La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 3

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 3
La POUTRE MAITRESSE de l’entreprise. 3

Mais ça fait bien maintenant huit ans, depuis mon mariage avec Manon, que je refuse toutes leurs propositions graveleuses. Mais elles ne m’en tiennent pas trop rigueur.
Voilà, vous savez tout et j’espère ne pas vous avoir trop choquée.

Suite :
-Non, non ! Je le rassure. Il me faudra quand même un moment pour m’habituer au changement. Le Julien que je connais depuis ma tendre enfance en a pris un coup mais je dois dire que le nouveau Julien que je viens de découvrir me laisse pantoise.

Je ne peux pas lui dire que depuis déjà un moment, j’ai ma petite culotte toute humide malgré ma protection hygiénique tellement j’ai mouillé en étant suspendue à ses lèvres. Je le congédie du bureau et fantasme en feuilletant les calendriers ou 24 femmes par an dont la plupart travaillent encore ici caressent sans vergogne cette barre de fer dissimulée derrière nos collections de maillots de bains, de slips et même de strings pour hommes qui ont les plus grandes difficultés pour contenir son service trois pièces, inondant encore plus ma culotte où ma main droite s’est égarée.
Ça devient une vraie obsession, dès que j’arrive à l’entreprise et que je le voie, je ne pense plus qu’à ce qu’il a entre les cuisses, fantasmant sur ce que j’ai vu sur les calendriers et me demandant si malgré les années, il bande toujours aussi dur. Mais ce qui me travaille le plus, c’est de savoir s’il accepterait malgré notre différence d’âge de baiser avec moi. Je ne suis ni une vierge effarouchée ni accro au sexe mais je dois dire que j’en ferais bien mon quatre-heures. Son organe ferait un excellent coupe-faim. Mais comme on dit ; il y a loin de la coupe aux lèvres… Comment je pourrais m’y prendre pour le prendre dans mon filet ?

Huit mois plus tard, il me confie désappointé qu’il est en plein divorce car son épouse le trompe depuis quelque temps avec un de ses collègues et qu’elle a décidé de le quitter.
Cet homme est si bonne pâte qu’il lui laisse la maison et en attendant qu’elle lui donne sa part d’argent sur leur bien, il cherche un point de chute. Je saute donc sur l’occasion pour lui proposer une dépendance dans la propriété que m’a laissée mon père avant de s’installer dans le midi. Il met un moment pour accepter et emménage donc à moins de trente mètres de chez moi.
Nous sommes maintenant en plein été. Tous les employés sont en vacances pour les congés payés. Je dois partir voir mon père dans quinze jours et Julien, lui, fait un peu de dépression et ne bougera-pas. Je lui demande s’il pourra arroser les fleurs et entretenir la piscine. Bien entendu, il pourra en profiter autant qu’il le voudra avec qui il voudra. D’ailleurs je l’invite cet après-midi à venir profiter de la piscine. Il ne répond ni oui- ni non mais je suis surprise quelques heures plus tard de le voir arriver vers moi en train de bronzer sur la terrasse.
Il pose short et tee-shirt, se mouille le corps et plonge dans la piscine, fait quelques brasses et remonte à la force des bras sur la margelle de la piscine. Son corps brille des gouttes d’eau qui suintent sur sa peau et sur son slip de bain où s’affiche sans vergogne une bosse longiligne prenant racine entre ses cuisses et s’étendant presque jusqu’à l’aine gauche, annonciatrice de la bête peu commune qu’elle promet. Quand vous voyez un homme avec quelque chose qui pointe à travers le tissu assez bas, vous savez que vous devez vous attendre à pas grand-chose. Quand ça pointe quelques centimètres plus haut, on arrive déjà à espérer une belle queue de quinze à seize centimètres. Mais là, la mesure est pratiquement déjà atteinte alors qu’il ne bande même pas. Vraiment très prometteur, tout ça…
Je lui demande si je peux me mettre en topless et il n’ose pas me dire non. Je retire donc mon haut et il peut admirer mes seins suffisamment fermes et orgueilleux pour ne pas baisser la tête. Je plonge, fais quelques longueurs et comme lui sort de l’onde pour qu’il voie lui aussi l’eau se retirer de mon corps et goutter du bout de mes tétons. Julien m’avoue même :
-Camille, tu es devenue une belle femme, tu n’es plus la petite fille que je faisais sauter sur mes genoux. Tu dois avoir du succès auprès des garçons.

