La Piscine 3
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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La Piscine 3
La Piscine 3
Magic Tonton
La même histoire, sous un autre angle.
Lucie avait littéralement bondi hors de la piscine en mode exploit olympique. Paniquée, elle voulait se mettre sous la protection approbatrice de tante Sally. Elle était nue, toute nue. Dévoilée, maintenant qu’elle n’était plus dans l’eau.
« Tante Sally, regarde ! …TANTE SALLYYYYY !!!!»
Un cri de détresse. Un appel au secours. Tonton Jo sortait de l’eau à son tour. Il était nu, complètement nu, lui aussi. Un fort beau garçon, très bien foutu. Mince, musclé et très poilu partout.
Tonton Jo avait saisi un grand essuie de bain et commençait à essuyer Julie, tout en ne cessant pas de la tripoter partout.
« Toton, t’as pas fini, dis, vicieux !… Tantine ! Regarde ce qu’il me fait, ce sadique… Dis quelque chose, tantine ! »
Tante Sally, assise sur un banc de jardin, en face d’eux, n’avait rien perdu du spectacle, derrière ses lunettes solaires.
« Allons, ne fais pas ta pimbêche, mon trésor… Tonton Jo ne fait que t’essuyer, ce n’est pas grave du tout, tu sais, mon ange… »
« Ah bon, il peut me faire tout ça ? Tu n’es pas fâchée ? »
« Mais non, ma princesse, tu es ravissante, comme ça, toute nue… et je suis sûre tu aimes quand tonton Jo te caresse partout si gentiment ? »
« Euh… Oui… tantine. »
Tante Sally s’était levée. Elle s’approcha de son mari et de sa nièce.
« Regarde, mon cœur, ce qui arrive aux hommes quand ils sortent de l’eau froide… leur zizi devient riquiqui ! »
Lucie évitait soigneusement de porter son regard vers cet endroit de son tonton, mais puisque tante Sally l’y invitait, elle se permit de reluquer en catimini. Mais elle ne pût s’empêcher de pouffer de rire tout en portant la main devant la bouche.
Elle avait peut-être eu tort de se gausser de l’état minusculoïde du sexe de tonton.
Tante Sally s’empara de sa main et la posa d’autorité sur le sexe de tonton Jo, en lui imprimant un lent mouvement de va-et-vient, de haut en bas et de bas en haut, sans se soucier de la faible résistance opposée par leur nièce.
« Tu vas voir, trésor, tu as un vrai pouvoir de guérisseuse… comme avec ton petit ami ! »
« Mais… je n’ai pas de petit ami, tantine ! »
« Toi, tu tiens bien de ta mère, ma pauvre enfant ! Mais c’est pas grave, continue comme tu es occupée. » se lamente tante Sally. Tout-à-coup, son visage s’illumine et elle s’exclame :
« Regarde, mignonne, le miracle a encore eu lieu ! Tu es une vraie magicienne ! »
Effectivement sous l’action lente et répétée de la main de Lucie, le petit riquiqui zizi rabougri de tonton Jo se transforme peu à peu en un fier et splendide pieu majestueux, défiant à la fois les lois de la pesanteur et celles, plus coercitives de la morale et autres lois religieuses.
Ce féérique spectacle fait naître un large sourire de satisfaction et de soulagement sur le visage rayonnant de Tante Sally qui se permet un léger effleurement de la paume sur la main très active de sa nièce, en guise d’encouragement à persévérer.
Lucie rougit à nouveau et ferme à moitié les yeux, émue par cette soudaine et inattendue apparition de la verge au milieu de tous ces poils.
« Voilà. Maintenant que tu en es responsable, agenouille-toi et embrasse la chose. »
« Ça veut dire quoi, embrasse la chose, tantine ? »
« Mais embrasse la bite de tonton Jo, bordel ! »
« Mais comment on fait ça, tantine, embrasser la bite de tonton ? »
« Pauvre sotte, on dirait ta mère, décidément !… Tu ne sais pas embrasser ? Tu n’as jamais embrasser un garçon …ou une fille ? »
« Non, tantine, juste des petits bisous… en cachette de maman ! »
« Oh, pauvrette ! Regarde je vais te montrer. Ou bien, tu ouvres la bouche très grande, tu passes la langue et tu lèches… comme ceci ! »
« Ou bien ?… » s’enquiert Lucie, avide de s’instruire sur cette nouvelle matière.
« Ou bien, tu ouvres encore plus grande la bouche, tu aplatis bien la langue et tu aspires et puis tu suces ! Je vais faire avec tonton, puis je te laisse essayer avec tonton. Okay, princesse ? »
« Okay, tantine, montre… »
Tante Sally s’applique d’abord sur l’orgueilleux membre de son mari puis embrasse ce dernier sur la bouche en exhibant les langues au maximum pour que Julie profite pleinement de cette amoureuse démonstration.
