
La réponse de Geneviève ne tarda pas.
- Je suis très impatiente d'être avec vous, de te faire l'amour devant lui. Je peux passer demain après midi ?
- Bien sur ma chérie. Je serai rentrée de bonne heure.Moi aussi j'ai tellement envie de toi mais si tu veux l'enculer avant, tu es libre.
Nous avons joui en nous masturbant. Comme Hélène était toute mouillée, je l’ai toiletté avec ma langue. Elle m’a fait jouir sur son ventre et m’a obligé à tout lécher. Elle a aussi étalé avec sa main le sperme sur mes lèvres et a fait des photos avant que je passe ma langue.
Nous avons ensuite consulté sur le net le catalogue d’un sexe shop et elle m’a choisi des gels pour faciliter la pénétration, un plug de taille moyenne, que je devrais conserver le plus longtemps possible dans le cul pour m’habituer à être défoncé et un godemiché très réaliste pour le lécher et prendre goût à la queue des mâles.
Nous avons aussi regardé des films homos pour que je sache comment m'y prendre pour être une vraie cochonne.
Vivement que Geneviève me baise demain. D’abord j’en ai très envie et ce sera l'ultime étape avant que je sois offert à des mâles.
Je suis prêt à tout accepter pour faire plaisir à Hélène.
Nous avons fini par nous endormir mais à chacun de mes réveils, j'imaginais ce qui m'attendrait.
Geneviève est arrivée, vers 16 heures, elle avait pris soin de téléphoner pour que je sois prêt immédiatement à lui appartenir et avait exigé que je l'accueille dans la même tenue que sur les photos envoyées hier par Hélène.
Elle a klaxonné et je suis venu lui ouvrir le portail en prenant soin de rester dissimulé au regard de la rue. Je refermais derrière sa voiture. Elle m’observa et sortant de la voiture, elle vint vers moi pour me dire:
- voilà ce que tu vas porter en plus et elle me fixa au cou un collier de chien en cuir noir et me tira avec une laisse. Tu mérites bien ça car tu es une chienne en chaleur. Promenons nous dans le jardin. Elle m'a peloté en m'affirmant que les hommes adore le faire avec les nanas qu'ils veulent baiser.
En restant dans les allées, pour ne pas abimer mes escarpins je la suivais. Elle se pencha sur un parterre et cueilli une petite pâquerette qui avait une longue tige.
- Ici, ordonna t'elle en tirant sur la laisse.
Elle saisit à pleine main mon sexe en érection et le décalotta puis elle introduisit la tige de la pâquerette dans ma queue. Elle la fit glisser pour qu’elle entre complètement. Seule la fleur apparaissait sur ma verge en érection.
- Restes comme ça maintenant. Je vais m'occuper de toi et tout à l'heure, tu te montreras comme ça devant Hélène et nous ferons l'amour devant toi. Ta femme m'appartient et j'ai le droit de lui faire tout ce qu'elle aime.
- Oui, elle est à toi et tu as le droit de la baiser comme bon te semble.
En me tirant par la laisse, elle me conduisait vers la maison.Dans le salon, elle s'écarta pour ouvrir son sac à main et me montra ce qu'il contenait : un magnifique godemiché à ceinture. Il y avait deux sexes collés l'un à l'autre par la base.
- Tu peux te caresser pendant que je m'équipe.
Elle se mit nue. Elle avait introduit le plus petit des deux pénis dans sa chatte et brandissait devant elle un magnifique sexe d'homme que je lorgnais avec envie. Elle se sangla. Elle détacha ma laisse, s’installa debout,cuisses ouvertes et m’ordonna de me mettre à genou devant elle.
- Bientôt, c'est le sexe d' un mâle bien monté qui tu prendras dans ta bouche. Il faut que tu t’appliques et que tu apprennes à bien le faire . Tu aimes ça ma belle, hein?
- Oui, j'aime ça.
Elle m’ordonne d’ouvrir la bouche et y enfile sa queue factice. Maintenant elle me tient par la tête pour m'obliger à aspirer son sexe. Elle m’oblige à dire que c’est bon, que j'aime ça. Alors, j’ai le droit de me relever. Elle m’installe, le ventre sur l'accoudoir du divan, la tête dans les cousins, les fesses en l’air, les jambes tendues puis me lubrifie avec de la vaseline. Maintenant, elle s'installe derrière mois , guide sa queue factice entre mes fesses et me tenant par les anches, elle me pénètre, d’abord doucement puis ses coups de reins vont en s’accélérant. Je sens son ventre contre mon postérieur, son souffle dans mon dos. Son sexe a totalement disparu entre mes fesses. Je jouis comme un fou et la petite fleur est toute mouillée.
