La punition
Récit érotique écrit par Badmax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La punition
Oui tu as mal aux dents et ton humeur est devenue morose, tu n’as plus envie de me faire l’amour comme c’était prévu entre nous. Je me trouvais donc seul, nu, devant toi avec mon pénis en érection. Et toi tu avais si mal, que tu voulais être tranquille. J’avais beau répéter que du sexe te ferais oublier ton mal et que du sperme dans ta bouche pourrait lutter contre cette rage de dent, mais tu ne voulais pas y croire. J’ai pas mal insisté alors tu t’es fâchée.
Tu m’as dit, puisque tu veux à tout prix jouir, je vais te faire jouir. Ton visage s’est illuminé, tes yeux coquins et un peu pervers reflétaient à travers tes lunettes. Tu as décidé, toi-même de la façon dont tu allais me faire l’amour. Comme j’étais nu tu n’as eu aucun mal à m’attacher les poignets derrière mon dos, et tu m’as fait mettre immédiatement à quatre pattes le visage collé sur la couverture qui se trouvait au sol. De ce fait mon postérieur se trouvait dirigé vers le plafond, tu admirais mes fesses rebondies, d’où sortaient quelques poils de la fente qui les séparaient. Dans un silence secret, tu réfléchissais à la façon dont je méritais cette punition que tu voulais m’infliger. Moi en soumis, je te faisais entièrement confiance. Je voulais du plaisir et je savais que tu m’en donnerais quel que soit la méthode. Je suis prêt à assumer, tous tes gestes, doux ou violents, tous tes désirs. Le but, oublier ta rage de dents et pour moi jouir.
Je suis bien resté dans cette position environ cinq minutes, sans que rien ne se passe, puis tu es venue vers mon trou anal et tu as glissé en son intérieur un thermomètre, tu voulais vérifier ma température. Le temps que celle-ci apparaisse sur l’objet de mesure, tu as commencé à nouer à mes poignets une fine corde, puis tu as fait en sorte qu’elle rejoigne mes testicules pour les nouer ensemble. Chaque fois que je bougeais, la corde de mes poignets et de mes bourses se resserrait. Je devais donc resté immobile pour ne pas avoir mal. Mon pénis lui, sentait cet emprise et à chaque mouvement il grandissait davantage, effectuant lui aussi, une tension sur mes boules. D’un coup sec tu retires, le thermomètre, et tu me rappelles que j’ai une bonne température que je ne suis pas malade et que je vais subir une punition sexuelle, pour mon attitude. Avec ton doigt tu badigeonnes, mon anus de vaseline, tu le contournes tout d’abord minutieusement, en appuyant délicatement cette pommade, puis tu introduis, la première phalange de ton index, pour enduire le contour intérieur de mon anus. Je ne bouge plus, je fais silence, mais je sens que ma partie très intime s’agrandit à chaque passage du doigt. Pour l’instant je trouve cette punition adorable, à l’exception de mes testicules qui elles ont l’impression de grossir et vire à la couleur violette. Ma verge est maintenant dure et droite. Son gland est comme mon visage dirigé vers le sol. A chaque coup de corde, elle recule et donne l’impression de vouloir s’échapper, mais par l’arrière de mon corps, tu faisant à chaque fois face. Je sais que cela te donne une envie irrésistible de l’attraper et de la sucer. Mais tu as mal aux dents.
Tu continues tout doucement à agrandir mon trou car maintenant il y a deux phalanges qui viennent d’y rentrer. Tu viens de remettre une noisette de vaseline et tout glisse, rien ne fait mal ni ne force. Avec tes deux doigts tu malaxes mon anus et avec l’autre main tu chatouilles maintenant mon gland, tu fais en sorte que ton pouce et ton index, forme un cercle où tu introduis ma verge. A chaque pénétration de mon anus, ton autre main fait un va et vient avec mon sexe, et cela dure quelques minutes, je reconnais que je commence à être fort excité.
Stop…….. tu me dis et tu lâches toute emprise sur moi, je me retrouve toujours à genoux, mon anus dilaté, mes testicules violacées et mon pénis prêt à exploser. Tu me laisse seul un moment pour revenir avec une autre petite corde. Tu attaches celle-là autour de mon gland, à son prépuce, et l’autre bout de la corde sera attaché à mes chevilles. Si par malheur, je plie mes genoux ou je ne reste pas dans la même position que tu désires, mon gland sera tellement étiré vers le bas que j’endurerai une douleur insoutenable.
