La plus grande
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La plus grande
Je m’appelle Malika et j’habite une cité de la banlieue parisienne. J’ai dix-neuf ans et je suis la deuxième d’une famille de 8 enfants. Nous sommes trois garçons et cinq filles , mais toutes les autres filles du quartier sont aussi mes sœurs.
J’ai grandi dans ce quartier et j’ai vu les changements qui s’y sont produits au cours des dernières années. Pour nous, les femmes, la vie n’est pas facile. Nous avons du mal à assumer notre sexe et nous souffrons beaucoup des regards dominants des garçons. Beaucoup de mes voisines ont définitivement décidé de passer leur féminité par pertes et profits. Certaines se sapent comme des mecs (survêtements, baskets…) d’autres, poussées par le poids de la tradition familiale portent le hijab, quand il ne s’agit pas carrément du niqab traditionnel. C’est mon cas. Depuis quelques temps, je ne sors plus qu’entièrement couverte, de la tête aux pieds. Mes frères ne m’ont pas laissé le choix. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que sous ma tunique, je porte de la lingerie fine. D’ailleurs, ils s’en ficheraient, du moment que les apparences sont sauves. Par contre, s’ils savaient que je ne suis plus vierge, il en irait tout autrement car je suis censée épouser un cousin venu du bled l’an prochain.Les garçons s’occupent assez peu de nous dans le quartier. Les filles sont soumises et restent entre elles. C’est comme cela que j’ai perdu mon pucelage, quand une copine m’a dépucelée à l’aide d’un godemichet . Nous sommes plusieurs à nous contenter des caresses entre femmes dans les barres d’immeubles voisines. C’est le seul moyen de connaître un tant soit peu l’amour sans prendre de risques inutiles. Notre besoin de tendresse trouve un certain apaisement dans nos étreintes lesbiennes.
Nous nous retrouvons généralement dans une cave obscure qui nous est réservée. Les garçons n’y viennent quasiment jamais. Eux aussi doivent faire attention à leurs fréquentations. Comme nous sommes presque toutes promises en mariage bien avant d’en avoir l’âge, ils savent que nous sommes intouchables. Nous passons donc notre temps à nous côtoyer, sans que de vraies relations ne se nouent. Nous savons donc que nous pouvons compter sur la discrétion des lieux pour y faire à peu près ce que nous voulons. Notre groupe a aménagé la cave sommairement, avec de vieilles banquettes à moitié défoncées, quelques sièges et une table. Houria nous a rapporté un lecteur de DVD et une télévision qui sont notre seul luxe.
Il y a quelques mois de ça, je suis venue dans la cave avec ma cousine Fathia qui voulait me montrer un film . Nous étions seules dans le local. Elle a entré le DVD dans le lecteur et nous nous sommes assises sur un vieux canapé. Tout de suite, elle m’a prise dans ses bras. Elle est un peu plus jeune que moi et je l’aime bien. Je me suis laissée faire. Quand le film a commencé, je n’ai pas réagi non plus. Pourtant, il y aurait eu de quoi ! Sur l’écran, on voyait deux françaises qui se roulaient une pelle en se caressant la chatte. Je n’avais jamais vu de film porno avant ça. Je suis resté bouche bée, incapable de quitter la télé des yeux. De toute manière, j’étais déjà excitée. Je ne m’étais pas branlée depuis un bon moment et j’avais accumulé une bonne dose de désir en moi. La promiscuité qui règne dans notre appartement, à dix dans un cinq pièces, n’est pas très propice à la masturbation . Souvent je me touche aux toilettes ou sous la douche, mais il y a toujours quelqu’un pour me déranger au bon moment.
Fathia profitait de mon excitation. Elle avait passé sa main sous mon niqab. Elle cherchait mes seins et mes cuisses. Nous étions en été et je ne portais que mes sous-vêtements sous la tunique. Les doigts de ma cousine m’échauffaient les sens. J’écartais déjà les cuisses pour lui ouvrir la voie de mon sexe. Elle le sentait et se faisait vicieuse. Sa main passa sous l’élastique de ma culotte et se mit à fouiller dans ma toison sombre. J’avais les seins qui pointaient grave sous l’action volontaire de ses doigts. Fathia ne pouvait pas m’embrasser à travers le niqab. Elle ne voyait que mes yeux. Au bout d’un moment, elle s’est levée pour aller fermer la porte et s’assurer que nous serions tranquilles toutes les deux. A la télé, il y avait trois femmes blondes qui se bouffaient la chatte les unes et les autres.
