La Plage du Bikini Blanc - histoire érotique

La route est dégagée, personne à part toi. Tu repenses à ta journée, elle avait été longue, mais c'était l'une des dernières. La fin de saison arrivait enfin. Tu avais alors décidé de te détendre un peu. La petite plage discrète que tu avais repérée la semaine précédente allait pouvoir être utile. Enfin. Tu arrives près du sentier qui y mène.
Tu te gares, prends ton sac de plage et ta serviette, et descends ce petit chemin escarpé qui dessert la crique. En sortant de ta voiture, une brise fraîche te surprend, mais elle est plutôt agréable. Il n'est pas facile à suivre, peu de gens doivent l'emprunter tant la végétation y a repris ses droits. Pourtant, arrivée en bas, tu remarques que quelqu'un a déjà investit les lieux. Une serviette de plage est étalée, des affaires en vrac l'accompagnent. Mais personne aux alentours, ni sur la plage, ni dans l'eau. Peut être un oubli...
Tu t'installes donc, ravie d'être seule. Tu te déshabilles et enfiles ton maillot. La chaleur du soleil sur ta peau est toujours un régal, un enchantement, une caresse. Tu rejoins rapidement l'eau, légèrement fraîche, malgré la saison. Mais avec cette chaleur, tu n'en demandais pas tant. Quelques brasses finissent par te persuader. Tu as bien fait de venir. Tu te sens tellement détendue, dans cette eau limpide. Ne pas être venue aurait été une erreur.
Ce nouveau maillot n'est pas mal non plus. Par contre, la vendeuse t'avait assuré que malgré sa couleur blanche, on ne voyait pas au travers une fois mouillé. Que c'était fini ce temps là. Quelle conne ! Tu ne pourras pas le mettre souvent, c'est sûr ! A part ici peut-être... Sur cette plage déserte dont tu ne connais pas le nom. Voilà. Ce sera la Plage du Bikini Blanc.
En ressortant de l'eau, tu t'aperçois qu'elle était plus fraîche que tu ne l'avais pensé. Tes seins sont tous durs et pointent avec insolence à travers le haut de ton maillot. Tu remarques aussi que la serviette de tout à l'heure est occupée cette fois ci. Un homme y bronze nonchalamment, te tournant le dos. Après t'être rapidement séchée, tu t'allonges sur ta serviette et défais le nœud du haut de ton maillot, offrant ainsi entièrement ta peau à ce soleil d'été indien qui finit sa course. D'ailleurs, il te réchauffe plus vite que prévu. Une dose d'huile solaire serait la bienvenue pour préserver cette douce peau bronzée.
Un œil vers ton voisin de plage, il est assis sur sa serviette, le regard perdu vers le large. Pas mal du tout... Plutôt beau garçon, des muscles bien dessinés, mais pas trop non plus. Un homme qui s'entretient, pas un adepte de la gonflette. Brun, une barbe de trois jours sur les joues, une paire de Ray Ban sur les yeux, oui, pas mal du tout. Tu l'appelles en lui demandant si cela ne le dérange pas de te mettre de l'huile dans le dos. Il acquiesce et se lève. Une voix grave mais douce, une démarche assurée, un torse en harmonie avec ce que tu avais aperçu précédemment, décidément, il te plaît.
Il s'installe à coté de toi, saisi le flacon que tu lui tends et s'exécute. Ses mains sont un délice. Douces, de longs doigts fins, te massant délicatement le dos et t'huilant la peu méthodiquement. Il s'attarde sur tes trapèzes et ta nuque. C'est si bon. Un massage en prime, que demander d'autre ? Il est doué en plus, ce qui ne gâche rien au plaisir. Le moment de détente que tu espérais n'était pas aussi parfait. Lorsqu'il commence à descendre vers tes lombaires, un frisson t'envahit. Toi, malgré tout, tu le croquerais bien. Un inconnu. Dont tu ne connais même pas le nom. Et pourtant...
