La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 1
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 1
La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 1
Ça y est, je vais devenir patronne !
Mon père vient de me passer la main de son entreprise. 72 ouvriers et ouvrières qui se donnent à fond pour notre entreprise de sous-vêtements dont je ne vous donnerai pas la marque.
Nous sommes dans son bureau, mon futur lieu de travail. Il m’explique et me montre tout ce qu’il faut savoir et pour finir me dit de m’asseoir et de l’écouter.
-Camille, je vais maintenant te raconter ce qui a sauvé notre entreprise il y a 25 ans. Mais avant, tu as remarqué que nos employés sont très peu syndiqués et que notre comité d’entreprise a le vent en poupe avec à sa tête Julien, respecté et admiré de tous et toutes.
Avant d’aller plus loin, suis-moi.
Il m’amène vers une armoire métallique que j’ai toujours connue fermée, que contient -elle ?
Il l’ouvre et je vois plein de grandes boites en carton sur laquelle il y a inscrit : calendriers 1998, 99, et ainsi sur de nombreuses années. Il y a aussi le prix de vente allant de 15 € à 150 €. Comment et pourquoi un tel prix pour de simples calendriers ? Il prend un plus petit carton et revient le poser sur son bureau.
-Je vois à ton regard que tu te poses des questions, mais revenons au début de cette histoire. Notre entreprise périclitait et le comité d’entreprise m’a proposé de faire un calendrier comme l’ont fait des rugbymans, une ou un employé prendra une pose dénudée pour chaque mois de l’année. Ça ne sera pas pour la somme que ça rapportera mais pour le coup de pub de notre entreprise.
Il sort de la boite le premier calendrier sur papier glacé et me le donne, je feuillète les pages et reconnais quelques personnes encore présentes dans l’entreprise. Six hommes et six femmes avec juste ce qu’il faut pour rester érotique sans être vulgaire.
-Fallait avoir un certain courage, papa, pour oser poser devant l’objectif en sachant qu’ensuite n’importe qui pourra voir ce calendrier. Mais je subodore que ça ne doit pas être si simple, ça n’aurait pas suffi à sauver la boite.
-Bien vu ma fille, la vente a quand même bien marché et tous nos clients à qui nous en avions envoyé quelques exemplaires nous en ont redemandés, certains plusieurs fois. Nous avons donc recommencé l’année suivante en ajoutant au sujet principal une personne de l’autre sexe avec nos produits, sous-vêtements, maillots de bain, avec des poses un peu plus subjectives.
Il a fallu faire réimprimer plusieurs fois tellement la demande a été forte et nos carnets de commandes se remplissaient eux aussi. On a eu plusieurs demandes pour des poses plus hot et quand j’ai fait redescendre l’info aux employés, j’ai été étonné que plusieurs d’entre eux et surtout d’entre elles y soient favorables.
L’un des hommes s’est désisté et un de nos plus jeune embauché récemment engagé, après le forcing des autres personnes a enfin accepté de deal. Il était assez beau et les filles se sont presque battues pour savoir qui poserait avec lui après un certain évènement. C’est là que ça a un peu dérapé. Il a fait un shooting avec différents exemplaires de notre collection et c’est là que nous avons remarqué et ensuite corrigé sur la chaine de montage. Nos boxers ne serraient pas assez au niveau des cuisses et régulièrement le bout de son sexe était visible. Tu vois le tableau ? Pas bon ça… Il représentait le mois de juillet avec un slip de bain entouré de deux filles dénudées. Le tissu dessinait bien sur le devant son sexe et certains se sont plaint que c’était trop érotique voire pornographique de le voir bander entouré de deux de nos plus belles employées.
J’en reviens donc aux désidératas de certains de faire un calendrier plus hot sans que j’en sois averti. Il y a eu plusieurs exemplaires avec nos six hommes que les filles avaient excités pour qu’ils bandent sur les photos mais pas mal se sont désistés, surtout quand après avoir beaucoup insisté avec Julien, il a enfin cédé et s’est prêté au jeu, si je puis dire.
Donc ils ont imprimé un nouveau calendrier avec cette fois 24 filles portant des masques avec nos maillots les plus minimalistes qui se sont d’ailleurs ensuite vendus comme des petits pains et Julien avec le visage habilement dissimulé pour qu’il ne puisse être reconnu. Cette fois la déformation de son slip était encore plus visible car contrairement à ce qu’on croyait au départ, il ne bandait pas auparavant. Une énorme bosse partait de son bas-ventre et s’étendait à droite ou à gauche, arrivant presque à soulever l’élastique de la ceinture.
