La peur de ma vie...
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La peur de ma vie...
Petite aventure qui m’est arrivée cet été, quelques temps après mon escapade avec « Paulo » ( voir « sexual session »).
Je me promenais en vélo dans la très grande forêt situé pas très loin de chez moi. Je sors du bois et voit alors un couple de motards entrain de garer leur engin sur le parking de l’auberge. A peine les casques enlevés, ils sont déjà entrain de se dévorer la bouche. Ils sont jeunes, beaux, très amoureux. Les voilà partis, bras dessus dessous, se promener le long du chemin qui s’enfonce dans le bois. En les croisant, le gars m’adresse un sourire lumineux.
Ces deux là, aiment peut-être la nature, mais, à mon avis, ils ne sont pas venus que pour ça…Je décide de faire demi tour et de les suivre d’assez loin, en roulant le plus possible au ralenti. Après environ un kilomètre, les voilà qui quittent le chemin goudronné pour s’enfoncer dans un petit chemin de terre… Je me décide à les suivre, à pieds, en essayant de ne pas me faire repérer. Je cache mon vélo dans un fourré. Il et elle s’enfoncent de plus en plus dans le bois, s’arrêtant de plus en plus souvent pour s’embrasser à pleine bouche. A mon avis, ils savent où ils veulent aller car ils ne semblent pas chercher. Après un virage à angle droit, je les perds de vue. M… ! Des craquements de branches me font comprendre qu’ils ont quitté le chemin pour s’enfoncer au cœur du bois. Je les aperçois, là, à vingt mètres. Je crois même avoir capté là où ils veulent aller exactement. Une petite tache d’herbe, baignée de soleil. Bingo ! Je me trouve un poste d’observation à environ dix mètres, bien dissimulé par les feuillages. Au loin, on entend le vrombissement de tronçonneuses.
Ils s’allongent dans l’herbe épaisse, s’embrassent, se caressent lentement. Très vite, le gars fait passer le tee shirt de sa copine par dessus sa tête, pas de soutien gorge. Elle n’en a pas besoin. Deux petits seins fermes que son copain entreprend de malaxer doucement, de titiller les pointes du bout de ses lèvres. Sa copine en profite pour le délester de son short long de plage, faisant apparaitre un boxer blanc éblouissant, déjà bien déformé par sa tige qui gonfle sous ses lentes caresses. Il se défait rapidement de son tee shirt et fait glisser le short de sa copine. Elle aussi arbore un magnifique boxer blanc en coton. Tous les deux ont des corps superbes, baignés par les rayons du soleil. Cette fois, le mec bande tout à fait et sa bite a même tendance à déborder légèrement de son boxer. Une très belle pièce à mon avis. Ils se mettent en position de 69, sur le côté et commencent à se caresser les boxers avec leurs bouches. Leurs mains glissent sous les tissus, pour empoigner les fesses. Je vois la chevelure du mec, complètement enfouie dans l’entre jambes de sa copine, entrain d’onduler. Probablement qu’il lui lèche la chatte et lui titille le bouton. J’entends même la fille qui commence à gémir… Au loin, la tronçonneuse s’est tue. Elle a baissé légèrement l’avant du boxer de son copain et lui suce le bout du gland. Comme il est tourné de mon côté, je le vois parfaitement bien. En même temps, ils font glisser les boxers et s’en débarrassent. Tiens, ils sont complètement rasés tous les deux. Tant mieux ! Je verrai mieux ! Ils ont légèrement changé de position. Toujours en 69, mais la fille dessous et le gars à cheval sur elle. J’avais raison. Sa bite est…impressionnante ! Sa copine en avale à peine la moitié. Lui, se déchaine sur sa chatte, sur son clito. Elle se met à onduler du bassin et à gémir de plus en plus. Ca dure ainsi un sacré moment. Ces deux là, visiblement se connaissent bien et savent se donner un max de plaisir. Puis, le mec change de position. Il se met à genoux, le sexe dressé vers le ciel et attire doucement sa copine vers lui. Elle se place à califourchon sur sa bite et commence à s’empaler très très lentement. Le gars a basculé sa tête en arrière, les yeux fermés. Elle l’attire vers elle et lui dévore la bouche. Ca y est, elle est complètement enfoncée sur son dard énorme. Elle ne bouge plus. Ils se dévorent de baisers. Puis, lentement, très lentement, elle commence à se relever et à redescendre sur son pieu. Le mec a beaucoup de mal à garder le contrôle, je vois ses mains se crisper sur les touffes d’herbe…
C’est exactement à ce moment là que j’ai eu la peur de ma vie ! Brusquement, une main s’applique sur ma bouche, un corps se plaque contre le mien et une voix douce me chuchote à l’oreille :
« - N’aie pas peur ! Je ne te veux aucun mal…bien au contraire ! »
J’essaie de me retourner mais impossible. Il me tient fermement. Je vois alors sa main, à la peau mate foncée, de la sciure de bois sur le dos de la main et une manche de salopette verte. Je sens aussi nettement, contre ma raie, son sexe dressé et dur…Probablement un forestier, probablement un Arabe.
