LA PROMOTION Ep06

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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LA PROMOTION Ep06
LA PROMOTION Ep06
Après cette mémorable soirée Lex prenait ses marques, de nouvelles marques. À partir de ce jour tout se passait mieux, bien mieux. Lex rencontrait souvent le jardinier. Ils ne s'exhibaient pas, dans les locaux du séminaire, dans les couloirs, dans les jardins, enfin partout , ils restaient très discrets.
Il y avait un jardinier qu'on voyait malgré tout très régulièrement, et qui très régulièrement passait saluer son maître et il y avait un autre jardinier dans l'autre tour. Le second jardinier dans la seconde tour, mais ce second jardinier ne portait pas de dispositif de chasteté et son maître lui en portait un.
C'est ainsi que les choses devaient se passer, c'est ainsi que les couples se formeraient désormais dans la société de Mr Leconte. Cette même société qui devait s'appeler un jour la PK compagnie, mais dans un très long temps.
Les ventes de ces dispositifs ne décollaient pas vraiment mais c'était sans importance pour la direction. Mr Leconte y croyait, il était absolument convaincu que ce qu'il fabriquait allait un jour devenir une partie importante de son entreprise, en attendant, rien ne pressait.
Au début on ne savait pas trop ou vendre ces dispositifs, aussi on chargeait les religieux d'en faire la promotion. Une école très puritaine s'en chargeait, elle se trouvait dans une petite ville de province. C'était à la campagne, une école de garçons. Un endroit calme et serein. À quelques distance de cette école il y avait une colline, un sorte de promontoire qui donnait une très belle vue sur toute la région, à proximité de la ville il y avait aussi un endroit très jolie, une rivière et un petit lac ou les habitants aimaient se promener quand ils avaient un peu de temps pour se détendre.
C'est Joss qui était sollicité pour diriger l'organisation de l'école. Lex serait donc seul sur place. Il fallait assurer la production, la vente était une autre chose et ce n'est pas au monastère qu'on allait vendre ces dispositif.
Sans attendre, Lex étudiait un nouveau modèle. Les informations que lui remontait le télégraphe étaient vitale, elles dénonçaient les erreur de conception, et surtout la fragilité des dispositif en résine. À cette époque les résines n'étaient pas ce que l'on connaît aujourd'hui. Elles vieillissaient mal.
Lex décidait donc de fabriquer les dispositifs en métal. On testait différents alliages à base de fer, une petite proportion de carbone, le reste était du chrome et du nickel. Il fallait plusieurs essais avant de trouver les bons dosages mais le résultat était parfait. C'était solide parfaitement inoxydable, ça c'était une nécessité absolue, et au niveau de l’esthétique, c'était très beau, brillant et ça ne bougeait pas dans le temps.
Les premiers dispositifs faits ainsi était un peu lourd mais ça ne gênait pas vraiment. Vous avez peut être visité le musée de la PK, on peut voir plusieurs de ces premiers modèles, même plus d'un siècle plus tard la PK ne jette rien.
Plusieurs nouveaux modèles étaient dessinés, il y avait une petite fonderie dans le monastère, Lex décidait de la moderniser. L'investissement était accepté, il semblerait que la direction, au plus haut niveau, avait décidé d'investir dans ce projet. Pourtant ce n'était pas gagné, pour le moment ça ne rapportait rien.
Bref comme vous pouvez le voir, ça bougeait, ou ça s'agitait au monastère, c'est comme on veut.
L'été était au plus fort, quand un nouveau message arrivait sur le télégraphe optique, vous savez le dispositif qui permettait de transmettre une image.
Des stagiaires devaient arriver dans quelques jours !
Ça ne posait pas de problèmes, il y avait des locaux inoccupés, un peu de panique suivait tout de même puis dans la journée plusieurs dortoirs étaient préparés. Quatre lits par chambre, elles étaient spacieuses, cinq chambres étaient préparées dans la journée.
Lex communiquait avec la maison maire, se renseignait sur ce qu'il devait préparer puis finalement tout le monde était prêt et le jour prévu les vingt stagiaires arrivaient à la gare. Quatre véhicules les attendaient, on leur montrait ,en montant au monastère, la beauté de cadre idyllique, la pureté de l'air, la beauté de ces cymes enneigées, etc …
Finalement on les installait dans les dortoirs, un moine leur faisait visiter les lieux, puis on les laissait se reposer jusqu'au repas du soir.
Les stagiaires étaient tous jeunes et tous des garçons, bien sûr. C'étaient des étudiants en fin de cursus. Ils semblaient particulièrement intéressés par la fabrication des dispositifs. C'était un peu la cause de leur séjour. Le lendemain de leur arrivée, ils visitaient les ateliers.
