LA PROMOTION Ep02 Le voyage vers le monastère
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Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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LA PROMOTION Ep02 Le voyage vers le monastère
LA PROMOTION Ep02
Le voyage vers le monastère
Lentement le train sortait de la gare. Le bruit des rails se faisait entendre, à chaque aiguillage avec les accoues. Ensuite le train montait à sa vitesse maximum, près de soixante dix kilomètres heures, le bruit devenait régulier et se transformait en berceuse, Joss somnolait mais Lex lui avait sorti ses dossiers et les consultait, il se mettait à jour, travaillait sur les sujets qu'il s'était réservés pour occuper son voyage.
Lex est comme ça, il travaille tout le temps, il est très bien organisé et très efficace.
Le train roulait depuis un long moment quand il tombait sur un chapitre dans son dossier qui traitait des activités de cette entreprise dont il devait prendre la direction. Il n'avait pas encore ouvert le dossier, cela l'importait peu. Il avait gardé ce dossier pour pouvoir le consulter à loisir dans le train.
Il éclatait de rire, il était surpris par les produits de l'entreprise, l'origine de l'entreprise enfin il trouvait cela très originale. Comme à son habitude il prenait toutefois les choses très au sérieux se disant que si Mr Le Comte avait choisi d'acheter cette petite entreprise, il devait savoir ce qu'il faisait.
Lex était avant tout orienté vers sa mission, il ne critiquait pas la direction. C'était un technicien des affaires.
Et pour cette entreprise, elle avait tout pour paraître peu ordinaire. Elle avait été créée dans un monastère, un lieu très refermé du monde. Il y avait encore quelques moines qui y travaillaient et le contrat de vente prévoyait qu'ils resteraient à leurs postes. Cette entreprise produisait des dispositifs de chasteté.
Lex n'avait jamais entendu parlé d'un truc pareil. Il en parlait à Joss.
Dis moi tu as vu ce que fabrique cette entreprise.
Le monastère de la pureté ? Oui tu ne le savais pas ?
Bein j'avais gardé le dossier pour le voyage.
Et tu en penses quoi ?
Je sais pas quoi en penser, c'est juste des jouets érotiques ?
Pas uniquement, tu peux me croire, pas uniquement.
Lex continuait à étudier le dossier et en apprenait plus.
Il y avait tout un tas de dispositif qui allait depuis le slip très enveloppant au système constitué d'une ceinture en métal et un entre jambe énorme ou encore des petits dispositifs plus discrets, qui enveloppait le sexe du porteur, s'y accrochait et le confinait très efficacement.
Il y avait des photos sur le dossier. Lex avait l'impression d'une revue pornographique. Ça ne le dérangeait pas vraiment, ça l'amusait, surtout que c'était un dossier tout à fait sérieux, un dossier de travail sur une entreprise qui se voulait totalement honorable !
Lex était perplexe, il ne savait pas quoi en penser.
Et tu crois que ça va se vendre ? Demandait-il à Joss.
Mais ça se vend, peu pour le moment, mais il n'y a pas de promotion pas de véritable diffusion. Ce sera ton travail de développer tout cela à commencer par la pub.
Lex s'est demandé dans quoi il s'était engagé. Il réfléchissait au produit sous tous les angles et cette idée lui semblait totalement absurde. L'heure du dîner arrivait rapidement et nos deux héros se rendaient au restaurant. L'espace était limité mais l'équipe de restauration faisait des miracle. C'était de la grande gastronomie.
Ils s'attardaient à table pour prendre un café un un petit alcool.
Ensuite Lex restait sur place, il regardait le paysage et les yeux perdus dans le vide il réfléchissait à ce projet, à cette nouvelle entreprise. Il se résumait tout dans sa tête.
Donc c'était une équipe de religieux qui avait inventé ce dispositif et ce concept. Six moines resteraient en poste, il faudrait recruter, étudier une communication, de la pub quoi. Il faudrait aussi assurer la diffusion, la vente par correspondance lui semblait la seule solution. Ou alors en sex-shop mais là ça ne faisait pas sérieux.
Sérieux ou pas, il ne fallait écarter aucune possibilité, il prenait des notes. Plus tard il décidait de retourner dans sa cabine, c'était une cabine double qu'il partageait avec son camarade Joss.