Maintenant tu as pris un manche à balai, tu viens de me l’introduire dans mon trou et tu l’enfonce au moins de quinze centimètres, en même temps tu effectues une rotation que je ressens au plus profond de moi, j’ai l’impression que tu touches l’intérieur de mon ventre. On dirait que tu n’as plus mal aux dents, car j’ai l’impression que tout cela te fait de l’effet. Pour dire tu viens d’enlever le haut de tes habits, et à travers mes cuisses je peux voir tes seins, dont les mamelons effleurent mes fesses.
Ce qui m’excite encore une fois, mon prépuce est toujours pris dans cette corde qui tire et retire mon pénis. Je commence à avoir mal et je le dis tout fort. J’ai alors l’impression que tu te fâches ou que tu simules la colère. Tu enlèves d’un coup sec le manche à balai qui libère mon anus ouvert et tu commences à frapper mes fesses avec. Tu donnes des petits coups, puis plus rapidement et plus violemment. Je commence à sentir mes fesses devenir chaudes. Tu arrêtes précipitamment et tu reviens cette fois-ci avec une raquette en bois. Je connais cette raquette, elle est de couleur bleu. Tu frappes à nouveau mes fesses. Elles rebondissent à chaque coup, comme des vagues sur la mer. Là je sens immédiatement que mes fesses me brûlent et à chaque « clap » que je reçois je ne peux m’empêche de bouger mes jambes et mon gland s’étire et devient très rouge. Je ne supporte plus du tout cette souffrance et tu t’en aperçois, alors tu arrêtes immédiatement cette violence et avec tes deux mains tu me passe de la vaseline sur toute la surface de mon cul, en faisant des cercles sur mes fesses. A chaque contour, tu les écartes pour laisser apparaître mon trou, qui lui s’ouvre à toutes les caresses. Maintenant à chaque ouverte, tu introduis un de tes seins dans cette fente, je ressens même ton mamelon qui effleure mon anus. Par rapport au balai et à la raquette, c’est un plaisir de douceur. Mais surprise, tu recommences les coups et « Clap », « Clap » « Clap », un massage des mains et des seins et « Clap », « Clap », « Clap », mes fesses malgré la vaseline sont en feu, mon trou est littéralement ouvert. C’est maintenant et encore une introduction de vaseline dans mon anus et là, je ressens que tu viens de mettre trois doigts, puis quatre. Je ne bouge plus du tout, je préfère cette sodomie aux « Clap » de la raquette. De toute façon je ne sens plus mes fesses. Ta main vient de s’introduire entièrement en moi et fait maintenant des contours dans mon anus, tes doigts font des circonférences et s’amuse à tourner comme une valse contre le contour ouvert de mon trou anal. Je ne me suis même pas aperçu au début que ta main entière était logé dans ce trou, tu as enfoncé tous tes doigts, ta main jusqu’au poignet et là, dans son intérieur tu continues à valser. De l’autre main tu viens de libérer mon gland, que tu le caresses avec deux de tes doigts. Tu le calmes de sa rougeur et tu fais de nouveau passer le sang dans toute ma verge.
Tu ne lâche pas prise et ta main est toujours dans mon anus. Tu me libère entièrement de mes liens, même mes poignets sont détachés et tu me demande de me retourner et de me mettre sur le dos. Mais attention il faut que je puisse tourner avec ta main dans cette position. Pour cela tu tires très fort sur mon sexe et tu l’entraînes vers le haut je n’ai plus qu’à me soumettre à ta volonté si je ne veux pas avoir mal. Tout doucement et sûrement j’arrive à me tourner, je sens ton pouce qui vient de se déplier frotter ma paroi anale. Je suis maintenant sur le dos, dans une position plus reposante malgré, la position de ta main qui ne veut pas sortir de cette grotte chaude et huileuse.
Pour me récompenser je pense ou pour activer le sang dans ma verge, tu viens de la prendre en bouche, et tu la salive énormément afin qu’elle redevienne normale et surtout qu’elle n’explose pas, ce que je ne peux promettre. Je t’appelle à l’aide en demandant d’arrêter immédiatement cette sodomie qui dure et qui commence à sécher, la vaseline ne faisant plus effet. Alors que tu me fais ce cadeau, j’en profite pour te sauter dessus et te faire à mon tour prisonnière de tes cordages.
