la premiere fois de ma nouvelle vie de salope
Récit érotique écrit par Vero nique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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la premiere fois de ma nouvelle vie de salope
Je m’appelle véronique et j‘ai 31 ans. Je suis brune, yeux bleu, 1.70 pour 57kg. Je porte un jolie 95C et de jolies fesses bien rondes. Depuis un an célibataire puisque plaquée par mon copain de l’époque qui m’a dit « une femme comme toi c’est bien pour s‘amuser mais pas pour construire sa vie tu es trop vicieuse… »
Mais voila plutôt ce qui m’est arrivé, donc suite à cette rupture je me retrouve seule dans notre appartement de notre cite de grande banlieue.
Un jour dans l‘ascenseur qui me remonte chez moi je me retrouve avec jérome, la vingtaine, connu dans le quartier comme petit chef de bande d’une dizaine d’individus.
Donc nous étions dans cette ascenseur quand il me dit « salut véro maintenant que tu es seule on va pouvoir s’amuser tout les deux » et joignant le geste à la parole il pose sa main sur mes fesses.
« Ça va pas t'es malade, tu me prends pour qui ? »
« Pour une jolie femme bandante et sexy »
Il y eu un silence puis tout en stoppant l’ascenseur entre deux étages il me dit
« En plus regarde comment tu es habillée… »
C’était l’été, je portais une robe en dentelle anglaise, petits mocassins blancs.
« Montre-moi ce que tu portes dessous et je te laisse repartir »
Je n’en croyais pas mes oreilles. De plus, je portais comme unique dessous une petite culotte en dentelle blanche.
« Alors tu te décides ? »
Sans plus de réflexion, je saisis le pan de ma robe et je commençais à la soulever. Je n’eu pas beaucoup à faire puisque ma robe m’arrivait à mi-cuisses.
« Pas mal… maintenant baisse un peu ta culotte… »
« Mais…
« Pas de mais fais le »
Je laissais tomber ma robe puis mes mains baissèrent ma culotte à mi-cuisse et enfin je relevais ma robe.
« Jolie chatte, voyons si elle docile ? »
Il s’approcha de moi, posa une main sur ma toison et l’autre commençais à déboutonner ma robe. Sa main caressais ma toison mais elle se montrait plus conquérante, ses doigts titillaient ma vulve. Ma robe était maintenant complètement déboutonnée. Ses lèvres commençaient à sucer mes seins, ses doigts pénétraient mon sexe trempé puis je senti ma culotte glisser le long de mes jambes puis ma robe glissa à son tour.
J’étais nue dans un ascenseur prête à me faire sauter.
Il ouvrit sa braguette et fit sortir sa queue
« Allez suce je suis sûr que tu sais très bien t-y prendre »
Je m’agenouillai et commençais à prendre son sexe dans ma bouche.
« Putain c’est bon, tu suces bien ma salope »
Puis il me releva. Je posais mes mains contre le mur, les fesses bien en arrière, les jambes bien écartées. Je sentis sa bite me pénétrer avec vigueur.
« C’est bon ma cochonne tu aimes te faire baiser comme ça, comme un salope »
« ho oui ça fait si longtemps, encore, baise moi encore plus fort…. »
Puis son sexe sortit de moi, sa main caressa ma chatte.
« tu es trempée »
Sa main fit quelques va et viens entre mon sexe et mon anus, puis je sentis son gland se poser sur mon petit trou.
« Tu vas quand même pas m’enculer ici …
« Pourquoi pas ! t’es déjà à poil en train de te faire enfiler comme une chienne
Il saisit mes hanches et me pénétra d’un coup de rein, je ressentis comme une brûlure mais les instants suivant furent tellement bons.
Jamais je ne pris un tel pied, pourtant ce salaud me traitait de tout
« Tu aimes ça trou à bite … sac à sperme… garage à bite….etc »
Ce jour là, je découvris deux choses sur moi, la première se faire baiser dans un endroit public c’est encore meilleur et deuxièmement que malgré mon air BCBG je suis quand même une belle salope.
Je vous raconterais d’autres histoires de ma vie de femme sexuellement libèrée.
Mais voila plutôt ce qui m’est arrivé, donc suite à cette rupture je me retrouve seule dans notre appartement de notre cite de grande banlieue.
Un jour dans l‘ascenseur qui me remonte chez moi je me retrouve avec jérome, la vingtaine, connu dans le quartier comme petit chef de bande d’une dizaine d’individus.
Donc nous étions dans cette ascenseur quand il me dit « salut véro maintenant que tu es seule on va pouvoir s’amuser tout les deux » et joignant le geste à la parole il pose sa main sur mes fesses.
« Ça va pas t'es malade, tu me prends pour qui ? »
« Pour une jolie femme bandante et sexy »
Il y eu un silence puis tout en stoppant l’ascenseur entre deux étages il me dit
« En plus regarde comment tu es habillée… »
C’était l’été, je portais une robe en dentelle anglaise, petits mocassins blancs.
« Montre-moi ce que tu portes dessous et je te laisse repartir »
Je n’en croyais pas mes oreilles. De plus, je portais comme unique dessous une petite culotte en dentelle blanche.
« Alors tu te décides ? »
Sans plus de réflexion, je saisis le pan de ma robe et je commençais à la soulever. Je n’eu pas beaucoup à faire puisque ma robe m’arrivait à mi-cuisses.
« Pas mal… maintenant baisse un peu ta culotte… »
« Mais…
« Pas de mais fais le »
Je laissais tomber ma robe puis mes mains baissèrent ma culotte à mi-cuisse et enfin je relevais ma robe.
« Jolie chatte, voyons si elle docile ? »
Il s’approcha de moi, posa une main sur ma toison et l’autre commençais à déboutonner ma robe. Sa main caressais ma toison mais elle se montrait plus conquérante, ses doigts titillaient ma vulve. Ma robe était maintenant complètement déboutonnée. Ses lèvres commençaient à sucer mes seins, ses doigts pénétraient mon sexe trempé puis je senti ma culotte glisser le long de mes jambes puis ma robe glissa à son tour.
J’étais nue dans un ascenseur prête à me faire sauter.
Il ouvrit sa braguette et fit sortir sa queue
« Allez suce je suis sûr que tu sais très bien t-y prendre »
Je m’agenouillai et commençais à prendre son sexe dans ma bouche.
« Putain c’est bon, tu suces bien ma salope »
Puis il me releva. Je posais mes mains contre le mur, les fesses bien en arrière, les jambes bien écartées. Je sentis sa bite me pénétrer avec vigueur.
« C’est bon ma cochonne tu aimes te faire baiser comme ça, comme un salope »
« ho oui ça fait si longtemps, encore, baise moi encore plus fort…. »
Puis son sexe sortit de moi, sa main caressa ma chatte.
« tu es trempée »
Sa main fit quelques va et viens entre mon sexe et mon anus, puis je sentis son gland se poser sur mon petit trou.
« Tu vas quand même pas m’enculer ici …
« Pourquoi pas ! t’es déjà à poil en train de te faire enfiler comme une chienne
Il saisit mes hanches et me pénétra d’un coup de rein, je ressentis comme une brûlure mais les instants suivant furent tellement bons.
Jamais je ne pris un tel pied, pourtant ce salaud me traitait de tout
« Tu aimes ça trou à bite … sac à sperme… garage à bite….etc »
Ce jour là, je découvris deux choses sur moi, la première se faire baiser dans un endroit public c’est encore meilleur et deuxièmement que malgré mon air BCBG je suis quand même une belle salope.
Je vous raconterais d’autres histoires de ma vie de femme sexuellement libèrée.
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