Lex était dans son bureau quand un message écrit arrivait.
« Vous voudrez bien préparer un dispositif adapté pour chaque stagiaire. Ils devront tous être équipés dans la soirée ! »
le message était signé par Mr Leconte !
Lex sursautait à la lecture de cette note interne. J'en profite pour vous faire remarquer que ce dispositif de transmission des images était maintenant très utilisés pour transmettre les notes de service. Ainsi on n'avait pas besoin de télégraphiste pour lire et envoyer un message ( ils sont tout de même futés dans cette entreprise ! ). Lex n'avait pas encore été informé, il l'était maintenant et devait s'exécuter, il était un peu surpris mais il y avait tout ce qu'il fallait sur place , donc , ça ne posait pas de problème. Il appelait son secrétaire et lui donnait la note.
Tu avais entendu parler de cette histoire . Demandait Lex à son secrétaire.
Oui, les stagiaires en parlaient entre eux, quand je leur ai fait visiter les lieux !
Ils sont au courant et ils sont d'accord, c'est déjà une bonne chose.
On profitait d'une réunion pour aborder le sujet avec les stagiaires. Ils s'étaient préparés, chacun connaissait sa taille. Le secrétaire se rendait dans la réserve et ramenait le matériel.
Commençait alors la distribution.
Les stagiaires n'avaient pas vraiment l'air inquiets, au contraire même. Il allait renoncer à un petit plaisir en échange d'une capacité de concentration bien supérieure, ainsi que d'une amélioration des leurs performances physiques. Ils étaient déjà très en forme.
La distribution terminée, ils se tenaient tous là à attendre.
Et qu'est ce qui se passe maintenant ? Demandait timidement Lex.
On attend que vous donniez vos consignes, boss. Lui répondait son secrétaire.
Lex regardait son secrétaire sans comprendre. Il était quelquefois un peut lent.
Bien ! Dit le secrétaire en prenant la parole. Messieurs je vous demande de vérifier que c'est bien le modèle qui vous correspond, que la taille est bonne …
Chacun examinait avec attention le dispositif qui lui avait été donné.
Bien, je vous demande donc maintenant de bien vouloir procéder !
Sans attendre plus, tous ouvraient leur pantalon, le baissait et exhibaient leurs sexes. C'est dans le plus grand calme que chacun passait la première bague, la bague de maintient, puis sans attendre plus glissaient leurs queues dans la cage, s'assuraient une dernière fois que la taille était bonne avant de verrouiller l'ensemble avec le cadenas numéroté fourni avec.
Lex bandait, ça ne se voyait pas mais il bandait et lui le savait. C'est incrédule qu'il avait regardé la scène, lui qui ne portait pas de dispositif. Tous ces jeunes, car les stagiaires étaient très jeunes venaient de se verrouiller la bite et semblaient décidés à ne plus s'en servir. Lex ne comprenait pas ce qui s'était passé. Il avait assisté à cette scène et était retourné. Il bandait vraiment ferme.
Il a fait demi tour et est sorti de la salle. Les stagiaires n'ont pas fait attention, il remontaient et réajustaient leurs pantalons. Lex avait peur qu'on ne puisse remarquer son érection qui à ce moment était au plus fort. Et en plus comme il était bien monté, le risque était réel. Ce ne serait pas convenable.
Ça c'est sûr, à ce moment, à cet endroit ça ne serait pas convenable. Tous ces jeunes venaient de s'enfermer leurs sexe dans une cage, peut être pour tout le temps et lui, leur chef, qui ne portait pas ce dispositif bandait ! C'était sans doute la première fois qu'il avait honte de bander.
Il revoyait chacun des ces garçons, certains avait une petite queue, un petit dispositif leur suffisait. Un peu moins de la moitié du groupe avait une queue moyenne mais deux avaient une grosse queue, très grosse même pour un d'entre eux.
Cette image avait imprégné sa mémoire et il la revoyait. Cette grosse bite bien épaisse, molle on avait envie de la malaxer, plus dure on avait envie de se la prendre dans la bouche ou dans le cul.
De retour à son bureau Lex s'arrêtait net de bouger, le regard dans le vide. Il était assis à son bureau et pour la première fois de sa vie il pensait à se prendre une grosse queue dans le cul.
Son secrétaire rentrait dans le bureau.
Vous m'avez l'air bizarre Monsieur Lex. Faisait-il remarquer.
Oui enfin non mais …
Lex ne savait plus quoi dire mais son secrétaire comprenait tout de la situation, de ses doutes, surtout qu'il savait que son boss ne portait pas le dispositif.