Tu auras à ton tour les pieds et les mains liées, mais toi dans une position autre que la mienne.
Tes chevilles seront nouées à tes poignets, ce qui te fait être sur le dos, tes membres dressent vers le plafond. A mon tour de m’amuser, mais moi étant plus pervers que toi, je te regarde tout d’abord, dans cette position de soumise, et j’admire tout ton corps. Je suis excité car en t’attachant j’avais posé mon anus et mes fesses ouvertes sur ton visage et j’avais senti ta langue me sucer l’intérieur de mon trou anal. Ouvert comme il est, cela a été facile pour toi de laver avec ta langue ce fruit défendu. Maintenant que tu es à ma portée, prisonnière de mes phantasmes, je lèche tout d’abord tes mamelons que je sens grossir et se dresser contre ma bouche arrogante.
Je prends mon temps et cela dure plusieurs minutes. Je n’ai pas trop serré tes liens pour que tu ne ressentes aucune douleur, par contre je ferai en sorte que tu jouisses la première malgré toute l’excitation que tu m’as donnée avant. Maintenant j’ai ma langue dans ton nombril, elle effectue plusieurs va et vient, de plus en plus profond. Comme ta position s’y prête, ma langue ira contre ton anus. En ce lieu je prendrais tout mon temps, je sens cette chaleur interdite. Moi aussi j’ai envie de te dilater l’anusEt c’est ce que je m’apprête à faire. Alors avec mes deux mains j’introduis à toi mes deux index, et j’écarte ton trou qui s’étire et qui me permet d’aller plus profond avec ma langue. Je lèche ton intérieur avec plaisir, je ressens cette chaleur cette envie de te laver, de t’exciter, mes doigts bougent, ma langue suce tout le contour de cet anus. Puis pour te calmer, moi aussi je rajoute une noisette de vaseline que je pousse tout au fond de cette grotte. Ma langue goûte au mélange de cette pommade avec l’intérieur de cette peau qui est souvent jalousement gardée par son propriétaire. Maintenant j’ai décidé de m’occuper autrement de toi. Je détache momentanément tes chevilles pour les attacher à nouveau contre les pieds de la table qui se trouve à proximité. De cette façon tu as les jambes très écartées, ton sexe poilu est maintenant à ma portée et rien n’empêchera de m’amuser avec cette partie de ton corps. Je regarde et j’apprécie la vision de ce sexe qui pour l’instant se cache parmi cette forêt broussailleuse. J’ai l’impression que ton sexe demande à être étudié, recherché, découvert, mais doucement avec passion.
Je commence donc par grattouiller les poils qui entourent ce trésor, je les caresse en les espaçant vers l’extérieur de ton sexe. Quelques fois j’enduis avec ma salive mes doigts pour bien aplatir ces cheveux, tout autour de tes lèvres. Le dessin qui apparaît est magnifique, une forêt bien cultivé, entourant une clairière rosé. Dans cette clairière, des lèvres douce et fine font le pourtour d’une grotte, fermée et laissant apparaître une légère ouverture. Pour l’instant j’écarte l’entrée de cette grotte avec mes doigts, poussant vers l’extérieur cette chair rosée, chaude et humide. La grotte s’ouvre et me laisse voir en son sommet un petit capuchon qui renferme sûrement un trésor. C’est ma langue maintenant qui s’active, sur cette chair, elle humidifie sont contour, et s’arrête plus précieusement sur ce capuchon qui bouge et qui à chaque passage laisse apparaître un petit bouton qui semble grandit. Je t’entends, gémir de douceur. Plusieurs fois et longuement, langue te travaille et t’excite, surtout quand je remonte du bas de ta grotte vers ce bouton.
La pointe de ma langue te pénètre à chaque fois et ralenti sous ton capuchon pour faire ressortir ton clitoris qui est ensuite lessivé plus rapidement par ma bouche. Je recommence plusieurs fois cet examen, du haut vers le bas, j’aplatie ma bouche sur le bouton et je recommence encore et encoreTon anus est toujours ouvert, l’intervalle entre celui-ci et le début de ton sexe est court, lorsque ma langue se trouve vers le bas elle à profite pour nettoyer encore et encore les parois de ton anus. Maintenant j’aperçois vraiment ton clitoris qui est sorti de sa capuche, il ne veut plus y rentrer et demande impoliment qu’on le lèche, qu’on le trifouille, qu’on le goutte. Ce que je ne me lasse pas de faire. Je sens que plusieurs gouttes de plaisir coulent le long de cette grotte, pour se noyer dans ton anus. Je n’abandonne pas pour autant ce plaisir que je fais durer longuement.
