La première fois que j'ai fais l'amour (Suite et fin)
Récit érotique écrit par Anto [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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La première fois que j'ai fais l'amour (Suite et fin)
Nous montâmes dans la salle de bain et tandis que nous nous embrassions langoureusement, l'eau coula sur nos têtes...nous nous savonnâmes sensuellement, et après quelques minutes de caresses, mon engin redevint dur comme une pierre. Comme je l'enlaçais, appréciant ses seins collés à mon torse, elle sentit ma queue qui appuyait contre sa jambe, cherchant un endroit où entrer. Pourtant elle me fit encore languir quelques minutes, me caressant le dos, m'embrassant. Ne tenant plus, j'entrais carrément un doigt dans son anus, Nathalie sursauta puis éclata de rire.
Elle se mit contre l'évier et me demanda de l'enculer bien profond.
-Ca fait longtemps qu'on ne m’a plus prise par ce trou là... A croire que je te le réservais !
Sans me le faire dire deux fois, je m'approchais d'elle et tout en lui caressant le sein avec une main, de l'autre je dirigeais lentement ma bite vers son cul. Je me mis à l'entré, puis d'un coup de rein, je pénétrais en elle, elle poussa un petit cri de douleur, puis me dit de commencer lentement.
C'était chaud, et tellement serré, mais il me semblait que mon pénis coulissait de plus en plus facilement au fil des va-et-vient, soudain elle me dit d'accélérer, de lui défoncer la rondelle comme je le sentais. J'empoignais ses seins à pleine main, et je la sodomisais dans le sens le plus rude du terme, et en plus, elle aimait ça ! Je pense que je me souviendrais de nos cris de jouissance jusqu'à la fin de ma vie, et ce même si je continue d'aller chez elle pour assouvir nos deux libido.
Nathalie aimait ça, et moi aussi, même si je sentais que j'allais tenir plus longtemps que la première fois. Je sortit mon sexe et alors que j'allais le mettre dans son vagin elle m'arrêta d'un "non!" et en se retournant, elle commença à lécher mon sexe goulûment. Après l'avoir bien nettoyé, Nathalie se mis sur le lavabo, et me présenta sa chatte, toute luisante. Cette fois je la pris violement, tellement j'étais excité par toute cette beauté sauvage qui était devant moi. C'était tellement bon de sentir son corps chaud et bronzé frissonner sous le coup de l'excitation et du plaisir, de voir ses beaux seins ballotter à cause de mes coups de rein. Et en plus, elle hurlait presque, totalement à moi, elle me suppliait de jouir en elle tout en me caressant la poitrine. A chaque coup, elle devenait de plus en plus vulgaire, excitée et la jouissance approchait à grand pas.
-Vas-y ! Nique moi! Baise moi! Oh! Oui! Je suis ta salope! Vas-y ! Déverse ton foutre en moi! Fait moi ce que tu veux ! Continue! Oui oui oui! Han !
Ca m'excitait de plus en plus, et je sentais que j'allais bientôt jouir, elle le savait, et continuait de plus belle, tandis que je gémissais tellement la sensation était divine.
-Oui! Ah! J'adore ta queue! Oh! Ca vient! Je sens que ça vient! C'est bon! Continue comme ça !
C'était franchement divin de sauter la mère de mon meilleur ami sur le lavabo de leur maison. Soudain, après un dernier coup de rein plus que les autres, je jouis en elle, encore plus fort que la première fois, je sentait des jets puissants sortir de ma bite pour tapisser sa chatte de foutre, et elle jouis presque en même temps, dans un râle rauque. Je restais en elle quelques minutes, affalé sur elle, ses seins écrasés contre ma poitrine. Après quelques minutes d'assoupissement, elle me dit qu'on devait finir de se laver, ce que nous fîmes tout en nous caressants, je lavais même consciencieusement son vagin, impressionné par la quantité de sperme que j'avais éjaculé. Elle me nettoya le sexe, et après nous être séché, un dernier baisé, et la promesse qu'elle m'appellerait dans la semaine pour que je passe une nuit chez elle, car bien entendu son fils allait dormir chez sa petite amie, je partit joyeusement et je rentrais chez moi en me jurant de ne jamais oublier la fois où j'ai été dépucelé.
Elle se mit contre l'évier et me demanda de l'enculer bien profond.
-Ca fait longtemps qu'on ne m’a plus prise par ce trou là... A croire que je te le réservais !
Sans me le faire dire deux fois, je m'approchais d'elle et tout en lui caressant le sein avec une main, de l'autre je dirigeais lentement ma bite vers son cul. Je me mis à l'entré, puis d'un coup de rein, je pénétrais en elle, elle poussa un petit cri de douleur, puis me dit de commencer lentement.
C'était chaud, et tellement serré, mais il me semblait que mon pénis coulissait de plus en plus facilement au fil des va-et-vient, soudain elle me dit d'accélérer, de lui défoncer la rondelle comme je le sentais. J'empoignais ses seins à pleine main, et je la sodomisais dans le sens le plus rude du terme, et en plus, elle aimait ça ! Je pense que je me souviendrais de nos cris de jouissance jusqu'à la fin de ma vie, et ce même si je continue d'aller chez elle pour assouvir nos deux libido.
Nathalie aimait ça, et moi aussi, même si je sentais que j'allais tenir plus longtemps que la première fois. Je sortit mon sexe et alors que j'allais le mettre dans son vagin elle m'arrêta d'un "non!" et en se retournant, elle commença à lécher mon sexe goulûment. Après l'avoir bien nettoyé, Nathalie se mis sur le lavabo, et me présenta sa chatte, toute luisante. Cette fois je la pris violement, tellement j'étais excité par toute cette beauté sauvage qui était devant moi. C'était tellement bon de sentir son corps chaud et bronzé frissonner sous le coup de l'excitation et du plaisir, de voir ses beaux seins ballotter à cause de mes coups de rein. Et en plus, elle hurlait presque, totalement à moi, elle me suppliait de jouir en elle tout en me caressant la poitrine. A chaque coup, elle devenait de plus en plus vulgaire, excitée et la jouissance approchait à grand pas.
-Vas-y ! Nique moi! Baise moi! Oh! Oui! Je suis ta salope! Vas-y ! Déverse ton foutre en moi! Fait moi ce que tu veux ! Continue! Oui oui oui! Han !
Ca m'excitait de plus en plus, et je sentais que j'allais bientôt jouir, elle le savait, et continuait de plus belle, tandis que je gémissais tellement la sensation était divine.
-Oui! Ah! J'adore ta queue! Oh! Ca vient! Je sens que ça vient! C'est bon! Continue comme ça !
C'était franchement divin de sauter la mère de mon meilleur ami sur le lavabo de leur maison. Soudain, après un dernier coup de rein plus que les autres, je jouis en elle, encore plus fort que la première fois, je sentait des jets puissants sortir de ma bite pour tapisser sa chatte de foutre, et elle jouis presque en même temps, dans un râle rauque. Je restais en elle quelques minutes, affalé sur elle, ses seins écrasés contre ma poitrine. Après quelques minutes d'assoupissement, elle me dit qu'on devait finir de se laver, ce que nous fîmes tout en nous caressants, je lavais même consciencieusement son vagin, impressionné par la quantité de sperme que j'avais éjaculé. Elle me nettoya le sexe, et après nous être séché, un dernier baisé, et la promesse qu'elle m'appellerait dans la semaine pour que je passe une nuit chez elle, car bien entendu son fils allait dormir chez sa petite amie, je partit joyeusement et je rentrais chez moi en me jurant de ne jamais oublier la fois où j'ai été dépucelé.
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