La punition d'Amira
Récit érotique écrit par JohnnyGuitar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La punition d'Amira
Henri s’éveilla. La journée d’hier avait été riche en plaisirs pour lui et son ami Arthur, qui s’étaient délectés d’assister aux matchs de lutte des soumises de leur harem, et de ceux de leurs invités. Il ne faisait aucun doute qu’il en serait de même aujourd’hui. Mais parfois, les plaisirs pouvaient aussi venir d’en-dehors du ring.
Les yeux à présent ouverts, Henri profitait de la douceur du moment dans le clair-obscur de la chambre, la lumière du soleil d’Italie filtrant à peine par les rideaux tandis que la brise de mer caressait les draps par la fenêtre entrouverte. Sélène avait dormi à ses côtés mais elle était déjà levée. Henri allait la rejoindre quand elle entra dans la chambre, portant un peignoir de soie rose pâle. Elle le défit et le laissa glisser au sol, dévoilant son corps magnifique. Sélène était plutôt grande, mesurant pratiquement 1m70. Ses jambes s’étiraient longuement, elle était fine mais athlétique, et sa peau était de la couleur du bois de santal. Ses cheveux châtains, lisses, qui tiraient sur le blond quand elle prenait le soleil, cascadaient dans son dos. Ses seins, généreux sans être trop gros, étaient fermes et se balançaient légèrement quand elle marchait. Une petite toison noire soigneusement entretenue ornait son pubis. Enfin, son visage doux, ovale, était marqué par ses lèvres fines et parfaitement dessinées, et des yeux noirs en amande brûlants d’intensité, typiquement arabes (elle venait du Golfe). Elle partageait depuis un temps déjà le lit d’Henri en tant que favorite, avec Marianne, mais celui-ci ne se lassait jamais de la voir se dévoiler à lui.
Elle s’approcha du lit avec un déhanché félin et grimpa sur Henri par-dessus la couverture pour venir lui arracher un baiser, qu’il lui rendit passionnément. Il se délectait de ces lèvres comme si c’était la première fois, savourant le bonheur du moment avec cette favorite qu’il adorait. Henri se décolla de Sélène pour pouvoir enlever la couverture qui l’empêchait de profiter à plein de son corps. L’obstacle retiré, il se serra plus fort contre elle, sentant la douceur et la chaleur de sa peau, tandis qu’ils continuaient à s’embrasser tendrement. Son érection grandissait à chaque baiser, frottant contre le ventre de Sélène. Henri s’arracha à ses lèvres pour embrasser sa nuque, sentir le parfum de ses cheveux, et s’aventurer plus bas, à la recherche des seins de Sélène, plus clairs que le reste de sa peau car étant un peu timide, elle ne bronzait pas topless.
Il joua avec ses tétons sensibles et caressa ses monts doux comme des oreillers de plumes, les malaxant et les massant avec grande délicatesse. Sélène soupirait, appréciant ces caresses, mais elle en voulait plus. Elle passa ses mains dans les cheveux d’Henri et lui attrapa le visage pour le redresser, plantant à nouveau ses lèvres sur les siennes tandis que sa langue coquine venait chatouiller celle d’Henri. Puis, elle se plaça à califourchon sur lui et descendit sur sa queue dure qui n’attendait que cela. Le sexe humide de Sélène l’accueillit avec facilité. Cette dernière manifesta également son contentement avec un petit bruit de gorge qui ravit Henri et l’excita encore plus. Sélène montait et descendait, et se déhanchait lentement sur la queue d’Henri, qui se laissait porter par le moment, promenant ses mains sur le dos de Sélène, et descendant sur ses fesses, pétrissant les globes ronds et fermes. Les deux amants poussaient des soupirs rauques tandis qu’ils faisaient l’amour tendrement, sans presse, savourant l’instant.
Toutefois, la magie du moment fut interrompue quand Amira entra la pièce. Amira était l’une des shemales du harem ; elle aussi plutôt grande, musclée même si ses muscles n’étaient pas saillants. Sa peu était blanche : elle était syrienne métisse, au teint très clair, et passait facilement pour européenne. Ses origines se manifestaient dans ses cheveux noirs, qui tombaient au-dessus de ses seins, et ses yeux légèrement en amande, noirs aussi, et qui semblaient toujours en colère. Amira avait en effet un tempérament sanguin et changeant, ce qui en faisait une soumise difficile à contrôler et qui devait être disciplinée souvent. Néanmoins, sous ses airs arrogants et l’expression suffisante qu’elle semblait porter en permanence sur son visage, elle était très salope et aimait être punie, autant qu’elle adorait transgresser les règles et dominer les autres soumises du harem si elle le pouvait.