C'est entre deux voitures, là ou se trouve les locaux réservés au personnel que Lex entendait une voix qu'il reconnaissait. C'était son ami Joss. À cet endroit il y a beaucoup de bruit mais le convoi avait ralenti, était presque à l'arrêt. Lex ne comprenait pas, toutes les portes étaient fermées, et comme je viens de vous le dire les locaux étaient réservés au personnel.
Lex tendait l'oreille, juste avant que le train ne reprenne un peu de vitesse il entendait clairement Joss qui criait. Ce n'était pas un appel au secours, c'était un cri de plaisir, '' Oh oui, vas y !''. Lex collait son oreille contre la porte, il n'y avait personne dans le couloir. Le rideau de la cabine était tiré mais il remarquait un repli contre le bord de la porte vitrée. Il approchait son œil et en effet, il n'avait pas rêvé, c'était bien Joss. Il voyait sa tête, il était penché en avant contre une couchette, il n'était pas seul, il y avait quelqu'un d'autre avec lui mais là Lex ne pouvait pas voir de qui il s'agissait.
Et à voir les mouvements que faisait Joss, qui se balançait en suivant les secousses du train. Il n'a pas compris tout de suite ce qui se passait puis, brusquement il pouffait de rire. Il avait compris son camarade était en train de s'envoyer en l'air avec un contrôleur ou quelqu'un dans ce genre.
Il continuait à regarder au mieux qu'il le pouvait. Joss avançait et Lex pouvait alors voir ses fesses, il pouvait alors voir le sexe de celui avec qui il était. Il était bien monté le gars et se lâchait et défonçait le cul de Joss avec joie et conviction.
Les coups pleuvaient, Lex percevait le bruit que faisait le ventre du deuxième homme quand il s'écrasait contre les fesses de Joss. Quand il se retirait Lex pouvait constater qu'il était vraiment bien monté, Joss en prenait plein le cul et continuait à gueuler. Avec le bruit du train on n'entendait rien mais Lex avait l'oreille collée contre la vitre. Il jouait les voyeurs. Il n'en revenait pas de ce qu'il voyait, il n'en revenait pas de voir son camarade prendre une telle matraque avec autant de facilité et qui en plus en redemandait.
Lex restait là un long moment. Le contrôleur s'accrochait aux hanches de Joss et le tirait vers lui avec force. Sa queue entrait bien à fond, elle était de très grosse taille, plus grosse que celle de Lex qui pourtant était bien monté. Il finissait par bander notre ami Lex.
Il n'était pas particulièrement porté sur ce genre de pratique entre homme, mais ne s'en offusquait pas. Il se disait que ça laissait plus de choix libre plus de filles libres pour les hommes comme lui.
Joss remuait, commençait à gigoter du mouvement d'une main il écartait le rideau et Lex pouvait alors voir tout ce qui se passait dans la cabine, il se cachait sur le côté. Personne ne le remarquait mais lui pouvait tout voir clairement sauf le visage du partenaire de Joss. Lex ne pouvait pas reconnaître quel était l'employé du train qui faisait son affaire à son camarade Joss.
Les coups qu'il balançait contre le cul de Joss étaient violents et rapide, il ne se retenait pas ou plus. Lex ne savait pas comment cette affaire avait commencé.
Le contrôleur se retirait presque totalement puis d'un coup sec s'enfonçait complètement dans les entrailles de Joss en faisant bien claquer son ventre contre ses fesses. Joss gémissait de plus en plus fort, c'était maintenant des cris que Lex pouvait entendre très distinctement. Des cris de plaisir, des cris qui en demandaient encore plus, toujours plus. Joss penchait sa tête entre ses mains et se contentait d'encaisser, il se laissait faire et ses cris se transformaient en gémissements, en plaintes.
Le contrôleur se retirait de nouveau, plus longtemps puis revenaient toujours aussi violent jusqu'au moment ou il allongeait sa queue sur les reins de Joss et éjaculait, Lex pouvait tout voir avec clarté, il pouvait voir, contempler le contrôleur éjaculer sur le dos de son camarade.