« -Ca t’excite, hein, de les voir comme ça ? Moi aussi ! Ils viennent presque tous les jours, mais c’est la première fois que je ne suis pas tout seul à les mater…
-Oui…Je les trouve très beaux !
-Je te demande juste de ne jamais te retourner, OK ?
-…OK ! »
Il a déjà glissé son autre main sous mon tee shirt et me caresse les abdos, jouant avec l’élastique de mon short.
« - Je peux enlever ma main, tu ne crieras pas ?
-Non, t’inquiète !
-Je sens qu’à toi aussi, ils font de l’effet ! » me chuchote-t-il en me caressant la bosse du short.
Du coup, je glisse mes mains vers l’arrière et commence à lui caresser la tige, à même la salopette.
« Whalla ! Vas y mec ! J’adore !! ».
Les deux amants viennent de changer de position, pour se mettre en position du missionnaire. La fille enlace la taille de son amant avec ses jambes croisées. On voit ainsi très bien la longue, très longue bite du mec s’enfoncer lentement et complètement dans le ventre de sa copine.
« -Sacré morceau, hein ?
-C’est clair ! Jamais vu un truc pareil !
- C’est ça qui me plait chez eux…La bite du mec ! »
Tout en chuchotant, il a zippé ses deux fermetures éclair et fait tomber sa salopette à ses pieds. Je le sens , complètement nu contre moi. Il me fait glisser le short. Je passe mon tee shirt par-dessus. Il se met à me caresser le devant du slip, tendu à mort. Trop bon ! Un beau spectacle sous les yeux et un inconnu câlin collé à moi ! J’attrape sa bite et la fait passer sous mon périnée. Ce qui me permet d’ apercevoir un beau morceau de chair brune.
« -Pas mal non plus ton engin !
-Merci ! »
Il a glissé ses mains sous mon slip et me caresse les couilles, la tige, le gland dégoulinant de mouille. J’adore ! Je prends sa main et accompagne ses caresses. J’en profite pour lui caresser le bout de sa bite de mon autre main. Je l’entends souffler. Je le branle lentement du bout des doigts. Son gland dégouline. J’attrape alors sa tige et la présente à ma rondelle, en appuyant un peu…
Devant nous, les deux amants continuent à se limer lentement. La fille s’est mise en levrette et son mec la trombonne de tout son long.
