La pite 2
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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La pite 2
-J’ai entendu des pas dans le couloir puis un mec m’a palpé des fesses jusqu’à la queue et j’ai entendu des commentaires. Les voix que j’entendais étaient rauques. J’ai compris que ceux-là étaient en pleine mue et le doigt a poussé sur mon trou. Entrant sans difficulté.
-Aucune problèmes les mecs celui là est un PD et il réagit au toucher. Matez sa queue, il bande juste en mettant un doigt. Fous toi sur le dos et prends tes mollets avec les mains. Voilà ! Comme ça on voit tout de ton cul à ta bite. Marrante d’ailleurs avec le prépuce. On va tous te baiser, comme tu aimes ça tu vas apprécier. Et comme tu aimes la queue tu nous suceras tous. On est quelques-uns à s’être déjà fait sucer mais par des nanas on fera la différence.
J’ai entendu des bruits de vêtements qui frottent et puis le premier a engagé sa queue entre mes fesses rasées de frais. Il en avait une courte et m’a tiré à petit coups rapides, ne se dégageant presque trop tard mais me l’a fourrée dans la bouche les jets arrivaient. Heureusement je n’avais que peu mangé et donc peu de saloperies dans les boyaux.
-On ne pourrait pas lui enlever la cagoule pour voir la tronche qu’il fait ?
Abdou a donné son accord et j’ai d’abord été ébloui par le peu de lumière avant de les voir. Pas si jeune que ça mais en pleine forme ils étaient encore trois à me fixer comme une friandise.
-Pas mal le mec. Vous l’avez bien choisi, une petite tronche de fouine sans poils au menton et un sexe bien formé qui bave un peu. Il a de belles couilles. Bon aller vas-y Brahim baise le.
En le voyant avancer j’ai été surpris. Sa queue sans être plus épaisse était plus longue et il est allé loin dans mes fesses.
-Il a le cul chaud j’espère que ma nana sera chaude aussi.
Il a limé calmement pendant qu’un autre penchait sa queue vers moi.
-Suce et bien ! tu aimes la bite alors montre le !
L’engin n’était encore pas tout à fait raide et j’ai penché la tête quand il a durci. Pris des deux trous si je n’y avais pas été obligé j’aurais aimé, mais rien que de me savoir baisé comme une lopette m’a quand même fait bander, dégageant le gland.
-Tu es vraiment une pute. Je suis sûr que plus tard tu banderas plus en te faisant sauter. T’auras plus qu’une nouille molle.
Il n’y pouvait rien, le coup de rein suivant dans mes fesses m’a fait gicler. Il a éclaté de rire.
-Elle aime ça la pute. Aller laisse moi la place que je lui donne mon jus à boire.
Un instant j’ai senti le vide de mon cul ouvert mais un autre l’a rempli sans que je voie la queue. J’ai eu celle qui m’avait fait jouir dans la bouche.
-Lèche et nettoie là je crois que tu serais mieux dans le camp au-dessus des calanques. T’aurais de la compagnie. Abdou a approuvé.
-Le transfert est prévu cette nuit.
J’ai fini les mecs cul et bouche à en avoir mal à la mâchoire.
-On le reverra là-bas un coup de mob est on y est.
Cette fois je voyais et je suis rapidement allé me laver le cul et le ventre de mon jus me servant d’une serpillère pour m’essuyer. La lumière s’est éteinte. Juste un peu de lumière passait sous la porte. Je me suis allongé, vanné et j’ai dû m’endormir.
J’ai été réveillé brusquement par la lumière et quatre mecs qui m’ont chopé, enrobés de plastic noir, mains liées dans le dos et sorti de la pièce. Je n’avais qu’un tuyau coincé dans mes lèvres pour respirer. J’ai senti qu’on remontait l’escalier et on m’a mis à côté d’un autre corps chaud tout aussi enrobé que moi dans l’arrière d’une camionnette je suppose à l’odeur de carburant.