Moi ce que je voie, c’est que ma tenue lui fait de l’effet car la bosse a enflé et s’est aussi allongée. Il s’en aperçoit et me demande de l’excuser.
-Je ne suis qu’un homme Camille, bien malgré moi je ne peux empêcher la nature de faire son œuvre, si tu veux je peux te laisser seule.
-Il n’en est pas question Julien, je suis même flattée de te faire autant d’effet. N’oublie-pas que les calendriers m’ont préparée à un tel spectacle. M’autoriserais-tu à faire la même chose que les filles sur les calendriers ?

Il ne sait que dire et met un temps fou à me répondre.
-Mais Camille, tu n’y pense-pas ! Tu es ma patronne et je te connais depuis que tu es toute petite !
-Et alors ! Je m’exclame. Une employée peut se le permettre mais c’est formellement interdit à la direction ?

Il ne sait que répondre mais entre-temps, je me suis rapprochée et lui ai mis la main au panier. Il ne bouge plus d’un poil mais sa verge, elle, n’a pas les mêmes à-priori que lui et réagit à mes papouilles en prenant ses aises. Je croyais qu’il était en pleine érection mais erreur fatale… L’élastique ne peut plus contenir son formidable mandrin et la tête de son nœud montre son crâne chauve violacé. Je m’enhardis et croche le slip pour le descendre et faire apparaitre cette belle poutre. Il me laisse faire et quand enfin j’arrive à sortir le marron de sa gangue, j’ai devant moi un beau canon à l’affut bien campé sur deux belles burnes. Je suis agréablement surprise car son boutefeu malgré un beau calibre et un fût de grande taille se tient fièrement à l’horizontal, bien droit. Quand je le saisis, j’en éprouve aussi la fermeté assez rare pour des mandrins d’une telle taille. Je commence à comprendre pourquoi il a été si courtisé par toutes les filles de la boite avant qu’il ne les prive de son engin une fois marié et plus sur le marché.
Il me saisit la main pour que je la retire de son gourdin mais je vois bien que la volonté n’y est pas. Je fais une contre-offensive et me saisis à mon tour de sa main pour la porter à ma poitrine et la pose sur mon sein gauche. Bientôt il accompagne mes aller/retour sur sa verge en massant mon sein et en asticotant la pointe devenue dure comme son zob.
Je m’enhardis et m’agenouille devant lui pour lécher de ma langue son rostre avant de n’en prendre que l’extrémité rouge carmin entre mes lèvres pulpeuses. Il a mis ses mains dans mes cheveux, bien campé sur ses deux jambes légèrement écartées de peur peut-être que je ne me ravise et ne veuille plus déguster son énorme sucette. Je dois dire qu’il m’est arrivé que très rarement d’aller si vite en besogne, préférant faire languir mes futurs partenaires pendant des semaines, voire plus. Mais là, j’ai un créneau trop court avant mon départ pour m’amuser à ce petit jeu-là.

En femme consciencieuse du travail bien fait, ma langue et mes lèvres travaillent de concert pour l’amener au plaisir mais il est coriace le bougre. Je ne sais pas si c’est parce que ça lui fait peur de se faire sucer par sa patronne ou alors le fruit d’une très longue expérience. Je sens enfin à une vibration de sa verge et au raffermissement de ses mains sur ma tête que je vais enfin passer la ligne d’arrivée. Je retire son dard qui fleurtait un peu trop avec ma glotte pour uniquement garder entre mes lèvres la grosse prune fendue comme un fruit trop mûre au soleil après s’être gorgé d’eau. Je connaissais déjà le canon mais je ne sais rien de sa portée et de la charge de poudre qu’il peut supporter. Quand enfin le premier coup part, je suis un peu déçue mais dois vite faire mon mea-culpa car en fait, en parlant du méat, il en sort au rythme d’une mitrailleuse lourde des balles traçantes qui se succèdent à un rythme effréné. Je n’aurais pas cru qu’un tel calibre puisse produire autant de petits soldats spermatozoïdes aussi vaillants que nombreux. Pour une surprise, c’est une sacrée surprise et je dois m’avouer vaincue devant ce guerrier à la lance dressée. Je voudrais aller plus loin mais Julien redescend sur terre et horrifié de ce qui vient de se passer, s’enfuit sans demander son reste, le fusil encore au garde-à vous.
C’est à peine si je le croise, son regard fuyant, les deux semaines restantes avant d’aller voir mon père. J’espère qu’à mon retour, il aura digéré notre petit extra et qu’il acceptera d’explorer plus avant toutes les possibilités qui s’offriront à nous.

