La prison du plaisir - histoire érotique

C’était vendredi soir, demain le week-end, pas de contrainte horaire.
De son retour du boulot, elle l’embrassa et le regarda d’un œil coquin et brillant qu’il connaissait bien. Il lui sourit à l’idée de passer une soirée pimentée mais ne se doutait pas un seul instant à quel point elle serait excitante.

« Douche-toi vite, fais-toi beau, je te sors ! ! Je t’ai organisé une petite soirée surprise … » Elle s’approcha de lui, mordilla le lobe de son oreille et lui susurra « ça va être chaud, mon cochoooon ! ! !». Bien que fatigué de sa semaine de boulot, Greg fut enthousiasmé et sa douche fraîche le revigora.
Valentine adorait les surprises (les organiser ou les avoir). L’imprévu, l’inconnu, les instants où on a l’impression de ne plus rien maîtriser, soumis pour un moment de plaisir aux volontés de son partenaire.
Et ce soir, c’était elle qui menait la danse.

Valentine emmena Greg dans un petit resto italien, le repas fut bien arrosé, juste ce qu’il fallait pour permettre de se lâcher davantage. A la fin du repas, Greg enlaça Valentine, curieux et impatient comme à son habitude, il ne tenait plus. « Alors, dis-moi quel est le programme, que me réserves-tu ? Y aura-t-il maintenant quelque chose de plus pimenté que ma pizza 4 fromages? ? » « Oooh mais dis-moi, tu bandes déjà mon ami » lui répondit-elle en lui plaquant sa main direct sur son sexe. « Alors puisque tu es chaud comme la braise, je vais attiser le feu ».

Valentine avait eu le temps de surfer un peu sur internet et avait repérer un club libertin qui lui semblait sympa. Le cadre, les photos qu’elle avait pu voir des différentes soirées organisées, les avis laissés sur les forums. Et puis, elle avait remarqué qu’il y avait une salle pour des jeux un peu plus osés mais softs tout de même, avec un banc où on pouvait ligoter son partenaire… Elle avait souvent imaginé Greg attaché, à sa merci et là, elle allait pouvoir concrétiser.
« Bon alors, tu ne veux pas me dire ? ?
- Je vais te donner un indice, tu seras mon prisonnier et moi ta geôlière. »

Ils arrivèrent devant le club. Anodin et quand ils rentrèrent, ils se trouvèrent plonger dans une ambiance de château médiéval. Greg n’était pas surpris de se retrouver dans un club, il adorait cela et elle le savait. Mais le fait qu’elle lui en ait fait la surprise l’excitait davantage. Il se laissait guider. Une fois dévêtus, Valentine le pris par la main. Ils se rendirent tout d’abord au bar. Assez sombre, des miroirs entourés de fer forgé renvoyaient la lueur des chandelles et des torches qui éclairaient les murs recouverts par endroits de peaux de bêtes. Sur le bar, des calices en guise de verres. Sur la gauche, se trouvait un petit salon ouvert complètement aux regards où 2 couples se mélangeaient dans ses râles et des gémissements de plaisir. Ils continuèrent leur visite par le sauna et le jacuzzi puis arrivèrent dans les coins câlins. Chaque pièce avait un thème : les fées, la chasse à cour, les tournois, les orgies et pour finir la salle des tortures que Valentine avait remarquée sur le site web.
« Diantre, tu veux me soumettre à la questionnette, gente dame ? » dit Greg
« Que nenni, gentil damoiseau, répondit Valentine sur le même ton d’humour, point de questionnette mais des galipettes et gare de ne pas finir dans les oubliettes! ! ». Ils éclatèrent de rire, complices dans leur délire.

Ils allèrent prendre une petite douche. Greg, savonna le dos de Valentine et ses mains glissèrent sur ses fesses. Il enfonça 2 doigts dans sa chatte qui était déjà toute chaude et humide. Elle était visiblement toute aussi excitée que lui. Un autre couple et un homme visiblement seul étaient là et les regardaient se caresser. L’homme s’approcha de Valentine . Tandis que Greg l’embrassait et faisait des va et vient dans son vagin, l’homme lui caressait les seins ; elle était prise en sandwich, face à Greg et sentant le souffle de l’autre homme dans sa nuque et son sexe dur au niveau des ses fesses. Hop, Hop, Hop, c’est moi qui mène le troupe ce soir ! !
Elle décida de reprendre le cours des choses.

Elle le conduisit direct dans la salle des tortures et lui dit
« Veux-tu t’abandonner à ta souveraine, preux chevalier ? ? »
L’accord fut tacite, elle l’accompagna doucement vers le banc large se trouvant au milieu de la pièce où elle le fit s’asseoir puis s’allonger. Elle se mit à califourchon sur lui, il sentait sa chatte humide à souhait effleurer son pénis en érection. La cyprine était là si proche, il la devinait, la sentait mouiller son sexe. Valentine se coucha sur Greg et tout en l’embrassant et attrapa des sangles de tissus et commença à lui attacher les mains. Elle fit de même avec les pieds. Ainsi poignets et chevilles ligotés, Greg était dans l’impossibilité de bouger. Immobilisé, écartelé, le sexe tendu et offert, il se sentait pris au piège ce qui attisait davantage son excitation.