C'est un flot de liquide blanc qui coulait sur les reins de Joss qui gémissait ou jouissait, c'était difficile à dire. Le contrôleur prenait une serviette et faisait disparaître toutes les traces. Jos se relevait et se retournait. Avec la serviette il s'essuyait également, Lex remarquait qu'il y avait quelques fuites, il avait joui lui aussi, lui aussi il avait éjaculé.
Josse tournait la tête vers son partenaire et l'embrassait, un reflet sur la vitre ne permettait toujours pas à Lex de reconnaître l'employé des trains. Il était bien bâti, bien monté mais il ne pouvait pas en voir plus.
Quand Joss terminait de s'essuyer, il posait la serviette et Lex pouvait alors voir très nettement qu'il portait un dispositif de chasteté. Lex ouvrait de grands yeux, n'en revenait pas.
C'était un dispositif léger, le plus petit, un dispositif maintenant par un anneau qui passait autour du sexe, à sa base, sous les testicules. Il y avait parfaitement fixé à cet anneau de maintient un petit dispositif qui pouvait faire penser à une cage, il était constitué de barreaux, et il confinait parfaitement la queue de Joss. Elle remplissait bien le dispositif, il semblait trop petit.
Lex restait pensif, il regardait la scène sans bouger, les yeux fixé sur ce dispositif. Dans le dossier qu'il étudiait en ce moment il y avait des photos mais là, ce n'était pas de la photographie. Là c'était réel, ce n'était pas de la fiction. Lex se demandait si c'était vraiment indolore, il avait mal à sa queue rien qu'en voyant ce spectacle.
Puis il a réagit, il s'est rendu compte qu'on pouvait le voir, il était dans l'ombre mais peut être moins qu'il le pensait. Il semblait que personne n'avait repéré sa présence. Il se reculait, Joss avait lâché le rideau qui retombait. Lex repartait alors vers sa cabine un peu retourné par ce qu'il venait de voir.
Les deux hommes n'avaient pas eu la moindre réaction, ils ne l'avaient pas vu, c'était évident, c'était sûr. Mais lui revoyait toujours cette image dans sa tête, ce dispositif étrange et finalement terriblement sexy, terriblement excitant. Ça devait faire mal mais … Comment dire la graine était semée. Lex bandait comme un cerf.
Il s'installait dans sa cabine et ouvrait son dossier, il en reprenait la lecture et voyait les choses sous un autre angle maintenant.
Joss arrivait un pu plus tard, Lex n'osait pas le regarder dans les yeux, il était gêné. Pourtant c'était sûr, Joss ne l'avait pas vu à travers la vitre, il devait être occupé, absorbé à autre chose.
Lex regardait le cul de Joss quand celui-ci s'est penché pour regarder le paysage par la fenêtre. Il se demandait comment on pouvait se prendre dans le cul une telle matraque, il savait de quoi il parlait, pardon je veux dire , il savait à quoi il pensait. Il avait la même et jamais aucune fille n'avait accepté de le laisser passer par derrière. Il n'aurait jamais eu l'idée de le faire.
Non mais c'est vrai quoi, il faut rester sérieux, il avait une matraque de plus de vingt centimètres de long sur une bonne largeur. Il avait tout ce qu'il fallait pour que ça déchire mais l'employé des trains ou le contrôleur qui avait enculé Joss était aussi bien monté que lui.
Pourtant Joss ne donnait pas l'impression d'avoir souffert, il donnait l'impression d'avoir pris du plaisir, et là il semblait détendu, serein. Lex remarquait qu'il avait une bosse entre ses cuisses, en haut de ses cuisses. Joss portait un pantalon légèrement moulant qui mettait en valeur ses formes naturelles, et la cage se devinait, oh à peine mais maintenant que Lex savait, il pouvait la deviner.
Ces dispositifs étaient déjà discrets à cette époque, ils gagneraient à être améliorés, mais déjà, on pouvait les porter sur de longues périodes, et même de très longues périodes, et si on était habitué, ça ne posait pas de problèmes majeurs même si le dispositif n'était pas forcément confortable.