Lorsqu’elle entra dans la chambre, Amira était nue et sa queue impressionnante était déjà en érection, prête à baiser. Elle avait probablement écouté et épié les amants en se caressant, avant d’entrer.
« Alors, je vois que vous passez une bonne matinée… mais moi, je me sens bien seule. Et ma bite est si dure… Henri, je pense que ta chienne appréciera une deuxième queue. Après tout, même si tu la prends dans ton lit ces derniers temps, ça reste une pute. Et une pute est faite pour être remplie. »
Joignant le geste à la parole sans attendre de réponse, Amira s’avança sur le lit, derrière Sélène, et posa une main sur sa hanche tandis que l’autre guidait sa queue rigide vers sa destination. Elle avait bien lubrifié son membre pendant qu’elle se masturbait – elle savait que son maître la punirait impitoyablement si elle faisait du mal à l’une de ses favorites – mais elle s’introduisit avec prudence dans le petit cul serré de Sélène. Sa queue était en effet assez grosse, et même si Henri aimait s’amuser avec l’anus de toutes ses soumises, il n’avait pas touché à celui de Sélène récemment.
Sélène eut brièvement le souffle coupé quand le sexe d’Amira la pénétra. Elle se sentait très pleine à présent, son cul et sa chatte ayant chacun leur queue. Elle était collée contre la poitrine d’Henri, attendant la suite. Une fois bien installée, Amira commença à pistonner l’anus de Sélène, d’abord lentement puis accélérant rapidement. La surprise passée, elle appréciait de sentir son petit trou aussi bien rempli, alors que la queue d’Henri restait solidement plantée dans sa chatte. Sélène gémissait avec passion, et Henri sentait sa mouille dégouliner abondamment sur son sexe. Amira n’était pas avare de soupirs rauques, elle non plus. La vision de sa queue allant et venant entre les fesses parfaites de Sélène l’excitait en diable et elle ne tiendrait plus très longtemps. Amira tira les cheveux de Sélène pour qu’elle relève la tête et, pénétrant profondément le cul à présent complètement offert, elle s’enfonça une dernière fois jusqu’à la garde. Amira éjacula tout son foutre chaud à l’intérieur du petit trou de Sélène, qui elle aussi avait atteint l’orgasme et se laissa tomber, pantelante, sur le torse d’Henri qui l’entoura de ses bras. Sa queue avait glissé hors de la chatte de Sélène durant la phase finale de cette sodomie intense, et frottait à présent contre les poils de son pubis.
Amira se tenait toujours derrière Sélène, admirant la vue, tandis que sa queue se dégonflait progressivement. Elle se retira, appréciant le spectacle de son sperme qui coulait hors de l’anus de Sélène, élargi par le membre large d’Amira. Cette dernière asséna plusieurs claques sur le derrière de la favorite qu’elle venait de baiser comme une catin de bas étage.
« Tu vois, salope, pas besoin de prendre de grands airs parce que tu es la favorite du maître… quand on te baise, tu cries toujours comme une chienne. Et puis, les favorites, ça ne dure jamais très longtemps. »
Amira marqua une pause, caressant la chatte de Sélène, introduisant deux doigts dans son anus pour la faire couiner et étaler un peu plus le sperme sur ses cuisses… et reprit.
« En plus, tu manques à tes devoirs, vu que tu as joui mais pas ton maître. Tu es vraiment bonne à rien, en fait. Je ne sais même pas pourquoi Henri te garde auprès de lui. »
Amira attrapa vicieusement Sélène par l’épaule et la tira en arrière pour qu’elle se redresse, puis la saisit aux hanches et la fit reculer pour qu’elle se trouve au niveau du sexe d’Henri, très dur et couvert de mouille. Amira attrapa Sélène par les cheveux et lui plaqua la bouche sur la queue de son maître.