Quand ma cousine est revenue, elle a soulevé mon niqab sur mes cuisses. Puis, elle a descendu mon slip et est venue s’agenouiller devant moi. Je ne pouvais pas quitter la télévision du regard et, surtout, je n’osais pas regarder ce qui se tramait entre mes jambes. J’étais un peu honteuse, mais ce qui se préparait m’excitait beaucoup et je n’aurai voulu pour rien au monde que Fathia s’interrompe. Nue sous ma tunique, j’accueillis avec plaisir sa langue et ses lèvres sur ma vulve. Elle se mit très rapidement à s’activer, écartant ma fente avec sa bouche. J’étais vraiment gênée de lui couler sur le visage, mais cette gêne s’effaça vite devant le désir qui me tenaillait le ventre. Elle était en train de me faire ce que je voyais pour la première fois à l’écran. Sans m’en rendre compte, mes mains se posèrent sur sa tête et je la serrai très fort contre moi. J’avais envie de la sentir tout au fond de mon puits d’amour. Je voulais qu’elle entre toute sa langue bien profondément en moi. Je glissai sur le canapé pour mieux me coller à la ventouse qui me pompait le sexe. Ca dura bien une dizaine de minutes avant que je ne sois emportée par une première jouissance.
Mais ma cousine ne voulait pas en rester là. J’étais à peine remise de mes émotions que je la vis sortir de son sac un engin totalement inconnu pour moi. Il ne le demeura pas longtemps. En fait, il y avait quasiment le même à l’écran. Cette fois, une rouquine s’apprêtait à défoncer une des blondes de la scène précédente. Celle-ci, agenouillée sur un siège, présentait son cul à la rousse qui était harnachée d’un engin comme celui de Fathia. C’était une sorte de grosse bite toute noire. La rousse la fit entrer dans le sexe de la blonde et commença à la limer. Je n’en croyais pas mes yeux et, surtout, j’avais du mal à imaginer que ma cousine allait me faire subir le même sort. Pourtant, c’est ce qui se passa.
Fathia m’invita à me redresser et me conduisit jusqu’à l’un des vieux fauteuils de la cave. Elle le fit pivoter pour mettre le dossier face à la télé et m’invita à m’agenouiller sur le siège. Ainsi, je pouvais continuer à regarder le film qui devenait franchement excitant. J’étais toujours vêtue de mon niqab, tout comme ma cousine. Je pense qu’elle ne voulait pas prendre le risque d’être surprise en petite tenue par nos camarades. Elle prit le bas de ma tunique et la remonta sur mon dos. D’une main ferme, elle m’écarta les genoux. Au passage, elle me toucha le sexe. J’étais à nouveau trempée. Rassurée sur ce point, elle enfila son harnais et positionna la bite en plastique sur son bas-ventre. De temps en temps, je jetai un regard partagé en arrière, pour observer ses préparatifs. Quand je la vis approcher de mon cul avec son gode, je me retournai vers la télé, comme pour me voiler la face.
Fathia passa le gland noir sur ma fente. J’étais un peu inquiète, mais les cris de plaisir de la blonde sur l’écran me rassuraient et, surtout, me donnaient une furieuse envie de vivre la même expérience, qui semblait si agréable. Ma cousine me faisait languir, comme pour parfaire mon excitation ou pour faire monter mon désir. Je n’en pouvais plus, il fallait que je prenne toute la longueur de l’engin dans ma chatte. Je crois que je suis venue m’empaler dessus avant même que Fathia ne pousse pour me le mettre. Je le sentis entrer en moi facilement. Aussitôt, ma maîtresse se mit à aller et venir dans mon vagin . J’aurai voulu qu’elle aille aussi vite que la rousse qui niquait sa femme sur l’écran mais elle prenait son temps. Alors, pour bien lui montrer que je souhaitais qu’elle me prenne en force, j’ai fait coulisser mon trou sur le bâton. Je me baisais moi-même sur le manche. Fathia vit où je voulais en venir et accéléra la cadence de ses mouvements. Le nœud butait au fond de mon ventre. Je suais sous mon voile. Ma cousine s’était penchée sur moi et me tâtait les seins à travers la tunique noire. J’étais comme folle et j’en voulais toujours plus. Mon cul tapait sur le pubis et les cuisses de Fathia. A ses gémissements, je compris qu’elle aussi trouvait son compte à nos ébats. Ca devait lui faire du bien sur le clito. J’ai tenu quelques minutes à ce train là, mais quand les filles ont joui à la télé, je n’ai plus pu me retenir. Je crois que Fathia est partie en même temps que moi car elle s’est affalée sur mon dos.