Depuis mon retour, il me fuit comme la peste et je dois le convoquer dans mon bureau pour traiter les affaires de la société. Je mets les pieds dans le plat un jour et lui demande pourquoi il réagit comme ça.
-Julien, pourquoi te comportes-tu comme ça ? Sois franc et dis-moi franchement que je ne t’intéresse pas. Je ne t’ai pas pris en traite l’autre jour et tu ne m’as pas repoussée non plus. Malgré notre différence d’âge et le fait que maintenant je suis ta patronne, je dois dire que tu me plais et que si tu le veux, on peut essayer d’aller plus loin. Je ne suis pas assez bien pour toi ?
-Euuuhhh… Ce n’est pas ça Camille, mais en plus d’être maintenant ma patronne, je vois encore en toi la petite fille qui adorait s’asseoir sur mes genoux. Tu dois comprendre qu’il est difficile pour moi de réaliser que l’autre jour, cet enfant devenue une belle femme soit en train de me branler et de me sucer. Et quand tu as avalé mon sperme, je me suis dit que j’étais un vrai salaud qui trahissait la parole donnée à ton père de te seconder et te soutenir dans tes décisions, de t’aider et te guider.
-Et bien Julien, je le coupe, c’était ma décision, tu dois donc décider si tu me soutiens dans mon entreprise et aussi dans ma vie privée. Je ne veux pas te forcer si je ne te plais pas et si tu n’as trouvé aucun plaisir autour de la piscine. Prends le temps de réfléchir tranquillement et tu me diras ta réponse quand tu le désireras.

Ce n’est que deux semaines plus tard lors d’une décision imprévue et urgente à prendre que je lui ai demandé de venir me rejoindre très tard le soir à la maison vu qu’il n’a que quelques dizaines de mètres à faire. Je me suis mise à l’aise et n’ai plus la tenue BCBG de patronne, ayant quitté ma robe noire légère, fendue sur le côté, mes escarpins très hauts qui me font la jambe un peu plus longue et bien galbée pour le chauffer toute la journée au boulot.
Je mouille déjà comme une fontaine à l'idée de ce qu'il va (j’espère) se passer. Julien lui aussi ne s’est pas rhabillé et est en pantacourt et tee-shirt. Il nous a fallu une heure pour régler le problème et ensuite nous détendre en prenant un verre, en amenant un deuxième et encore un autre. Décomplexé peut-être par l’alcool, Julien finit par lâcher :
-Camille, j’ai bien réfléchi et je serais bête de ne pas prendre un peu de bon temps après ce que m’a fait ma femme. Si tu es toujours d’accord, je veux bien aller plus loin avec toi, au moins une fois...

Je me jette à son cou. Que pense-il de moi ? C’est certainement comme ça qu’agissent les putains. Qu’est-ce que je suis en train de devenir ?
Il doit s’apercevoir que je pratique du sport car j’ai un corps ferme et un petit cul bien dur.
Je respire difficilement car ses mains glissent sur mes deux globes fessiers pendant que je passe mes bras sur ses épaules puis autour de son cou. Ça le décide et il entreprend alors de malaxer fermement mon magnifique cul.
Comme réaction, je niche ma tête dans son cou et y dépose des petits baisers. Je suis aux anges et commence à sentir la bosse que fait son sexe dans le pantacourt. J’approche mes lèvres de son oreille et lui dis que j’ai chaud à cause des punchs qu’on a généreusement bus puis lui jette un regard lubrique, lui caressant la bite à travers la toile du pantacourt. La bosse maintenant en déforme le devant. Je tâte maintenant sans vergogne l’énorme protubérance et lui susurre : -Oooohhhhh mon Dieu c’est quoi ça !?

Je suis effarée par la taille du sexe planqué sous le pantacourt pourtant je sais à quoi m’attendre. Je laisse une main posée sur la bosse et déboucle la ceinture puis déboutonne le pantacourt pour dévoiler son caleçon. Je tire dessus des deux mains et comme un diable sortant de sa boite, sa longue et large colonne de chair jaillit devant ma figure.
-Mon Dieu quel engin ! Je m’exclame, imitant la jeune fille effarouchée découvrant pour la première fois le sexe de l’homme, et quel sexe !?
Je pose ma main sur sa bite palpitante et commence un lent mouvement de va et vient. -Elle te plait on dirait, pourtant tu savais à quoi t’attendre ! -Elle est si énorme ! Tu sais qu’à part toi, je n’en ai jamais vu d’aussi grosses, je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts -Elle n’est rien que pour toi Camille, dis-lui donc bonjour, fais-lui un petit bisou !

Comme je ne réagis pas assez vite devant un tel engin, il pose une main sur ma tête désormais devant son bas-ventre et appuie doucement mais fermement. -Allez, fais-lui un simple petit bisou pour refaire connaissance. Il pose sa main sur la mienne et branle rageusement son membre, je l'accompagne dans ses mouvements.… - Hhhuuuumpfffff !!!

A suivre…

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