Ces calendriers se vendaient sous le manteau au prix de 150 €. Quand les syndicats ont eu vent de l’histoire, ils ont voulu y mettre le holà mais se sont fait laminer ensuite dans l’entreprise.
Tiens, regarde…
Je feuillette le calendrier qu’il vient de sortir de la boite et admire, je dois le dire, la superbe plastique de ce jeune homme et la déformation des différents exemplaires de nos maillots de bain.
-Effectivement papa, plutôt hot. Je comprends que ce calendrier ait attiré le regard des gens, surtout des femmes. Beau gosse et belle…
-Mais attends Camille ! C’est loin d’être fini. Pour les calendriers publicitaires des années suivantes, ce n’est pas allé plus loin, encore heureux. Mais tu penses bien que certaines filles de l’atelier ne voulaient pas rester sur leur fin, surtout celles du calendrier « spécial » qui devaient prendre la pose, une main appuyée sur le bas-ventre du garçon, pour ne pas dire sur son chibre phénoménal. Tu connais bien Solange, Claire ou Virginie, et je ne vais pas te dresser la liste exhaustive des employées encore présentes dans l’entreprise qui se sont crêpé le chignon pour avoir ses faveurs, si je puis dire… Tu serais étonnée en sachant toutes celles qui n’ont pu résister à l’appel de la chair.
-Je ne veux pas savoir, papa. C’est leur vie privée et je n’ai pas à les juger. Une drôle d’histoire mais si ça a sauvé la boite jadis, tien, quelqu’un frappe à la porte.
-Entrez ! Crie mon père, ah Julien, tu connais bien ma fille Camille, eh bien à partir d’aujourd’hui c’est elle la nouvelle patronne. Je compte sur toi pour la seconder et répondre à toutes ses attentes.
-Bien sûr patron, je ferai tout ce qui est possible pour faciliter la transmission en douceur des pouvoirs, et devoirs d’un bon dirigeant. Camille, je te connais depuis toute petite et suis très heureux que tu suives la voie de ton père. Je venais pour vous rappeler la prochaine réunion du comité d’entreprise. Et il quitte le bureau.
Il y a comme un silence avant que papa reprenne la parole.
-Julien est un employé exemplaire et tu devras t’appuyer sur lui en toutes circonstances. Il est très aimé des employés et avec lui, tous les problèmes avec le personnel ont été résolus avant d’en arriver au clash. Mais je n’ose t’avouer la suite… Tu sais, le jeune employé embauché il y a 25 ans, eh bien c’est lui.
-Lui quoi ? je lui demande.
-Ben lui ! Le calendrier, les poses suggestives, la belle plastique, les mains des filles posées sur son… Et la suite…
-Tu, tu veux dire que le jeune homme avec cette poutre dans le slip, c’est, c’est Julien ?
-Oui ! Tu comprends maintenant pourquoi ça fait des années qu’il dirige le comité d’entreprise d’une main de maître… ou avec autre chose. Je ne sais pas si les bruits qui courent encore sont vraies et je m’en fous tant que ça n’a pas d’incidence sur le rendement.
Je suis estomaquée, Julien m’a prise sur ses genoux quand j’étais petite, m’a portée sur ses épaules. Et là j’apprends qu’il est monté comme un étalon et que l’usine est son terrain de chasse suis-je puis m’exprimer ainsi. Et que dire des femmes de cette entreprise ? Qu’elle est celle qui a fait la pouliche pour se faire monter par l’étalon de l’usine ? Papa reprend :
-Il parait qu’il circule sous le manteau d’autres photos et que les nouvelles embauchées doivent passer un véritable bizutage pour être bien vues par les anciennes. Mais je n’en sais pas plus. D’ailleurs, connais-tu son nom ?
-Je dois admettre que je ne me suis jamais posé la question, papa, je l’ai toujours appelé Julien.
A suivre...
Ça y est, je vais devenir patronne !
Mon père vient de me passer la main de son entreprise. 72 ouvriers et ouvrières qui se donnent à fond pour notre entreprise de sous-vêtements dont je ne vous donnerai pas la marque.