C’est ce jour là et dans ces conditions que j’ai perdu mon pucelage. Depuis, j’ai vécu d’autres expériences très chaudes avec des filles du quartier. Je vous les raconterai peut-être une autre
J’ai grandi dans ce quartier et j’ai vu les changements qui s’y sont produits au cours des dernières années. Pour nous, les femmes, la vie n’est pas facile. Nous avons du mal à assumer notre sexe et nous souffrons beaucoup des regards dominants des garçons. Beaucoup de mes voisines ont définitivement décidé de passer leur féminité par pertes et profits. Certaines se sapent comme des mecs (survêtements, baskets…) d’autres, poussées par le poids de la tradition familiale portent le hijab, quand il ne s’agit pas carrément du niqab traditionnel. C’est mon cas. Depuis quelques temps, je ne sors plus qu’entièrement couverte, de la tête aux pieds. Mes frères ne m’ont pas laissé le choix. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que sous ma tunique, je porte de la lingerie fine. D’ailleurs, ils s’en ficheraient, du moment que les apparences sont sauves. Par contre, s’ils savaient que je ne suis plus vierge, il en irait tout autrement car je suis censée épouser un cousin venu du bled l’an prochain.Les garçons s’occupent assez peu de nous dans le quartier. Les filles sont soumises et restent entre elles. C’est comme cela que j’ai perdu mon pucelage, quand une copine m’a dépucelée à l’aide d’un godemichet . Nous sommes plusieurs à nous contenter des caresses entre femmes dans les barres d’immeubles voisines. C’est le seul moyen de connaître un tant soit peu l’amour sans prendre de risques inutiles. Notre besoin de tendresse trouve un certain apaisement dans nos étreintes lesbiennes.
Nous nous retrouvons généralement dans une cave obscure qui nous est réservée. Les garçons n’y viennent quasiment jamais. Eux aussi doivent faire attention à leurs fréquentations. Comme nous sommes presque toutes promises en mariage bien avant d’en avoir l’âge, ils savent que nous sommes intouchables. Nous passons donc notre temps à nous côtoyer, sans que de vraies relations ne se nouent. Nous savons donc que nous pouvons compter sur la discrétion des lieux pour y faire à peu près ce que nous voulons. Notre groupe a aménagé la cave sommairement, avec de vieilles banquettes à moitié défoncées, quelques sièges et une table. Houria nous a rapporté un lecteur de DVD et une télévision qui sont notre seul luxe.
Il y a quelques mois de ça, je suis venue dans la cave avec ma cousine Fathia qui voulait me montrer un film . Nous étions seules dans le local. Elle a entré le DVD dans le lecteur et nous nous sommes assises sur un vieux canapé. Tout de suite, elle m’a prise dans ses bras. Elle est un peu plus jeune que moi et je l’aime bien. Je me suis laissée faire. Quand le film a commencé, je n’ai pas réagi non plus. Pourtant, il y aurait eu de quoi ! Sur l’écran, on voyait deux françaises qui se roulaient une pelle en se caressant la chatte. Je n’avais jamais vu de film porno avant ça. Je suis resté bouche bée, incapable de quitter la télé des yeux. De toute manière, j’étais déjà excitée. Je ne m’étais pas branlée depuis un bon moment et j’avais accumulé une bonne dose de désir en moi. La promiscuité qui règne dans notre appartement, à dix dans un cinq pièces, n’est pas très propice à la masturbation . Souvent je me touche aux toilettes ou sous la douche, mais il y a toujours quelqu’un pour me déranger au bon moment.
Fathia profitait de mon excitation. Elle avait passé sa main sous mon niqab. Elle cherchait mes seins et mes cuisses. Nous étions en été et je ne portais que mes sous-vêtements sous la tunique. Les doigts de ma cousine m’échauffaient les sens. J’écartais déjà les cuisses pour lui ouvrir la voie de mon sexe. Elle le sentait et se faisait vicieuse. Sa main passa sous l’élastique de ma culotte et se mit à fouiller dans ma toison sombre. J’avais les seins qui pointaient grave sous l’action volontaire de ses doigts. Fathia ne pouvait pas m’embrasser à travers le niqab. Elle ne voyait que mes yeux. Au bout d’un moment, elle s’est levée pour aller fermer la porte et s’assurer que nous serions tranquilles toutes les deux. A la télé, il y avait trois femmes blondes qui se bouffaient la chatte les unes et les autres.