Perdues dans tes pensées, tu reviens à toi lorsque tu sens que ses mains descendent vers tes fesses. Elles s'arrêtent à la hauteur de ton maillot, mais tu aimerais bien qu'elles continuent leur course. Comment le lui faire comprendre sans brusquer les choses et assombrir cet instant de bonheur ? Tu écartes un peu les jambes, très légèrement. Mais suffisamment pour qu'il le remarque. Pourtant il s'arrête. Dommage. Le charme est rompu.
Tu regrettes déjà ce mouvement lorsqu'il repose ses mains sur toi. Il reprenait de l'huile. Il ne faisait que commencer... Il occupe à présent de tes jambes. De la pointe des pieds vers tes cuisses, avec fermeté et tendresse. Mmm !!! Tu gémis malgré toi. Mais c'est si bon...Après t'avoir longuement massé les jambes, il s'attarde sur tes cuisses que tu entrouvres légèrement plus. Vas y, penses tu, vas y, occupe toi de moi. Fais de ce moment un morceau d'éternité. Soudain, tu repenses à la blancheur de ton maillot. Est il encore mouillé ? Voit il au travers ? Un frisson te parcourt alors. Oui. Tu sens qu'il est encore humide. Ce qui veut dire... Mmm !!! Tu gémis à nouveau. Il est à présent en train de te masser l'intérieur des cuisses. Il vient de te frôler le sexe avec ses doigts, par inadvertance. Mmm !!! Il recommence. Ce n'est pas involontaire cette fois ci, espères tu. Non, pas deux fois de suite. Et il recommence, encore et encore. Mais cette fois ci plus intensément. Ne tenant plus, tu relèves un peu le bassin, t'offrant entièrement à ses mains. Cette plage déserte est décidément le meilleur endroit où tu pouvais te rendre aujourd'hui...
Ses mains sont maintenant sur tes fesses, qu'elles caressent plus qu'elles ne massent. Cette sensation de s'abandonner à l'autre est si nouvelle pour toi, qu'elle en est presque troublante. Tu sens un léger mouvement de sa part vers tes hanches. Il se dirige vers les deux nœuds qui retiennent encore le bas de ton bikini. Tu relèves un peu plus ton bassin pour lui faciliter la tâche, lui donnant par la même occasion ton approbation. Les nœuds tombent. Le maillot glisse. Te voici nue. Le bassin relevé, les cuisses entrouvertes, avec deux mains sur tes hanches.
L'une d'elle reprend ses caresses tandis que l'autre se déplace vers ton sexe. D'un doigt, il en fait le tour, plusieurs fois, resserrant à chaque fois le rayon de son cercle. Enfin il y arrive. Ta chatte est déjà humide. Ce n'est pas dû seulement au bain de tout à l'heure. Tu es aussi fortement excitée. Cette situation te ravit. Et même si n'importe qui pourrait vous surprendre d'un instant à l'autre, tu ne ressens aucune gêne. Tu sens alors ses longs doigts fins entrer en toi. En surface seulement dans un premier temps, puis plus profondément. Mmm !!! C'est si bon... Alors qu'il retire ses doigts, tu sens une douce chaleur sur ton entrejambe humide. Le soleil doit être en train de tourner. Plus qu'une chaleur, c'est un souffle. Puis une langue.