Vous ne portez pas le dispositif ? Demandait le secrétaire.
Bein non , on me l'a jamais demandé. Bafouillait Lex.
Je pense qu'il faudra y penser.
Et pourquoi, on ne m'a jamais parlé de ça. Et en plus j'ai pas envie moi !
Non ! Vous savez qu'on ne l'exigera jamais. Vous étiez embauché avant. Maintenant pour la promotion ça devient de plus en plus conseillé.
Là Lex ne cachait pas son air de surprise.
Tu as des infos sur le sujet ?
Rien d'officiel, mais si on regarde les dernière promotions, c'est une obligation. Vous étiez le dernier à avoir une promotion alors que vous ne portiez pas le dispositif. Et les dispositifs que nous fabriquons sont avant tout destiné au personnel de l'entreprise.
Bein vla aut' chose ! Bafouillait encore Lex. Donc , même pour moi , si je ne mets pas un de ces trucs, ça en sera fini de ma promotion dans l'avenir ?
C'est probable ! Lui répondait le secrétaire.
Lex était sonné de ce qu'il apprenait. Ça, il ne l'avait pas vu venir. Il bandait toujours, de plus en plus même. Il préférait ne pas se lever, il ne pouvait plus rien cacher à ce moment.
C'est comme s'il sentait déjà la morsure de l'acier inoxydable, la dureté de la cage et son étroitesse. Elle serait trop petite, c'était évident, il ne pourrait jamais glisser dedans. Surtout dans l'état ou il était le pauvre. Il avait une grosse bite, même au repos c'était un beau morceau agréable à malaxer mais là c'était une grosse matraque, bien ferme.
Il se sentais bien mais c'était un sentiment étrange. Ce n'était pas désagréable, c'était la première fois qu'une érection lui faisait cet effet. Il se disait que c'était peut être la dernière. Puis rapidement il chassait cette idée de sa tête. Il bandait avec une grosse bite, elle n'était pas en cage et n'irait jamais. Il n'en était pas question. Il aimait trop le plaisir !
Mais il y avait ces images dans son cerveau, toutes ces images de ces jeunes garçons qui étaient volontaire à la chasteté. Chasteté définitive peut être même.
Puis Lex se demandait ce que ça faisait, ce que ça ferait.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Après cette mémorable soirée Lex prenait ses marques, de nouvelles marques. À partir de ce jour tout se passait mieux, bien mieux. Lex rencontrait souvent le jardinier. Ils ne s'exhibaient pas, dans les locaux du séminaire, dans les couloirs, dans les jardins, enfin partout , ils restaient très discrets.
Il y avait un jardinier qu'on voyait malgré tout très régulièrement, et qui très régulièrement passait saluer son maître et il y avait un autre jardinier dans l'autre tour. Le second jardinier dans la seconde tour, mais ce second jardinier ne portait pas de dispositif de chasteté et son maître lui en portait un.
C'est ainsi que les choses devaient se passer, c'est ainsi que les couples se formeraient désormais dans la société de Mr Leconte. Cette même société qui devait s'appeler un jour la PK compagnie, mais dans un très long temps.
Les ventes de ces dispositifs ne décollaient pas vraiment mais c'était sans importance pour la direction. Mr Leconte y croyait, il était absolument convaincu que ce qu'il fabriquait allait un jour devenir une partie importante de son entreprise, en attendant, rien ne pressait.
Au début on ne savait pas trop ou vendre ces dispositifs, aussi on chargeait les religieux d'en faire la promotion. Une école très puritaine s'en chargeait, elle se trouvait dans une petite ville de province. C'était à la campagne, une école de garçons. Un endroit calme et serein. À quelques distance de cette école il y avait une colline, un sorte de promontoire qui donnait une très belle vue sur toute la région, à proximité de la ville il y avait aussi un endroit très jolie, une rivière et un petit lac ou les habitants aimaient se promener quand ils avaient un peu de temps pour se détendre.
C'est Joss qui était sollicité pour diriger l'organisation de l'école. Lex serait donc seul sur place. Il fallait assurer la production, la vente était une autre chose et ce n'est pas au monastère qu'on allait vendre ces dispositif.
Sans attendre, Lex étudiait un nouveau modèle. Les informations que lui remontait le télégraphe étaient vitale, elles dénonçaient les erreur de conception, et surtout la fragilité des dispositif en résine. À cette époque les résines n'étaient pas ce que l'on connaît aujourd'hui. Elles vieillissaient mal.
