LA PRINCESSE ET LE DRAGON
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA PRINCESSE ET LE DRAGON
La princesse s'interrogeait devant les ruines fumantes de son château.
Sous le choc, confuse, elle constatait la disparition de sa famille et de ses gens.
Elle était seule. Complètement. Désespérément.
Que s'était-il passé ici pendant son sommeil ? La lutte avait dû être intense, bruyante. Elle n’avait rien entendu !
La panique l’envahit. Qu'allait-elle devenir ? Depuis sa naissance, une cohorte de gens prenait soin d’elle.
Qui allait la protéger et la servir maintenant ? Elle n’avait aucune compétence, aucun savoir-faire.
Pourquoi et comment avait-elle survécu à cette étrange absurdité ?
Elle s'était réveillée de son profond sommeil pour constater le désastre.
Dans les décombres fumantes de son château détruit, aucun son, aucun signe de vie, pas même un animal.
Au travers des grands pans de murs abattus, elle pouvait clairement voir l'extérieur. Rien. Personne.
À ce moment, un bruissement d’aile, ou plutôt un vrombissement, attira l'attention de la princesse, vers le ciel.
Elle étouffa un cri en voyant un grand dragon tournoyer au-dessus du château.
Ses grands yeux méchants se concentrèrent sur elle alors qu'il lui crachait une boule de feu.
La boule de feu est tombée au-delà des murs du château, pas destinée à la princesse, juste pour lui montrer sa puissance.
La princesse a commencé à courir à la recherche d’un abri, essayant de se cacher du dragon, mais ne trouvait aucun endroit sûr. Les grands yeux rougeoyants la suivaient partout où elle allait.
Puis il a atterri devant le château, et il a disparu. Volatilisé.
La princesse resta bouche bée en se demandant où cette énorme bestiole aurait pu aller se cacher.
Finalement, un bruit de pas a interrompu le cours de ses pensées.
Entendant le bruit des pas se rapprocher de l’endroit où elle se trouvait, le bon sens de la princesse lui dicta de se remettre à courir. Trop tard. Une main gigantesque sortie de nulle part l'attrapa par ses longs cheveux blonds.
Elle a été durement ramenée en arrière contre un torse musclé recouvert de cuir.
La violence de l’impact lui a coupé le souffle tandis qu'elle se débattait pour retrouver l’équilibre.
"Bonjour, jolie princesse." lui souffla une voix à l'oreille. Elle frissonna au contact de son souffle chaud. Elle était maintenue par une poigne de fer, incapable de se débattre, de se retourner pour voir le visage de son agresseur.
"Qu'est-ce que vous me voulez?" elle bredouilla.
Le corps de son agresseur était secoué par un rire tonitruant. "Ce que je suis venu chercher, charmante princesse !"
Sur ce, il la chargea sur son épaule si vite qu'elle ne put pas le dévisager.
Elle a lutté et s’est débattue pour essayer de se libérer, mais son vêtement de nuit entravait ses mouvements.
Son ravisseur a couru à grandes enjambées vers la seule zone intacte du château, le donjon.
En réalisant à quel endroit le salopard voulait l’emmener, la princesse a lutté avec l’énergie du désespoir, mais toute résistance était vouée à l’échec. Au contraire, ses tentatives d'évasion semblaient beaucoup l’amuser.
Il est descendu au sous-sol de l’immense bâtisse, entraînant sa captive au milieu des innombrables cachots.
Une fois arrivé dans la salle des tortures, il se dirigea rapidement vers le mur équipé de chaînes.
Avant que la princesse ne puisse se reprendre, elle était enchaînée au mur sur une croix de St André.
Debout, bras et jambes écartés. Ce n'est qu'à ce moment-là qu'elle a finalement pu regarder le mécréant.
Il était plutôt bel homme, grand, athlétique, avec des traits agréables, une mâchoire carrée, des cheveux noirs ondulés et des yeux … ses yeux ... la princesse crut défaillir ! Des yeux rougeoyants ! Les yeux du dragon !