Ses mains plaquées sur tes hanches, il te frôle légèrement les lèvres avec sa langue. Puis elle se fait plus présente. Au fur et à mesure, elle s'immisce dans ta petite chatte déjà bien trempée. Elle la caresse tranquillement avant de se charger de ton clitoris. Tu gémis à nouveau et les coups de langues s'accélèrent. Tu n'en peux plus. Le désir t’inonde par vagues successives, comme s'il suivait le rythme de la mer toute proche. Tu te redresses et l'embrasses sans prévenir, avec fougue et passion. Votre étreinte dure longtemps, un baiser tel qu'on souhaite qu'il ne se termine jamais. Ta main descend vers son sexe, déjà enflé, et le saisi vigoureusement. Une de ses main se perd dans tes cheveux, l'autre te caresse la poitrine. Tu sens qu'il souhaite l'embrasser, la toucher, la lécher, mais ce sera pour plus tard. A toi d'agir maintenant. D'un mouvement du bassin, tu colles ton sexe contre le sien. Tu aimes le sentir contre toi. Tu te frottes contre lui, de plus en plus fort, de plus en plus vite, afin que sa queue gonfle encore. Tu descends vers elle, le regardes d'en dessous, et ouvres sensuellement ta bouche en l'approchent de son sexe. A son tour de gémir...
Tu commences par l'embrasser, puis la lécher, de haut en bas. Puis tu la prends dans ta bouche et la suce doucement. Ta langue chaude caresse sa queue, tes lèvres se resserrent dessus. Tu accélères un peu, il gémit à nouveau. Avec ta main, tu la caresses en même temps, dans toute sa longueur. Sa queue grossit encore, jusqu'à son paroxysme. Elle est dure comme jamais. Tu la veux en toi. Maintenant. Tu te relèves et le pousses sèchement. Surpris par ton geste, il tombe sur le dos, en plein milieu de ta serviette. Il est à toi. Entièrement à toi. Et bientôt en toi.
T'asseyant à califourchon sur lui, tu lui plaques le visage contre ta poitrine, qu'il s'empresse de saisir, de caresser, d'embrasser, de lécher. Ne pouvant plus attendre, un mouvement du bassin te place juste au dessus de sa queue sur laquelle tu commences à t'empaler. Sa queue est à l'étroit. C'est chaud. C'est humide. C'est bon. Il te remplit avec sa queue, tellement que tu gémis encore, plus fort cette fois ci. Tu accélères petit à petit les mouvements. Tu as chaud, tu es enivrée par la situation et tout ce désir entre vous. Le risque que quelqu'un vous surprenne t'excite d'avantage. Il est au plus profond de toi et te donne des coups de reins qui te comblent. Tu te couches sur lui et effectues à ton tour des mouvements de va et vient avec ton bassin. De plus en plus vite. Tu as envie de jouir.
Mais il s’arrête, te redresse, se lève, et t'oriente pour une levrette. Ses mains viennent se placer sur tes hanches qu'elles agrippent, et il te pénètre, plus sauvagement que tout à l'heure. Puis il se couche sur toi et prends tes seins à pleines mains, calmant sans arrêter ses coups de butoir. Tu commences à ne plus pouvoir retenir tes petits cris. Tu te cambres, encore et encore. Tes muscles se tendent. L'orgasme te délivre dans un cri de jouissance, il en profite pour venir à son tour en toi. Il a du mal à respirer un instant, son sperme t'emplissant pendant se temps. Tu trembles, lui aussi. Tu lui prends la tête à deux mains et l'embrasses passionnément.
Allongée à ses cotés, tu savoures cet instant de magie. Puis, la réalité reprenant ses droits, regardes ta montre. Mince, il faut que tu rentres. Tu n'as absolument pas vu le temps passer. Il commence à être tard. Tu te lèves, enfiles tes habits, ranges maillot, serviette et huile solaire dans ton sac et te retournes vers lui.
On se reverra, j'espère, lui dis tu.
Je viens ici tous les soirs, te répond t'il.
Enchantée par cette nouvelle, tu remontes le sentier vers ta voiture. Décidément, tu ne regrettes pas cette escapade. A mi-chemin, tu t'aperçois que tu as oublié quelque chose. Tu te retournes et lui cries :
Comment t'appelles tu ? Moi, c'est Sandra.
Eric, répondit il sur le même ton. A bientôt Sandra, j'espère que ça t'a plu