Lex apprenait dans son dossier que les moines qui travaillaient dans le monastère le portait depuis leur arrivée, depuis qu'ils prononçaient leurs vœux jusqu'à ce qu'ils quittent ce monde. Et ils ne semblaient pas en souffrir.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le voyage vers le monastère
Lentement le train sortait de la gare. Le bruit des rails se faisait entendre, à chaque aiguillage avec les accoues. Ensuite le train montait à sa vitesse maximum, près de soixante dix kilomètres heures, le bruit devenait régulier et se transformait en berceuse, Joss somnolait mais Lex lui avait sorti ses dossiers et les consultait, il se mettait à jour, travaillait sur les sujets qu'il s'était réservés pour occuper son voyage.
Lex est comme ça, il travaille tout le temps, il est très bien organisé et très efficace.
Le train roulait depuis un long moment quand il tombait sur un chapitre dans son dossier qui traitait des activités de cette entreprise dont il devait prendre la direction. Il n'avait pas encore ouvert le dossier, cela l'importait peu. Il avait gardé ce dossier pour pouvoir le consulter à loisir dans le train.
Il éclatait de rire, il était surpris par les produits de l'entreprise, l'origine de l'entreprise enfin il trouvait cela très originale. Comme à son habitude il prenait toutefois les choses très au sérieux se disant que si Mr Le Comte avait choisi d'acheter cette petite entreprise, il devait savoir ce qu'il faisait.
Lex était avant tout orienté vers sa mission, il ne critiquait pas la direction. C'était un technicien des affaires.
Et pour cette entreprise, elle avait tout pour paraître peu ordinaire. Elle avait été créée dans un monastère, un lieu très refermé du monde. Il y avait encore quelques moines qui y travaillaient et le contrat de vente prévoyait qu'ils resteraient à leurs postes. Cette entreprise produisait des dispositifs de chasteté.
Lex n'avait jamais entendu parlé d'un truc pareil. Il en parlait à Joss.
Dis moi tu as vu ce que fabrique cette entreprise.
Le monastère de la pureté ? Oui tu ne le savais pas ?
Bein j'avais gardé le dossier pour le voyage.
Et tu en penses quoi ?
Je sais pas quoi en penser, c'est juste des jouets érotiques ?
Pas uniquement, tu peux me croire, pas uniquement.
Lex continuait à étudier le dossier et en apprenait plus.
Il y avait tout un tas de dispositif qui allait depuis le slip très enveloppant au système constitué d'une ceinture en métal et un entre jambe énorme ou encore des petits dispositifs plus discrets, qui enveloppait le sexe du porteur, s'y accrochait et le confinait très efficacement.
Il y avait des photos sur le dossier. Lex avait l'impression d'une revue pornographique. Ça ne le dérangeait pas vraiment, ça l'amusait, surtout que c'était un dossier tout à fait sérieux, un dossier de travail sur une entreprise qui se voulait totalement honorable !
Lex était perplexe, il ne savait pas quoi en penser.
Et tu crois que ça va se vendre ? Demandait-il à Joss.
Mais ça se vend, peu pour le moment, mais il n'y a pas de promotion pas de véritable diffusion. Ce sera ton travail de développer tout cela à commencer par la pub.
Lex s'est demandé dans quoi il s'était engagé. Il réfléchissait au produit sous tous les angles et cette idée lui semblait totalement absurde. L'heure du dîner arrivait rapidement et nos deux héros se rendaient au restaurant. L'espace était limité mais l'équipe de restauration faisait des miracle. C'était de la grande gastronomie.
Ils s'attardaient à table pour prendre un café un un petit alcool.
Ensuite Lex restait sur place, il regardait le paysage et les yeux perdus dans le vide il réfléchissait à ce projet, à cette nouvelle entreprise. Il se résumait tout dans sa tête.
Donc c'était une équipe de religieux qui avait inventé ce dispositif et ce concept. Six moines resteraient en poste, il faudrait recruter, étudier une communication, de la pub quoi. Il faudrait aussi assurer la diffusion, la vente par correspondance lui semblait la seule solution. Ou alors en sex-shop mais là ça ne faisait pas sérieux.
Sérieux ou pas, il ne fallait écarter aucune possibilité, il prenait des notes. Plus tard il décidait de retourner dans sa cabine, c'était une cabine double qu'il partageait avec son camarade Joss.
