La pulpeuse Colombine - histoire érotique

Nous sommes dans le haut Jura, Colombine est une adolescente complexée.

Elle n'aime pas son corps, ses fesses cambrées, trop charnues à son gout, ses seins gonflés qui malgré leur poids, pointent fièrement leurs tétons dans son soutien-gorge.

Même son prénom la complexe.

Elle a découvert depuis peu, le plaisir interdit de la masturbation.
Il n'y a que dans ces moments là, qu'elle apprécie sa poitrine.

Elle adore se malaxer les seins jusqu'à l'orgasme mammaire, sans savoir ce que c'est.
Puis, elle enchaine toujours sur une longue sollicitation de sa vulve et son clitoris, en continuant de se branler la poitrine.

Plus elle pratique, et plus elle s'emporte seule vers des sommets de plaisir qu'elle ne soupçonnait pas !
Elle devient accroc à ses moments d'intimité sexuelle.

Il faut dire aussi, qu'il ne se passe pas grand chose dans son village, retiré de toute civilisation.

Sa première expérience partagée se fait avec un jeune garçon de son âge.

Elle est subjuguée par l'anatomie de Jérôme, elle se laisse persuader de lui caresser la verge.
Il ne sait pas qu'elle mouille sa culotte en le masturbant.

Il n'en sait pas plus, quand elle gémit de plaisir cérébral, au moment ou il éjacule entre ses doigts.

Son sperme gluant et chaud, dont elle se sert pour mieux glisser sur sa jeune queue, augmente considérablement son plaisir masturbatoire.
Bref, elle adore faire coulisser ses doigts sur la verge du garçon, en regardant son gland gonflé, brillant de foutre, apparaitre et disparaitre à l'intérieur de sa main.

Jérôme stoppe la jeune fille, il est trop sensible après cette éjaculation !
Elle se résout à quitter ce nouveau jouet de plaisir pour elle.

Il la laisse en plan, un peu égoïste, pour le coup !

Qu'importe ! Elle s'isole dans la grange, pour se donner du plaisir, en pensant à la verge de Jérôme.

Ce qui est étrange, c'est que le garçon n'a pas l'air de s'intéresser plus que ça, à Colombine.

Il se sert d'elle pour faire son chemin sexuel, sans "officialiser" leur relation.
Ca la contrarie un peu, mais elle aime trop leurs jeux interdits.

Un matin, très tôt, elle se lave longuement dans sa salle de bain, c'est inhabituel.
En général, elle le fait bien plus tard ! Elle est seule dans la maison, son père est au travail de la ferme, maman est à l'usine de lunettes.

Elle essuie son corps pulpeux, en y prenant un plaisir certain.
Elle ferme les yeux en passant la serviette sur ses seins, si sensibles.

Une main se glisse entre ses cuisses, ses doigts cherchent à l'emmener vers ce nirvana, dont elle ne peut plus se passer.
Son orgasme l'oblige à contorsionner son corps, ses gémissements emplissent la pièce.

Elle ouvre lentement les yeux, qui s'écarquillent en voyant l'ami de son père, devant elle.
Il est entrain de caresser sa verge en la matant.

Colombine ne sait pas comment réagir, elle est surprise, et à la fois fascinée, par la taille de la bite de l'ami de la famille.

Sa queue est si épaisse, et bien plus longue que celle de Jérôme !
La grosse verge foncée, et parsemée de gonflements de veines est tellement dure ! Elle a l'impression qu'elle se tend vers elle !

Comment cet homme, qu'elle appelle "Tonton", peut il posséder un tel jouet de plaisir ?

Un petit moment de silence les fige, elle couvre ses seins et sa chatte faiblement poilue.

"Tonton, qu'est-ce que tu fais là ?".
"On s'en fout ! Tu vas pas me laisser comme ça ?".
"Qu'est-ce que tu veux dire ?".
"Ben, je sais que tu fais des choses avec le p'tit Jérôme ! Donc, tu dois te douter de ce que je veux !".
"Oui, mais si Papa revient !".
"On a largement le temps, il est a l'autre bout du village ! T'as pas envie de la toucher ?".

Elle baisse la tête sans quitter la grosse verge du regard, et répond timidement:

"Si ! mais elle est tellement grosse ! Je peux ?".
"Vas-y ! Approche-toi ! Amuses toi avec elle !".

Ses doigts retrouve l'adorable sensation de toucher une queue, mais cette fois, elle a du mal à en faire le tour.

"Humm, c'est bon, tu devrais te toucher encore ! J'ai adoré te voir, tout à l'heure !".

Elle ne se fait pas prier et se caresse longuement la vulve et le clitoris.
Elle n'a jamais autant mouillé !

Elle tressaille en se faisant malaxer les nichons par l'homme qu'elle considère comme son oncle.
Elle se sent aimée, enfin quelqu'un s'intéresse à son corps.

