La piscine, la suite du rendez-vous coquin
Récit érotique écrit par Chriscoquin35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La piscine, la suite du rendez-vous coquin
Une douce odeur de café parvint à mes narines lorsque je m'éveillai. Il me fallût quelques secondes avant de rassembler mes esprits et comprendre ce que je faisais dans cet endroit qui ne m'était pas familier. J'effectuai un mouvement circulaire de la tête pour examiner le décor très raffiné et cocoon de cette chambre à coucher. Venant d'en bas, j'entendais la musique douce et planante "À bouche que veux tu" du groupe Brigitte. Cela me fit sourire car je savais que ce duo était constitué d'une Aurélie et d'une... Sylvie ! Tiens, tiens, tiens... J'entendais également le doux claquement de talons féminins. J'adorais ce bruit et cela me ramena aux événements délicieux de la veille avec la rencontre de Sylvie et aux joutes sexuelles fougueuses qui s'étaient prolongées jusqu'à une heure avancée de la nuit. Cette femme était insatiable et ce n'était pas pour me déplaire. Je caressai les draps froissés du grand lit et décidai de me lever pour aller partager le petit-déjeuner que la belle était manifestement en train de préparer. J'enfilai un peignoir trouvé dans la salle de bains attenante puis descendis jusqu'au salon qui était inondé d'un soleil radieux. Un coup d'oeil à la grande horloge murale m'indiqua qu'il était déjà plus de 10h. Sylvie était sur la terrasse et un petit-déjeuner copieux nous attendait sur une table ronde au bord de la piscine. Ne dit on pas qu'on tient un homme par sa queue et son ventre ? Dans tous les cas cette femme était décidément très surprenante et attachante. Sylvie était assise face à la table, les pieds nus, le regard perdu dans l'eau bleue scintillante de la piscine, vêtue d'un kimono en soie crème. L'étoffe avait glissé libérant ses épaules offertes au soleil pour en parfaire le bronzage. Elle accueillit mon baiser avec douceur et volupté.
Nous bavardâmes de tout et de rien pendant que nous nous délections de tartines et autres viennoiseries. Finalement nous ne savions pas grand chose l'un de l'autre et cette conversation était très riche en découvertes mutuelles, ponctuée de rires cristallins de la belle à chacune de mes blagues ou anecdotes cocasses. Mon dieu qu'elle était belle et l'incarnation de la féminité. Le picotement bien connu me parcourut le bas du ventre avec la réaction naturelle qui en découle sur mon fidèle compagnon situé en bas de mon anatomie. J'avisai à l'extrémité de la piscine un fauteuil gonflable et un sourire illumina alors mon visage. Les gens de ma génération reconnaîtront le fauteuil que David Niven utilisait dans le film "Le Cerveau" avec Belmondo et Bourvil et qui s'inspirait en mode humoristique de l'attaque du train postal Glasgow-Londres.
David Niven "the brain" était donc venu négocier les services d'un mafioso sicilien pour réaliser ce hold-up et la rencontre se déroulait dans une piscine, chacun assis dans un gros fauteuil en plastique transparent gonflé comportant des accoudoirs avec des alvéoles pour y glisser des verres. Depuis que j'ai vu enfant ce film de Gérard Oury datant de 1969 avec la superbe bande originale du groupe "American Breed" s'est figée dans mon esprit cette idée que la quintessence du luxe serait de boire un verre tout en flottant dans un tel fauteuil au milieu d'une piscine !
Je décidai pour calmer mes ardeurs de rejoindre ce fauteuil. J'enlevai mon peignoir, tournant le dos à Sylvie, et plongea dans la piscine pour rejoindre le fauteuil sur lequel je me hissai. Pagayant des deux mains je me rapprochai du bord et attrapai le verre de jus d'oranges que me tendait la belle.
J'étais là, nu au soleil, flottant au milieu de cette piscine en sirotant cette boisson bien fraîche sous le regard amusé d'une femme magnifique tout en écoutant la sublime chanson "closing time" de Léonard Cohen diffusée par la chaine Hi-Fi.
Sylvie approcha son fauteuil au bord de la piscine et me demanda si mon rêve d'enfant était exaucé. "Oh que oui !" Sylvie, me dit avec un regard malicieux qu'elle pouvait peut-être le magnifier et aller au delà de ce que le petit garçon aurait pu imaginer. Elle dégrafa doucement la ceinture de son peignoir puis le fit glisser au sol. Elle s'assit sur le fauteuil face à moi, les jambes bien écartées, ne portant plus que ses chaînes à la taille et à la cheville. Je savais qu'il était très rare qu'elle se dénude ainsi complètement et j'appréciai cette marque d'abandon.
Ses doigts aux ongles vernis de rouge commencèrent à glisser sur son corps, tout doucement, sur ses cuisses, passant le long des seins, son cou puis sa bouche. Longuement elle suça deux doigts tout en me regardant fixement dans les yeux. "Caresses toi" me dit-elle alors que ses doigts saisissaient les tétons de ses seins et commençaient à les faire rouler et les pincer pour les faire grandir.