Je me penche un peu vers l’avant, écartant mes jambes, attendant mon bel ( ?) inconnu. Visiblement, il n’attendait que ça ! Je sens son gland luisant de mouille qui appuie, cherchant le passage. Il se recule un peu et me titille d’un doigt qu’il passe rapidement, puis bientôt deux. Il revient alors avec sa bite et force le passage facilement. Il s’arrête. Trop, trop bon. Doucement, sans faire de bruit, je me mets à quatre pattes, en levrette, offert…Il me pénètre aussitôt, presqu’entièrement mais sans brutalité, langoureusement. Nous voilà dans la même situation que ceux que l’on mate. Trop rigolo ! Lentement, puissamment, il commence à me limer. J’adore sentir la chaleur de son membre me labourer doucement le ventre. Les deux autres amants ont passé la vitesse supérieure. Maintenant, le gars pilonne sa copine à fond. Il a probablement décidé de conclure. Sa copine crie carrément .Trop beau ! Mon bel inconnu, lui aussi, accélère la cadence. Ses couilles claquent contre mon cul. J’espère que les deux amants ne l’entendent pas. A mon avis, ils sont trop centrés sur leur plaisir qui monte. Je me branle de plus en plus vite. Il a empoigné ma main et accompagne mon mouvement tout en me pilonnant de plus en plus vite. Tout à coup, je le sens se raidir et je sens un liquide chaud me remplir le ventre. Il a joui. Il ralentit et s’écroule sur mon dos, tout en continuant à me branler frénétiquement. Je ne tarde pas à jouir, moi aussi, dans sa main. Devant nous, la fille crie à tout rompre et ondule, parcourue de spasmes, en proie à un bel orgasme. Ca déclenche un cri rauque chez son amant qui jouit dans son ventre. Il retombe, complètement épuisé.
Wouaah ! Tous les quatre, on a presque pris notre pied en même temps. Trop bon !
« -Choukran, mon frère ! S’il te plait, ne te retourne pas avant trois minutes…Je file. Tu peux rester si tu veux, dans une demi heure, ils vont remettre ça ! »
Il m’embrasse dans le cou. J’aurais tant voulu l’embrasser, moi aussi. Il a déjà filé.
Je me nettoie comme je peux, me rhabille et m’éclipse sans bruit. A l’entrée du chemin, je retrouve mon vélo. Je reprends la route. C’est alors que j’entends à nouveau le bruit des tronçonneuses ; cette fois, ils sont plus près de la route, à environ 80 mètres. Ils sont quatre. Je distingue rapidement mon bel inconnu. C’est le seul Maghrébin. Il a baissé sa salopette jusqu’à sa taille, il porte des Ray Ban. Je me demande s’il se rend bien compte de l’effet qu’il peut faire sur ses copains de travail. Je roule lentement. Je le vois brandir sa tronçonneuse et lancer un coup d’accélérateur…comme un remerciement ?
Je n’ai pu m’empêcher d’en parler à Paulo. Il m’a dit qu’il aurait fait pareil…
Je me promenais en vélo dans la très grande forêt situé pas très loin de chez moi. Je sors du bois et voit alors un couple de motards entrain de garer leur engin sur le parking de l’auberge. A peine les casques enlevés, ils sont déjà entrain de se dévorer la bouche. Ils sont jeunes, beaux, très amoureux. Les voilà partis, bras dessus dessous, se promener le long du chemin qui s’enfonce dans le bois. En les croisant, le gars m’adresse un sourire lumineux.
Ces deux là, aiment peut-être la nature, mais, à mon avis, ils ne sont pas venus que pour ça…Je décide de faire demi tour et de les suivre d’assez loin, en roulant le plus possible au ralenti. Après environ un kilomètre, les voilà qui quittent le chemin goudronné pour s’enfoncer dans un petit chemin de terre… Je me décide à les suivre, à pieds, en essayant de ne pas me faire repérer. Je cache mon vélo dans un fourré. Il et elle s’enfoncent de plus en plus dans le bois, s’arrêtant de plus en plus souvent pour s’embrasser à pleine bouche. A mon avis, ils savent où ils veulent aller car ils ne semblent pas chercher. Après un virage à angle droit, je les perds de vue. M… ! Des craquements de branches me font comprendre qu’ils ont quitté le chemin pour s’enfoncer au cœur du bois. Je les aperçois, là, à vingt mètres. Je crois même avoir capté là où ils veulent aller exactement. Une petite tache d’herbe, baignée de soleil. Bingo ! Je me trouve un poste d’observation à environ dix mètres, bien dissimulé par les feuillages. Au loin, on entend le vrombissement de tronçonneuses.