-Soyez sage les bâtards on a peu de route mais on ne veut pas vous entendre.
Marrant le mec, juste avec le tuyau on ne pouvait que respirer.
Le moteur a démarré et on a roulé l’un sur l’autre dans les virages pendant un moment à part les arrêts. Puis un arrêt, un coup d’avertisseur et on a roulé un peu encore avant que le moteur s’arrête et que la porte arrière s’ouvre.
-Voilà la livraison.
-Faites les glisser à terre on s’en occupe.
Les salauds, on n’est pas tombé de haut mais sur des gravillons.
-Voilà le fric, c’est bon on s’en occupe à la prochaine.
La tire est partie et deux mains ont commencé à déchirer le plastic. Commençant par la tête je ne voyais que la nuit et un mec s’activer pour tout déchirer.
-Bonne tête de lopette celui-là mais je lui change tout de suite le collier. Il m’a posé un collier qui me remontait sous le menton et se fermait par plusieurs lanières. Ne bouge pas que je mate le deuxième. Merde ils se démerde comme des cons, il est à la limite imposé. T’as combien lopette ?
-Trente-deux ans.
-J’avais bien dit plus jeune. Bon on leur donnera moins la prochaine fois. Emmène-le en bécane et laisse-le en plein maquis il, se débrouillera pour se retrouver en ville.
-Mais je suis nu ?
- Et tu voudrais quoi, un smoking ? Aller dégage salope monte derrière Aldo.
Je suis resté nu, menton relevé. Il a mis une laisse et m’a mené dans un creux de rocher ou était coincé une potence. Il m’a attaché les mains avec un bout plus solide et a fixé la laisse au crochet, me remontant par une poulie. J’avais mal aux pieds de marcher à son allure sur les gravillons mais sur la pointe des pieds ce fut pire.
-Je vois qu’ils t’on laissé le reste de tes poils. Demain matin un mec viendra t’enlever ça.
Il est parti me laissant seul. La nuit sur la côte il fait frais même en été et je frissonnais. Je ne pouvais pas bouger, juste tourner sur moi pour pousser les graviers. Je voyais des poteaux dépasser et c’était tout.
-Aucune problèmes les mecs celui là est un PD et il réagit au toucher. Matez sa queue, il bande juste en mettant un doigt. Fous toi sur le dos et prends tes mollets avec les mains. Voilà ! Comme ça on voit tout de ton cul à ta bite. Marrante d’ailleurs avec le prépuce. On va tous te baiser, comme tu aimes ça tu vas apprécier. Et comme tu aimes la queue tu nous suceras tous. On est quelques-uns à s’être déjà fait sucer mais par des nanas on fera la différence.
J’ai entendu des bruits de vêtements qui frottent et puis le premier a engagé sa queue entre mes fesses rasées de frais. Il en avait une courte et m’a tiré à petit coups rapides, ne se dégageant presque trop tard mais me l’a fourrée dans la bouche les jets arrivaient. Heureusement je n’avais que peu mangé et donc peu de saloperies dans les boyaux.
-On ne pourrait pas lui enlever la cagoule pour voir la tronche qu’il fait ?
Abdou a donné son accord et j’ai d’abord été ébloui par le peu de lumière avant de les voir. Pas si jeune que ça mais en pleine forme ils étaient encore trois à me fixer comme une friandise.
-Pas mal le mec. Vous l’avez bien choisi, une petite tronche de fouine sans poils au menton et un sexe bien formé qui bave un peu. Il a de belles couilles. Bon aller vas-y Brahim baise le.
En le voyant avancer j’ai été surpris. Sa queue sans être plus épaisse était plus longue et il est allé loin dans mes fesses.
-Il a le cul chaud j’espère que ma nana sera chaude aussi.
Il a limé calmement pendant qu’un autre penchait sa queue vers moi.
-Suce et bien ! tu aimes la bite alors montre le !
