la plage
Récit érotique écrit par Magic2310 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2005 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
la plage
Je suis un monstre.. mon anatomie particulière m’a depuis toujours entraîné dans des aventures qui le sont tout autant.. Mes mensurations figurent dans une autre de mes histoires sur le site et je ne veux ni les répéter, ni m’en ré expliquer, ni m’en excuser surtout.
Vers 17 ans, j’ai été dragué par une allemande sur la plage.. une des rares fois où je me suis mis en short.. enfin, en bermuda large..
Elle était avec un groupe d’une dizaine de personnes, la trentaine.. J’étais tranquillement allongé sur le ventre… bouquin ouvert..
Elle est venue me demander un renseignement.. où se procurer de quoi se restaurer.. avec un français hésitant..
Pour lui répondre, je me suis mis sur le côté.. à peine ai-je commencé à parler que son regard s’est fixé sur moi et sur la barre qui déformait mon bermuda, la trace laissée sur le sable par mon engin qui dépassait de ma hanche.. Elle m’a peu écouté et est repartie dans son groupe, enfuie plutôt..
Le rires ont fusé et le peu d’allemand que je maîtrise m’a permis de savoir que j’étais en cause.. ils regardaient souvent dans ma direction.
Je n’osais plus me lever et je suis resté longtemps allongé.. même mon livre fini.. je ne levais plus les yeux dans leur direction.
Dans l’après midi, l’un d’elles est venue me voir. Elle s’exprimait mieux dans notre langue. Sans aucun complexe, elle s’est assise à côté de moi et a entamé la discussion. Elle était directe et libérée.. genre hippies.. cela m’a fait tout drôle..
Après les sujets d’usages, le pays, la météo, les vacances, les origines, elle m’a demandé du tac au tac si j’étais venu seul à la plage, (j’habitais à 500m..) si j’avais qq chose à faire ce jour là.. Etant également en congé et connaissant bien le pays, elle m’a proposé de me joindre à eux. Je savais que ce n’était pas anodin et spontané. Elle m’a souri et demandé de me mettre avec eux.. Mais je ne le pouvais pas à ce moment là.. sa présence et le brin de causette que nous avions eu m’avait mis dans tous mes états et mon pénis commençait à émerger sur le côté. .. je ne l’attachais pas à ma jambe à cette époque mais le plaçait de biais. Excité, une partie dépassait sur le côté et était donc visible de dos.. Elle remarqua ça et rougit mais ne s’effraya pas. Plus câline, elle me demanda si c’était bien mon sexe qu ‘elle voyait dépasser. J’étais tremblant par tant de franchise et terriblement excité. Je ne pouvais plus rester sur le ventre sans creuser un peu plus dans le sable.. et, en guise de réponse, c’est ce que j’ai fait devant elle. L’élastique de mon bermuda était étiré et contenait plus mon excitation. Elle s’est bien rincé l’œil pendant que je faisait mon lit dans le sable..
Elle était impressionnée.. comme toujours.. Elle voulait vérifier si sa copine avait bien vu.. c’était réussi… Je lui ai demandé aussi d’arrêter de se moquer de moi.. et de le dire à ses amis. Elle était d’accord et m’a répondu que c’était la curiosité qui les avait fait rire. Ils n’avaient pas trop cru celle qui m’avait vu la première fois et ils la charriaient depuis..
Elle est retournée avec eux et m’a demandé de les rejoindre dès que je pourrais me lever..
¼ h après, ils m’ont offert une boisson et je les ai rejoints.. les regards étaient baissés mais ils essayaient de ne pas être trop flagrants. Mais tous m’ont respecté.. surtout les filles.. J’ai trouvé qu ‘elles étaient très prévenantes avec moi et recherchaient ma compagnie.
Nous sommes restés sur la plage jusqu’à la nuit tombée.. Ils avaient loué une grande maison et m’ont offert l’hospitalité. Je suis passé chez moi me changer et les ai rejoints vers 21 h.
Ils m’attendaient..
