La punition
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La punition
Un jour l’idée m’est venue de mettre Chantal dans une situation d’humiliation.
Très fière bourgeoise, imbue de sa qualité de femme libre (idée cependant, à laquelle
j’adhère au demeurant), la soumettre pour quelque raison ou obligation, me mettait
dans une érection instantanée. L’affaire n’était pas facile à réaliser et pas gagnée
d’avance.
Lui offrir un cadeau pour obtenir ce sacrifice en retour, impossible ! La convaincre
froidement ? Peu probable. Attendre qu’elle se mette en faute vénielle, pour la
culpabiliser et sous forme de jeu, la faire devenir mon obligée, me semblait le
scénario le plus accessible. L’occasion s’est présentée avec un repas jambon purée,
bâclé. Mauvais vin, purée froide et jambon gras. Plus de fromage et de pain de
surcroît ! L’occasion se trouvait trop belle. Je dramatise, de mauvaise foi. Sur le
ton du jeu je lui promets une punition qu’elle devra accepter sans condition. Et là,
moment de faiblesse ? Envie de jouer ? Faute d’inattention ? Toujours est-il qu’elle
accepte !
La situation devait se présenter seulement deux jours plus tard. Je devais rencontrer
mon agent d’assurance qui, partant à la retraite venait actualiser nos contrats. Il
connaît bien Chantal. Le rendez-vous est fixé à 15h l’après midi. C’est un jour de
juin, il fait chaud et le soleil tape fort. Une heure avant je vais voir Chantal et
lui annonce sa punition. Je crains le pire mais lui rappelle ses engagements. Elle
joue d’abord je jeu. Je lui annonce la venue du notre agent. « Tu vas t’allonger dans
le salon sur le grand divan et faire semblant de faire une sieste. Tu dors sur le côté
le dos à la table de la salle à manger face au mur. Va mettre ta petite jupe bleue
d’été et un teeshirt. Il pourra mater tes jambes pendant que tu dors ». Elle s’exécute
en riant, ignorant encore le clou de la punition. Quand elle revient je la positionne
en chien de fusil, tournée vers le mur, les fesses vers la salle à manger. Ainsi elle
montre ses jambes et ses fesses sans rien voir de ce qui se passe derrière elle. Elle
accepte. Les volets sont mi clos, il règne une pénombre qui la laisse quand même bien
voir.
Quand la sonnette retentit, juste avant d ‘aller ouvrir, je lui soulève la jupe et
descend sa petite culotte à mi cuisses ! « Ne bouge pas, tu es punie, rappelle-toi.
Fait semblant de dormir, c’est l’heure de ta sieste, je vais m’arranger pour qu’il ne
regarde pas dans cette direction ». Le moment est critique, tout peut capoter. Je la
sens qui se raidis pour se relever, j’insiste, elle se soumets et reste allongée. Je
coure vite ouvrir à mon voyeur assureur. Quand il entre dans la salle à manger, son
regard, comme je le souhaitais, se porte tout de suite sur les fesses exposées de
Chantal. Elle joue ! Je détourne tout de suite son attention en l’invitant à
s’asseoir. Je lui offre une chaise qui le place de côté du tableau, pas en face mais
presque. Il n’a qu’un petit tour de tête à faire pour mater. Nous parlons, je n’évoque
jamais l’existence de Chantal dans la pièce mais il est évident qu’elle est bien
présente pour lui comme pour moi. Je bande, je suis tendu de savoir le cul de ma femme
sous le regard vicieux de cet homme qui m’a souvent parlé de ses charmes. Au bout de
quelques minutes, je n’en peux plus, je veux qu’il mate à loisir ce cul nu. Prétextant
un papier manquant, je quitte la pièce. Je le laisse seul, mais je reviens
discrètement sur mes pas pour épier et voir ce qu’il va faire. Cela ne manque pas, il
tourne la tête vers le salon et mate le cul exposé. Il regarde d’où je viens de
disparaître et rassuré semble-t-il, il se lève et s’approche pour mieux voir.
J’entends sa respiration s’accélérer, puis soudain, il sort rapidement son téléphone
portable et j’entends nettement le déclic de son appareil photo. Il s’empare en image
du cul offert. Un cliché puis un autre, puis plus près, une dizaine de clichés se
suivent. Puis je le vois porter sa main sur son sexe au dessus du pantalon : il se
frotte la bite. J’ai peur qu’il se mette à faire du bruit et d’alerter Chantal qui
doit bien se douter de sa présence tout près d’elle. Je choisis de revenir. Quand
j’entre dans la pièce il a repris calmement sa place mais son émoi est bien visible.
Nous nous séparons, Chantal me saute dessus en m’injuriant, mais comme je lui mets la
main à son minou, je m’aperçois qu’il est tout humide, signe que cette saynète l’a
bien excitée. Je lui saute au cou et nous nous retrouvons sur le canapé à faire
l’amour. Quelques jours plus tard, notre courtier est revenu apporter les contrats.
