La promenade du chien - histoire érotique

La promenade du chien


Notre berger Australien gambade autour de nous, ravi de se promener dans la forêt.
Un vététiste passe près de nous et semble plus en chasse qu'en défi sportif. David répond chaleureusement à son bonjour tout en n'hésitant pas à frotter sa braguette. A-t-il compris le message?

" Laurent, on a une touche" jubile David.

En effet, le cycliste s'est arrêté un peu plus loin et regarde sa chaîne de vélo, nous laissant le temps d'arriver près de lui afin de l'aborder.

" Tu as un problème avec ta chaîne de vélo?
" J'avais une petite branche de coincée.

David le tutoie déjà et, à son regard, sa façon de s'approcher du mec, je sais qu'il a envie de le niquer. Le mec lui plaît. Un profil ultra sportif, un magnifique cul moulé dans sa tenue de cycliste, il n'attend qu'une opportunité, c'est évident.
Maintenant une main sur son vélo, si près de lui qu'il doit lui renvoyer ses senteurs musquées de mâle, il lui fait comprendre qu'une intimité est possible avec nous. Face à mon homme avec son bon quintal, son gabarit profilé tranche complètement.

" Tu fais beaucoup de sport, tu as la ligne." lui dit David
" Merci.
" J'aime bien ta tenue, c'est du lycra? lui dis je

Je le touche et il se laisse faire. David savoure la situation en me voyant passer la main sur les cuissards du jeune cycliste. Ma main palpe le tissu soyeux… Nullement décontenancé, comme s'il n'attendait que ça, il laisse faire, silencieux.

" On va plus loin, on sera plus tranquille.

Il ne répond pas, comme si tout cela était convenu d'avance. C'est cette opportunité qu'il cherchait, un plan cul.
Nous bifurquons vers un petit sentier où nous trouvons un petit espace tranquille, envahi par les genêts et les épineux, à l'abri des regards. Notre cycliste pose son vélo contre le tronc d'un sapin, ôte son casque, se met à l'aise.

Quelle beauté, ce jeune homme; le corps profilé, gracieux, le visage doux, les cheveux avec une coupe à la dernière mode. Hummm, un sportif très sculpté, stylé, très craquant, très bandant, très minet à baiser. Il nous a suivi mais je le sens un peu sur la réserve.

Bon, je le comprends, nous sommes deux et c'est vrai que mon homme impressionne, avec sa carrure de vigile, son profil de manouche, de mec au visage abimé et buriné par la vie, avec ses poils noirs et abondants qui débordent du polo.
Moi qui ne suis pas du tout attiré par les blonds, ce petit mec me plaît. Il laisse dérouler et passe sa main à mon entrejambe… l'excitation monte. Il participe et entre dans la danse. Son envie de sexe le déborde…

David n'intervient pas. Je sais qu'il a envie lui aussi mais il respecte ma pulsion. D'habitude, dans ce genre de situation, c'est lui le meneur, le dominant, à part qu'il embrasse rarement un autre mec que moi. David sait mon amour pour lui et je n'ai aucun doute sur le sien. Dès le départ, nous avons convenu que l'on pourrait baiser avec d'autres mecs…mais toujours ensemble et avec des protections.
Pourquoi aujourd'hui suis-je le meneur, je ne sais pas l'expliquer.
Mon compagnon s'en régale et en même temps il est très fier de ma virilité qui s'épanouit devant lui.

Notre cycliste se laisse dessaper, participe aussi à mon effeuillage. Son corps se dévoile, lisse, d'une blancheur de porcelaine, offrant à nos regards ses fesses délicates, son sexe dressé, presque sans poil. Moi qui aime les poils, c'est pas de chance…mais je suis trop excité de faire ça devant mon homme.

Je me penche, lui prodigue une pipe savoureuse qui le fait se trémousser et le conforte pour se laisser aller. Si j'adore sucer mon homme qui est royalement doté par la nature, là, son bijou est super agréable en bouche et je l'ai jusqu'aux couilles, sans effort. J'ai peur qu'il crache son jus tellement il apprécie, alors je me redresse et lui présente à mon tour ma queue…

Il s'accroupit sans hésiter, me tête, me triture les couilles, ravi sans doute d'en sucer une plus grosse que la sienne. Il ne se pose pas la question de la présence de David qui surveille les alentours, qui nous mate, qui masse sa braguette et se pince un téton sous son polo relevé, comme s'il regardait un film de cul. Son ventre bombé apparaît, velu tel un ours, d'une virilité absolue.
Pense t'il que mon homme, bâti comme une armoire à glace, va se mettre à l'aise et vouloir une turlutte à son tour?

Je suppose que sa présence à surveiller le rassure sur les importuns qui pourraient s'approcher.
Il lorgne de temps en temps vers notre chien, de peur sans doute que celui-ci ne s'approche trop près et vienne lui renifler le cul, qu'il a à l'air.

Excité, pressé comme s'il avait peur d'être surpris, il se redresse, se retourne et me présente ses magnifiques petites fesses lisses… il a trop envie que je l'embroche. Un difficile équilibre entre son envie et ses interdits.