Quand ma cousine est revenue, elle a soulevé mon niqab sur mes cuisses. Puis, elle a descendu mon slip et est venue s’agenouiller devant moi. Je ne pouvais pas quitter la télévision du regard et, surtout, je n’osais pas regarder ce qui se tramait entre mes jambes. J’étais un peu honteuse, mais ce qui se préparait m’excitait beaucoup et je n’aurai voulu pour rien au monde que Fathia s’interrompe. Nue sous ma tunique, j’accueillis avec plaisir sa langue et ses lèvres sur ma vulve. Elle se mit très rapidement à s’activer, écartant ma fente avec sa bouche. J’étais vraiment gênée de lui couler sur le visage, mais cette gêne s’effaça vite devant le désir qui me tenaillait le ventre. Elle était en train de me faire ce que je voyais pour la première fois à l’écran. Sans m’en rendre compte, mes mains se posèrent sur sa tête et je la serrai très fort contre moi. J’avais envie de la sentir tout au fond de mon puits d’amour. Je voulais qu’elle entre toute sa langue bien profondément en moi. Je glissai sur le canapé pour mieux me coller à la ventouse qui me pompait le sexe. Ca dura bien une dizaine de minutes avant que je ne sois emportée par une première jouissance.
Mais ma cousine ne voulait pas en rester là. J’étais à peine remise de mes émotions que je la vis sortir de son sac un engin totalement inconnu pour moi. Il ne le demeura pas longtemps. En fait, il y avait quasiment le même à l’écran. Cette fois, une rouquine s’apprêtait à défoncer une des blondes de la scène précédente. Celle-ci, agenouillée sur un siège, présentait son cul à la rousse qui était harnachée d’un engin comme celui de Fathia. C’était une sorte de grosse bite toute noire. La rousse la fit entrer dans le sexe de la blonde et commença à la limer. Je n’en croyais pas mes yeux et, surtout, j’avais du mal à imaginer que ma cousine allait me faire subir le même sort. Pourtant, c’est ce qui se passa.
Fathia m’invita à me redresser et me conduisit jusqu’à l’un des vieux fauteuils de la cave. Elle le fit pivoter pour mettre le dossier face à la télé et m’invita à m’agenouiller sur le siège. Ainsi, je pouvais continuer à regarder le film qui devenait franchement excitant. J’étais toujours vêtue de mon niqab, tout comme ma cousine. Je pense qu’elle ne voulait pas prendre le risque d’être surprise en petite tenue par nos camarades. Elle prit le bas de ma tunique et la remonta sur mon dos. D’une main ferme, elle m’écarta les genoux. Au passage, elle me toucha le sexe. J’étais à nouveau trempée. Rassurée sur ce point, elle enfila son harnais et positionna la bite en plastique sur son bas-ventre. De temps en temps, je jetai un regard partagé en arrière, pour observer ses préparatifs. Quand je la vis approcher de mon cul avec son gode, je me retournai vers la télé, comme pour me voiler la face.
Fathia passa le gland noir sur ma fente. J’étais un peu inquiète, mais les cris de plaisir de la blonde sur l’écran me rassuraient et, surtout, me donnaient une furieuse envie de vivre la même expérience, qui semblait si agréable. Ma cousine me faisait languir, comme pour parfaire mon excitation ou pour faire monter mon désir. Je n’en pouvais plus, il fallait que je prenne toute la longueur de l’engin dans ma chatte. Je crois que je suis venue m’empaler dessus avant même que Fathia ne pousse pour me le mettre. Je le sentis entrer en moi facilement. Aussitôt, ma maîtresse se mit à aller et venir dans mon vagin . J’aurai voulu qu’elle aille aussi vite que la rousse qui niquait sa femme sur l’écran mais elle prenait son temps. Alors, pour bien lui montrer que je souhaitais qu’elle me prenne en force, j’ai fait coulisser mon trou sur le bâton. Je me baisais moi-même sur le manche. Fathia vit où je voulais en venir et accéléra la cadence de ses mouvements. Le nœud butait au fond de mon ventre. Je suais sous mon voile. Ma cousine s’était penchée sur moi et me tâtait les seins à travers la tunique noire. J’étais comme folle et j’en voulais toujours plus. Mon cul tapait sur le pubis et les cuisses de Fathia. A ses gémissements, je compris qu’elle aussi trouvait son compte à nos ébats. Ca devait lui faire du bien sur le clito. J’ai tenu quelques minutes à ce train là, mais quand les filles ont joui à la télé, je n’ai plus pu me retenir. Je crois que Fathia est partie en même temps que moi car elle s’est affalée sur mon dos.
C’est ce jour là et dans ces conditions que j’ai perdu mon pucelage. Depuis, j’ai vécu d’autres expériences très chaudes avec des filles du quartier. Je vous les raconterai peut-être une autre
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