La place est déjà prise - histoire érotique

Je m'attends à une volée de bois vert, mais je signale, que tout est pure imagination, les personnages sont majeurs et consentants. Tant-pis pour ceux qui n'aiment pas ce genre de récits, pour les autres, bonne lecture.




Roland rentre chez lui deux jours plutôt que prévus. Avec sa clé, il ouvre la porte discrètement. Et pour faire une surprise à sa femme, il avance à pas feutrés vers le salon en souriant, avec un paquet à la main pour faire une surprise à sa femme. Mais ce qu'il voit le cloue sur place. Sa femme, jupe retroussée, culotte sur le sol, a entre les cuisses la tête de son fils, qui lui dévore la chatte. Roland reste sans voix, personne n'a remarqué sa présence, il recule et se met à l'abri des regards, et se met épier le couple incestueux. Sa femme Charlotte gémit sous les coups de langues habiles de son fils Justin. D'où il est, il entend parfaitement le bruit étrange que fait la bouche de son fils en dévorant la vulve dégoulinante. Charlotte ne résiste pas longtemps. Elle se cabre et explose en disant :


-Oh mon chéri, tu vas faire mourir ta maman tellement tu la fais jouir, donne-moi ta queue à sucer mon chéri !



Jamais, il n'aurait imaginé une chose pareille de la part de sa femme, elle, si prude, qui avait beaucoup de mal à faire une fellation, eh bien là, c'est elle qui réclame la salope cachait bien son jeu. Justin exhibe fièrement son engin qui est dressé comme un mât. Il donne quelques coups de poignets pour lui donner encore plus de volume. La maman regarde en écarquillant les yeux, comme si c'était la première fois qu'elle voyait le mandrin. Elle le saisit et l'enserre doucement dans sa main. Elle sent battre le sang dans la hampe fortement veinée, cela la rend fébrile. Avec délicatesse, elle décalotte le gland, le regarde longuement avant de lui donner quelques coups de langue bien ajustés.



Justin se cambre, sa maman fait tourner sa langue sur le gland, titille le frein, et lape avec gourmandise les perles qui s'échappent du méat. Enfin, elle gobe le cèpe et se met à le téter comme une vorace, en triturant les bourses pleines de semence. Roland n'en revient pas de l'ardeur que met sa femme pour sucer la bite de son fils. Il voudrait intervenir, mais étrangement, le spectacle qu'il a sous les yeux commence à l'exciter. Il ravale sa salive en serrant les dents, sa queue commence à gonfler dans son pantalon. Justin dit en s'agrippant à la chevelure de sa maman :

-Oh maman, c'est merveilleux !

Flattée par les paroles de son fils, Charlotte suce, avec plus de voracité, le gland violacé. Elle lui aspire une couille, et la suce en pressant la hampe fortement avec ses longs doigts fins. Justin se cabre en grognant, il ne peut s'empêcher de dit :

-Oh maman, maman, tu es vraiment meilleur qu'une pute, humm !


Charlotte recrache le testicule et répond en fronçant les sourcils :

-Tu me compares à une pute maintenant mon chéri !

-Oh maman, je le confirme, tu es bien meilleur qu'une pute ! Répond le jeune coquin.



Comme flattée, Charlotte reprend en bouche le gland et le tète avec acharnement. Justin souffle comme un dragon. Soudain, il tire sur les cheveux de sa maman, et lui enfonce sa bite au fond de la gorge en envoyant une giclée de sperme. Charlotte repousse violemment son fils, elle manque d'étouffer, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Ses yeux s'emplissent de larmes, mais parvient à avaler la décharge fulgurante qu'elle a reçue. Elle le regarde et lui dit :

-Oh petit gredin, d'habitude, tu me fais savourer ta semence, mais là, tu m'enfonces ta queue au fond de la gorge, mais tu veux tuer ta maman non cochon. Donc, tu sais ce qu'il te reste à faire pour te faire pardonner !


Roland n'en croit pas ses yeux, sa femme avale le sperme de son fils, elle qui a toujours refusé d'avaler le sien. Sa queue est douloureuse dans son pantalon, il doit la sortir, il n'en peut plus. Il sort sa bite, et la caresse pour en atténuer la douleur. Charlotte dit à son fils :

- Alors petit voyou, j'attends tes excuses !

En béguant, Justin confus répond :

-Maman chérie, je vais faire mieux que de m'excuser, je vais te baiser comme tu aimes l'être !


La maman sourit et réplique avec une pointe d'ironie :

-Enfin des paroles sensées, tu as bien dit comme j'aime, alors ne me déçois pas !

Justin Prend les jambes de sa maman et les pose sur ses épaules, il approche sa bite de la chatte, la plante dedans avant de la retirer. Il approche sa bite, recouverte de cyprine, du temple de Sodome, et la place contre l'anus que le coquin devait souvent visiter. Il saisit sa maman par les cuisses, là regarde un moment avant de pousser. Charlotte prend une grande aspiration, serre les dents en retenant sa respiration. Justin pousse, l'anus de sa maman s'ouvre pour laisser passer le gland dans la gaine étroite. Roland défaille, il voit son fils enculer la maman demandeuse. Lui qui ne pouvait même pas lui caresser l'anus, là, il est complétement scié. Lentement, la jeune queue s'enfonce dans le cul de la maman qui crie :

-Oui, oui, mon chéri, va bien à fond, oh putain que c'est bon !

Roland presse sa queue et commence un branlage terrible, il ne quitte pas du regard le couple d'amants. Sa femme subit en gémissant une pénétration totale. Le fiston qui connait les désirs de sa maman, commence un va-et-vient le plus brutal possible. La maman au bord de l'hystérie couine :

Oui, mon chéri, casse le cul à maman, tape fort mon chéri !

L'enculage que subit Charlotte est supérieur à ce qu'elle attendait, elle gémit en ne cessant de dire :

-Oh, c'est trop bon mon chéri, traite-moi comme une pute, vas-y défonce-moi le cul, oh putain, putain comme c'est bon !

Justin démonte sa maman comme un spécialiste de l'enculage. Ses coups de reins sont terribles, À chaque enfoncement du pal dans le cul de sa maman, celle-ci hurle de plaisir. Le papa voyeur est presque en transe, il se masturbe comme un forcené, il ne peut plus retenir ses gémissements. Ses râles sont rauques et bruyants. Justin tourne la tête et aperçoit son papa qui se branle, il reste tétanisé et cesse tous mouvements. C'est sa maman qui s'agite en grimaçant, elle se demande pourquoi que son fils ne lui pilonne plus le cul. Elle regarde vers la porte et sursaute. Les deux amants semblent figés. Roland s'approche et dans l'excitation dit :

-Continue, continue, Justin, oh la vache, je vais jouir !


Roland pousse un grognement et envoie une puissante giclée de sperme sur le sol. Il fait encore quelques pas, il regarde sa femme en serrant les dents et répète :

-Mais continuez, bon Dieu, continuez !

Justin sans rechigner reprend l'enculage, sa maman ses gémissements. Roland ouvre brusquement le corsage de sa femme, et d'un geste habile, lui fait sauter le soutien-gorge. Il libère les seins du carcan de tissu qui les emprisonnés. Sa femme souffle comme un bœuf, la bite qui lui fore le cul la fait geindre de plus en plus fort. Roland saisit les mamelons et les roule entre ses doigts, il les triture en les martyrisant. Ce traitement ne semble pas déplaire à sa femme, car elle ferme les yeux en gémissant encore plus.