A peine arrivé, ils m‘ont offert à boire et installé sur un canapé. Tout le monde s’affairait. Deux couples étaient sortis et seuls restaient
6 personnes, dont celles qui m’avaient abordé sur la plage et surtout la première que je trouvais charmante. Elle avait l’air contente de me revoir et papillonnait autour de moi . Je me demandais où j’étais tombé. Elle semblait sortir avec un gars qui restait en retrait et silencieux. Pas jaloux en tout cas.. Il régnait une atmosphère assez particulière… je sentais qu’ils voulaient me demander qq chose mais n’osaient pas, il attendaient ou cherchaient les mots pour me le dire.
Probablement pour me le faire comprendre, un des hommes me dit que je pouvais me mettre à l’aise, et commença à se déshabiller.
Il s’est mis en petite culotte et déambulait dans la pièce. Les autre en ont fait autant petit à petit. Les gars ne pouvaient pas cacher leur excitation.. Un couple s’embrassait déjà.
Voyant que j’étais gêné, une femme a enlevé mon tee shirt et m’a demandé d’enlever le bas. Je n’osais pas le faire. Pas devant les hommes. J’ai souvent été approché par les homos.. je n’aime pas ça. Je suis déjà trop d’homme, alors j’ai pas besoin de renfort.. lol
Elle a insisté pour m’aider, elle a enlevé sa culotte suivie par tous ses complices. Nus étions tous assis autour d’une table basse.
Devant tout le monde nu.. dans le silence…je me suis exécuté. Je ne bandais pas. Sûrement la présence masculine.. J’ai vu leur regard me fixer, le silence se faire. Gros comme un poignet, j’ai posé mon sexe encore mou sur ma cuisse pour ne pas qu’elle soit sur le tissus du divan.. Remis de leur vision, un couple s’est mis à s’embrasser et se caresser. C’est drôle, mais c’est à ce moment là enfin que je me suis rendu compte qu’ils m’invitaient à une partouze. Toujours en retard d’une guerre.
Ma voisine m’a pris dans ses bras et s’est directement saisi de mon membre. J’ai essayé de parler mais ce n’étais pas facile… en allemand.
Elle m’a masturbé avec ses deux mains.. ne pouvant le faire avec une seule.. Assis, mon sexe s’est érigé et arrivait au niveau de nos visages.. Elle lâcha ma bouche pour se précipiter dessus.
C’est alors que j’ai jeté un œil sur les autres.Ils étaient tous là, à me regarder, à me détailler.
Les hommes faisaient grise mine et l’un d’eux se masturbait. Sa compagne également. Les femmes étaient terriblement excitées.
Un couple s’est levé et est venu s’installer sur le canapé. J’ai alors dit péniblement que ne souhaitait pas avoir de rapports homosexuels, en espérant qu’ils comprennent. Ils ont compris que je ne voulais pas de rapports en groupe et m’ont écouté. Ils sont tous sortis de la pièce, me laissant avec celle qui me caressait. Ce n’étais pas la plus belle, mais la plus décidée de toutes, la plus chaude.
Elle était sauvage et entreprenante. Elle s’est acharné à vouloir me prendre dans sa bouche.
Ne le pouvant pas, elle s’est frotté la vulve avec mon sexe et a essayé une pénétration. sans succès.
Elle a même tenté une sodomie.. Je dis « elle » parce que je préfère en général rester passif, je vous laisse jouer seules en cas de désir de pénétration.
La voyant désespérée, je l’ai aidé. Je me suis alors mis sur elle. Je le fais rarement.
Mieux vaut ne pas forcer et ne donner que ce que l’on peut prendre.. Elle m’a introduit après plusieurs essais, elle était acharnée à réussir. Elle me retenait pas les hanches. Son visage se tordait de douleur..
Je n’osais bouger.Je pensais qu’elle allait me demander d’arrêter..
Au contraire, elle a tiré sur mes hanches pour forcer. Une dizaine de cm était engagés et pouvaient à peine coulisser. Mais elle continuait, en voulait plus. J’ai pris les choses en main..
Je lui ai demandé si je pouvais l’aider. Elle m’a répondu oui.. (euh ja !) Je le lui ai demandé deux fois pour être sûr de sa réponse.
Je me suis mis à bouger.. tout doucement.. essayant de ne pas trop ressortir pour ne plus pouvoir revenir. Je coulissait maintenant un peu mieux et m’enfonçait petit à petit un peu plus. .