« Allez, suce-le maintenant petite pute, nettoie bien sa queue que tu as toute souillée avec ta chatte. Ma grosse queue t’a vraiment fait de l’effet, on dirait. »
Sélène se mit immédiatement au travail, passant de grands coups de langue des bourses jusqu’au gland. Une fois qu’Amira fut satisfaite, elle serra la queue d’Henri d’une main tandis que l’autre se posait sur la tête de Sélène, et, la saisissant par les cheveux, elle la fit s’empaler sur la queue dure qui n’attendait que cela. Amira faisait monter et descendre la tête de Sélène le long de la queue d’Henri, et la bloquait parfois pendant de longues secondes, faisant s’étouffer Sélène, qui crachait et toussait. En peu de temps, Henri était sur le point de jouir. Amira fit à nouveau descendre Sélène sur la queue de son maître. Elle le gobait entièrement, et il pouvait sentir la pointe de sa langue sur ses couilles. Il attrapa la main de Sélène et jouit dans un râle de plaisir. La favorite avala tout le sperme avec délectation et continua à le sucer alors même que la main sévère d’Amira ne l’y obligeait plus.
Cette dernière, enfin satisfaite et pour l’instant rassasiée, quitta la chambre en quête d’une nouvelle soumise à tourmenter, ou peut-être d’un maître pour lui démonter le cul, les deux lui convenaient.
Sélène revint se blottir contre la poitrine d’Henri, qui caressa doucement ses cheveux. Elle lui lança un regard complice tandis qu’il contemplait sa bouche décorée de salive et de sperme.
« Elle ne t’a pas épargné, notre princesse shemale orgueilleuse… mais tu as adoré ça, j’en suis sûr. Après tout, tu restes une soumise, même si tu es l’une de mes favorites !
Toutefois, elle a touché sans ma permission à une concubine… et on ne peut pas dire qu’elle ait été gentille avec toi. Du coup, elle mérite bien entendu une punition à la hauteur de sa transgression. Et puis, on ne voudrait pas qu’elle perde de vue où est sa place. »
Henri se redressa pour poser un doux baiser sur le front de Sélène, qui souriait à présent d’un air mutin à l’idée de la punition d’Amira. Cette dernière ne perdait rien pour attendre.
Plus tard, dans l’après-midi, après avoir déjeuné et profité de la mer, Henri, accompagné de Sélène et de Marianne, son autre favorite, alla retrouver Amira. Elle discutait dans l’un des salons avec d’autres maîtres qui avaient été invités pour assister aux combats de soumises et y faire participer leur harem. Amira se tenait debout, détendue, papotant avec les hôtes. Henri s’approcha d’elle le sourire aux lèvres et la prit totalement par surprise lorsqu’il lui asséna deux gifles retentissantes. Le bruit sec attira l’attention de tous, les maîtres et maîtresses et leurs soumis / soumises interrompant leurs conversations (ou pipes et cunnilingus) pour se délecter du spectacle.
« Ecoute-moi bien petite salope, tu croyais vraiment que tu pouvais t’inviter dans mon lit et baiser une de mes favorites sans me demander la permission ? Tu l’as enculée comme une catin, la pauvre, alors que nous faisions tranquillement l’amour. J’espère que tu en as bien profité parce que maintenant, tu vas comprendre que penser avec sa queue a un prix ! »
Henri poursuivit en ouvrant brusquement le chemisier d’Amira, faisant voler les boutons et dénudant ses seins (elle portait rarement un soutien-gorge). Marianne et Sélène n’étaient pas venues les mains vides, et parmi ce qu’elles transportaient, Henri choisit deux pinces qu’il referma avec délectation sur les tétons d’Amira. Il suffisait de faire bouger les pinces pour envoyer des frissons de douleur et de plaisir dans les seins de la soumise arrogante qui avait beaucoup perdu de sa morgue en l’espace de quelques minutes.
Encore sonnée par les gifles, Amira ne réagit pas plus quand Henri la prit par les cheveux et tira (sèchement mais sans être brutal, tout de même, il ne voulait pas casser ses jouets) pour la mettre à genoux. Il lui passa ensuite un collier de cuir au cou auquel il attacha une laisse. Il attrapa enfin une cravache et claqua fermement les fesses d’Amira, qui se déhanchaient devant lui quand elle avançait à quatre pattes. Sélène s’approcha d’elle et passa ses mains sur la jupe plutôt courte qu’elle portait, dernier rempart de sa dignité. Puis la baissa impitoyablement sur ses cuisses, dévoilant ses fesses et sa queue engorgée (elle considérait aussi que les culottes étaient en option) : si Amira jetait des regards noirs à toute l’assistance, il était évident que le fait de se faire humilier l’excitait considérablement. Marianne s’approcha à son tour, un plug anal de belle taille en main. Elle le lécha d’un air provocateur avant de l’enduire de lubrifiant puis, sans grands égards, de le fourrer dans le cul d’Amira qui poussa un cri de protestation mêlé de plaisir.