Je me relève.et file vers la salle de bain. Je lave son pénis, mon cul et reviens dans le salon.
A son tour, elle occupe la salle de bain et revient sans son harnais.
Elle m'ordonne de reprendre une petite fleur pour remplacer la précédente et me demande si mon anus me fait mal. Oui, j'ai du mal à marcher ou m'asseoir et je sais qu'elle va s'en vanter auprès d'Hélène.
Resté seul à la maison, je passe mon temps nu. Après une douche, pour entretenir mon absence de poils , je commence à raser mon ventre , ma verge et mes testicules. J’utilise un blaireau et un savon à barbe mentholé. L’idée m’est venue de couvrir de mousse mon gland décalotté.
Une extraordinaire sensation de fraicheur me aussitôt fait bander. Je passe mon blaireau sur mon anus et j’ éprouve le même plaisir. Il faudra que je mette du gel à cet endroit avant de me faire prendre.
J’ai fais en sorte que mon corps reste lisse et doux à caresser. J’utilise un lait de beauté qui tout en me parfumant, me rend plus femme.
J’ enfile mon peignoir de bain pour attendre le retour d’Hélène.
Elle est arrivée plus tard que d’habitude, avec quelques paquets à la main. En me voyant dans cette tenue, elle ouvre mon peignoir, m'observe, me renifle et me caresse avant de me dire qu’elle passe par la salle de bain.
Surtout, tu ne touches pas à mes achats dit-elle et ranges ton peignoir, tu n’en as plus besoin ce soir.
Lorsqu'elle revient, après sa douche, elle ne porte qu'une chemise de soie. Elle prend le grand sac qui contient ses achats et le pose sur la table basse du salon.
Elle sort d’abord une boîte à chaussures et me présente une paire d'escarpins à hauts talons, noires, avec une boucle se fermant sur la cheville. C’est du 41 : ma pointure.
- Enfiles les dit-elle. Je m'assieds en face d’elle et elle me regarde attentivement ouvrir mes cuisses et croiser mes jambes pour attacher les chaussures.
- J’ai du mal à marcher.mais c’était agréable de devoir être cambré pour conserver mon équilibre. Je suis obligé de tendre mon ventre et par conséquent de cambrer mes reins, ce qui met mon fessier en valeur.
- Maintenant, tu vas ôter tes chaussures et passer ceci.
J’ouvre le second paquet qu'elle me tend et sorts un porte-jarretelles noir en dentelle ainsi qu’une paire de bas. C’est la première fois que je vais porter ces accessoires. Je commence par le porte-jarretelles qu’elle m’aide à régler puis j’enfile les bas et les fixe. Je remets les chaussures et marche vers le miroir de l’entrée pour d’admirer. C’est extraordinaire la sensation du nylon, de la dentelle sur la peau. Je me caresse le ventre, les seins, les fesses.
- Ouvres le dernier paquet
Il y a une nuisette de tulle, noire, courte.
- mets la.
J’obéis et marche dans le salon en me sentant devenir femme..
Mon vêtement s’arrête juste au dessus de mon sexe rasé et à chaque pas, le frôlement du tissus sur ma peau m’excite au maximum. Je bande.
Voilà ta tenue pour ce soir ma belle. Je vais faire des photos que je vais envoyer à Geneviève pour qu’elle vois à quoi tu ressembles maintenant. Ah, j’ai aussi pris un loup pour que tu puisses être exhibé sur Internet sans être reconnu. En attendant, sers nous le champagne et apprends à mettre tes fesses en valeur lorsque tu te déplaces. N'oublies jamais que tu dois tout faire pour plaire aux hommes.
Jamais je n’avais imaginé à quel point c’est excitant de ne porter que du nylon et de la dentelle. Ça me rend folle.
Je revins de la cuisine avec une bouteille de champagne et deux flûtes. Je cambre mes reins pour lui obéir. Elle m’attendait avec son appareil photo numérique.
J’ai pris toutes les poses qu’elle ordonnait, même les plus osées. Elle a mitraillé puis choisi celles qui lui plaisait le plus et a téléphoné à Geneviève pour lui dire : je t’envoie sur internet des photos d’Alain. Regardes ce que j’ai réussi à faire de lui.. Je devrais dire d’elle maintenant.
La réponse de Geneviève ne tarda pas.
- Je suis très impatiente d'être avec vous, de te faire l'amour devant lui. Je peux passer demain après midi ?
- Bien sur ma chérie. Je serai rentrée de bonne heure.Moi aussi j'ai tellement envie de toi mais si tu veux l'enculer avant, tu es libre.