Déjà15/20 cm.. Je voyais ses lèvres distendues, ouvertes sur l’intérieur de ses cuisses. Elle enserrait très fort mon pénis. Elle poussait de petits cris, comme si elle avait le hoquet. Elle me griffait les avants bras et me faisait mal. Elle me parlait dans sa langue.
Elle tirait encore sur mes hanches. Elle me demanda alors de bouger plus, de ne pas me contrôler… enfin, c‘est ce que j’ai compris. Je me suis mis à la limer plus fort.. (limer, terme de mecs.. lol) je la forçais à chaque coup de boutoir. Je sentais depuis longtemps le fond de son sexe. Elle ne voulait pas que je ressorte, ça lui faisait encore plus mal.
Elle criait maintenant. Des cris de douleur. J’avais peur que les autres arrivent.. Mais elle continuait à en redemander.. Elle relevait ses fesses pour mieux être prise. Bien que la remplissant entièrement avec la moitié de mon sexe, elle continuait à forcer pour en avoir plus, à me tirer vers elle, à s’empaler sur moi. J’ai craqué, j’ai forcé. Elle hurlait maintenant, me griffait au sang. On aurait dit qu’elle m’insultait dans sa langue. Elle continuait à me tirer vers elle.
J’ai poussé.. fort. Peut être trop. Allant pratiquement jusqu’à la garde. Elle a eu un dernier hoquet… puis plus rien..
J’ai senti qq chose de chaud couler dans son sexe… du sang. Elle ne bougeait plus et avait fermé les yeux.. inconsciente. J’ai paniqué, me suis dégagé lentement. J’étais tout sanguinolent et le canapé en était plein. Un filet rouge coulait de son vagin. Je l’ai secoué un peu et demandé si ça allait… pas de réponse.. panique.. Elle restait là, les yeux fermés, la respiration lente, le visage sans expression. J’ai pris peur, je n’osais pas aller voir ses amis.. le piège..
Je me suis décidé quand même d’aller les voir.. Ils ont accouru.. Dès qu’ils l’ont touché, elle s’est réveillé.. Je tremblais. Elle s’était évanouie simplement.. Maintenant réveillée, elle avait mal mais continuait à me sourire et semblait me dire qu‘elle avait éprouvé beaucoup de plaisir.
Les autres m’ont rassuré aussi. Je ne me rendais pas compte que nous étions tous tout nus.
Je devais manœuvrer entre eux et je les touchais souvent avec mon sexe.. je n’y prêtais pas attention.
Ma victime est partie dans la salle de bain. Elle est partie se coucher juste après. Je ne l’ai jamais plus revue.
Ma copine du début, celle qui m’avait remarqué sur la plage m’a demandé si cela m’étais déjà arrivé lors de mes rapports.. Elle semblait maintenant intéressée… peut être voulait elle relever le challenge de sa copine. Elle m’a affirmé que non. Son amie seule pouvait le tenter parce qu’elle pratiquait souvent les grosses tailles, le fist fucking, et avait apparemment pas réussi. Elle ne s’en sentait pas le capacité. Elle me dit par contre qu’elle apprécierait de me caresser.
Sitôt dit.. elle me prend et me met sur son avant bras…posé comme si elle tenait un bébé.. Elle m’a embrassé le sexe comme si c’en était un..Mon bout allait se loger dans le creux de ses bras..
Elle le mis dans son cou. Son regard doux et sa féminité, sa manière de m’observer, ses gestes tendres.. je n’ai pas tenu longtemps. Ses amis étaient encore dans la pièce et deux hommes s’occupaient d’une femme tandis qu’un autre couple s’ébattait à côté de la table. C’est drôle, on n’entend pas les autres prendre du plaisir lorsqu’on fait l’amour. Je suis arrivé à faire abstraction et je ne pensais qu’à celle qui me câlinait. Elle était très douce, semblait être de mon age..
Elle est partie chercher un tube de lubrifiant et m’a entièrement enduit. Elle était nue et magnifique. Elle m’a allongé sur le dos et s ‘est assise sur mon ventre. Elle promenait le monstre sur ses seins et ses mains allaient et venaient dessus. Elle me léchait aussi. Elle me cajolait.