" T'as des capotes? me demande t'il.

David a tout prévu: d'une poche de son pantalon kaki, il sort un préservatif et me le donne, accompagné d'un carré de gel. Il a trop envie de le baiser mais ne fait pas de commentaire.

Notre sportif s'appuie contre le tronc du pin le plus proche, se penche, se laisse enduire le petit trou. Sans doute peu familier de la manœuvre, alors que ma queue raide se cale dans son œillet pour l'introduire, il stresse déjà, me supplie d'aller doucement.
C'est vrai qu'il est serré. Je l'ai doigté mais un manque de souplesse évident, sans doute dû à la précipitation, au manque de relâchement, lui donnent la peur d'avoir mal. Il couine, veut renoncer, me dit que ma queue est trop grosse…
Faut pas abuser! Je marque un petit temps d'arrêt pour rentrer dans son jeu, caresse son corps si doux, essaie de le détendre, le persuade de refaire un essai...

David en profite pour lui saisir la tête, lui impose une pelle virile, baveuse, lui bouffe la gueule avec sa langue. Il n'est plus qu'un jouet entre nous deux, livré à nos désirs sexuels. Il s'accroche au corps puissant de David, résiste à sa façon, gesticule. Mon gland lui déboîte la rondelle, et, le gel aidant, d'un coup de reins, je l'enquille sur la moitié de ma bite raide.

Il tortille du cul et se libère d'un merveilleux cri d'enculé sous le regard ravi de David. Je reste fermement en lui et solde le reste jusqu'aux couilles. Coincé entre nous deux, pris en étreinte entre nos deux corps, dominé, tout bascule soudain…

Il hallucine d'être ainsi possédé et enserre le corps puissant de mon David, offre sa bouche en geignant, se tend pour se faire baiser…Finalement, c'est une vraie petite salope.

Il minaude admirablement à chaque coup de boutoir que je lui donne, ce qui est très agréable à entendre quand on baise. Les plaintes deviennent plaisir et il ne s'en cache pas.
David, excité de l'entendre couiner comme une petite pute, le libère, défait son ceinturon et sort de son pantalon treillis sa queue épaisse, majestueuse, raide, prête à saillir.
Notre jeune cycliste regarde la matraque, incrédule; le gabarit impressionne. Cette taille là, il n'est pas prêt.

" Elle est trop grosse." dit il sur un ton paniqué. Il ne demande même pas à sucer le superbe manche.

Mon homme s'approche quand même, lui appuie sur la nuque, l'oblige à sucer sa matraque. La petite bouche peine à gober le gland magnifique… David force ses réticences, ne lui laisse pas le choix.
Les coups qu'il prend dans le cul de ma part et sa situation de passif pris entre nous deux ont raison de sa volonté.
Un changement de ton de ses plaintes, il jouit en se retenant sur les cuisses musclées et poilues de mon chéri, stupéfait de gicler sans se toucher. David le retient le temps que je coulisse encore, que je termine ma saillie et que je remplisse la capote.

Il était temps; son envie est passée et il cherche à se libérer.

Il se dégage aussitôt, tâte son cul, s'assure que ma capote a tenu.

" Tu m'as défoncé" me dit-il

Il regarde le braquemart de mon homme, encore magnifique de rigidité.

" Elle est énorme!"

Il reste silencieux, admiratif. Se faire enculer par un tel braquemart et avoir du sperme dans le cul, je suis sûr qu'il en rêve.

Notre chien, tout à côté, a assisté à notre copulation. Heureusement qu'il ne parle pas…il pourrait en raconter…des histoires de culs entre mecs.
Notre jeune cycliste se rhabille vite fait, reste désappointé d'avoir giclé sur sa tenue de cycliste. Comme s'il était en faute, il repart sans tarder. On ne saura même pas son prénom. Il se paie ce genre d'extra en catimini, c'est sûr.

Pour la promenade, le podomètre n'a pas beaucoup avancé avec tout ça! Nous décidons de retourner aux alentours du parking, lieux plus propice pour croiser des mecs en chasse. David est maintenant trop excité et ses yeux sont comme des radars.
Il me fait soudain un signe de la tête: il a aperçu deux hommes en pleine action érotique et il espère bien tirer profit de la situation. Ils nous ont vus et nous laissent approcher. L'actif, un mec de chantier, sans doute de passage, est trop heureux de se payer un cul en chaleur.
L'enculé, un trentenaire, un look de commercial très bcbg, n'est même pas gêné par la situation. C'est si bon qu'il laisse faire. Silencieusement il profite, branle sa bite pendant que l'artisan lui ramone le conduit. Des témoins, il s'en tape et il espère sans doute se faire enfiler par l'un de nous deux.
David déboutonne directement son pantalon et sort son artillerie; il sait qu'il va impressionner. Les yeux se braquent sur la matraque et le gland somptueux. D'instinct, l'enculé ouvre sa bouche, prêt à sucer, se cabre pour montrer sa disponibilité. Une bite pareille, il la veut, dans la bouche, dans le cul, peu importe.