Elle regardait le dragon maléfique droit dans les yeux !
"Tu es le dragon!" cria-t-elle.
"C’est toi le monstre qui a agressé mon château et mes gens ! Pourquoi as-tu fait ça? Où sont mes gens?"
Il a simplement haussé les épaules : "Je prends ce que je veux. Ne vous préoccupez pas de vos gens !"
Il a saisi le haut de sa chemise de nuit d’une seule main et, d’une puissante traction, lui a arraché son fragile vêtement, qui s’est retrouvé en lambeaux aux pieds de la princesse.
Elle se tenait maintenant devant lui entièrement nue et enchaînée, sans aucune protection.
Il se recula pour mieux l'admirer. Son regard survola ses seins ronds, les tétons érigés à cause de la fraîcheur de l’endroit, la taille mince, les courbes de ses hanches pleines, les cuisses voluptueuses.
Ses yeux observèrent la touffe de boucles blondes de son pubis.
Il tendit la main et glissa un doigt insolent dans la fente secrète, séparant les lèvres, effleurant le clitoris.
Le choc de se retrouver à la merci d’un dragon de l’enfer s’estompait, la terreur que lui inspirait la bête maléfique s’amenuisait, l’outrecuidance de ce grossier personnage l’agaçait, elle l’apostropha :
"Si c’est ainsi que vous espérez conquérir mon cœur, vous vous trompez !"
Le dragon s’esclaffa : "Je ne visais pas si haut, princesse !"
Mais bientôt elle prit conscience des sensations que lui procuraient ce doigt fouineur.
Son ventre bruissait d’émoi. Le sang affluait dans son vagin et pulsait au fond de sa vulve.
Ses grandes lèvres s’évasaient en une moue frivole, ses jus suintaient de sa chatte.
Des picotements couraient sous sa peau frissonnante, ses tétons s’érigeaient, sa respiration devenait lourde.
Un gémissement s’échappa de ses lèvres tandis qu’elle se troublait, pantelante.
Il épiait les réactions de la princesse sur son visage, et un sourire de triomphe illumina sa physionomie, lorsqu’il constata la reddition de sa proie. Il essaya d’insérer son doigt dans l’étroit conduit, mais la virginité de la princesse le retint.
La princesse poussa un cri de rage et de douleur à la tentative de pénétration.
Il retira son doigt, puis le huma : "Pure. Exactement comme j'aime les jeunes filles délicates !"
Sur ce, il s’agenouilla pour enfouir son visage entre ses jambes.
Il écarta les grandes lèvres avec ses pouces et posa sa bouche sur son clitoris dressé et gorgé de sang.
La surprise fit sursauter la princesse qui rejeta sa tête en arrière en poussant un petit cri.
Sa langue agaçait son clitoris, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Sa bouche suçait la chair tendre qui entoure la base du clitoris. Assaillie d’émotions, de sensations, le corps de la princesse s’arc-boutait, se tendait, ses mains agrippèrent les chaînes, ses jambes tremblaient sous l’effort de s’élever pour tenter d’échapper à la bouche gourmande.
L’orgasme, ce phénomène inconnu de la princesse, la frappa avec tant de force qu'elle ne put que crier, éblouie.
Mais ses cris de plaisir se sont vite transformés en cris de douleur lorsque la créature, qui s’était remise rapidement sur ses pieds, plongea sa grosse bite dans la petite chatte vierge, brisant facilement l’hymen de la jeune femme.
Elle se tortillait en essayant de s'échapper.
"Reste tranquille, Princesse. Tu n’iras nulle part. La douleur va s’estomper. Mais plus tu vas te débattre, plus ce sera douloureux. Détends-toi et profite !"
Prenant une profonde inspiration, elle se résigna docilement. Bientôt, la douleur devint moins vive.
Il se mouvait lentement en elle, lui permettant de s'habituer à son énorme bite.
Elle palpita lorsque le plaisir se répandit de nouveau dans son ventre.
