La première fois
Récit érotique écrit par Remi Ninas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Remi Ninas ont reçu un total de 26 645 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2013 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 26 645 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La première fois
La première fois.
Bien qu’ayant toujours été porté sur la chose, je ne me suis dépucelé qu’à l’âge de 17
ans. J’avais déjà eu des copines avant, et bien joué avec les préliminaires, mais je
n’avais pas senti l’envie ni le besoin d’aller plus loin avant. C’est devenu clair en
quelques jours. J’étais au lycée, une année chiante, j’avais redoublé et j’étais, en
bon ado pénible, en pleine crise identitaire. Durant ce mois d’Avril, j’avais perdu ma
grand-mère, et cela – logiquement – avait été un bouleversement au niveau de mes
émotions. J’avais rencontré Anne Laure quelques mois auparavant. Elle était plus âgée
que moi (23 ou 24 ans) et était tout ce que les parents ne souhaitent pas à leur fils.
Tatouée, cheveux colorés, piercing, mon style de fille. Anne Laure était une amie de
mon frère ainé, et elle était devenue une confidente. Je passais souvent la voir dans
son studio après le lycée. Elle était très ouverte sur sa sexualité, parlait aisément
de ses expériences avec hommes et femmes. Elle avait compris bien que je lui dise que
j’étais vierge. Un soir après une énième discussion sexe/adolescence/rapport
parentaux, je tentais ma chance, et embrassais Anne Laure. Quel choc ! Les « roulages
de pelle » avec mes petite copines de 16-17 ans n’avaient rien à voir avec le baiser
langoureux que ma belle m’avait donné… sa langue humide et chaude savait caresser, et
ses lèvres pulpeuses s’étaient étalées sur les miennes… A peine je quittais sa bouche
que mon érection venait tendre mon caleçon. Il était déjà tard, et je devais rentrer
chez moi… Sur le chemin du retour, je ne pensais qu’à une chose, la masturbation qui
allait suivre mon arrivée chez moi.
C’est depuis ce moment là que j’ai su vouloir ma première fois avec elle. Un soir du
mois de mai, Anne Laure m’avait invité chez elle pour matter un film. À mon arrivée,
le lit était déplié, et ma belle initiatrice m’attendait en sous vêtement. Je rêvais
de ce moment là, et le stress s’était aussi invité. Lumières très faibles, musique
sympa, je bandais très dur quand Anne Laure me dit « J’ai envie de toi ». J’étais aux
anges. Je me suis déshabillé, et me suis allongé sur le dos, selon les ordres de ma
partenaire. Quand on me demande « Et toi, ta première fois ? » je réponds que je me
suis pratiquement fait « violer » car bien que consentant, je n’ai rien maîtrisé du
tout.
Anne Laure a commencé à me sucer. C’était nouveau pour moi, habituellement, mes
copines m’avaient sucé timidement, pratiquant plutôt des bisous. Là, elle s’enfonçait
ma bite dans la bouche avec fougue, me regardant dans les yeux. Elle me répétait
qu’elle aimait mon sexe, son odeur et son gout, avant de replonger mon pieu au fond de
sa gorge. J’avais du mal à me retenir, je voulais jouir mais je voulais en voir plus…
Anne Laure me demanda de la lécher pour que je puisse après entrer en elle plus
facilement… Ma queue se raidit de plus belle : ça y est, j’allai connaître ce
sentiment tant attendu.
Toujours allongé sur le dos, elle vint poser sa chatte trempée sur ma bouche. Je
m’appliquais pour lui donner le maximum de plaisir. Elle semblait apprécier. Je suis
sûr que mon cunnilungus manquait clairement d’expérience, mais Anne Laure ondulait sur
ma bouche, et en plus de mes caresses buccales, elle se masturbait en bougeant comme
bon lui semblait. J’ai adoré cette sensation, sentir le poids de ma partenaire sur ma
bouche, la sentir bouger comme elle voulait pour qu’elle prenne son plaisir. Elle
finit par se retirer de ma bouche, et sans rien dire, sans me laisser le temps de
réagir, elle s’empaler sur mon sexe dressé pour la prendre. MERDE ! Elle me regardait
dans les yeux en souriant. Quelle sensation adorable, cette chaleur, cette humidité
autour de ma bite qui ne connaissait jusqu’à présent que ma main et quelques bouches
timides ! Anne Laure s’excitait sur ma bite, elle allait et venait de plus en plus
vite, de plus en plus fort. Je me suis aussi mis à me soulever, pour lui mettre des
coups de bassin. Je lui prenais les fesses, lui dévorais les seins, je réalisais tout
ce que j’avais voulu faire, tout ce sur quoi je m’étais branlé… Quel pied. J’avais
chaud, elle respirait de plus en plus fort, elle gémissait en se mordant la lèvre.
Toujours impressionné, je ne disais rien, je l’observais, je profitais de l’instant,
de ses gros seins que je pouvais toucher autant que je voulais. Tout était parfait. Je
finis par jouir à l’intérieur de sa chatte, une sensation folle de plus. Au même
moment Anne Laure me disait jouir… J’ai longtemps pensé qu’elle avait dit ça pour me
faire plaisir, mais je pense aujourd’hui que cela est probable.
Nous nous sommes revus quelques fois, mais nous n’avons jamais recouché ensemble. Je
pense que c’était une expérience pour elle, la jeune femme libérée habituée aux hommes
plus vieux et plus actifs, mais cette image ne m’a jamais dérangée.
Nos destins se sont séparés et j’ai revu Anne Laure 4 ou 5 ans plus tard. La jeune
rebelle est devenue une maman rangée, mais je n’oublierai jamais la fille sauvage de
ma première fois, mon Anne Laure.