" Salope! " lui dit son enculeur, très vigoureux, prêt à envoyer, qui a compris la situation.

Le maçon ou le plombier, va savoir, fort bien équipé sous la ceinture il faut l'avouer, lui déboite le cul. Sans capote, il accélère pour conclure et remplit le passif… qui ne demandait que ça.
Il se retire, la bite luisante, le gland bavant sa dernière goutte. Putain l'artisan, il ne l'a pas loupé! il a super bien craché! du jus s'écoule du trou bien rasé et resté ouvert. Mon chéri va être content, le mec est à point… dilaté et lubrifié!
Mon homme, fier de son calibrage, se laisse sucer pour faire plaisir puis se positionne sans problème derrière le beau commercial déluré. Il cale son gland gonflé entre les fesses très demandeuses du trentenaire. David, de ses bras puissants, saisit les hanches de ce corps en chaleur, déjà bien préparé par cette première saillie.

" Ahhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!

En même temps que le cri d'extase, le gland disparaît, comme aspiré, et l'épais manche s'enfonce, pour remplir sa mission. Le beau passif gesticule, s'agrippe au tronc d'arbre, se cabre, gueule sa soumission à mon mâle. Ben oui, le braquemart, il faut le prendre! David le serre davantage et introduit son manche de pioche sans faiblir. Du bel enculage, érotique et viril à la fois. Un enculage entre hommes!

Les couilles arrivées en butées, vaincu, possédé, il gueule des "Oh Putain" et des "Salaud", se contorsionne pour faire une bise à mon Doudou. Il avait tant envie de l'avoir dans le cul, la grosse tige de mon homme! Et sodomisé si virilement, il a adoré!
Ah, mon David, avec ça, il ne va plus se sentir et il va lui bourrer le cul, c'est sûr!

Comme des bêtes, ils assouvissent leurs instincts, sans crainte du jugement de ma présence et de l'artisan resté là à profiter du spectacle. Ils n'ont pas à surveiller les alentours, ils ont juste à profiter.
David est content d'être tombé sur une salope qui en veut. Il le déglingue, coulisse son piston entre les fesses du mec sans trop de délicatesse… Débordé mais heureux, le trentenaire, chaud du cul, sent ses limites. Submergé par le plaisir, savoir qu'il s'en prend une grosse, bien calibrée, doit lui monter à la tête. Là, il a trouvé son mâle.
Mon David, ravi de son exploit, ravi d'imposer son tempo, de mater cette salope, se régale de voir l'artisan à nouveau bander et imposer sa bite à sucer au passif.
Unis dans la même volonté de niquer un pédé consentant, ils le soumettent, profitent de ce corps en fièvre pour se libérer de leurs fantasmes.

Les yeux pleins de vice, les réserves non épuisées, l'artisan lui gave la bouche de sa semence, se vide encore les couilles. David profite du moment pour porter l'estocade, râle bruyamment et remplit la capote. Le trentenaire, épuisé, complètement défoncé et ravi de sa condition, lance trois longues giclées blanches devant lui et éclabousse les aiguilles de pins au sol.
Ils restent enchâssés pour savourer cette apothéose, jusqu'au moment où l'enculé reprend un peu ses esprits, finisse d'avaler son tapioca et dise "Oh Putain", complètement émerveillé du plaisir qu'il a pris.
David s'est régalé et réclame ma bouche, me bécote en signe d'amour. L'enculé se retourne prestement et regarde mon chéri enlever sa capote remplie. Il touche la queue encore dure…

"Oh, putain!

Il est admiratif. D'instinct il s'accroupit, ne peut se retenir et suce le gland pour honorer l'attribut qui l'a si bien coulissé.
Il veut nous revoir, n'arrête pas de se féliciter du moment passé, insiste et propose encore son cul ou sa bouche…
David l'a tiré mais ne donne pas suite, le remercie tout en trouvant une excuse. L'artisan, lui, par contre, se montre ouvert pour le niquer à nouveau un autre jour.
Notre commercial, une fois habillé, on ne penserait pas que c'est une grosse salope. Sûr que le soir, à l'hôtel, il doit se faire niquer…

Nous reprenons la direction du parking, soulagés, ravis du moment passé. Les véhicules des randonneurs ont déserté le lieux en cette fin de journée. Après avoir donné à boire à notre chien, David suggère qu'il est trop tôt pour rentrer… Maintenant qu'il a jouis, il est prêt pour un deuxième service. Il adore ça.

Notre berger Australien ne semble pas avoir récolté de tiques pendant sa promenade, fort heureusement.

Au loin, l'orage menace. L'air est lourd, les corps transpirent, l'envie de baiser est toujours là. La nuit commence à tomber…On entend une voiture qui approche…




Caramel35
Vous aussi, prévoyez le matos pour draguer dans les bois…et emportez vos déchets.
Merci pour vos mails et commentaires.