"Humm ! J'adore tes nichons ! T'es devenue une vraie petite femme ! Il est con de pas en profiter le Jérôme ! C'est donner de la confiture aux cochons !".
"Arhhhhhhhh ! C'est vrai, Tonton ? Je te plais ?".
"Tu plaisantes ? J'en peux plus de te regarder ! Tes seins, ton cul ! J'arrête pas de me branler à cause de toi ! Et c'est pas Jérôme qui va me calmer !".
"Pourquoi, tu parles encore de lui, comme ça ? Ahhhhhh !".
"Pour rien, ma belle !".

Il ferme la porte avec le loquet, puis plonge entre ses gros seins, et la soulève en lui écartant les cuisses.

Il offre son tout premier baiser à la jeune fille.
Elle se laisse conduire, un peu gauche, en s'accrochant à ses épaules.

Son corps est collé contre le mur, l'homme utilise sa grosse verge pour lui titiller le clitoris et l'entrée de sa jeune chatte.

"Arhhhhhhh ! C'est bon, Tonton ! Encore !".

Elle macule sa bite de jus de chatte, il sent qu'elle est prête.
Il laisse le poids du corps de la jeune Colombine, faire le reste.

"Arhhhhhhhhh ! Tonton, c'est gros ! Argghhhhhhhhhhhh !".
"Tu veux qu'on arrête ?".
"Arhhhhhh ! Non, j'en ai trop envie ! Continues !".

L'homme lui impulse une forte pression sur les hanches, puis enfin, l'hymen de l'adolescente cède et elle se fait investir par le gros membre de son "Tonton" de cœur.

"Orrrrrrrrhhhhhhh ! C'est... C'est trop fort ! Arghhhhhhhhhhh ! Tonton !".
"Je sais Colombine, tu es une femme, maintenant ! Et je vais te montrer comment tu mérites qu'on t'aime !".

Il entame son mouvement lancinant, elle est submergée de sensations nouvelles !

Elle sent tellement intensément, son gros gland, qui coulisse en elle.

Son corps est pris de spasmes, qui augmentent en puissance, au fur et à mesure des aller retour du gros sexe en elle.
Puis, elle se met à perdre le contrôle de son corps, elle crie comme une folle, sans pouvoir s'en empêcher.

"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Qu'est-ce qui m'arrive, Tonton ! C'est trop fort ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Tu jouis Colombine ! Tu jouis, et tu es belle, quand tu le fais !".

L'orgasme retombe lentement, elle répond au baiser de son premier amant.

Il la dépose sur une serviette, au sol et la possède encore.
Elle connait plusieurs autres orgasmes, jusqu'à l'éjaculation du quarantenaire sur son ventre laiteux.

Son expérience d'adulte fait qu'il évite de l'inséminer, il ne faudrait pas qu'elle soit enceinte !
Ils restent un moment l'un contre l'autre, à discuter.

"Pourquoi, Jérôme n'a pas cherché à me faire la même chose ? Tonton ?".
"Ah, moi, je le sais ! Mais je sais pas, si ça va te faire plaisir !".
"S'il te plait ! Tonton ! Dis le moi !".
"Ben, si tu avais une queue, tu lui plairais plus ! Il se sert de toi comme alibi !".

"Quoi ! Comment tu le sais ?".
"Parce que c'est moi qui l'encule !".
"Tu l'enc.. Ca veut dire quoi ?".

"Colombine, tu dois bien savoir quand même ! Je lui met ma bite dans le cul ! Je le baise, quoi !".
"Non, c'est possible ça ? Donc il est...".
"Pédé ! Eh oui ! C'est pour ça qu'il est long à la détente, avec toi !".

"On essaiera un jour ? Je veux savoir ce que ça fait, mais tu feras attention ! Tu me le promets !".
"Oui, ma belle ! Fais moi confiance !".

"T'es gentil, Tonton ! Merci de me dire que je suis belle ! Ca me fait du bien !".
"C'est parce que tu l'es ! Des tas d'hommes aimeraient être à ma place, tu sais !".
"Peut-être, je sais pas ! Mais moi je veux que toi ! Je t'aime ! je crois ! Et je m'en fous que tu baises avec Jérôme ! Ca m'arrange comme ça, on peut continuer ensemble ! A moins que tu sois pédé, toi aussi !".

"Mais non ! Mais il faut avouer qu'on a pas trop le loisir de baiser souvent ici ! J'ai pas de femme ! C'est pas évident ! Et puis, comme il arrêtait pas de me "chauffer", je l'ai baisé ! Et comme c'était pas le premier, c'est arrivé ! J'avoue que ça me déplait pas, il a un bon p'tit cul !".

"Tant mieux, comme ça, moi aussi, je me sers de lui ! Tu vas pouvoir nous baiser tous les deux !".
"Et bien, tu assumes vite, je trouve !".

"Je sais pas, c'est comme ça ! Par contre, je veux voir comment tu le baises ! J'ai envie de voir ce qu'il ressent, quand tu "l'encules" !".
"Ok, ca devrait pouvoir se faire ! Tu te cacheras pour nous regarder !".

"Merci Tonton ! Et si ça m'excites, tu pourras m'enculer aussi !".
"Hummm ! Je vais vite lui donner RDV, alors ! J'ai hâte !".