C'est entre deux voitures, là ou se trouve les locaux réservés au personnel que Lex entendait une voix qu'il reconnaissait. C'était son ami Joss. À cet endroit il y a beaucoup de bruit mais le convoi avait ralenti, était presque à l'arrêt. Lex ne comprenait pas, toutes les portes étaient fermées, et comme je viens de vous le dire les locaux étaient réservés au personnel.
Lex tendait l'oreille, juste avant que le train ne reprenne un peu de vitesse il entendait clairement Joss qui criait. Ce n'était pas un appel au secours, c'était un cri de plaisir, '' Oh oui, vas y !''. Lex collait son oreille contre la porte, il n'y avait personne dans le couloir. Le rideau de la cabine était tiré mais il remarquait un repli contre le bord de la porte vitrée. Il approchait son œil et en effet, il n'avait pas rêvé, c'était bien Joss. Il voyait sa tête, il était penché en avant contre une couchette, il n'était pas seul, il y avait quelqu'un d'autre avec lui mais là Lex ne pouvait pas voir de qui il s'agissait.
Et à voir les mouvements que faisait Joss, qui se balançait en suivant les secousses du train. Il n'a pas compris tout de suite ce qui se passait puis, brusquement il pouffait de rire. Il avait compris son camarade était en train de s'envoyer en l'air avec un contrôleur ou quelqu'un dans ce genre.
Il continuait à regarder au mieux qu'il le pouvait. Joss avançait et Lex pouvait alors voir ses fesses, il pouvait alors voir le sexe de celui avec qui il était. Il était bien monté le gars et se lâchait et défonçait le cul de Joss avec joie et conviction.
Les coups pleuvaient, Lex percevait le bruit que faisait le ventre du deuxième homme quand il s'écrasait contre les fesses de Joss. Quand il se retirait Lex pouvait constater qu'il était vraiment bien monté, Joss en prenait plein le cul et continuait à gueuler. Avec le bruit du train on n'entendait rien mais Lex avait l'oreille collée contre la vitre. Il jouait les voyeurs. Il n'en revenait pas de ce qu'il voyait, il n'en revenait pas de voir son camarade prendre une telle matraque avec autant de facilité et qui en plus en redemandait.
Lex restait là un long moment. Le contrôleur s'accrochait aux hanches de Joss et le tirait vers lui avec force. Sa queue entrait bien à fond, elle était de très grosse taille, plus grosse que celle de Lex qui pourtant était bien monté. Il finissait par bander notre ami Lex.
Il n'était pas particulièrement porté sur ce genre de pratique entre homme, mais ne s'en offusquait pas. Il se disait que ça laissait plus de choix libre plus de filles libres pour les hommes comme lui.
Joss remuait, commençait à gigoter du mouvement d'une main il écartait le rideau et Lex pouvait alors voir tout ce qui se passait dans la cabine, il se cachait sur le côté. Personne ne le remarquait mais lui pouvait tout voir clairement sauf le visage du partenaire de Joss. Lex ne pouvait pas reconnaître quel était l'employé du train qui faisait son affaire à son camarade Joss.
Les coups qu'il balançait contre le cul de Joss étaient violents et rapide, il ne se retenait pas ou plus. Lex ne savait pas comment cette affaire avait commencé.
Le contrôleur se retirait presque totalement puis d'un coup sec s'enfonçait complètement dans les entrailles de Joss en faisant bien claquer son ventre contre ses fesses. Joss gémissait de plus en plus fort, c'était maintenant des cris que Lex pouvait entendre très distinctement. Des cris de plaisir, des cris qui en demandaient encore plus, toujours plus. Joss penchait sa tête entre ses mains et se contentait d'encaisser, il se laissait faire et ses cris se transformaient en gémissements, en plaintes.
Le contrôleur se retirait de nouveau, plus longtemps puis revenaient toujours aussi violent jusqu'au moment ou il allongeait sa queue sur les reins de Joss et éjaculait, Lex pouvait tout voir avec clarté, il pouvait voir, contempler le contrôleur éjaculer sur le dos de son camarade.