A ce moment, cette dernière se dit qu’elle pouvait peut-être encore échapper à la suite. Elle se retourna et s’approcha d’Henri, puis frotta son visage contre l’entrejambe de ce dernier. Elle sentait à travers le pantalon à quel point il était dur. Elle mordilla le contour de sa queue à travers le tissu et se lécha les lèvres avec gourmandise en le regardant.
« Oh Henri, je suis désolée, s’il-te-plaît, laisse-moi me rattraper… laisse-moi te sucer ici, maintenant, devant tout le monde, que je te montre à quel point je suis une bonne soumise… Je pourrais même lécher Sélène aussi pour me faire pardonner ! »
Henri passa sa main dans ses cheveux sombres et les caressa, ainsi que son visage, puis il le plaqua encore plus contre sa queue, comme s’il comptait accepter. Puis il la repoussa, et titilla les pinces qui enserraient ses tétons, pour la faire couiner un peu.
« Petite conne, tu crois que tu as mérité le droit de me sucer ? Ne t’inquiète pas, tu boufferas ma queue, mais pas tout de suite, j’ai plein de surprises pour toi avant. »
Henri ponctua ces derniers mots de coups de vifs coups de cravache sur les fesses pâles d’Amira, à présent exposées. Il voulait les voir rosir. Comprenant le message, elle se mit à avancer. Elle savait exactement où ils allaient : dans l’une des salles de punition de la villa. Henri et ses deux favorites se mirent donc en route, précédés d’Amira qui faisait de son mieux pour avancer, à quatre pattes et sa jupe à mi-cuisse, un plug dans le cul et des pinces sur ses tétons. Chaque ralentissement attirait de nouveaux coups de cravache. Ils étaient suivis par plusieurs maîtres et maîtresses et quelques-uns de leurs familiers. D’autres étaient restés dans le salon, et, très excités par la scène à laquelle ils venaient d’assister, préféraient se faire sucer ou lécher par leurs soumis(es).
Henri admira son œuvre. Amira se tenait à quatre pattes, jambes écartées, dos légèrement cambré, sur une table basse un peu particulière. En effet, elle comportait un système de fixations, qui venaient emprisonner les chevilles et les poignets d’Amira et la maintenaient fermement en place. Elle avait beau se tortiller, les attaches étaient bien solides. Elle poussa un soupir exaspéré : clairement, elle ne pensait pas que cette sodomie matinale allait lui coûter aussi cher.
Sélène et Marianne se dénudèrent et s’approchèrent avec gourmandise d’Amira, qui bandait toujours aussi dur. Marianne était plus petite que Sélène, la peau un peu plus claire aussi, mate sans être foncée : elle était métisse avec du sang latino. Ses boucles brunes couvraient juste sa nuque et le haut de ses épaules, formant comme un collier sur le devant. La beauté de son visage était rehaussée par ses pommettes hautes et bien dessinées. Ses beaux yeux de biche, marrons, exprimaient sa sensualité latine mais aussi l’amour et le dévouement profonds qu’elle vouait à son maître : elle était à lui. S’il n’avait jamais eu besoin de la soumettre, c’est parce qu’elle lui appartenait corps et âme.
Les deux favorites s’approchèrent de leur proie immobilisée. Marianne embrassa doucement Amira tandis que Sélène se mit derrière elle et se mit à lui lécher l’anus avec passion tout en branlant sa queue excitée.
Amira s’attendait à tout sauf à ça. Elle sentit le plaisir monter en elle tandis qu’elle gémissait, puis jouit entre les doigts de Sélène, tout en sentant la langue de celle-ci jouer avec son petit trou. Au moment de l’orgasme, Sélène attrapa une coupe en cristal et dirigea la queue d’Amira vers celle-ci, prenant garde à ne rien laisser perdre. Amira n’y prêta pas vraiment attention sur le moment. Les deux favorites échangèrent leurs places, Marianne venant se placer au niveau de l’arrière-train de la soumise désobéissante tandis que Sélène venait devant.