Sentant la résistance de sa proie s’affaiblir, le monstre a attrapé ses hanches et a retiré sa bite presque entièrement.
Puis il la pénétra lentement et profondément en regardant la petite chatte dilatée par sa bite phénoménale.
Il appréciait l'étroitesse de cette petite chatte qu’il déflorait. Elle l’empoignait comme un gant de velours.
Il la baisait de plus en plus vite. La princesse gémissait sous ses coups, en subissant la violence de l’assaut.
Avec un rugissement, il arracha les chaînes du mur.
Il se tourna et se jeta au sol, la princesse toujours clouée sur sa bite, et il tomba lourdement sur elle.
Elle pouvait enfin ouvrir ses cuisses pour l’accueillir plus profondément en elle.
Il claquait de toutes ses forces son ventre contre celui de la fille, ses couilles frappaient fort sur son cul tremblant.
La princesse gémissait et geignait tout en s’accrochant fermement aux épaules musclées du mâle qui la baisait.
Elle le pressait d'aller plus fort car son plaisir atteignait son point culminant.
Elle arqua son corps lorsque son orgasme déclencha un feu d’artifice dans toute sa jeune nature.
Sa chatte se crispa sur la queue démoniaque.
Les doigts de l’homme éperonnèrent la chair tendre de ses hanches lorsqu'il se libéra en elle.
Il grognait et rugissait tandis qu'elle pantelait sous lui.
Sa bite a projeté au plus profond de sa petite chatte des flots de sperme onctueux ...
La princesse se réveilla en sursaut dans un grand lit trempé de ses jus.
Ses yeux s’écarquillaient, incrédules, elle regardait tout autour d'elle, désorientée et confuse.
"Bonjour, princesse. Dois-je servir votre déjeuner ?" Lui demanda la servante qui attendait au pied du lit.
"Oui, vous pouvez. Merci."
La servante s’empressa d’obéir. La princesse sortit de son grand lit et se dirigea vers la fenêtre.
Rêveuse, le menton posé sur sa main, elle regardait le paysage en se demandant quand son prince ...
Sous le choc, confuse, elle constatait la disparition de sa famille et de ses gens.
Elle était seule. Complètement. Désespérément.
Que s'était-il passé ici pendant son sommeil ? La lutte avait dû être intense, bruyante. Elle n’avait rien entendu !
La panique l’envahit. Qu'allait-elle devenir ? Depuis sa naissance, une cohorte de gens prenait soin d’elle.
Qui allait la protéger et la servir maintenant ? Elle n’avait aucune compétence, aucun savoir-faire.
Pourquoi et comment avait-elle survécu à cette étrange absurdité ?
Elle s'était réveillée de son profond sommeil pour constater le désastre.
Dans les décombres fumantes de son château détruit, aucun son, aucun signe de vie, pas même un animal.
Au travers des grands pans de murs abattus, elle pouvait clairement voir l'extérieur. Rien. Personne.
À ce moment, un bruissement d’aile, ou plutôt un vrombissement, attira l'attention de la princesse, vers le ciel.
Elle étouffa un cri en voyant un grand dragon tournoyer au-dessus du château.
Ses grands yeux méchants se concentrèrent sur elle alors qu'il lui crachait une boule de feu.
La boule de feu est tombée au-delà des murs du château, pas destinée à la princesse, juste pour lui montrer sa puissance.
La princesse a commencé à courir à la recherche d’un abri, essayant de se cacher du dragon, mais ne trouvait aucun endroit sûr. Les grands yeux rougeoyants la suivaient partout où elle allait.
Puis il a atterri devant le château, et il a disparu. Volatilisé.
La princesse resta bouche bée en se demandant où cette énorme bestiole aurait pu aller se cacher.
Finalement, un bruit de pas a interrompu le cours de ses pensées.
Entendant le bruit des pas se rapprocher de l’endroit où elle se trouvait, le bon sens de la princesse lui dicta de se remettre à courir. Trop tard. Une main gigantesque sortie de nulle part l'attrapa par ses longs cheveux blonds.