Tout en léchant j’ai introduit en toi un de mes index, que j’ai recourbé comme un T, la pointe de celui-ci vient tapoter la boule qui se trouve en toi, et cela toujours en te léchant, un petit ruisseau comment à naître. J’arrête donc là, l’activation de tes sens, pour te laisser traîner dans l’incertitude de la jouissance. Pourtant tu n’arrêtes plus de me dire, encore, plus vite, je veux, oui, continue. Je ne t’obéis pas, car toi avant, tu ne m’a non plus pas écouté. J’ai maintenant en main un glaçon, que je pose sur ton clitoris, à chaque passage sur ton clito, le glaçon fond, ton bouton aussi, mais ma langue le réactive immédiatement. Tu sens le chaud et le froid, qui, j’ai l’impression font, du bien à ton bouton. Le glaçon est maintenant dans ma bouche et tu ressens différemment mes caresses buccales. J’ai freiné volontairement ce petit ruisseau qui voulait devenir une rivière pour pouvoir maintenant introduire dans ton sexe le tube d’une poire de lavement remplie d’un thé tiède, à la température de ton corps. Je verse intégralement cette tisane en pressant la poire dans ton sexe, ce qui te remplit de chaleur. Avec ma bouche je referme ton sexe qui demande à garder ce liquide chaud dans ta vulve, puis sous l’effet de ma langue, une rivière de thé coule entre tes cuisses, réchauffant également ton anus. Je sais que tu n’en peux plus, que tu veux maintenant du plaisir commun, ou alors tu vas éjaculer ta cyprine d’un moment à l’autre sans attendre la douceur de ma verge dressée. Moi aussi j’ai envie de toi, alors pour cet acte de jouissance, je te détache ce qui te permet d’enrouler immédiatement mon corps de tes jambes, de t’empaler sur mon pénis, de serrer tes bras dans mon dos, tu ne touches plus le sol, tu viens de t’accrocher à mon corps accroupi, ton sexe vient d’avaler entièrement le mien. Nous restons comme cela pendant quelques minutes, les yeux dans les yeux, tes seins collant les miens, tes ongles prêts à me griffer, ton sexe, tes lèvres sexuelles viennent aspirer mon pénis. Je me dois de te pousser vers le sol, pour pourvoir effectuer le va et vient de ma verge en toi. Je donne des coups pour aller plus profond en toi, ce qui provoque des bruits de « Splach » « Splach », ta rivière éclaboussant à chaque coup ma verge. Je nage dans ton intérieur en essayant de ne pas me noyer, ce qui me donne une joie douce et chaude, je continue de plus en plus fort « Splach », « splach », mes cuisses sont à leur tour mouillé, ton anus est noyé, tu cris de jouissance des oui, des encore, et quand à mon tour je veux éjecté mon jus sucré, tu me dis « Non », tu me lâches, tu fermes tes yeux et tu ouvres grandement ta bouche me faisant savoir et tu as envie de m’avaler. En me libérant de ton étreinte, j’ai senti mon jus, mon sperme s’échapper quand même en toi, tu as ressenti également ce liquide bouillant aller se frapper tout au fond de ta grotte, ce qui te procure une douceur sans limite, je dois serrer mon sexe dans ma main pour éviter que ma jouissance parte et j’arrive tout au fond de ta gorge pour enfin éjaculer. En ce moment-là, c’est moi qui prolifère un bruit roque, un grognement de plaisir, un aboiement de loup. Je m’enfonce dans ta gorge avec violence, comme si je voulais t’étouffer, t’empêcher de respirer et je jouis avec fureur. Toi tu aspires et re-aspire mon sperme jusqu’à la dernière goutte. Je me trouve à allongé, mon sexe dans ta bouche, tenu par mes points et mes orteils au sol. Le reste flotte dans l’espace. Je donne encore des cous de verge sur ton palais. J’abandonne maintenant, après ma jouissance ta bouche et je me réintroduis avec mon pénis dans ton vagin encore mouillé et chaud et je me couche sur toi,ma bouche dans la tienne, effectuant avec ma langue une nouvelle union avec la tienne. Cela dure une éternité, voulant à tout prix m’endormir dans cette position, pour toujours.