Son souffle de plus en plus court, ses cheveux que voyais onduler sur son dos, devant moi..
Elle remuait beaucoup. Je ne regardais plus les autres.
Je suis venu. Mes deux premières décharges l’ont surprise et sont allées s’écraser de l’autre côté de la table, sur les autres couples.. à trois mètres de là. Elle s’est écriée « oh mein gott ! sie doch !» . (oh mon dieu ! regardez vite!) Elle s’est évertuée à me faire recommencer pour que les autres voient. Elle s’exclamait à chaque fois que je me contractais.. Elle visait le plafond pour marquer un record.. Elle ne s’est mise à me boire que lorsque mon sperme ne giclait plus qu’à hauteur de son visage. J’entendais ses bruits de succion et ses mains courir sur moi, me pressant comme elle pouvait avec ses jambes, contre son sexe., entre ses seins.. Elle continua longtemps à me lécher, jusqu à ce que je sois bien nettoyé. Je me sentais bien. Mon excitation retomba. Les autres avaient assisté à la scène et nous regardaient. Assise à côté de moi et elle en profita pour s’amuser avec moi. Elle mettait ses deux mains à la base, pouvant encore à peine l’enserrer entièrement.. et elle remuait.. tournait et faisait rouler mon pénis sur mon ventre, ses bras, mes cuisses. Pour rire, et faire rire ses amis, et moi même tant j’étais maintenant complètement inhibé, elle m’a demandé de me mettre sur le côté, m’a posé délicatement sur le canapé. Elle s’est allongé et s’en est servie de coussin. Elle faisait mine de dormir et se retournait en mettant en forme son oreiller.. On était hilares.
Les autres avaient visiblement fini et je sentais une odeur venir de la cuisine..
On a discuté encore un partie de la nuit. Entassés les uns sur les autres sur le canapé taché et autour de la table.
Tous venaient me dire au revoir en allant se coucher et me gratifiaient pour mon physique, me donnaient des noms.. Excalibur, Homo Eroticus.. Un des hommes m’a fait la bise.. Ma préférée m’a passé la main sur le sexe, s’y est attardé un peu en m’embrassant avant de me dire adieu. J’ai cru comprendre dans son français hésitant qu’elle me disait « jamais oublier »
Vers 17 ans, j’ai été dragué par une allemande sur la plage.. une des rares fois où je me suis mis en short.. enfin, en bermuda large..
Elle était avec un groupe d’une dizaine de personnes, la trentaine.. J’étais tranquillement allongé sur le ventre… bouquin ouvert..
Elle est venue me demander un renseignement.. où se procurer de quoi se restaurer.. avec un français hésitant..
Pour lui répondre, je me suis mis sur le côté.. à peine ai-je commencé à parler que son regard s’est fixé sur moi et sur la barre qui déformait mon bermuda, la trace laissée sur le sable par mon engin qui dépassait de ma hanche.. Elle m’a peu écouté et est repartie dans son groupe, enfuie plutôt..
Le rires ont fusé et le peu d’allemand que je maîtrise m’a permis de savoir que j’étais en cause.. ils regardaient souvent dans ma direction.
Je n’osais plus me lever et je suis resté longtemps allongé.. même mon livre fini.. je ne levais plus les yeux dans leur direction.
Dans l’après midi, l’un d’elles est venue me voir. Elle s’exprimait mieux dans notre langue. Sans aucun complexe, elle s’est assise à côté de moi et a entamé la discussion. Elle était directe et libérée.. genre hippies.. cela m’a fait tout drôle..