Elle fit lécher ses doigts pleins de sperme à Amira, qui s’exécuta avec docilité. Puis elle titilla les pinces qui agressaient ses tétons et, attrapant la cravache, se mit à distribuer de petits coups sur les seins d’Amira, qui avait beau se trémousser, mais ne pouvait échapper à la morsure de l’instrument. Pendant ce temps, Marianne jouait avec la queue ramollie d’Amira, et lécha à son tour son anus sensible, ce qui la fit durcir rapidement. Puis, elle ramena la queue d’Amira vers elle afin de pouvoir la sucer. La sensation des lèvres de Marianne sur son membre était divine et la soumise enchaînée s’abandonnait au plaisir, gémissant sans retenue, oubliant le petit public qui l’observait. Marianne alternait entre la pipe et la combinaison pipe + anulingus. Elle voulait exciter au maximum la shemale pour en tirer le maximum de sperme. Enfin, elle jouit. Marianne sortit la queue de sa bouche juste à temps pour recueillir, comme précédemment, le foutre d’Amira dans la coupe de cristal. Puis elle se remit immédiatement au travail.
La queue d’Amira était à présent très sensible et le plaisir se mêlait d’inconfort. Elle jeta un regard vers Henri qui lui adressa un sourire carnassier. Et elle comprit le sens de la punition : elle était en train d’être traite. Sélène et Marianne continuèrent implacablement leur ouvrage, se relayant pour faire jouir Amira une fois de plus. Puis, Sélène attrapa un gode ceinture et se plaça derrière Amira. Marianne lubrifia le sexe de silicone, à la taille considérable, et retira le plug qui décorait le cul de la soumise punie. Sélène enfila Amira sans délicatesse et se mit immédiatement à la pistonner. Cette dernière, submergée par les sensations, s’abandonnait complètement, gémissant, criant, haletant comme une chienne en chaleur. Elle voulait être baisée et jouir encore et encore. Sélène en profita pour prendre sa revanche :
« Alors connasse, tu vois, toi aussi tu cries quand on te baise ! Tu fais moins la fière maintenant, toujours à prendre les autres de haut, mais en réalité, tu es plus à ta place dans cette position ! »
Sur ces entrefaites, Sandra, une autre shemale et grande rivale d’Amira dans les combats de soumises, entra dans la pièce. Elle chercha l’assentiment d’Henri qui lui donna bien volontiers et se plaça à côté de Sélène, caressant ses fesses et sa chatte.
« Baise-la bien ma chérie, c’est parfait. Cette salope ne mérite que ça. C’est la seule façon d’éduquer les soumises indisciplinées. Mais, laisse-moi l’honneur de te relayer. »
S’exécutant avec plaisir, Sélène se retira du cul d’Amira tandis que Sandra prenait sa place, sa propre queue, qui n’avait à rien à envier à celle d’Amira en termes de dimensions, érigée et prête à l’action. Sandra empala Amira sans ménagement, elle était dilatée et lubrifiée, et prête à l’accueillir. Evidemment, elle ne put résister au plaisir d’humilier encore plus sa rivale.
« Tu as un bon cul, salope, il me fera bien jouir. Par contre, je vois que dans le ring ou en-dehors, ta place est à quatre pattes… peut-être que tu es en train de comprendre ce que tu es vraiment, juste une perdante qui vit pour être dominée ! »
Sandra baisait le cul d’Amira sauvagement, et pour son plaisir uniquement. Elle se vida les couilles avec un râle de satisfaction sans cesser de sodomiser la soumise. Pendant ce temps, Sélène et Marianne branlaient à l’unisson la queue si sensible de la chienne à quatre pattes, et la firent jouir une dernière fois dans la coupe. Sandra se retira finalement, et vint fourrer sa queue dans la bouche d’Amira pour qu’elle la nettoie, avant de reprendre place parmi le public.
Satisfait, Henri attrapa le réceptacle plein de sperme et se plaça devant Amira.
« Tu vois ma chère, tu n’as pas encore gagné le droit de me sucer, mais tu as bien mérité ta ration de foutre. Ouvre la bouche. »
Abattue et vidée, défaite, écrasée par les vagues successives de plaisir qu’elle avait reçues, Amira s’exécuta docilement et avala son foutre en se léchant les lèvres. Elle pensait qu’elle allait être libérée à présent. Henri lui enleva même les pinces qui suppliciaient ses tétons.