C'est un flot de liquide blanc qui coulait sur les reins de Joss qui gémissait ou jouissait, c'était difficile à dire. Le contrôleur prenait une serviette et faisait disparaître toutes les traces. Jos se relevait et se retournait. Avec la serviette il s'essuyait également, Lex remarquait qu'il y avait quelques fuites, il avait joui lui aussi, lui aussi il avait éjaculé.
Josse tournait la tête vers son partenaire et l'embrassait, un reflet sur la vitre ne permettait toujours pas à Lex de reconnaître l'employé des trains. Il était bien bâti, bien monté mais il ne pouvait pas en voir plus.
Quand Joss terminait de s'essuyer, il posait la serviette et Lex pouvait alors voir très nettement qu'il portait un dispositif de chasteté. Lex ouvrait de grands yeux, n'en revenait pas.
C'était un dispositif léger, le plus petit, un dispositif maintenant par un anneau qui passait autour du sexe, à sa base, sous les testicules. Il y avait parfaitement fixé à cet anneau de maintient un petit dispositif qui pouvait faire penser à une cage, il était constitué de barreaux, et il confinait parfaitement la queue de Joss. Elle remplissait bien le dispositif, il semblait trop petit.
Lex restait pensif, il regardait la scène sans bouger, les yeux fixé sur ce dispositif. Dans le dossier qu'il étudiait en ce moment il y avait des photos mais là, ce n'était pas de la photographie. Là c'était réel, ce n'était pas de la fiction. Lex se demandait si c'était vraiment indolore, il avait mal à sa queue rien qu'en voyant ce spectacle.
Puis il a réagit, il s'est rendu compte qu'on pouvait le voir, il était dans l'ombre mais peut être moins qu'il le pensait. Il semblait que personne n'avait repéré sa présence. Il se reculait, Joss avait lâché le rideau qui retombait. Lex repartait alors vers sa cabine un peu retourné par ce qu'il venait de voir.
Les deux hommes n'avaient pas eu la moindre réaction, ils ne l'avaient pas vu, c'était évident, c'était sûr. Mais lui revoyait toujours cette image dans sa tête, ce dispositif étrange et finalement terriblement sexy, terriblement excitant. Ça devait faire mal mais … Comment dire la graine était semée. Lex bandait comme un cerf.
Il s'installait dans sa cabine et ouvrait son dossier, il en reprenait la lecture et voyait les choses sous un autre angle maintenant.
Joss arrivait un pu plus tard, Lex n'osait pas le regarder dans les yeux, il était gêné. Pourtant c'était sûr, Joss ne l'avait pas vu à travers la vitre, il devait être occupé, absorbé à autre chose.
Lex regardait le cul de Joss quand celui-ci s'est penché pour regarder le paysage par la fenêtre. Il se demandait comment on pouvait se prendre dans le cul une telle matraque, il savait de quoi il parlait, pardon je veux dire , il savait à quoi il pensait. Il avait la même et jamais aucune fille n'avait accepté de le laisser passer par derrière. Il n'aurait jamais eu l'idée de le faire.
Non mais c'est vrai quoi, il faut rester sérieux, il avait une matraque de plus de vingt centimètres de long sur une bonne largeur. Il avait tout ce qu'il fallait pour que ça déchire mais l'employé des trains ou le contrôleur qui avait enculé Joss était aussi bien monté que lui.
Pourtant Joss ne donnait pas l'impression d'avoir souffert, il donnait l'impression d'avoir pris du plaisir, et là il semblait détendu, serein. Lex remarquait qu'il avait une bosse entre ses cuisses, en haut de ses cuisses. Joss portait un pantalon légèrement moulant qui mettait en valeur ses formes naturelles, et la cage se devinait, oh à peine mais maintenant que Lex savait, il pouvait la deviner.
Ces dispositifs étaient déjà discrets à cette époque, ils gagneraient à être améliorés, mais déjà, on pouvait les porter sur de longues périodes, et même de très longues périodes, et si on était habitué, ça ne posait pas de problèmes majeurs même si le dispositif n'était pas forcément confortable.
Lex apprenait dans son dossier que les moines qui travaillaient dans le monastère le portait depuis leur arrivée, depuis qu'ils prononçaient leurs vœux jusqu'à ce qu'ils quittent ce monde. Et ils ne semblaient pas en souffrir.
A suivre
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