Le résultat ne se fit pas attendre. Ma queue était devenue bien raide et je la branlais lentement tout en admirant ce magnifique spectacle.
Sylvie caressait délicatement son sexe lisse, pinçant son clitoris tendu hors de son capuchon. Elle glissa un doigt puis deux dans son sexe trempé comme je pouvais le constater à chaque fois qu'elle les retirait et les portait à ses lèvres pour s'enivrer de sa liqueur intime. Je continuais à me masturber devant ce spectacle magique. Sylvie avait maintenant introduit quatre doigts dans son vagin et elle gémissait de plus en plus fort. Soudain son pouce se replia et je vis sa main disparaître totalement dans sa chatte dilatée, aidée par l'autre main. Ne pouvant me retenir d'avantage devant ce spectacle si excitant, j'éjaculai en longues saccades au moment précis où Sylvie fut secouée par un formidable orgasme...
Nous bavardâmes de tout et de rien pendant que nous nous délections de tartines et autres viennoiseries. Finalement nous ne savions pas grand chose l'un de l'autre et cette conversation était très riche en découvertes mutuelles, ponctuée de rires cristallins de la belle à chacune de mes blagues ou anecdotes cocasses. Mon dieu qu'elle était belle et l'incarnation de la féminité. Le picotement bien connu me parcourut le bas du ventre avec la réaction naturelle qui en découle sur mon fidèle compagnon situé en bas de mon anatomie. J'avisai à l'extrémité de la piscine un fauteuil gonflable et un sourire illumina alors mon visage. Les gens de ma génération reconnaîtront le fauteuil que David Niven utilisait dans le film "Le Cerveau" avec Belmondo et Bourvil et qui s'inspirait en mode humoristique de l'attaque du train postal Glasgow-Londres.
David Niven "the brain" était donc venu négocier les services d'un mafioso sicilien pour réaliser ce hold-up et la rencontre se déroulait dans une piscine, chacun assis dans un gros fauteuil en plastique transparent gonflé comportant des accoudoirs avec des alvéoles pour y glisser des verres. Depuis que j'ai vu enfant ce film de Gérard Oury datant de 1969 avec la superbe bande originale du groupe "American Breed" s'est figée dans mon esprit cette idée que la quintessence du luxe serait de boire un verre tout en flottant dans un tel fauteuil au milieu d'une piscine !
Je décidai pour calmer mes ardeurs de rejoindre ce fauteuil. J'enlevai mon peignoir, tournant le dos à Sylvie, et plongea dans la piscine pour rejoindre le fauteuil sur lequel je me hissai. Pagayant des deux mains je me rapprochai du bord et attrapai le verre de jus d'oranges que me tendait la belle.
J'étais là, nu au soleil, flottant au milieu de cette piscine en sirotant cette boisson bien fraîche sous le regard amusé d'une femme magnifique tout en écoutant la sublime chanson "closing time" de Léonard Cohen diffusée par la chaine Hi-Fi.
Sylvie approcha son fauteuil au bord de la piscine et me demanda si mon rêve d'enfant était exaucé. "Oh que oui !" Sylvie, me dit avec un regard malicieux qu'elle pouvait peut-être le magnifier et aller au delà de ce que le petit garçon aurait pu imaginer. Elle dégrafa doucement la ceinture de son peignoir puis le fit glisser au sol. Elle s'assit sur le fauteuil face à moi, les jambes bien écartées, ne portant plus que ses chaînes à la taille et à la cheville. Je savais qu'il était très rare qu'elle se dénude ainsi complètement et j'appréciai cette marque d'abandon.
Ses doigts aux ongles vernis de rouge commencèrent à glisser sur son corps, tout doucement, sur ses cuisses, passant le long des seins, son cou puis sa bouche. Longuement elle suça deux doigts tout en me regardant fixement dans les yeux. "Caresses toi" me dit-elle alors que ses doigts saisissaient les tétons de ses seins et commençaient à les faire rouler et les pincer pour les faire grandir.
Le résultat ne se fit pas attendre. Ma queue était devenue bien raide et je la branlais lentement tout en admirant ce magnifique spectacle.
Sylvie caressait délicatement son sexe lisse, pinçant son clitoris tendu hors de son capuchon. Elle glissa un doigt puis deux dans son sexe trempé comme je pouvais le constater à chaque fois qu'elle les retirait et les portait à ses lèvres pour s'enivrer de sa liqueur intime. Je continuais à me masturber devant ce spectacle magique. Sylvie avait maintenant introduit quatre doigts dans son vagin et elle gémissait de plus en plus fort. Soudain son pouce se replia et je vis sa main disparaître totalement dans sa chatte dilatée, aidée par l'autre main. Ne pouvant me retenir d'avantage devant ce spectacle si excitant, j'éjaculai en longues saccades au moment précis où Sylvie fut secouée par un formidable orgasme...
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