Ils s’allongent dans l’herbe épaisse, s’embrassent, se caressent lentement. Très vite, le gars fait passer le tee shirt de sa copine par dessus sa tête, pas de soutien gorge. Elle n’en a pas besoin. Deux petits seins fermes que son copain entreprend de malaxer doucement, de titiller les pointes du bout de ses lèvres. Sa copine en profite pour le délester de son short long de plage, faisant apparaitre un boxer blanc éblouissant, déjà bien déformé par sa tige qui gonfle sous ses lentes caresses. Il se défait rapidement de son tee shirt et fait glisser le short de sa copine. Elle aussi arbore un magnifique boxer blanc en coton. Tous les deux ont des corps superbes, baignés par les rayons du soleil. Cette fois, le mec bande tout à fait et sa bite a même tendance à déborder légèrement de son boxer. Une très belle pièce à mon avis. Ils se mettent en position de 69, sur le côté et commencent à se caresser les boxers avec leurs bouches. Leurs mains glissent sous les tissus, pour empoigner les fesses. Je vois la chevelure du mec, complètement enfouie dans l’entre jambes de sa copine, entrain d’onduler. Probablement qu’il lui lèche la chatte et lui titille le bouton. J’entends même la fille qui commence à gémir… Au loin, la tronçonneuse s’est tue. Elle a baissé légèrement l’avant du boxer de son copain et lui suce le bout du gland. Comme il est tourné de mon côté, je le vois parfaitement bien. En même temps, ils font glisser les boxers et s’en débarrassent. Tiens, ils sont complètement rasés tous les deux. Tant mieux ! Je verrai mieux ! Ils ont légèrement changé de position. Toujours en 69, mais la fille dessous et le gars à cheval sur elle. J’avais raison. Sa bite est…impressionnante ! Sa copine en avale à peine la moitié. Lui, se déchaine sur sa chatte, sur son clito. Elle se met à onduler du bassin et à gémir de plus en plus. Ca dure ainsi un sacré moment. Ces deux là, visiblement se connaissent bien et savent se donner un max de plaisir. Puis, le mec change de position. Il se met à genoux, le sexe dressé vers le ciel et attire doucement sa copine vers lui. Elle se place à califourchon sur sa bite et commence à s’empaler très très lentement. Le gars a basculé sa tête en arrière, les yeux fermés. Elle l’attire vers elle et lui dévore la bouche. Ca y est, elle est complètement enfoncée sur son dard énorme. Elle ne bouge plus. Ils se dévorent de baisers. Puis, lentement, très lentement, elle commence à se relever et à redescendre sur son pieu. Le mec a beaucoup de mal à garder le contrôle, je vois ses mains se crisper sur les touffes d’herbe…
C’est exactement à ce moment là que j’ai eu la peur de ma vie ! Brusquement, une main s’applique sur ma bouche, un corps se plaque contre le mien et une voix douce me chuchote à l’oreille :
« - N’aie pas peur ! Je ne te veux aucun mal…bien au contraire ! »
J’essaie de me retourner mais impossible. Il me tient fermement. Je vois alors sa main, à la peau mate foncée, de la sciure de bois sur le dos de la main et une manche de salopette verte. Je sens aussi nettement, contre ma raie, son sexe dressé et dur…Probablement un forestier, probablement un Arabe.
« -Ca t’excite, hein, de les voir comme ça ? Moi aussi ! Ils viennent presque tous les jours, mais c’est la première fois que je ne suis pas tout seul à les mater…
-Oui…Je les trouve très beaux !
-Je te demande juste de ne jamais te retourner, OK ?
-…OK ! »
Il a déjà glissé son autre main sous mon tee shirt et me caresse les abdos, jouant avec l’élastique de mon short.
« - Je peux enlever ma main, tu ne crieras pas ?
-Non, t’inquiète !
-Je sens qu’à toi aussi, ils font de l’effet ! » me chuchote-t-il en me caressant la bosse du short.
Du coup, je glisse mes mains vers l’arrière et commence à lui caresser la tige, à même la salopette.
« Whalla ! Vas y mec ! J’adore !! ».
Les deux amants viennent de changer de position, pour se mettre en position du missionnaire. La fille enlace la taille de son amant avec ses jambes croisées. On voit ainsi très bien la longue, très longue bite du mec s’enfoncer lentement et complètement dans le ventre de sa copine.
« -Sacré morceau, hein ?
-C’est clair ! Jamais vu un truc pareil !