Valentine se mit debout sur le banc, un pied de chaque côté du corps de Greg. Il avait une vue parfaite de sa chatte. Elle se caressait les seins, se dandinant, bougeant les hanches de droite à gauche puis posa les 2 mains sur ses lèvres gonflées. Elle les écarta et découvrit son clitoris qu’elle titilla avec rapidité. Elle gémissait, « huummm, c’est bon, tu aimes ça ? ? Dommage que tu ne puisses pas sentir mon clitoris qui se gonfle !».
Elle introduisit ses doigts dans son vagin. La voir ainsi se masturber et ne pouvoir bouger était pour Greg un supplice d’une folle intensité, si dur et si doux à la fois. Il bandait d’une force incomparable. Elle s’accroupit de façon à ce qu’il puisse effleurer sa chatte en feu de sa bouche mais à peine approcher elle se releva.

« Je vais être très vilaine, la bonne grosse salope de tes rêves ! ! ». Elle plongea de nouveau 2 doigts dans son vagin, fit quelques va et vient puis les suça pour mettre l’eau à la bouche du prisonnier « Espèce de gueux, tu croyais pourvoir boire cette cyprine divine…. ».

Elle descendit du banc et attrapa une de leur serviette. « Je t’ai ôté la liberté de mouvement, je vais t’ôter le sens de la vue, dit-elle en lui recouvrant les yeux, laisse-toi aller aux plaisirs aveugles…. ». Elle lui pinça les tétons puis le griffa tout en descendant vers sa verge dressée et demandeuse. Elle l’empoigna puis commença à le masturber vigoureusement tandis que l’autre main s’affairait et malaxait de bonheur ses testicules. Au même moment il sentit une puis deux autres mains se poser sur son torse.
Calcul rapide : 4 mains = 2 personnes. Question : Une autre femme, un homme ?
« Qui c’est ? » Un doigt posé sur sa bouche lui fit comprendre son nouvel interdit : la parole.

Plus il était brimé, plus cela attisait son excitation, sa curiosité. Il était à l’affût de tout bruit, tout indice pouvant trahir ces manipulateurs anonymes. D’ailleurs Valentine était elle encore dans la pièce ? ? ?
Il sentait à présent la fellation qu’on lui faisait et en simultané, massages, caresses, lèches du corps, une langue baladeuse, exquise. La jouissance était proche. Son pénis était gorgé et cette fellation effrénée, une torture de tout premier ordre.
« AAAhhh, s’il te plait, laisse-moi regarder, je vais jouir, Valentine ? ? Tu es là ? ? ? »
« Oui, pas loin, je suis là sur l’autre banc, les jambes grandes ouvertes. Devines-tu ma chatte dégoulinante, juteuse, mes mains caressant mon entrecuisse. Et là, as-tu l’idée qu’un homme est là en ce moment accroupi devant mon petit minou trempé, il me lèche hhhhhuuuuummmm c’est bon, oooouuuii. Je suis follement exité, je vais jouir sous peu. Allez, prend-moi, vas-y, je t’attends…je te veux maintenant, sentir ta queue me remplir… ».

Greg entendait les frottements des corps, les gémissements de Valentine et sous l’action experte de cette bouche suceuse, il jouit et de son pénis jailli un jet violent.
« Dis-moi, cochon, ne pouvais-tu pas attendre que je jouisse avant, l’honneur aux dames non ? Tu seras puni ! ! Qu’on le laisse, venez me rejoindre ? ? » A qui donc parlait-elle ? Combien était-il dans la pièce ?
Et là les gémissements de Valentine se firent plus intenses, elle criait que c’était bon, qu’il fallait tout donner, plus fort, plus vite.
« Tu ne vois rien malheureux mais imagine que d’autres me donnent du plaisir, cette grosse queue en moi, ce doigt dans mon anus, mes seins pincés, tant de mains, des caresses…. Je vais jouir, ouuuiiii »
Tout à coup, plus un mot, un souffle de plus en plus intense et rapide, des gémissements entrecoupés de cris puis l’apothéose : un orgasme intense. Valentine prenait son pied. Greg, avec ses oreilles en guise de radar n’en ratait rien, l’imagination faisant le reste…

Le calme était revenu, Valentine reprenait son souffle et s’approcha de Greg. Elle l’embrassa tendrement lui détachant les poignets. Elle retira la serviette et dénoua ses chevilles. Libre et heureux, Greg se retrouvait seul avec Valentine dans cette pièce comme à leur arrivée.

« Donc, j’ai dit que tu seras puni pour avoir osé jouir avant ta souveraine, et bien voilà ta sentence : Je ne te raconterai rien de ce qui s’est passé, qui t’a sucé, qui m’a caressé, combien nous étions dans cette pièce … le secret de cette chambre des tortures restera ici entre ses murs mais certainement pas aux oubliettes, n’est-ce pas ? ? ? »