L’engin n’était encore pas tout à fait raide et j’ai penché la tête quand il a durci. Pris des deux trous si je n’y avais pas été obligé j’aurais aimé, mais rien que de me savoir baisé comme une lopette m’a quand même fait bander, dégageant le gland.
-Tu es vraiment une pute. Je suis sûr que plus tard tu banderas plus en te faisant sauter. T’auras plus qu’une nouille molle.
Il n’y pouvait rien, le coup de rein suivant dans mes fesses m’a fait gicler. Il a éclaté de rire.
-Elle aime ça la pute. Aller laisse moi la place que je lui donne mon jus à boire.
Un instant j’ai senti le vide de mon cul ouvert mais un autre l’a rempli sans que je voie la queue. J’ai eu celle qui m’avait fait jouir dans la bouche.
-Lèche et nettoie là je crois que tu serais mieux dans le camp au-dessus des calanques. T’aurais de la compagnie. Abdou a approuvé.
-Le transfert est prévu cette nuit.
J’ai fini les mecs cul et bouche à en avoir mal à la mâchoire.
-On le reverra là-bas un coup de mob est on y est.
Cette fois je voyais et je suis rapidement allé me laver le cul et le ventre de mon jus me servant d’une serpillère pour m’essuyer. La lumière s’est éteinte. Juste un peu de lumière passait sous la porte. Je me suis allongé, vanné et j’ai dû m’endormir.
J’ai été réveillé brusquement par la lumière et quatre mecs qui m’ont chopé, enrobés de plastic noir, mains liées dans le dos et sorti de la pièce. Je n’avais qu’un tuyau coincé dans mes lèvres pour respirer. J’ai senti qu’on remontait l’escalier et on m’a mis à côté d’un autre corps chaud tout aussi enrobé que moi dans l’arrière d’une camionnette je suppose à l’odeur de carburant.
-Soyez sage les bâtards on a peu de route mais on ne veut pas vous entendre.
Marrant le mec, juste avec le tuyau on ne pouvait que respirer.
Le moteur a démarré et on a roulé l’un sur l’autre dans les virages pendant un moment à part les arrêts. Puis un arrêt, un coup d’avertisseur et on a roulé un peu encore avant que le moteur s’arrête et que la porte arrière s’ouvre.
-Voilà la livraison.
-Faites les glisser à terre on s’en occupe.
Les salauds, on n’est pas tombé de haut mais sur des gravillons.
-Voilà le fric, c’est bon on s’en occupe à la prochaine.
La tire est partie et deux mains ont commencé à déchirer le plastic. Commençant par la tête je ne voyais que la nuit et un mec s’activer pour tout déchirer.
-Bonne tête de lopette celui-là mais je lui change tout de suite le collier. Il m’a posé un collier qui me remontait sous le menton et se fermait par plusieurs lanières. Ne bouge pas que je mate le deuxième. Merde ils se démerde comme des cons, il est à la limite imposé. T’as combien lopette ?
-Trente-deux ans.
-J’avais bien dit plus jeune. Bon on leur donnera moins la prochaine fois. Emmène-le en bécane et laisse-le en plein maquis il, se débrouillera pour se retrouver en ville.
-Mais je suis nu ?
- Et tu voudrais quoi, un smoking ? Aller dégage salope monte derrière Aldo.
Je suis resté nu, menton relevé. Il a mis une laisse et m’a mené dans un creux de rocher ou était coincé une potence. Il m’a attaché les mains avec un bout plus solide et a fixé la laisse au crochet, me remontant par une poulie. J’avais mal aux pieds de marcher à son allure sur les gravillons mais sur la pointe des pieds ce fut pire.
-Je vois qu’ils t’on laissé le reste de tes poils. Demain matin un mec viendra t’enlever ça.
Il est parti me laissant seul. La nuit sur la côte il fait frais même en été et je frissonnais. Je ne pouvais pas bouger, juste tourner sur moi pour pousser les graviers. Je voyais des poteaux dépasser et c’était tout.
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