Après les sujets d’usages, le pays, la météo, les vacances, les origines, elle m’a demandé du tac au tac si j’étais venu seul à la plage, (j’habitais à 500m..) si j’avais qq chose à faire ce jour là.. Etant également en congé et connaissant bien le pays, elle m’a proposé de me joindre à eux. Je savais que ce n’était pas anodin et spontané. Elle m’a souri et demandé de me mettre avec eux.. Mais je ne le pouvais pas à ce moment là.. sa présence et le brin de causette que nous avions eu m’avait mis dans tous mes états et mon pénis commençait à émerger sur le côté. .. je ne l’attachais pas à ma jambe à cette époque mais le plaçait de biais. Excité, une partie dépassait sur le côté et était donc visible de dos.. Elle remarqua ça et rougit mais ne s’effraya pas. Plus câline, elle me demanda si c’était bien mon sexe qu ‘elle voyait dépasser. J’étais tremblant par tant de franchise et terriblement excité. Je ne pouvais plus rester sur le ventre sans creuser un peu plus dans le sable.. et, en guise de réponse, c’est ce que j’ai fait devant elle. L’élastique de mon bermuda était étiré et contenait plus mon excitation. Elle s’est bien rincé l’œil pendant que je faisait mon lit dans le sable..
Elle était impressionnée.. comme toujours.. Elle voulait vérifier si sa copine avait bien vu.. c’était réussi… Je lui ai demandé aussi d’arrêter de se moquer de moi.. et de le dire à ses amis. Elle était d’accord et m’a répondu que c’était la curiosité qui les avait fait rire. Ils n’avaient pas trop cru celle qui m’avait vu la première fois et ils la charriaient depuis..
Elle est retournée avec eux et m’a demandé de les rejoindre dès que je pourrais me lever..
¼ h après, ils m’ont offert une boisson et je les ai rejoints.. les regards étaient baissés mais ils essayaient de ne pas être trop flagrants. Mais tous m’ont respecté.. surtout les filles.. J’ai trouvé qu ‘elles étaient très prévenantes avec moi et recherchaient ma compagnie.
Nous sommes restés sur la plage jusqu’à la nuit tombée.. Ils avaient loué une grande maison et m’ont offert l’hospitalité. Je suis passé chez moi me changer et les ai rejoints vers 21 h.
Ils m’attendaient..
A peine arrivé, ils m‘ont offert à boire et installé sur un canapé. Tout le monde s’affairait. Deux couples étaient sortis et seuls restaient
6 personnes, dont celles qui m’avaient abordé sur la plage et surtout la première que je trouvais charmante. Elle avait l’air contente de me revoir et papillonnait autour de moi . Je me demandais où j’étais tombé. Elle semblait sortir avec un gars qui restait en retrait et silencieux. Pas jaloux en tout cas.. Il régnait une atmosphère assez particulière… je sentais qu’ils voulaient me demander qq chose mais n’osaient pas, il attendaient ou cherchaient les mots pour me le dire.
Probablement pour me le faire comprendre, un des hommes me dit que je pouvais me mettre à l’aise, et commença à se déshabiller.
Il s’est mis en petite culotte et déambulait dans la pièce. Les autre en ont fait autant petit à petit. Les gars ne pouvaient pas cacher leur excitation.. Un couple s’embrassait déjà.
Voyant que j’étais gêné, une femme a enlevé mon tee shirt et m’a demandé d’enlever le bas. Je n’osais pas le faire. Pas devant les hommes. J’ai souvent été approché par les homos.. je n’aime pas ça. Je suis déjà trop d’homme, alors j’ai pas besoin de renfort.. lol
Elle a insisté pour m’aider, elle a enlevé sa culotte suivie par tous ses complices. Nus étions tous assis autour d’une table basse.
Devant tout le monde nu.. dans le silence…je me suis exécuté. Je ne bandais pas. Sûrement la présence masculine.. J’ai vu leur regard me fixer, le silence se faire. Gros comme un poignet, j’ai posé mon sexe encore mou sur ma cuisse pour ne pas qu’elle soit sur le tissus du divan.. Remis de leur vision, un couple s’est mis à s’embrasser et se caresser. C’est drôle, mais c’est à ce moment là enfin que je me suis rendu compte qu’ils m’invitaient à une partouze. Toujours en retard d’une guerre.
Ma voisine m’a pris dans ses bras et s’est directement saisi de mon membre. J’ai essayé de parler mais ce n’étais pas facile… en allemand.
Elle m’a masturbé avec ses deux mains.. ne pouvant le faire avec une seule.. Assis, mon sexe s’est érigé et arrivait au niveau de nos visages.. Elle lâcha ma bouche pour se précipiter dessus.
C’est alors que j’ai jeté un œil sur les autres.Ils étaient tous là, à me regarder, à me détailler.