Elle a été durement ramenée en arrière contre un torse musclé recouvert de cuir.
La violence de l’impact lui a coupé le souffle tandis qu'elle se débattait pour retrouver l’équilibre.
"Bonjour, jolie princesse." lui souffla une voix à l'oreille. Elle frissonna au contact de son souffle chaud. Elle était maintenue par une poigne de fer, incapable de se débattre, de se retourner pour voir le visage de son agresseur.
"Qu'est-ce que vous me voulez?" elle bredouilla.
Le corps de son agresseur était secoué par un rire tonitruant. "Ce que je suis venu chercher, charmante princesse !"
Sur ce, il la chargea sur son épaule si vite qu'elle ne put pas le dévisager.
Elle a lutté et s’est débattue pour essayer de se libérer, mais son vêtement de nuit entravait ses mouvements.
Son ravisseur a couru à grandes enjambées vers la seule zone intacte du château, le donjon.
En réalisant à quel endroit le salopard voulait l’emmener, la princesse a lutté avec l’énergie du désespoir, mais toute résistance était vouée à l’échec. Au contraire, ses tentatives d'évasion semblaient beaucoup l’amuser.
Il est descendu au sous-sol de l’immense bâtisse, entraînant sa captive au milieu des innombrables cachots.
Une fois arrivé dans la salle des tortures, il se dirigea rapidement vers le mur équipé de chaînes.
Avant que la princesse ne puisse se reprendre, elle était enchaînée au mur sur une croix de St André.
Debout, bras et jambes écartés. Ce n'est qu'à ce moment-là qu'elle a finalement pu regarder le mécréant.
Il était plutôt bel homme, grand, athlétique, avec des traits agréables, une mâchoire carrée, des cheveux noirs ondulés et des yeux … ses yeux ... la princesse crut défaillir ! Des yeux rougeoyants ! Les yeux du dragon !
Elle regardait le dragon maléfique droit dans les yeux !
"Tu es le dragon!" cria-t-elle.
"C’est toi le monstre qui a agressé mon château et mes gens ! Pourquoi as-tu fait ça? Où sont mes gens?"
Il a simplement haussé les épaules : "Je prends ce que je veux. Ne vous préoccupez pas de vos gens !"
Il a saisi le haut de sa chemise de nuit d’une seule main et, d’une puissante traction, lui a arraché son fragile vêtement, qui s’est retrouvé en lambeaux aux pieds de la princesse.
Elle se tenait maintenant devant lui entièrement nue et enchaînée, sans aucune protection.
Il se recula pour mieux l'admirer. Son regard survola ses seins ronds, les tétons érigés à cause de la fraîcheur de l’endroit, la taille mince, les courbes de ses hanches pleines, les cuisses voluptueuses.
Ses yeux observèrent la touffe de boucles blondes de son pubis.
Il tendit la main et glissa un doigt insolent dans la fente secrète, séparant les lèvres, effleurant le clitoris.
Le choc de se retrouver à la merci d’un dragon de l’enfer s’estompait, la terreur que lui inspirait la bête maléfique s’amenuisait, l’outrecuidance de ce grossier personnage l’agaçait, elle l’apostropha :
"Si c’est ainsi que vous espérez conquérir mon cœur, vous vous trompez !"
Le dragon s’esclaffa : "Je ne visais pas si haut, princesse !"
Mais bientôt elle prit conscience des sensations que lui procuraient ce doigt fouineur.
Son ventre bruissait d’émoi. Le sang affluait dans son vagin et pulsait au fond de sa vulve.
Ses grandes lèvres s’évasaient en une moue frivole, ses jus suintaient de sa chatte.
Des picotements couraient sous sa peau frissonnante, ses tétons s’érigeaient, sa respiration devenait lourde.
Un gémissement s’échappa de ses lèvres tandis qu’elle se troublait, pantelante.