Nous sommes dans son bureau, mon futur lieu de travail. Il m’explique et me montre tout ce qu’il faut savoir et pour finir me dit de m’asseoir et de l’écouter.
-Camille, je vais maintenant te raconter ce qui a sauvé notre entreprise il y a 25 ans. Mais avant, tu as remarqué que nos employés sont très peu syndiqués et que notre comité d’entreprise a le vent en poupe avec à sa tête Julien, respecté et admiré de tous et toutes.
Avant d’aller plus loin, suis-moi.
Il m’amène vers une armoire métallique que j’ai toujours connue fermée, que contient -elle ?
Il l’ouvre et je vois plein de grandes boites en carton sur laquelle il y a inscrit : calendriers 1998, 99, et ainsi sur de nombreuses années. Il y a aussi le prix de vente allant de 15 € à 150 €. Comment et pourquoi un tel prix pour de simples calendriers ? Il prend un plus petit carton et revient le poser sur son bureau.
-Je vois à ton regard que tu te poses des questions, mais revenons au début de cette histoire. Notre entreprise périclitait et le comité d’entreprise m’a proposé de faire un calendrier comme l’ont fait des rugbymans, une ou un employé prendra une pose dénudée pour chaque mois de l’année. Ça ne sera pas pour la somme que ça rapportera mais pour le coup de pub de notre entreprise.
Il sort de la boite le premier calendrier sur papier glacé et me le donne, je feuillète les pages et reconnais quelques personnes encore présentes dans l’entreprise. Six hommes et six femmes avec juste ce qu’il faut pour rester érotique sans être vulgaire.
-Fallait avoir un certain courage, papa, pour oser poser devant l’objectif en sachant qu’ensuite n’importe qui pourra voir ce calendrier. Mais je subodore que ça ne doit pas être si simple, ça n’aurait pas suffi à sauver la boite.
-Bien vu ma fille, la vente a quand même bien marché et tous nos clients à qui nous en avions envoyé quelques exemplaires nous en ont redemandés, certains plusieurs fois. Nous avons donc recommencé l’année suivante en ajoutant au sujet principal une personne de l’autre sexe avec nos produits, sous-vêtements, maillots de bain, avec des poses un peu plus subjectives.
Il a fallu faire réimprimer plusieurs fois tellement la demande a été forte et nos carnets de commandes se remplissaient eux aussi. On a eu plusieurs demandes pour des poses plus hot et quand j’ai fait redescendre l’info aux employés, j’ai été étonné que plusieurs d’entre eux et surtout d’entre elles y soient favorables.
L’un des hommes s’est désisté et un de nos plus jeune embauché récemment engagé, après le forcing des autres personnes a enfin accepté de deal. Il était assez beau et les filles se sont presque battues pour savoir qui poserait avec lui après un certain évènement. C’est là que ça a un peu dérapé. Il a fait un shooting avec différents exemplaires de notre collection et c’est là que nous avons remarqué et ensuite corrigé sur la chaine de montage. Nos boxers ne serraient pas assez au niveau des cuisses et régulièrement le bout de son sexe était visible. Tu vois le tableau ? Pas bon ça… Il représentait le mois de juillet avec un slip de bain entouré de deux filles dénudées. Le tissu dessinait bien sur le devant son sexe et certains se sont plaint que c’était trop érotique voire pornographique de le voir bander entouré de deux de nos plus belles employées.
J’en reviens donc aux désidératas de certains de faire un calendrier plus hot sans que j’en sois averti. Il y a eu plusieurs exemplaires avec nos six hommes que les filles avaient excités pour qu’ils bandent sur les photos mais pas mal se sont désistés, surtout quand après avoir beaucoup insisté avec Julien, il a enfin cédé et s’est prêté au jeu, si je puis dire.
Donc ils ont imprimé un nouveau calendrier avec cette fois 24 filles portant des masques avec nos maillots les plus minimalistes qui se sont d’ailleurs ensuite vendus comme des petits pains et Julien avec le visage habilement dissimulé pour qu’il ne puisse être reconnu. Cette fois la déformation de son slip était encore plus visible car contrairement à ce qu’on croyait au départ, il ne bandait pas auparavant. Une énorme bosse partait de son bas-ventre et s’étendait à droite ou à gauche, arrivant presque à soulever l’élastique de la ceinture.