Les hommes faisaient grise mine et l’un d’eux se masturbait. Sa compagne également. Les femmes étaient terriblement excitées.
Un couple s’est levé et est venu s’installer sur le canapé. J’ai alors dit péniblement que ne souhaitait pas avoir de rapports homosexuels, en espérant qu’ils comprennent. Ils ont compris que je ne voulais pas de rapports en groupe et m’ont écouté. Ils sont tous sortis de la pièce, me laissant avec celle qui me caressait. Ce n’étais pas la plus belle, mais la plus décidée de toutes, la plus chaude.
Elle était sauvage et entreprenante. Elle s’est acharné à vouloir me prendre dans sa bouche.
Ne le pouvant pas, elle s’est frotté la vulve avec mon sexe et a essayé une pénétration. sans succès.
Elle a même tenté une sodomie.. Je dis « elle » parce que je préfère en général rester passif, je vous laisse jouer seules en cas de désir de pénétration.
La voyant désespérée, je l’ai aidé. Je me suis alors mis sur elle. Je le fais rarement.
Mieux vaut ne pas forcer et ne donner que ce que l’on peut prendre.. Elle m’a introduit après plusieurs essais, elle était acharnée à réussir. Elle me retenait pas les hanches. Son visage se tordait de douleur..
Je n’osais bouger.Je pensais qu’elle allait me demander d’arrêter..
Au contraire, elle a tiré sur mes hanches pour forcer. Une dizaine de cm était engagés et pouvaient à peine coulisser. Mais elle continuait, en voulait plus. J’ai pris les choses en main..
Je lui ai demandé si je pouvais l’aider. Elle m’a répondu oui.. (euh ja !) Je le lui ai demandé deux fois pour être sûr de sa réponse.
Je me suis mis à bouger.. tout doucement.. essayant de ne pas trop ressortir pour ne plus pouvoir revenir. Je coulissait maintenant un peu mieux et m’enfonçait petit à petit un peu plus. .
Déjà15/20 cm.. Je voyais ses lèvres distendues, ouvertes sur l’intérieur de ses cuisses. Elle enserrait très fort mon pénis. Elle poussait de petits cris, comme si elle avait le hoquet. Elle me griffait les avants bras et me faisait mal. Elle me parlait dans sa langue.
Elle tirait encore sur mes hanches. Elle me demanda alors de bouger plus, de ne pas me contrôler… enfin, c‘est ce que j’ai compris. Je me suis mis à la limer plus fort.. (limer, terme de mecs.. lol) je la forçais à chaque coup de boutoir. Je sentais depuis longtemps le fond de son sexe. Elle ne voulait pas que je ressorte, ça lui faisait encore plus mal.
Elle criait maintenant. Des cris de douleur. J’avais peur que les autres arrivent.. Mais elle continuait à en redemander.. Elle relevait ses fesses pour mieux être prise. Bien que la remplissant entièrement avec la moitié de mon sexe, elle continuait à forcer pour en avoir plus, à me tirer vers elle, à s’empaler sur moi. J’ai craqué, j’ai forcé. Elle hurlait maintenant, me griffait au sang. On aurait dit qu’elle m’insultait dans sa langue. Elle continuait à me tirer vers elle.
J’ai poussé.. fort. Peut être trop. Allant pratiquement jusqu’à la garde. Elle a eu un dernier hoquet… puis plus rien..
J’ai senti qq chose de chaud couler dans son sexe… du sang. Elle ne bougeait plus et avait fermé les yeux.. inconsciente. J’ai paniqué, me suis dégagé lentement. J’étais tout sanguinolent et le canapé en était plein. Un filet rouge coulait de son vagin. Je l’ai secoué un peu et demandé si ça allait… pas de réponse.. panique.. Elle restait là, les yeux fermés, la respiration lente, le visage sans expression. J’ai pris peur, je n’osais pas aller voir ses amis.. le piège..
Je me suis décidé quand même d’aller les voir.. Ils ont accouru.. Dès qu’ils l’ont touché, elle s’est réveillé.. Je tremblais. Elle s’était évanouie simplement.. Maintenant réveillée, elle avait mal mais continuait à me sourire et semblait me dire qu‘elle avait éprouvé beaucoup de plaisir.
