La Piscine - histoire érotique

Amusée, Tante Sally regardait tonton Jo, son mari, jouer avec leur nièce Lucie dans leur piscine, au milieu du jardin.
Tout-à-coup, un grand cri : « Aaah non, pas ça, tonton ! Regarde, tantine, tonton m’a retiré le haut de mon bikini, engueule-le, je t’en prie et dis-lui de me le rendre ».
Mais le top du bikini de Lucie se balançait maintenant à une haute branche d’un arbre du jardin.
« Regarde, tantine, ce qu’il a fait ! »
« Chérie, il ne fallait pas le provoquer… et d’ailleurs, je me demande ce qu’il attend pour t’enlever le reste ! »
« Tantine !!!!! »
Oncle Jo n’attendait que ça. Oncle Jo et Lucie disparurent dans un bouillonnement au fond de la piscine.
Quelques courts instants après seulement, la culotte du bikini de la jeune fille atterrissait sur un buisson.
« Glup… tantine…glup ! 
« Oui, chérie ? »
« Mais… mais… je voudrais sortir de l’eau, tonton m’a fait boire la tasse… »
« Le vilain ! qu’est-ce que tu attends pour sortir de l’eau ?
« Mais… tantine, je suis toute nue, maintenant ! »
« Oh, ce n’est que ça ! Eh bien, le vilain tonton n’a qu’à aussi enlever son maillot… Comme ça vous serez nus tous les deux ! Tonton, tu as entendu ? qu’est-ce que tu attends ? »
Tonton Jo disparait un court instant dans la piscine et réapparait très vite, ridiculement coiffé de son maillot sur la tête. En hurlant comme une possédée, Lucie atteint le bord de la piscine en un temps record olympique.
« TANTINE !!!!!!!  Tonton est tout nu !!!»
Lucie est hors de l’eau en un éclair. Mais à ses côtés, se retrouve presqu’aussitôt, debout, tonton Jo qui lance son maillot au loin, en vrai sportif.
Loin de s’offusquer du spectacle, Tante Sally éclate d’abord de rire, puis admire posément sa nièce.
« Tu es très mignonne, comme ça, tu sais ! Tu as une magnifique poitrine comme ta maman et comme moi ! Et toi, comment trouves-tu tonton Jo ? Il n’est pas trop mal non plus, hein ? Regarde un peu comme il est resté mince et musclé… et poilu aussi ! ça, c’est un homme, tu ne trouves pas ? »
Sa nièce baisse la tête, mais regarde sur le côté. Elle voit la petite queue, à moitié redressée, de son tonton et rougit un bon coup.
Tante Sally a suivi son regard.
« Oh, ne t’en fais pas, ma chérie ! Quand les hommes sortent de l’eau froide, c’est toujours comme ça, leur machin semble toujours ridiculement petit. Tu n’avais jamais remarqué ? »
« Non. »
« Tu en as déjà vu… autrement ? »
« Non… pas vraiment ! »
« Comment ça, pas vraiment ? »
« Ben… jamais en vrai ! Seulement des reproductions… ou des photos… »
« C’est tout ? Vraiment tout ? Tu n’as jamais vu de vrais zizis de garçons ? A ton âge ? »
Lucie, cette fois, est rouge pivoine.
« Ben, euh… parfois en vidéo, sur le téléphone, envoyé par des copines… mais j’efface tout, tu sais, tantine ! »
« Tu n’as jamais touché un zizi de garçon, en vrai ? Tu n’as jamais branlé un garçon ? Tu n’as jamais fait ça…? Tu es vierge ? Tu n’as jamais baisé ? Et bien, il est temps de t’y mettre ! »
« Qu’est-ce que tu dis ?
Elle est rouge pivoine, les yeux révulsés.
« Note que ta mère non plus, n’était pas très délurée, à ton âge. Allez, voici deux grands essuies et vous allez vous essuyer mutuellement tous les deux, et avec soin, s’il-vous-plait. »
Voilà. « Alea jacta est ». Tante Sally paraissait calme, comme une statue, et sûre d’elle. En réalité, elle entrait en transe et ne se dominait plus qu’en apparence. Elle était sur le point de réaliser son fantasme absolu.
Partager son mari. Intérieurement, le feu la dévorait. Elle donnait calmement des ordres mais bouillait à l’intérieur d’elle-même. Comme une violente et irrépressible éruption volcanique qui entrait en activité.
Elle donnait des ordres. Sa nièce et son mari les exécutaient. Lucie branlait doucement son oncle en criant : « Mais qu’est-ce que c’est que ça ? » « Suce, ma chérie… » lui répondait doucement tante Sally « et caresse-lui les couilles en douceur… » et comme la chose la plus naturelle du monde, qu’elle aurait toujours faite, Lucie ouvrait grand la bouche et léchait soigneusement le gland avant d’engloutir le plus qu’elle pouvait l’énorme bite de son oncle. De ses deux mains elle caressait tendrement les couilles de son oncle. Tantôt elle va les serrer et les tordre, quand son oncle l’exigera.
Délicatement, tante Sally inspecta l’entrée de la mimi de Lucie. Elle était onctueusement mouillée, mais vierge. Tante Sally se leva et dit : « Mon trésor, fais plaisir à ton oncle et fais tout ce qu’il te demande, tu veux bien ? Moi je vais dans ma chambre. A tantôt. N’aie pas peur ! »
Sa nièce allait bientôt, entre autres choses, se faire défoncer, au bord de la piscine. Elle montait dans sa chambre pour se masturber et jouir en fantasmant sur son mari qui baise une jeune fille au bord de la piscine.

Une suite ? Peut-être…