« Bon, pour être à votre aise, tous les deux, tonton va s’assoir sur ce banc et toi, Lucie, tu vas t’assoir sur ses genoux et bien faire tout ce qu’il te demande, n’est-ce pas, chérie ? »
« Et toi, tantine ? »
« Moi, je vous laisse et je monte me reposer… mais avant, viens près de moi, chérie, pour un petit câlin particulier, si tu veux bien… »
Pendant que tonton, la bite bien raide, va s’assoir sur le banc, Julie, qui ne songe pas à lui refuser quoi que ce soit, se laisse prendre dans les bras de tante Sally. Quand cette dernière glisse sa main entre ses cuisses, elle écarte docilement les jambes.
« Vierge, diagnostique-t-elle, comme sa mère à cet âge… mais mouillée et excitée comme moi, au même âge ! Je vous laisse. Fais tout ce qu’il te dit, hein, princesse adorée… »
Tante Sally regagne sa chambre dans le plus grand calme. La fenêtre y est ouverte.
De nouveau rougissante, Lucie s’installe, toute nue, sur les genoux de son tonton, tout nu, lui aussi.
Tonton lui caresse les seins.
« Tu as les mêmes nichons que ta mère, princesse… »
« Comment tu le sais ? »
« Secret Défense, princesse adorée, mais j’ai beaucoup d’autres choses à t’expliquer. »
Important épilogue.
En me relisant, je me suis rendu compte avec horreur que j’avais omis de préciser l’âge des personnages. Il est évident qu’ils ont TOUS bien plus que l’âge requis dans votre pays et dans le mien et qu’ils agissaient de leur plein gré sans aucune pression extérieure.
D’autre part, aucun animal n’a été ni blessé, ni injurié, durant toute la durée de ce récit.
Enfin, et c’est le plus important, le peu de déplacement des personnages à grandement contribué au respect absolu de la neutralité carbone.
Je termine en réitérant mon allégeance définitive au serment d’Hypocrite.
Bien à vous malgré tout.
Magic Tonton
La même histoire, sous un autre angle.
Lucie avait littéralement bondi hors de la piscine en mode exploit olympique. Paniquée, elle voulait se mettre sous la protection approbatrice de tante Sally. Elle était nue, toute nue. Dévoilée, maintenant qu’elle n’était plus dans l’eau.
« Tante Sally, regarde ! …TANTE SALLYYYYY !!!!»
Un cri de détresse. Un appel au secours. Tonton Jo sortait de l’eau à son tour. Il était nu, complètement nu, lui aussi. Un fort beau garçon, très bien foutu. Mince, musclé et très poilu partout.
Tonton Jo avait saisi un grand essuie de bain et commençait à essuyer Julie, tout en ne cessant pas de la tripoter partout.
« Toton, t’as pas fini, dis, vicieux !… Tantine ! Regarde ce qu’il me fait, ce sadique… Dis quelque chose, tantine ! »
Tante Sally, assise sur un banc de jardin, en face d’eux, n’avait rien perdu du spectacle, derrière ses lunettes solaires.
« Allons, ne fais pas ta pimbêche, mon trésor… Tonton Jo ne fait que t’essuyer, ce n’est pas grave du tout, tu sais, mon ange… »
« Ah bon, il peut me faire tout ça ? Tu n’es pas fâchée ? »
« Mais non, ma princesse, tu es ravissante, comme ça, toute nue… et je suis sûre tu aimes quand tonton Jo te caresse partout si gentiment ? »
« Euh… Oui… tantine. »
Tante Sally s’était levée. Elle s’approcha de son mari et de sa nièce.
« Regarde, mon cœur, ce qui arrive aux hommes quand ils sortent de l’eau froide… leur zizi devient riquiqui ! »
Lucie évitait soigneusement de porter son regard vers cet endroit de son tonton, mais puisque tante Sally l’y invitait, elle se permit de reluquer en catimini. Mais elle ne pût s’empêcher de pouffer de rire tout en portant la main devant la bouche.
Elle avait peut-être eu tort de se gausser de l’état minusculoïde du sexe de tonton.
Tante Sally s’empara de sa main et la posa d’autorité sur le sexe de tonton Jo, en lui imprimant un lent mouvement de va-et-vient, de haut en bas et de bas en haut, sans se soucier de la faible résistance opposée par leur nièce.