Ces calendriers se vendaient sous le manteau au prix de 150 €. Quand les syndicats ont eu vent de l’histoire, ils ont voulu y mettre le holà mais se sont fait laminer ensuite dans l’entreprise.
Tiens, regarde…
Je feuillette le calendrier qu’il vient de sortir de la boite et admire, je dois le dire, la superbe plastique de ce jeune homme et la déformation des différents exemplaires de nos maillots de bain.
-Effectivement papa, plutôt hot. Je comprends que ce calendrier ait attiré le regard des gens, surtout des femmes. Beau gosse et belle…
-Mais attends Camille ! C’est loin d’être fini. Pour les calendriers publicitaires des années suivantes, ce n’est pas allé plus loin, encore heureux. Mais tu penses bien que certaines filles de l’atelier ne voulaient pas rester sur leur fin, surtout celles du calendrier « spécial » qui devaient prendre la pose, une main appuyée sur le bas-ventre du garçon, pour ne pas dire sur son chibre phénoménal. Tu connais bien Solange, Claire ou Virginie, et je ne vais pas te dresser la liste exhaustive des employées encore présentes dans l’entreprise qui se sont crêpé le chignon pour avoir ses faveurs, si je puis dire… Tu serais étonnée en sachant toutes celles qui n’ont pu résister à l’appel de la chair.
-Je ne veux pas savoir, papa. C’est leur vie privée et je n’ai pas à les juger. Une drôle d’histoire mais si ça a sauvé la boite jadis, tien, quelqu’un frappe à la porte.
-Entrez ! Crie mon père, ah Julien, tu connais bien ma fille Camille, eh bien à partir d’aujourd’hui c’est elle la nouvelle patronne. Je compte sur toi pour la seconder et répondre à toutes ses attentes.
-Bien sûr patron, je ferai tout ce qui est possible pour faciliter la transmission en douceur des pouvoirs, et devoirs d’un bon dirigeant. Camille, je te connais depuis toute petite et suis très heureux que tu suives la voie de ton père. Je venais pour vous rappeler la prochaine réunion du comité d’entreprise. Et il quitte le bureau.
Il y a comme un silence avant que papa reprenne la parole.
-Julien est un employé exemplaire et tu devras t’appuyer sur lui en toutes circonstances. Il est très aimé des employés et avec lui, tous les problèmes avec le personnel ont été résolus avant d’en arriver au clash. Mais je n’ose t’avouer la suite… Tu sais, le jeune employé embauché il y a 25 ans, eh bien c’est lui.
-Lui quoi ? je lui demande.
-Ben lui ! Le calendrier, les poses suggestives, la belle plastique, les mains des filles posées sur son… Et la suite…
-Tu, tu veux dire que le jeune homme avec cette poutre dans le slip, c’est, c’est Julien ?
-Oui ! Tu comprends maintenant pourquoi ça fait des années qu’il dirige le comité d’entreprise d’une main de maître… ou avec autre chose. Je ne sais pas si les bruits qui courent encore sont vraies et je m’en fous tant que ça n’a pas d’incidence sur le rendement.
Je suis estomaquée, Julien m’a prise sur ses genoux quand j’étais petite, m’a portée sur ses épaules. Et là j’apprends qu’il est monté comme un étalon et que l’usine est son terrain de chasse suis-je puis m’exprimer ainsi. Et que dire des femmes de cette entreprise ? Qu’elle est celle qui a fait la pouliche pour se faire monter par l’étalon de l’usine ? Papa reprend :
-Il parait qu’il circule sous le manteau d’autres photos et que les nouvelles embauchées doivent passer un véritable bizutage pour être bien vues par les anciennes. Mais je n’en sais pas plus. D’ailleurs, connais-tu son nom ?
-Je dois admettre que je ne me suis jamais posé la question, papa, je l’ai toujours appelé Julien.
A suivre...
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire bien excitante et belle colonne de chair…..
J'ai une charpente à refaire
Je trouverais une meilleure utilisation pour sa poutre, dit ma femme
Je ferais bien un calendrier avec la poutre de l'auteur
Je collectionne les calendriers de pompiers
Ça doit être joyeux dans cette usine
Non, mais voir les photos de mlkjhg39 oui
On peut acheter les calendriers ?
L'avatar a aussi une belle poutre