Lex décidait donc de fabriquer les dispositifs en métal. On testait différents alliages à base de fer, une petite proportion de carbone, le reste était du chrome et du nickel. Il fallait plusieurs essais avant de trouver les bons dosages mais le résultat était parfait. C'était solide parfaitement inoxydable, ça c'était une nécessité absolue, et au niveau de l’esthétique, c'était très beau, brillant et ça ne bougeait pas dans le temps.
Les premiers dispositifs faits ainsi était un peu lourd mais ça ne gênait pas vraiment. Vous avez peut être visité le musée de la PK, on peut voir plusieurs de ces premiers modèles, même plus d'un siècle plus tard la PK ne jette rien.
Plusieurs nouveaux modèles étaient dessinés, il y avait une petite fonderie dans le monastère, Lex décidait de la moderniser. L'investissement était accepté, il semblerait que la direction, au plus haut niveau, avait décidé d'investir dans ce projet. Pourtant ce n'était pas gagné, pour le moment ça ne rapportait rien.
Bref comme vous pouvez le voir, ça bougeait, ou ça s'agitait au monastère, c'est comme on veut.
L'été était au plus fort, quand un nouveau message arrivait sur le télégraphe optique, vous savez le dispositif qui permettait de transmettre une image.
Des stagiaires devaient arriver dans quelques jours !
Ça ne posait pas de problèmes, il y avait des locaux inoccupés, un peu de panique suivait tout de même puis dans la journée plusieurs dortoirs étaient préparés. Quatre lits par chambre, elles étaient spacieuses, cinq chambres étaient préparées dans la journée.
Lex communiquait avec la maison maire, se renseignait sur ce qu'il devait préparer puis finalement tout le monde était prêt et le jour prévu les vingt stagiaires arrivaient à la gare. Quatre véhicules les attendaient, on leur montrait ,en montant au monastère, la beauté de cadre idyllique, la pureté de l'air, la beauté de ces cymes enneigées, etc …
Finalement on les installait dans les dortoirs, un moine leur faisait visiter les lieux, puis on les laissait se reposer jusqu'au repas du soir.
Les stagiaires étaient tous jeunes et tous des garçons, bien sûr. C'étaient des étudiants en fin de cursus. Ils semblaient particulièrement intéressés par la fabrication des dispositifs. C'était un peu la cause de leur séjour. Le lendemain de leur arrivée, ils visitaient les ateliers.
Lex était dans son bureau quand un message écrit arrivait.
« Vous voudrez bien préparer un dispositif adapté pour chaque stagiaire. Ils devront tous être équipés dans la soirée ! »
le message était signé par Mr Leconte !
Lex sursautait à la lecture de cette note interne. J'en profite pour vous faire remarquer que ce dispositif de transmission des images était maintenant très utilisés pour transmettre les notes de service. Ainsi on n'avait pas besoin de télégraphiste pour lire et envoyer un message ( ils sont tout de même futés dans cette entreprise ! ). Lex n'avait pas encore été informé, il l'était maintenant et devait s'exécuter, il était un peu surpris mais il y avait tout ce qu'il fallait sur place , donc , ça ne posait pas de problème. Il appelait son secrétaire et lui donnait la note.
Tu avais entendu parler de cette histoire . Demandait Lex à son secrétaire.
Oui, les stagiaires en parlaient entre eux, quand je leur ai fait visiter les lieux !
Ils sont au courant et ils sont d'accord, c'est déjà une bonne chose.
On profitait d'une réunion pour aborder le sujet avec les stagiaires. Ils s'étaient préparés, chacun connaissait sa taille. Le secrétaire se rendait dans la réserve et ramenait le matériel.
Commençait alors la distribution.
Les stagiaires n'avaient pas vraiment l'air inquiets, au contraire même. Il allait renoncer à un petit plaisir en échange d'une capacité de concentration bien supérieure, ainsi que d'une amélioration des leurs performances physiques. Ils étaient déjà très en forme.
La distribution terminée, ils se tenaient tous là à attendre.
Et qu'est ce qui se passe maintenant ? Demandait timidement Lex.
On attend que vous donniez vos consignes, boss. Lui répondait son secrétaire.
Lex regardait son secrétaire sans comprendre. Il était quelquefois un peut lent.
Bien ! Dit le secrétaire en prenant la parole. Messieurs je vous demande de vérifier que c'est bien le modèle qui vous correspond, que la taille est bonne …
Chacun examinait avec attention le dispositif qui lui avait été donné.
Bien, je vous demande donc maintenant de bien vouloir procéder !
