La première rencontre- 15 minutes suivantes, INTERMINABLE !
Récit érotique écrit par AlexxxSoumise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 4 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La première rencontre- 15 minutes suivantes, INTERMINABLE !
Après m’avoir laissé quelques secondes respirer, vous rattraper ma tête doucement avec vos deux mains cette fois. Sans tenir votre sexe qui se balance à moitié durcie et lourd devant mes yeux, vous entrez le bout de votre phallus dans ma bouche et le ressortez plusieurs fois rapidement, juste un peu sur ma lange en me demandant de mettre de la pression sur votre gland, «pompe bien forte, salope!!». La “petit baise bucale” vous l’appelée. Puis vous ressortez votre membre volumineux de ma bouche et l’étalez doucement sur tout mon visage pour m’humilier tout en me disant : «tu aimes ça hein, la queue qui te contrôle, qui gonfle sur ta gueule bien humide par ta salive, hein petite cochonne?» et c’est alors que je commence à perdre le contrôle en murmurant «mmmouii !!».
Je prends la base de votre sexe avec la main droite, je prends vos boules velues dans la main gauche, vous me tenez l’arrière de la tête de votre main droite, tandis que votre main gauche sur votre hanche accompagne le mouvement pendant que je commence à pomper votre queue du mieux que je peux. Dans un mouvement simultané; j’avance ma tête en pompant de ma main droite et en serrant légèrement vos testicules de la gauche. Pendant ce temps, vous tirer ma tête vers vous en avançant votre bassin vers mon visage… je me perds dans l’abysse orgasmique de votre entre-jambe !! Votre bite, dans un mouvement de va et viens, plonge dans ma bouche et d’humides éclats d’aspirations et de frottement se font entendre, fort, alors que votre foutre coule avec ma salive le long de mon menton, de ma gorge jusqu’à mes cuisses. Je les sens aussi sur ma main gauche le long de vos testicules! Votre gland s’enfonce toujours un peu plus en moi… et je commence à maitriser difficilement mon reflexe de gag. Votre bâton me perfore la gueule et je crois bien à présent que près de la moitié de votre extraordinaire verge s’introduit en moi sans pitié!! De temps en temps, vous me sortez votre batte de la gueule en me tenant par les cheveux, vous m’écraser vos couilles sur le visage. Je les lèches, je les gobes, puis vous me réintroduisez votre belle queue dans le fond de la bouche. Je suce avec frénésie, comme une pute aillant perdus sa vocation jusqu’alors. Je GÉMIIIIS!! Mes cordes vocales faisant vibrer votre sexe, vous me regarder avec satisfaction «OUAI SALOPE, suce bien cette queue comme si ta vie en dépendait!!». Vous m’empêchez maintenant d’utiliser mes mains et j’exécute passivement vos ordres. Mes yeux pleurs à présent et mes larmes coulent le long de mes joues. Elles se mêlent avec les jus de votre sexe, de ma salive, pour enfin se joindre à votre queue et suivre son mouvement dans et hors de ma bouche.
Ceci se prolonge sur plusieurs minutes. Je ne sais pas, je ne sais plus combient, j’ai perdu le sens du temps. Mais cela me semble interminable ! Votre pénis et à présent bien dure, et il continue de violer les profondeurs de ma bouche avec une incroyable habilité. De temps en temps, vous me permettez de respirer, en sortant votre queue de mon visage abusé, scintillant de vos jus mélanger à ma salive et mes larmes. Pendant ce temps vous ajouter d’avantage de liquide sur mon visage en frottant vulgairement votre sexe à mes joues et sur mon front. Puis vous me frapper le visage avec votre arme massive et, je dois avouer, cela fait assez mal, lourde et humide comme elle est ! Puis vous reprenez votre besogner : vous replantez votre grosse batte humide cette fois directement dans ma gorge!! Mon estoma remonte dans un reflexe de nausé et repousse mon oxygene autour de votre penis! Cela le fait vibré le long de ma gorge et vous aimé ca, alors que je suffoque! Je regarde votre queue m’empaler le visage désormais avec difficulté car mes larmes coulent à flots de mes yeux grands ouverts. Mais je réalise que j’arrive enfin à prendre presque les trois quarts de votre membre infini dans la gueule ! J’ai beaucoup de mal à le croire... d’ailleurs presqu’autant de mal que j’ai à avaler votre membre… mais je le sens par contre très bien dans le fond de ma gorge!! Vous me tenez à présente fermement l’arrière de la tête de la main gauche et de votre droite vous me tenez par le cou, afin de sentir les vas et viens de votre gland à travers ma gorge. Vous trouvez cela très plaisant de garder votre sexe dans les profondeures de ma gueule. Vous faite de brefs aller-retours juste dans ma gorge en me privant d’oxygène pendant quelques secondes. Ce que vous semblez aimez particulièrement c’est mes gémissements, forts et stridents vous implorant un peu d’air, qui stimulent davantage votre gland. Puis, vous ressortez, toujours plus lentement, votre verge de ma gorge. Je régurgite votre longue érection… elle glisse sous mes yeux en larmes hors de ma gorge qui se ressert sans votre queue et je respire à nouveau. Fébrile, je tente toujours et encore de sucer votre phallus. Vous relachez et, en reprenant mon souffle, j'essaie de vous satisfaire comme vous aimez en prenant bien le soin de faire légèrement entrer votre gland dans ma gorge à chaque cycle. Votre queue s’y est faite sa place, et elle s’en est enfin accommodée. Mes renvoits se font plus rare... Cela semble vous plaire tellement et je tente inconsciemment d’éviter votre colère! Vous gémissez lourdement en me traitant de tous les noms imaginables, quand tout à coup… vous arrêtez de m’insulter et de gémir. (À suivre "Conclusion fracassante et humiliante... un délice !")