Nous avons joui en nous masturbant. Comme Hélène était toute mouillée, je l’ai toiletté avec ma langue. Elle m’a fait jouir sur son ventre et m’a obligé à tout lécher. Elle a aussi étalé avec sa main le sperme sur mes lèvres et a fait des photos avant que je passe ma langue.
Nous avons ensuite consulté sur le net le catalogue d’un sexe shop et elle m’a choisi des gels pour faciliter la pénétration, un plug de taille moyenne, que je devrais conserver le plus longtemps possible dans le cul pour m’habituer à être défoncé et un godemiché très réaliste pour le lécher et prendre goût à la queue des mâles.
Nous avons aussi regardé des films homos pour que je sache comment m'y prendre pour être une vraie cochonne.
Vivement que Geneviève me baise demain. D’abord j’en ai très envie et ce sera l'ultime étape avant que je sois offert à des mâles.
Je suis prêt à tout accepter pour faire plaisir à Hélène.
Nous avons fini par nous endormir mais à chacun de mes réveils, j'imaginais ce qui m'attendrait.
Geneviève est arrivée, vers 16 heures, elle avait pris soin de téléphoner pour que je sois prêt immédiatement à lui appartenir et avait exigé que je l'accueille dans la même tenue que sur les photos envoyées hier par Hélène.
Elle a klaxonné et je suis venu lui ouvrir le portail en prenant soin de rester dissimulé au regard de la rue. Je refermais derrière sa voiture. Elle m’observa et sortant de la voiture, elle vint vers moi pour me dire:
- voilà ce que tu vas porter en plus et elle me fixa au cou un collier de chien en cuir noir et me tira avec une laisse. Tu mérites bien ça car tu es une chienne en chaleur. Promenons nous dans le jardin. Elle m'a peloté en m'affirmant que les hommes adore le faire avec les nanas qu'ils veulent baiser.
En restant dans les allées, pour ne pas abimer mes escarpins je la suivais. Elle se pencha sur un parterre et cueilli une petite pâquerette qui avait une longue tige.
- Ici, ordonna t'elle en tirant sur la laisse.
Elle saisit à pleine main mon sexe en érection et le décalotta puis elle introduisit la tige de la pâquerette dans ma queue. Elle la fit glisser pour qu’elle entre complètement. Seule la fleur apparaissait sur ma verge en érection.
- Restes comme ça maintenant. Je vais m'occuper de toi et tout à l'heure, tu te montreras comme ça devant Hélène et nous ferons l'amour devant toi. Ta femme m'appartient et j'ai le droit de lui faire tout ce qu'elle aime.
- Oui, elle est à toi et tu as le droit de la baiser comme bon te semble.
En me tirant par la laisse, elle me conduisait vers la maison.Dans le salon, elle s'écarta pour ouvrir son sac à main et me montra ce qu'il contenait : un magnifique godemiché à ceinture. Il y avait deux sexes collés l'un à l'autre par la base.
- Tu peux te caresser pendant que je m'équipe.
Elle se mit nue. Elle avait introduit le plus petit des deux pénis dans sa chatte et brandissait devant elle un magnifique sexe d'homme que je lorgnais avec envie. Elle se sangla. Elle détacha ma laisse, s’installa debout,cuisses ouvertes et m’ordonna de me mettre à genou devant elle.
- Bientôt, c'est le sexe d' un mâle bien monté qui tu prendras dans ta bouche. Il faut que tu t’appliques et que tu apprennes à bien le faire . Tu aimes ça ma belle, hein?
- Oui, j'aime ça.
Elle m’ordonne d’ouvrir la bouche et y enfile sa queue factice. Maintenant elle me tient par la tête pour m'obliger à aspirer son sexe. Elle m’oblige à dire que c’est bon, que j'aime ça. Alors, j’ai le droit de me relever. Elle m’installe, le ventre sur l'accoudoir du divan, la tête dans les cousins, les fesses en l’air, les jambes tendues puis me lubrifie avec de la vaseline. Maintenant, elle s'installe derrière mois , guide sa queue factice entre mes fesses et me tenant par les anches, elle me pénètre, d’abord doucement puis ses coups de reins vont en s’accélérant. Je sens son ventre contre mon postérieur, son souffle dans mon dos. Son sexe a totalement disparu entre mes fesses. Je jouis comme un fou et la petite fleur est toute mouillée.
Je me relève.et file vers la salle de bain. Je lave son pénis, mon cul et reviens dans le salon.
A son tour, elle occupe la salle de bain et revient sans son harnais.
Elle m'ordonne de reprendre une petite fleur pour remplacer la précédente et me demande si mon anus me fait mal. Oui, j'ai du mal à marcher ou m'asseoir et je sais qu'elle va s'en vanter auprès d'Hélène.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j adore, la suite ?
Merveilleuse histoire ,elle donne envie