Nous avons jouit tous les deux, mon dos est griffé, ton sexe est béant, mon anus est ouvert, ma verge est au chaud, nos yeux sont fermés, nos langues se battent amicalement, nous nous aimons ou nous nous sommes aimés encore une fois.
BISOUS, j’espère que cela t’a vraiment plus, MOI OUI……………………..
Tu m’as dit, puisque tu veux à tout prix jouir, je vais te faire jouir. Ton visage s’est illuminé, tes yeux coquins et un peu pervers reflétaient à travers tes lunettes. Tu as décidé, toi-même de la façon dont tu allais me faire l’amour. Comme j’étais nu tu n’as eu aucun mal à m’attacher les poignets derrière mon dos, et tu m’as fait mettre immédiatement à quatre pattes le visage collé sur la couverture qui se trouvait au sol. De ce fait mon postérieur se trouvait dirigé vers le plafond, tu admirais mes fesses rebondies, d’où sortaient quelques poils de la fente qui les séparaient. Dans un silence secret, tu réfléchissais à la façon dont je méritais cette punition que tu voulais m’infliger. Moi en soumis, je te faisais entièrement confiance. Je voulais du plaisir et je savais que tu m’en donnerais quel que soit la méthode. Je suis prêt à assumer, tous tes gestes, doux ou violents, tous tes désirs. Le but, oublier ta rage de dents et pour moi jouir.
Je suis bien resté dans cette position environ cinq minutes, sans que rien ne se passe, puis tu es venue vers mon trou anal et tu as glissé en son intérieur un thermomètre, tu voulais vérifier ma température. Le temps que celle-ci apparaisse sur l’objet de mesure, tu as commencé à nouer à mes poignets une fine corde, puis tu as fait en sorte qu’elle rejoigne mes testicules pour les nouer ensemble. Chaque fois que je bougeais, la corde de mes poignets et de mes bourses se resserrait. Je devais donc resté immobile pour ne pas avoir mal. Mon pénis lui, sentait cet emprise et à chaque mouvement il grandissait davantage, effectuant lui aussi, une tension sur mes boules. D’un coup sec tu retires, le thermomètre, et tu me rappelles que j’ai une bonne température que je ne suis pas malade et que je vais subir une punition sexuelle, pour mon attitude. Avec ton doigt tu badigeonnes, mon anus de vaseline, tu le contournes tout d’abord minutieusement, en appuyant délicatement cette pommade, puis tu introduis, la première phalange de ton index, pour enduire le contour intérieur de mon anus. Je ne bouge plus, je fais silence, mais je sens que ma partie très intime s’agrandit à chaque passage du doigt. Pour l’instant je trouve cette punition adorable, à l’exception de mes testicules qui elles ont l’impression de grossir et vire à la couleur violette. Ma verge est maintenant dure et droite. Son gland est comme mon visage dirigé vers le sol. A chaque coup de corde, elle recule et donne l’impression de vouloir s’échapper, mais par l’arrière de mon corps, tu faisant à chaque fois face. Je sais que cela te donne une envie irrésistible de l’attraper et de la sucer. Mais tu as mal aux dents.
Tu continues tout doucement à agrandir mon trou car maintenant il y a deux phalanges qui viennent d’y rentrer. Tu viens de remettre une noisette de vaseline et tout glisse, rien ne fait mal ni ne force. Avec tes deux doigts tu malaxes mon anus et avec l’autre main tu chatouilles maintenant mon gland, tu fais en sorte que ton pouce et ton index, forme un cercle où tu introduis ma verge. A chaque pénétration de mon anus, ton autre main fait un va et vient avec mon sexe, et cela dure quelques minutes, je reconnais que je commence à être fort excité.
Stop…….. tu me dis et tu lâches toute emprise sur moi, je me retrouve toujours à genoux, mon anus dilaté, mes testicules violacées et mon pénis prêt à exploser. Tu me laisse seul un moment pour revenir avec une autre petite corde. Tu attaches celle-là autour de mon gland, à son prépuce, et l’autre bout de la corde sera attaché à mes chevilles. Si par malheur, je plie mes genoux ou je ne reste pas dans la même position que tu désires, mon gland sera tellement étiré vers le bas que j’endurerai une douleur insoutenable.