« Tu vas voir, trésor, tu as un vrai pouvoir de guérisseuse… comme avec ton petit ami ! »
« Mais… je n’ai pas de petit ami, tantine ! »
« Toi, tu tiens bien de ta mère, ma pauvre enfant ! Mais c’est pas grave, continue comme tu es occupée. » se lamente tante Sally. Tout-à-coup, son visage s’illumine et elle s’exclame :
« Regarde, mignonne, le miracle a encore eu lieu ! Tu es une vraie magicienne ! »
Effectivement sous l’action lente et répétée de la main de Lucie, le petit riquiqui zizi rabougri de tonton Jo se transforme peu à peu en un fier et splendide pieu majestueux, défiant à la fois les lois de la pesanteur et celles, plus coercitives de la morale et autres lois religieuses.
Ce féérique spectacle fait naître un large sourire de satisfaction et de soulagement sur le visage rayonnant de Tante Sally qui se permet un léger effleurement de la paume sur la main très active de sa nièce, en guise d’encouragement à persévérer.
Lucie rougit à nouveau et ferme à moitié les yeux, émue par cette soudaine et inattendue apparition de la verge au milieu de tous ces poils.
« Voilà. Maintenant que tu en es responsable, agenouille-toi et embrasse la chose. »
« Ça veut dire quoi, embrasse la chose, tantine ? »
« Mais embrasse la bite de tonton Jo, bordel ! »
« Mais comment on fait ça, tantine, embrasser la bite de tonton ? »
« Pauvre sotte, on dirait ta mère, décidément !… Tu ne sais pas embrasser ? Tu n’as jamais embrasser un garçon …ou une fille ? »
« Non, tantine, juste des petits bisous… en cachette de maman ! »
« Oh, pauvrette ! Regarde je vais te montrer. Ou bien, tu ouvres la bouche très grande, tu passes la langue et tu lèches… comme ceci ! »
« Ou bien ?… » s’enquiert Lucie, avide de s’instruire sur cette nouvelle matière.
« Ou bien, tu ouvres encore plus grande la bouche, tu aplatis bien la langue et tu aspires et puis tu suces ! Je vais faire avec tonton, puis je te laisse essayer avec tonton. Okay, princesse ? »
« Okay, tantine, montre… »
Tante Sally s’applique d’abord sur l’orgueilleux membre de son mari puis embrasse ce dernier sur la bouche en exhibant les langues au maximum pour que Julie profite pleinement de cette amoureuse démonstration.
« Bon, pour être à votre aise, tous les deux, tonton va s’assoir sur ce banc et toi, Lucie, tu vas t’assoir sur ses genoux et bien faire tout ce qu’il te demande, n’est-ce pas, chérie ? »
« Et toi, tantine ? »
« Moi, je vous laisse et je monte me reposer… mais avant, viens près de moi, chérie, pour un petit câlin particulier, si tu veux bien… »
Pendant que tonton, la bite bien raide, va s’assoir sur le banc, Julie, qui ne songe pas à lui refuser quoi que ce soit, se laisse prendre dans les bras de tante Sally. Quand cette dernière glisse sa main entre ses cuisses, elle écarte docilement les jambes.
« Vierge, diagnostique-t-elle, comme sa mère à cet âge… mais mouillée et excitée comme moi, au même âge ! Je vous laisse. Fais tout ce qu’il te dit, hein, princesse adorée… »
Tante Sally regagne sa chambre dans le plus grand calme. La fenêtre y est ouverte.
De nouveau rougissante, Lucie s’installe, toute nue, sur les genoux de son tonton, tout nu, lui aussi.
Tonton lui caresse les seins.
« Tu as les mêmes nichons que ta mère, princesse… »
« Comment tu le sais ? »
« Secret Défense, princesse adorée, mais j’ai beaucoup d’autres choses à t’expliquer. »
Important épilogue.
En me relisant, je me suis rendu compte avec horreur que j’avais omis de préciser l’âge des personnages. Il est évident qu’ils ont TOUS bien plus que l’âge requis dans votre pays et dans le mien et qu’ils agissaient de leur plein gré sans aucune pression extérieure.
D’autre part, aucun animal n’a été ni blessé, ni injurié, durant toute la durée de ce récit.
Enfin, et c’est le plus important, le peu de déplacement des personnages à grandement contribué au respect absolu de la neutralité carbone.
Je termine en réitérant mon allégeance définitive au serment d’Hypocrite.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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voilà, j'ai vérifié : "une adorable petite chatte 6" est la suite de la "4" !... c'est une petite erreur de numérotation
Je vais chercher « adorable petite chatte 5 » mais c’est déjà ancien
SALUT TU A PAS DE ADORABLE PETITE CHATTE 5 SA SAUTE DE 4 A 6