Les autres m’ont rassuré aussi. Je ne me rendais pas compte que nous étions tous tout nus.
Je devais manœuvrer entre eux et je les touchais souvent avec mon sexe.. je n’y prêtais pas attention.
Ma victime est partie dans la salle de bain. Elle est partie se coucher juste après. Je ne l’ai jamais plus revue.
Ma copine du début, celle qui m’avait remarqué sur la plage m’a demandé si cela m’étais déjà arrivé lors de mes rapports.. Elle semblait maintenant intéressée… peut être voulait elle relever le challenge de sa copine. Elle m’a affirmé que non. Son amie seule pouvait le tenter parce qu’elle pratiquait souvent les grosses tailles, le fist fucking, et avait apparemment pas réussi. Elle ne s’en sentait pas le capacité. Elle me dit par contre qu’elle apprécierait de me caresser.
Sitôt dit.. elle me prend et me met sur son avant bras…posé comme si elle tenait un bébé.. Elle m’a embrassé le sexe comme si c’en était un..Mon bout allait se loger dans le creux de ses bras..
Elle le mis dans son cou. Son regard doux et sa féminité, sa manière de m’observer, ses gestes tendres.. je n’ai pas tenu longtemps. Ses amis étaient encore dans la pièce et deux hommes s’occupaient d’une femme tandis qu’un autre couple s’ébattait à côté de la table. C’est drôle, on n’entend pas les autres prendre du plaisir lorsqu’on fait l’amour. Je suis arrivé à faire abstraction et je ne pensais qu’à celle qui me câlinait. Elle était très douce, semblait être de mon age..
Elle est partie chercher un tube de lubrifiant et m’a entièrement enduit. Elle était nue et magnifique. Elle m’a allongé sur le dos et s ‘est assise sur mon ventre. Elle promenait le monstre sur ses seins et ses mains allaient et venaient dessus. Elle me léchait aussi. Elle me cajolait.
Son souffle de plus en plus court, ses cheveux que voyais onduler sur son dos, devant moi..
Elle remuait beaucoup. Je ne regardais plus les autres.
Je suis venu. Mes deux premières décharges l’ont surprise et sont allées s’écraser de l’autre côté de la table, sur les autres couples.. à trois mètres de là. Elle s’est écriée « oh mein gott ! sie doch !» . (oh mon dieu ! regardez vite!) Elle s’est évertuée à me faire recommencer pour que les autres voient. Elle s’exclamait à chaque fois que je me contractais.. Elle visait le plafond pour marquer un record.. Elle ne s’est mise à me boire que lorsque mon sperme ne giclait plus qu’à hauteur de son visage. J’entendais ses bruits de succion et ses mains courir sur moi, me pressant comme elle pouvait avec ses jambes, contre son sexe., entre ses seins.. Elle continua longtemps à me lécher, jusqu à ce que je sois bien nettoyé. Je me sentais bien. Mon excitation retomba. Les autres avaient assisté à la scène et nous regardaient. Assise à côté de moi et elle en profita pour s’amuser avec moi. Elle mettait ses deux mains à la base, pouvant encore à peine l’enserrer entièrement.. et elle remuait.. tournait et faisait rouler mon pénis sur mon ventre, ses bras, mes cuisses. Pour rire, et faire rire ses amis, et moi même tant j’étais maintenant complètement inhibé, elle m’a demandé de me mettre sur le côté, m’a posé délicatement sur le canapé. Elle s’est allongé et s’en est servie de coussin. Elle faisait mine de dormir et se retournait en mettant en forme son oreiller.. On était hilares.
Les autres avaient visiblement fini et je sentais une odeur venir de la cuisine..
On a discuté encore un partie de la nuit. Entassés les uns sur les autres sur le canapé taché et autour de la table.
Tous venaient me dire au revoir en allant se coucher et me gratifiaient pour mon physique, me donnaient des noms.. Excalibur, Homo Eroticus.. Un des hommes m’a fait la bise.. Ma préférée m’a passé la main sur le sexe, s’y est attardé un peu en m’embrassant avant de me dire adieu. J’ai cru comprendre dans son français hésitant qu’elle me disait « jamais oublier »
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