Il épiait les réactions de la princesse sur son visage, et un sourire de triomphe illumina sa physionomie, lorsqu’il constata la reddition de sa proie. Il essaya d’insérer son doigt dans l’étroit conduit, mais la virginité de la princesse le retint.
La princesse poussa un cri de rage et de douleur à la tentative de pénétration.
Il retira son doigt, puis le huma : "Pure. Exactement comme j'aime les jeunes filles délicates !"
Sur ce, il s’agenouilla pour enfouir son visage entre ses jambes.
Il écarta les grandes lèvres avec ses pouces et posa sa bouche sur son clitoris dressé et gorgé de sang.
La surprise fit sursauter la princesse qui rejeta sa tête en arrière en poussant un petit cri.
Sa langue agaçait son clitoris, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Sa bouche suçait la chair tendre qui entoure la base du clitoris. Assaillie d’émotions, de sensations, le corps de la princesse s’arc-boutait, se tendait, ses mains agrippèrent les chaînes, ses jambes tremblaient sous l’effort de s’élever pour tenter d’échapper à la bouche gourmande.
L’orgasme, ce phénomène inconnu de la princesse, la frappa avec tant de force qu'elle ne put que crier, éblouie.
Mais ses cris de plaisir se sont vite transformés en cris de douleur lorsque la créature, qui s’était remise rapidement sur ses pieds, plongea sa grosse bite dans la petite chatte vierge, brisant facilement l’hymen de la jeune femme.
Elle se tortillait en essayant de s'échapper.
"Reste tranquille, Princesse. Tu n’iras nulle part. La douleur va s’estomper. Mais plus tu vas te débattre, plus ce sera douloureux. Détends-toi et profite !"
Prenant une profonde inspiration, elle se résigna docilement. Bientôt, la douleur devint moins vive.
Il se mouvait lentement en elle, lui permettant de s'habituer à son énorme bite.
Elle palpita lorsque le plaisir se répandit de nouveau dans son ventre.
Sentant la résistance de sa proie s’affaiblir, le monstre a attrapé ses hanches et a retiré sa bite presque entièrement.
Puis il la pénétra lentement et profondément en regardant la petite chatte dilatée par sa bite phénoménale.
Il appréciait l'étroitesse de cette petite chatte qu’il déflorait. Elle l’empoignait comme un gant de velours.
Il la baisait de plus en plus vite. La princesse gémissait sous ses coups, en subissant la violence de l’assaut.
Avec un rugissement, il arracha les chaînes du mur.
Il se tourna et se jeta au sol, la princesse toujours clouée sur sa bite, et il tomba lourdement sur elle.
Elle pouvait enfin ouvrir ses cuisses pour l’accueillir plus profondément en elle.
Il claquait de toutes ses forces son ventre contre celui de la fille, ses couilles frappaient fort sur son cul tremblant.
La princesse gémissait et geignait tout en s’accrochant fermement aux épaules musclées du mâle qui la baisait.
Elle le pressait d'aller plus fort car son plaisir atteignait son point culminant.
Elle arqua son corps lorsque son orgasme déclencha un feu d’artifice dans toute sa jeune nature.
Sa chatte se crispa sur la queue démoniaque.
Les doigts de l’homme éperonnèrent la chair tendre de ses hanches lorsqu'il se libéra en elle.
Il grognait et rugissait tandis qu'elle pantelait sous lui.
Sa bite a projeté au plus profond de sa petite chatte des flots de sperme onctueux ...
La princesse se réveilla en sursaut dans un grand lit trempé de ses jus.
Ses yeux s’écarquillaient, incrédules, elle regardait tout autour d'elle, désorientée et confuse.
"Bonjour, princesse. Dois-je servir votre déjeuner ?" Lui demanda la servante qui attendait au pied du lit.
"Oui, vous pouvez. Merci."
La servante s’empressa d’obéir. La princesse sortit de son grand lit et se dirigea vers la fenêtre.
Rêveuse, le menton posé sur sa main, elle regardait le paysage en se demandant quand son prince ...
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