Bien qu’ayant toujours été porté sur la chose, je ne me suis dépucelé qu’à l’âge de 17
ans. J’avais déjà eu des copines avant, et bien joué avec les préliminaires, mais je
n’avais pas senti l’envie ni le besoin d’aller plus loin avant. C’est devenu clair en
quelques jours. J’étais au lycée, une année chiante, j’avais redoublé et j’étais, en
bon ado pénible, en pleine crise identitaire. Durant ce mois d’Avril, j’avais perdu ma
grand-mère, et cela – logiquement – avait été un bouleversement au niveau de mes
émotions. J’avais rencontré Anne Laure quelques mois auparavant. Elle était plus âgée
que moi (23 ou 24 ans) et était tout ce que les parents ne souhaitent pas à leur fils.
Tatouée, cheveux colorés, piercing, mon style de fille. Anne Laure était une amie de
mon frère ainé, et elle était devenue une confidente. Je passais souvent la voir dans
son studio après le lycée. Elle était très ouverte sur sa sexualité, parlait aisément
de ses expériences avec hommes et femmes. Elle avait compris bien que je lui dise que
j’étais vierge. Un soir après une énième discussion sexe/adolescence/rapport
parentaux, je tentais ma chance, et embrassais Anne Laure. Quel choc ! Les « roulages
de pelle » avec mes petite copines de 16-17 ans n’avaient rien à voir avec le baiser
langoureux que ma belle m’avait donné… sa langue humide et chaude savait caresser, et
ses lèvres pulpeuses s’étaient étalées sur les miennes… A peine je quittais sa bouche
que mon érection venait tendre mon caleçon. Il était déjà tard, et je devais rentrer
chez moi… Sur le chemin du retour, je ne pensais qu’à une chose, la masturbation qui
allait suivre mon arrivée chez moi.
C’est depuis ce moment là que j’ai su vouloir ma première fois avec elle. Un soir du
mois de mai, Anne Laure m’avait invité chez elle pour matter un film. À mon arrivée,
le lit était déplié, et ma belle initiatrice m’attendait en sous vêtement. Je rêvais
de ce moment là, et le stress s’était aussi invité. Lumières très faibles, musique
sympa, je bandais très dur quand Anne Laure me dit « J’ai envie de toi ». J’étais aux
anges. Je me suis déshabillé, et me suis allongé sur le dos, selon les ordres de ma
partenaire. Quand on me demande « Et toi, ta première fois ? » je réponds que je me
suis pratiquement fait « violer » car bien que consentant, je n’ai rien maîtrisé du
tout.
Anne Laure a commencé à me sucer. C’était nouveau pour moi, habituellement, mes
copines m’avaient sucé timidement, pratiquant plutôt des bisous. Là, elle s’enfonçait
ma bite dans la bouche avec fougue, me regardant dans les yeux. Elle me répétait
qu’elle aimait mon sexe, son odeur et son gout, avant de replonger mon pieu au fond de
sa gorge. J’avais du mal à me retenir, je voulais jouir mais je voulais en voir plus…
Anne Laure me demanda de la lécher pour que je puisse après entrer en elle plus
facilement… Ma queue se raidit de plus belle : ça y est, j’allai connaître ce
sentiment tant attendu.
Toujours allongé sur le dos, elle vint poser sa chatte trempée sur ma bouche. Je
m’appliquais pour lui donner le maximum de plaisir. Elle semblait apprécier. Je suis
sûr que mon cunnilungus manquait clairement d’expérience, mais Anne Laure ondulait sur
ma bouche, et en plus de mes caresses buccales, elle se masturbait en bougeant comme
bon lui semblait. J’ai adoré cette sensation, sentir le poids de ma partenaire sur ma
bouche, la sentir bouger comme elle voulait pour qu’elle prenne son plaisir. Elle
finit par se retirer de ma bouche, et sans rien dire, sans me laisser le temps de
réagir, elle s’empaler sur mon sexe dressé pour la prendre. MERDE ! Elle me regardait
dans les yeux en souriant. Quelle sensation adorable, cette chaleur, cette humidité
autour de ma bite qui ne connaissait jusqu’à présent que ma main et quelques bouches
timides ! Anne Laure s’excitait sur ma bite, elle allait et venait de plus en plus
vite, de plus en plus fort. Je me suis aussi mis à me soulever, pour lui mettre des
coups de bassin. Je lui prenais les fesses, lui dévorais les seins, je réalisais tout
ce que j’avais voulu faire, tout ce sur quoi je m’étais branlé… Quel pied. J’avais
chaud, elle respirait de plus en plus fort, elle gémissait en se mordant la lèvre.
Toujours impressionné, je ne disais rien, je l’observais, je profitais de l’instant,
de ses gros seins que je pouvais toucher autant que je voulais. Tout était parfait. Je
finis par jouir à l’intérieur de sa chatte, une sensation folle de plus. Au même
moment Anne Laure me disait jouir… J’ai longtemps pensé qu’elle avait dit ça pour me
faire plaisir, mais je pense aujourd’hui que cela est probable.
Nous nous sommes revus quelques fois, mais nous n’avons jamais recouché ensemble. Je
pense que c’était une expérience pour elle, la jeune femme libérée habituée aux hommes
plus vieux et plus actifs, mais cette image ne m’a jamais dérangée.
Nos destins se sont séparés et j’ai revu Anne Laure 4 ou 5 ans plus tard. La jeune
rebelle est devenue une maman rangée, mais je n’oublierai jamais la fille sauvage de
ma première fois, mon Anne Laure.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Remi Ninas
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres belle histoire merci