- C’est ça qui me plait chez eux…La bite du mec ! »
Tout en chuchotant, il a zippé ses deux fermetures éclair et fait tomber sa salopette à ses pieds. Je le sens , complètement nu contre moi. Il me fait glisser le short. Je passe mon tee shirt par-dessus. Il se met à me caresser le devant du slip, tendu à mort. Trop bon ! Un beau spectacle sous les yeux et un inconnu câlin collé à moi ! J’attrape sa bite et la fait passer sous mon périnée. Ce qui me permet d’ apercevoir un beau morceau de chair brune.
« -Pas mal non plus ton engin !
-Merci ! »
Il a glissé ses mains sous mon slip et me caresse les couilles, la tige, le gland dégoulinant de mouille. J’adore ! Je prends sa main et accompagne ses caresses. J’en profite pour lui caresser le bout de sa bite de mon autre main. Je l’entends souffler. Je le branle lentement du bout des doigts. Son gland dégouline. J’attrape alors sa tige et la présente à ma rondelle, en appuyant un peu…
Devant nous, les deux amants continuent à se limer lentement. La fille s’est mise en levrette et son mec la trombonne de tout son long.
Je me penche un peu vers l’avant, écartant mes jambes, attendant mon bel ( ?) inconnu. Visiblement, il n’attendait que ça ! Je sens son gland luisant de mouille qui appuie, cherchant le passage. Il se recule un peu et me titille d’un doigt qu’il passe rapidement, puis bientôt deux. Il revient alors avec sa bite et force le passage facilement. Il s’arrête. Trop, trop bon. Doucement, sans faire de bruit, je me mets à quatre pattes, en levrette, offert…Il me pénètre aussitôt, presqu’entièrement mais sans brutalité, langoureusement. Nous voilà dans la même situation que ceux que l’on mate. Trop rigolo ! Lentement, puissamment, il commence à me limer. J’adore sentir la chaleur de son membre me labourer doucement le ventre. Les deux autres amants ont passé la vitesse supérieure. Maintenant, le gars pilonne sa copine à fond. Il a probablement décidé de conclure. Sa copine crie carrément .Trop beau ! Mon bel inconnu, lui aussi, accélère la cadence. Ses couilles claquent contre mon cul. J’espère que les deux amants ne l’entendent pas. A mon avis, ils sont trop centrés sur leur plaisir qui monte. Je me branle de plus en plus vite. Il a empoigné ma main et accompagne mon mouvement tout en me pilonnant de plus en plus vite. Tout à coup, je le sens se raidir et je sens un liquide chaud me remplir le ventre. Il a joui. Il ralentit et s’écroule sur mon dos, tout en continuant à me branler frénétiquement. Je ne tarde pas à jouir, moi aussi, dans sa main. Devant nous, la fille crie à tout rompre et ondule, parcourue de spasmes, en proie à un bel orgasme. Ca déclenche un cri rauque chez son amant qui jouit dans son ventre. Il retombe, complètement épuisé.
Wouaah ! Tous les quatre, on a presque pris notre pied en même temps. Trop bon !
« -Choukran, mon frère ! S’il te plait, ne te retourne pas avant trois minutes…Je file. Tu peux rester si tu veux, dans une demi heure, ils vont remettre ça ! »
Il m’embrasse dans le cou. J’aurais tant voulu l’embrasser, moi aussi. Il a déjà filé.
Je me nettoie comme je peux, me rhabille et m’éclipse sans bruit. A l’entrée du chemin, je retrouve mon vélo. Je reprends la route. C’est alors que j’entends à nouveau le bruit des tronçonneuses ; cette fois, ils sont plus près de la route, à environ 80 mètres. Ils sont quatre. Je distingue rapidement mon bel inconnu. C’est le seul Maghrébin. Il a baissé sa salopette jusqu’à sa taille, il porte des Ray Ban. Je me demande s’il se rend bien compte de l’effet qu’il peut faire sur ses copains de travail. Je roule lentement. Je le vois brandir sa tronçonneuse et lancer un coup d’accélérateur…comme un remerciement ?
Je n’ai pu m’empêcher d’en parler à Paulo. Il m’a dit qu’il aurait fait pareil…
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