Maintenant tu as pris un manche à balai, tu viens de me l’introduire dans mon trou et tu l’enfonce au moins de quinze centimètres, en même temps tu effectues une rotation que je ressens au plus profond de moi, j’ai l’impression que tu touches l’intérieur de mon ventre. On dirait que tu n’as plus mal aux dents, car j’ai l’impression que tout cela te fait de l’effet. Pour dire tu viens d’enlever le haut de tes habits, et à travers mes cuisses je peux voir tes seins, dont les mamelons effleurent mes fesses.
Ce qui m’excite encore une fois, mon prépuce est toujours pris dans cette corde qui tire et retire mon pénis. Je commence à avoir mal et je le dis tout fort. J’ai alors l’impression que tu te fâches ou que tu simules la colère. Tu enlèves d’un coup sec le manche à balai qui libère mon anus ouvert et tu commences à frapper mes fesses avec. Tu donnes des petits coups, puis plus rapidement et plus violemment. Je commence à sentir mes fesses devenir chaudes. Tu arrêtes précipitamment et tu reviens cette fois-ci avec une raquette en bois. Je connais cette raquette, elle est de couleur bleu. Tu frappes à nouveau mes fesses. Elles rebondissent à chaque coup, comme des vagues sur la mer. Là je sens immédiatement que mes fesses me brûlent et à chaque « clap » que je reçois je ne peux m’empêche de bouger mes jambes et mon gland s’étire et devient très rouge. Je ne supporte plus du tout cette souffrance et tu t’en aperçois, alors tu arrêtes immédiatement cette violence et avec tes deux mains tu me passe de la vaseline sur toute la surface de mon cul, en faisant des cercles sur mes fesses. A chaque contour, tu les écartes pour laisser apparaître mon trou, qui lui s’ouvre à toutes les caresses. Maintenant à chaque ouverte, tu introduis un de tes seins dans cette fente, je ressens même ton mamelon qui effleure mon anus. Par rapport au balai et à la raquette, c’est un plaisir de douceur. Mais surprise, tu recommences les coups et « Clap », « Clap » « Clap », un massage des mains et des seins et « Clap », « Clap », « Clap », mes fesses malgré la vaseline sont en feu, mon trou est littéralement ouvert. C’est maintenant et encore une introduction de vaseline dans mon anus et là, je ressens que tu viens de mettre trois doigts, puis quatre. Je ne bouge plus du tout, je préfère cette sodomie aux « Clap » de la raquette. De toute façon je ne sens plus mes fesses. Ta main vient de s’introduire entièrement en moi et fait maintenant des contours dans mon anus, tes doigts font des circonférences et s’amuse à tourner comme une valse contre le contour ouvert de mon trou anal. Je ne me suis même pas aperçu au début que ta main entière était logé dans ce trou, tu as enfoncé tous tes doigts, ta main jusqu’au poignet et là, dans son intérieur tu continues à valser. De l’autre main tu viens de libérer mon gland, que tu le caresses avec deux de tes doigts. Tu le calmes de sa rougeur et tu fais de nouveau passer le sang dans toute ma verge.
Tu ne lâche pas prise et ta main est toujours dans mon anus. Tu me libère entièrement de mes liens, même mes poignets sont détachés et tu me demande de me retourner et de me mettre sur le dos. Mais attention il faut que je puisse tourner avec ta main dans cette position. Pour cela tu tires très fort sur mon sexe et tu l’entraînes vers le haut je n’ai plus qu’à me soumettre à ta volonté si je ne veux pas avoir mal. Tout doucement et sûrement j’arrive à me tourner, je sens ton pouce qui vient de se déplier frotter ma paroi anale. Je suis maintenant sur le dos, dans une position plus reposante malgré, la position de ta main qui ne veut pas sortir de cette grotte chaude et huileuse.
Pour me récompenser je pense ou pour activer le sang dans ma verge, tu viens de la prendre en bouche, et tu la salive énormément afin qu’elle redevienne normale et surtout qu’elle n’explose pas, ce que je ne peux promettre. Je t’appelle à l’aide en demandant d’arrêter immédiatement cette sodomie qui dure et qui commence à sécher, la vaseline ne faisant plus effet. Alors que tu me fais ce cadeau, j’en profite pour te sauter dessus et te faire à mon tour prisonnière de tes cordages.
Tu auras à ton tour les pieds et les mains liées, mais toi dans une position autre que la mienne.