Sans attendre plus, tous ouvraient leur pantalon, le baissait et exhibaient leurs sexes. C'est dans le plus grand calme que chacun passait la première bague, la bague de maintient, puis sans attendre plus glissaient leurs queues dans la cage, s'assuraient une dernière fois que la taille était bonne avant de verrouiller l'ensemble avec le cadenas numéroté fourni avec.
Lex bandait, ça ne se voyait pas mais il bandait et lui le savait. C'est incrédule qu'il avait regardé la scène, lui qui ne portait pas de dispositif. Tous ces jeunes, car les stagiaires étaient très jeunes venaient de se verrouiller la bite et semblaient décidés à ne plus s'en servir. Lex ne comprenait pas ce qui s'était passé. Il avait assisté à cette scène et était retourné. Il bandait vraiment ferme.
Il a fait demi tour et est sorti de la salle. Les stagiaires n'ont pas fait attention, il remontaient et réajustaient leurs pantalons. Lex avait peur qu'on ne puisse remarquer son érection qui à ce moment était au plus fort. Et en plus comme il était bien monté, le risque était réel. Ce ne serait pas convenable.
Ça c'est sûr, à ce moment, à cet endroit ça ne serait pas convenable. Tous ces jeunes venaient de s'enfermer leurs sexe dans une cage, peut être pour tout le temps et lui, leur chef, qui ne portait pas ce dispositif bandait ! C'était sans doute la première fois qu'il avait honte de bander.
Il revoyait chacun des ces garçons, certains avait une petite queue, un petit dispositif leur suffisait. Un peu moins de la moitié du groupe avait une queue moyenne mais deux avaient une grosse queue, très grosse même pour un d'entre eux.
Cette image avait imprégné sa mémoire et il la revoyait. Cette grosse bite bien épaisse, molle on avait envie de la malaxer, plus dure on avait envie de se la prendre dans la bouche ou dans le cul.
De retour à son bureau Lex s'arrêtait net de bouger, le regard dans le vide. Il était assis à son bureau et pour la première fois de sa vie il pensait à se prendre une grosse queue dans le cul.
Son secrétaire rentrait dans le bureau.
Vous m'avez l'air bizarre Monsieur Lex. Faisait-il remarquer.
Oui enfin non mais …
Lex ne savait plus quoi dire mais son secrétaire comprenait tout de la situation, de ses doutes, surtout qu'il savait que son boss ne portait pas le dispositif.
Vous ne portez pas le dispositif ? Demandait le secrétaire.
Bein non , on me l'a jamais demandé. Bafouillait Lex.
Je pense qu'il faudra y penser.
Et pourquoi, on ne m'a jamais parlé de ça. Et en plus j'ai pas envie moi !
Non ! Vous savez qu'on ne l'exigera jamais. Vous étiez embauché avant. Maintenant pour la promotion ça devient de plus en plus conseillé.
Là Lex ne cachait pas son air de surprise.
Tu as des infos sur le sujet ?
Rien d'officiel, mais si on regarde les dernière promotions, c'est une obligation. Vous étiez le dernier à avoir une promotion alors que vous ne portiez pas le dispositif. Et les dispositifs que nous fabriquons sont avant tout destiné au personnel de l'entreprise.
Bein vla aut' chose ! Bafouillait encore Lex. Donc , même pour moi , si je ne mets pas un de ces trucs, ça en sera fini de ma promotion dans l'avenir ?
C'est probable ! Lui répondait le secrétaire.
Lex était sonné de ce qu'il apprenait. Ça, il ne l'avait pas vu venir. Il bandait toujours, de plus en plus même. Il préférait ne pas se lever, il ne pouvait plus rien cacher à ce moment.
C'est comme s'il sentait déjà la morsure de l'acier inoxydable, la dureté de la cage et son étroitesse. Elle serait trop petite, c'était évident, il ne pourrait jamais glisser dedans. Surtout dans l'état ou il était le pauvre. Il avait une grosse bite, même au repos c'était un beau morceau agréable à malaxer mais là c'était une grosse matraque, bien ferme.
Il se sentais bien mais c'était un sentiment étrange. Ce n'était pas désagréable, c'était la première fois qu'une érection lui faisait cet effet. Il se disait que c'était peut être la dernière. Puis rapidement il chassait cette idée de sa tête. Il bandait avec une grosse bite, elle n'était pas en cage et n'irait jamais. Il n'en était pas question. Il aimait trop le plaisir !
Mais il y avait ces images dans son cerveau, toutes ces images de ces jeunes garçons qui étaient volontaire à la chasteté. Chasteté définitive peut être même.
Puis Lex se demandait ce que ça faisait, ce que ça ferait.
A suivre
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