Je prends la base de votre sexe avec la main droite, je prends vos boules velues dans la main gauche, vous me tenez l’arrière de la tête de votre main droite, tandis que votre main gauche sur votre hanche accompagne le mouvement pendant que je commence à pomper votre queue du mieux que je peux. Dans un mouvement simultané; j’avance ma tête en pompant de ma main droite et en serrant légèrement vos testicules de la gauche. Pendant ce temps, vous tirer ma tête vers vous en avançant votre bassin vers mon visage… je me perds dans l’abysse orgasmique de votre entre-jambe !! Votre bite, dans un mouvement de va et viens, plonge dans ma bouche et d’humides éclats d’aspirations et de frottement se font entendre, fort, alors que votre foutre coule avec ma salive le long de mon menton, de ma gorge jusqu’à mes cuisses. Je les sens aussi sur ma main gauche le long de vos testicules! Votre gland s’enfonce toujours un peu plus en moi… et je commence à maitriser difficilement mon reflexe de gag. Votre bâton me perfore la gueule et je crois bien à présent que près de la moitié de votre extraordinaire verge s’introduit en moi sans pitié!! De temps en temps, vous me sortez votre batte de la gueule en me tenant par les cheveux, vous m’écraser vos couilles sur le visage. Je les lèches, je les gobes, puis vous me réintroduisez votre belle queue dans le fond de la bouche. Je suce avec frénésie, comme une pute aillant perdus sa vocation jusqu’alors. Je GÉMIIIIS!! Mes cordes vocales faisant vibrer votre sexe, vous me regarder avec satisfaction «OUAI SALOPE, suce bien cette queue comme si ta vie en dépendait!!». Vous m’empêchez maintenant d’utiliser mes mains et j’exécute passivement vos ordres. Mes yeux pleurs à présent et mes larmes coulent le long de mes joues. Elles se mêlent avec les jus de votre sexe, de ma salive, pour enfin se joindre à votre queue et suivre son mouvement dans et hors de ma bouche.
Ceci se prolonge sur plusieurs minutes. Je ne sais pas, je ne sais plus combient, j’ai perdu le sens du temps. Mais cela me semble interminable ! Votre pénis et à présent bien dure, et il continue de violer les profondeurs de ma bouche avec une incroyable habilité. De temps en temps, vous me permettez de respirer, en sortant votre queue de mon visage abusé, scintillant de vos jus mélanger à ma salive et mes larmes. Pendant ce temps vous ajouter d’avantage de liquide sur mon visage en frottant vulgairement votre sexe à mes joues et sur mon front. Puis vous me frapper le visage avec votre arme massive et, je dois avouer, cela fait assez mal, lourde et humide comme elle est ! Puis vous reprenez votre besogner : vous replantez votre grosse batte humide cette fois directement dans ma gorge!! Mon estoma remonte dans un reflexe de nausé et repousse mon oxygene autour de votre penis! Cela le fait vibré le long de ma gorge et vous aimé ca, alors que je suffoque! Je regarde votre queue m’empaler le visage désormais avec difficulté car mes larmes coulent à flots de mes yeux grands ouverts. Mais je réalise que j’arrive enfin à prendre presque les trois quarts de votre membre infini dans la gueule ! J’ai beaucoup de mal à le croire... d’ailleurs presqu’autant de mal que j’ai à avaler votre membre… mais je le sens par contre très bien dans le fond de ma gorge!! Vous me tenez à présente fermement l’arrière de la tête de la main gauche et de votre droite vous me tenez par le cou, afin de sentir les vas et viens de votre gland à travers ma gorge. Vous trouvez cela très plaisant de garder votre sexe dans les profondeures de ma gueule. Vous faite de brefs aller-retours juste dans ma gorge en me privant d’oxygène pendant quelques secondes. Ce que vous semblez aimez particulièrement c’est mes gémissements, forts et stridents vous implorant un peu d’air, qui stimulent davantage votre gland. Puis, vous ressortez, toujours plus lentement, votre verge de ma gorge. Je régurgite votre longue érection… elle glisse sous mes yeux en larmes hors de ma gorge qui se ressert sans votre queue et je respire à nouveau. Fébrile, je tente toujours et encore de sucer votre phallus. Vous relachez et, en reprenant mon souffle, j'essaie de vous satisfaire comme vous aimez en prenant bien le soin de faire légèrement entrer votre gland dans ma gorge à chaque cycle. Votre queue s’y est faite sa place, et elle s’en est enfin accommodée. Mes renvoits se font plus rare... Cela semble vous plaire tellement et je tente inconsciemment d’éviter votre colère! Vous gémissez lourdement en me traitant de tous les noms imaginables, quand tout à coup… vous arrêtez de m’insulter et de gémir. (À suivre "Conclusion fracassante et humiliante... un délice !")
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