Tes chevilles seront nouées à tes poignets, ce qui te fait être sur le dos, tes membres dressent vers le plafond. A mon tour de m’amuser, mais moi étant plus pervers que toi, je te regarde tout d’abord, dans cette position de soumise, et j’admire tout ton corps. Je suis excité car en t’attachant j’avais posé mon anus et mes fesses ouvertes sur ton visage et j’avais senti ta langue me sucer l’intérieur de mon trou anal. Ouvert comme il est, cela a été facile pour toi de laver avec ta langue ce fruit défendu. Maintenant que tu es à ma portée, prisonnière de mes phantasmes, je lèche tout d’abord tes mamelons que je sens grossir et se dresser contre ma bouche arrogante.
Je prends mon temps et cela dure plusieurs minutes. Je n’ai pas trop serré tes liens pour que tu ne ressentes aucune douleur, par contre je ferai en sorte que tu jouisses la première malgré toute l’excitation que tu m’as donnée avant. Maintenant j’ai ma langue dans ton nombril, elle effectue plusieurs va et vient, de plus en plus profond. Comme ta position s’y prête, ma langue ira contre ton anus. En ce lieu je prendrais tout mon temps, je sens cette chaleur interdite. Moi aussi j’ai envie de te dilater l’anusEt c’est ce que je m’apprête à faire. Alors avec mes deux mains j’introduis à toi mes deux index, et j’écarte ton trou qui s’étire et qui me permet d’aller plus profond avec ma langue. Je lèche ton intérieur avec plaisir, je ressens cette chaleur cette envie de te laver, de t’exciter, mes doigts bougent, ma langue suce tout le contour de cet anus. Puis pour te calmer, moi aussi je rajoute une noisette de vaseline que je pousse tout au fond de cette grotte. Ma langue goûte au mélange de cette pommade avec l’intérieur de cette peau qui est souvent jalousement gardée par son propriétaire. Maintenant j’ai décidé de m’occuper autrement de toi. Je détache momentanément tes chevilles pour les attacher à nouveau contre les pieds de la table qui se trouve à proximité. De cette façon tu as les jambes très écartées, ton sexe poilu est maintenant à ma portée et rien n’empêchera de m’amuser avec cette partie de ton corps. Je regarde et j’apprécie la vision de ce sexe qui pour l’instant se cache parmi cette forêt broussailleuse. J’ai l’impression que ton sexe demande à être étudié, recherché, découvert, mais doucement avec passion.
Je commence donc par grattouiller les poils qui entourent ce trésor, je les caresse en les espaçant vers l’extérieur de ton sexe. Quelques fois j’enduis avec ma salive mes doigts pour bien aplatir ces cheveux, tout autour de tes lèvres. Le dessin qui apparaît est magnifique, une forêt bien cultivé, entourant une clairière rosé. Dans cette clairière, des lèvres douce et fine font le pourtour d’une grotte, fermée et laissant apparaître une légère ouverture. Pour l’instant j’écarte l’entrée de cette grotte avec mes doigts, poussant vers l’extérieur cette chair rosée, chaude et humide. La grotte s’ouvre et me laisse voir en son sommet un petit capuchon qui renferme sûrement un trésor. C’est ma langue maintenant qui s’active, sur cette chair, elle humidifie sont contour, et s’arrête plus précieusement sur ce capuchon qui bouge et qui à chaque passage laisse apparaître un petit bouton qui semble grandit. Je t’entends, gémir de douceur. Plusieurs fois et longuement, langue te travaille et t’excite, surtout quand je remonte du bas de ta grotte vers ce bouton.
La pointe de ma langue te pénètre à chaque fois et ralenti sous ton capuchon pour faire ressortir ton clitoris qui est ensuite lessivé plus rapidement par ma bouche. Je recommence plusieurs fois cet examen, du haut vers le bas, j’aplatie ma bouche sur le bouton et je recommence encore et encoreTon anus est toujours ouvert, l’intervalle entre celui-ci et le début de ton sexe est court, lorsque ma langue se trouve vers le bas elle à profite pour nettoyer encore et encore les parois de ton anus. Maintenant j’aperçois vraiment ton clitoris qui est sorti de sa capuche, il ne veut plus y rentrer et demande impoliment qu’on le lèche, qu’on le trifouille, qu’on le goutte. Ce que je ne me lasse pas de faire. Je sens que plusieurs gouttes de plaisir coulent le long de cette grotte, pour se noyer dans ton anus. Je n’abandonne pas pour autant ce plaisir que je fais durer longuement.