Subrepticement, il jette un œil au divan et c’est alors que je lui ai dévoile ma mise
en scène. Il devait m’avouer s’être masturbé plusieurs fois en matant les photos
volées ce jour là. Il a eu la délicatesse de m’en confier une que je peux montrer à
qui veut la voir en me communiquant une adresse mail. Arsène
Très fière bourgeoise, imbue de sa qualité de femme libre (idée cependant, à laquelle
j’adhère au demeurant), la soumettre pour quelque raison ou obligation, me mettait
dans une érection instantanée. L’affaire n’était pas facile à réaliser et pas gagnée
d’avance.
Lui offrir un cadeau pour obtenir ce sacrifice en retour, impossible ! La convaincre
froidement ? Peu probable. Attendre qu’elle se mette en faute vénielle, pour la
culpabiliser et sous forme de jeu, la faire devenir mon obligée, me semblait le
scénario le plus accessible. L’occasion s’est présentée avec un repas jambon purée,
bâclé. Mauvais vin, purée froide et jambon gras. Plus de fromage et de pain de
surcroît ! L’occasion se trouvait trop belle. Je dramatise, de mauvaise foi. Sur le
ton du jeu je lui promets une punition qu’elle devra accepter sans condition. Et là,
moment de faiblesse ? Envie de jouer ? Faute d’inattention ? Toujours est-il qu’elle
accepte !
La situation devait se présenter seulement deux jours plus tard. Je devais rencontrer
mon agent d’assurance qui, partant à la retraite venait actualiser nos contrats. Il
connaît bien Chantal. Le rendez-vous est fixé à 15h l’après midi. C’est un jour de
juin, il fait chaud et le soleil tape fort. Une heure avant je vais voir Chantal et
lui annonce sa punition. Je crains le pire mais lui rappelle ses engagements. Elle
joue d’abord je jeu. Je lui annonce la venue du notre agent. « Tu vas t’allonger dans
le salon sur le grand divan et faire semblant de faire une sieste. Tu dors sur le côté
le dos à la table de la salle à manger face au mur. Va mettre ta petite jupe bleue
d’été et un teeshirt. Il pourra mater tes jambes pendant que tu dors ». Elle s’exécute
en riant, ignorant encore le clou de la punition. Quand elle revient je la positionne
en chien de fusil, tournée vers le mur, les fesses vers la salle à manger. Ainsi elle
montre ses jambes et ses fesses sans rien voir de ce qui se passe derrière elle. Elle
accepte. Les volets sont mi clos, il règne une pénombre qui la laisse quand même bien
voir.
Quand la sonnette retentit, juste avant d ‘aller ouvrir, je lui soulève la jupe et
descend sa petite culotte à mi cuisses ! « Ne bouge pas, tu es punie, rappelle-toi.
Fait semblant de dormir, c’est l’heure de ta sieste, je vais m’arranger pour qu’il ne
regarde pas dans cette direction ». Le moment est critique, tout peut capoter. Je la
sens qui se raidis pour se relever, j’insiste, elle se soumets et reste allongée. Je
coure vite ouvrir à mon voyeur assureur. Quand il entre dans la salle à manger, son
regard, comme je le souhaitais, se porte tout de suite sur les fesses exposées de
Chantal. Elle joue ! Je détourne tout de suite son attention en l’invitant à
s’asseoir. Je lui offre une chaise qui le place de côté du tableau, pas en face mais
presque. Il n’a qu’un petit tour de tête à faire pour mater. Nous parlons, je n’évoque
jamais l’existence de Chantal dans la pièce mais il est évident qu’elle est bien
présente pour lui comme pour moi. Je bande, je suis tendu de savoir le cul de ma femme
sous le regard vicieux de cet homme qui m’a souvent parlé de ses charmes. Au bout de
quelques minutes, je n’en peux plus, je veux qu’il mate à loisir ce cul nu. Prétextant
un papier manquant, je quitte la pièce. Je le laisse seul, mais je reviens
discrètement sur mes pas pour épier et voir ce qu’il va faire. Cela ne manque pas, il
tourne la tête vers le salon et mate le cul exposé. Il regarde d’où je viens de
disparaître et rassuré semble-t-il, il se lève et s’approche pour mieux voir.
J’entends sa respiration s’accélérer, puis soudain, il sort rapidement son téléphone
portable et j’entends nettement le déclic de son appareil photo. Il s’empare en image
du cul offert. Un cliché puis un autre, puis plus près, une dizaine de clichés se
suivent. Puis je le vois porter sa main sur son sexe au dessus du pantalon : il se
frotte la bite. J’ai peur qu’il se mette à faire du bruit et d’alerter Chantal qui
doit bien se douter de sa présence tout près d’elle. Je choisis de revenir. Quand
j’entre dans la pièce il a repris calmement sa place mais son émoi est bien visible.
Nous nous séparons, Chantal me saute dessus en m’injuriant, mais comme je lui mets la
main à son minou, je m’aperçois qu’il est tout humide, signe que cette saynète l’a
bien excitée. Je lui saute au cou et nous nous retrouvons sur le canapé à faire
l’amour. Quelques jours plus tard, notre courtier est revenu apporter les contrats.
Subrepticement, il jette un œil au divan et c’est alors que je lui ai dévoile ma mise
en scène. Il devait m’avouer s’être masturbé plusieurs fois en matant les photos
volées ce jour là. Il a eu la délicatesse de m’en confier une que je peux montrer à
qui veut la voir en me communiquant une adresse mail. Arsène
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