Tout en léchant j’ai introduit en toi un de mes index, que j’ai recourbé comme un T, la pointe de celui-ci vient tapoter la boule qui se trouve en toi, et cela toujours en te léchant, un petit ruisseau comment à naître. J’arrête donc là, l’activation de tes sens, pour te laisser traîner dans l’incertitude de la jouissance. Pourtant tu n’arrêtes plus de me dire, encore, plus vite, je veux, oui, continue. Je ne t’obéis pas, car toi avant, tu ne m’a non plus pas écouté. J’ai maintenant en main un glaçon, que je pose sur ton clitoris, à chaque passage sur ton clito, le glaçon fond, ton bouton aussi, mais ma langue le réactive immédiatement. Tu sens le chaud et le froid, qui, j’ai l’impression font, du bien à ton bouton. Le glaçon est maintenant dans ma bouche et tu ressens différemment mes caresses buccales. J’ai freiné volontairement ce petit ruisseau qui voulait devenir une rivière pour pouvoir maintenant introduire dans ton sexe le tube d’une poire de lavement remplie d’un thé tiède, à la température de ton corps. Je verse intégralement cette tisane en pressant la poire dans ton sexe, ce qui te remplit de chaleur. Avec ma bouche je referme ton sexe qui demande à garder ce liquide chaud dans ta vulve, puis sous l’effet de ma langue, une rivière de thé coule entre tes cuisses, réchauffant également ton anus. Je sais que tu n’en peux plus, que tu veux maintenant du plaisir commun, ou alors tu vas éjaculer ta cyprine d’un moment à l’autre sans attendre la douceur de ma verge dressée. Moi aussi j’ai envie de toi, alors pour cet acte de jouissance, je te détache ce qui te permet d’enrouler immédiatement mon corps de tes jambes, de t’empaler sur mon pénis, de serrer tes bras dans mon dos, tu ne touches plus le sol, tu viens de t’accrocher à mon corps accroupi, ton sexe vient d’avaler entièrement le mien. Nous restons comme cela pendant quelques minutes, les yeux dans les yeux, tes seins collant les miens, tes ongles prêts à me griffer, ton sexe, tes lèvres sexuelles viennent aspirer mon pénis. Je me dois de te pousser vers le sol, pour pourvoir effectuer le va et vient de ma verge en toi. Je donne des coups pour aller plus profond en toi, ce qui provoque des bruits de « Splach » « Splach », ta rivière éclaboussant à chaque coup ma verge. Je nage dans ton intérieur en essayant de ne pas me noyer, ce qui me donne une joie douce et chaude, je continue de plus en plus fort « Splach », « splach », mes cuisses sont à leur tour mouillé, ton anus est noyé, tu cris de jouissance des oui, des encore, et quand à mon tour je veux éjecté mon jus sucré, tu me dis « Non », tu me lâches, tu fermes tes yeux et tu ouvres grandement ta bouche me faisant savoir et tu as envie de m’avaler. En me libérant de ton étreinte, j’ai senti mon jus, mon sperme s’échapper quand même en toi, tu as ressenti également ce liquide bouillant aller se frapper tout au fond de ta grotte, ce qui te procure une douceur sans limite, je dois serrer mon sexe dans ma main pour éviter que ma jouissance parte et j’arrive tout au fond de ta gorge pour enfin éjaculer. En ce moment-là, c’est moi qui prolifère un bruit roque, un grognement de plaisir, un aboiement de loup. Je m’enfonce dans ta gorge avec violence, comme si je voulais t’étouffer, t’empêcher de respirer et je jouis avec fureur. Toi tu aspires et re-aspire mon sperme jusqu’à la dernière goutte. Je me trouve à allongé, mon sexe dans ta bouche, tenu par mes points et mes orteils au sol. Le reste flotte dans l’espace. Je donne encore des cous de verge sur ton palais. J’abandonne maintenant, après ma jouissance ta bouche et je me réintroduis avec mon pénis dans ton vagin encore mouillé et chaud et je me couche sur toi,ma bouche dans la tienne, effectuant avec ma langue une nouvelle union avec la tienne. Cela dure une éternité, voulant à tout prix m’endormir dans cette position, pour toujours.
Nous avons jouit tous les deux, mon dos est griffé, ton sexe est béant, mon anus est ouvert, ma verge est au chaud, nos yeux sont fermés, nos langues se battent amicalement, nous nous aimons ou nous nous sommes aimés encore une fois.
BISOUS, j’espère que cela t’a vraiment plus, MOI OUI……………………..
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