Mais il n’en avait pas tout à fait terminé. Il murmura à l’oreille de ses favorites, qui allèrent placer un anneau vibrant autour de la queue d’Amira et un plug vibrant dans son anus. Puis Henri alluma les appareils. La soumise lui jeta un regard suppliant :
« S’il-te-plaît Henri laisse-moi partir, j’ai déjà joui tellement de fois, je n’en peux plus je vais devenir folle ! S’il-te-plaît, je t’en prie ! Je suis désolée pour ce matin ! Je ferai tout ce que tu veux, je te sucerai comme jamais, je te lècherai le cul pendant des heures ! S’il-te-plaît, ne me laisse pas ! »
Néanmoins, pas attendri pour autant, Henri s’éloigna, laissant Amira trépigner sur sa table basse, entourée par quelques maîtres(ses) et soumis(es) qui se délectaient du spectacle en se masturbant / léchant / doigtant. Henri revint après une dizaine de minutes.
Amira gémissait, sa queue rouge et endolorie. Elle était couverte de plusieurs traces de sperme, probablement venant de membres du public qui ne s’étaient pas gênés pour jouir sur elle.
Henri désactiva les jouets vibrants, défit son pantalon et présenta sa queue à Amira.
« Voilà, petite pute. Maintenant, tu as gagné le droit de me sucer. Fais du bon travail et je te laisserai partir. J’espère que tu as bien compris maintenant ce qui arrive aux soumises impertinentes. »
Amira se mit au travail avec ardeur, comme si sa vie en dépendait. Son attitude toute entière s’était transformée par rapport au matin, trahissant une servilité et une docilité qui étaient rares chez elles. Elle avançait pour prendre Henri tout entier dans sa bouche, utilisant aussi sa langue pour le stimuler. Ravi de ces bons efforts, ce dernier – extrêmement excité depuis tout à l’heure – se laissa aller à son plaisir. Sentant l’orgasme arriver, il posa ses mains sur le visage d’Amira et se mit à lui baiser la bouche avant de jouir au fond de sa gorge. Il resta là quelques instants, admirant les cheveux défaits, les traînées de maquillage et de salive qui maculaient son visage, et le foutre qui décorait son corps.
Il détacha Amira qui s’effondra, les muscles endoloris. Henri la laissa reprendre ses esprits puis l’attrapa doucement, un bras sous le haut de son dos, un autre sous ses genoux. Il la déposa sur son lit et lui sourit. Avant qu’il ne quitte la pièce, Amira se redressa et lui murmura à l’oreille :
« Merci maître. Merci de m’avoir punie. J’ai tellement joui, Henri, j’adore quand tu me corriges. Tu sais que je suis à toi, je suis ta chienne. Je t’aime. »
Les yeux à présent ouverts, Henri profitait de la douceur du moment dans le clair-obscur de la chambre, la lumière du soleil d’Italie filtrant à peine par les rideaux tandis que la brise de mer caressait les draps par la fenêtre entrouverte. Sélène avait dormi à ses côtés mais elle était déjà levée. Henri allait la rejoindre quand elle entra dans la chambre, portant un peignoir de soie rose pâle. Elle le défit et le laissa glisser au sol, dévoilant son corps magnifique. Sélène était plutôt grande, mesurant pratiquement 1m70. Ses jambes s’étiraient longuement, elle était fine mais athlétique, et sa peau était de la couleur du bois de santal. Ses cheveux châtains, lisses, qui tiraient sur le blond quand elle prenait le soleil, cascadaient dans son dos. Ses seins, généreux sans être trop gros, étaient fermes et se balançaient légèrement quand elle marchait. Une petite toison noire soigneusement entretenue ornait son pubis. Enfin, son visage doux, ovale, était marqué par ses lèvres fines et parfaitement dessinées, et des yeux noirs en amande brûlants d’intensité, typiquement arabes (elle venait du Golfe). Elle partageait depuis un temps déjà le lit d’Henri en tant que favorite, avec Marianne, mais celui-ci ne se lassait jamais de la voir se dévoiler à lui.
Elle s’approcha du lit avec un déhanché félin et grimpa sur Henri par-dessus la couverture pour venir lui arracher un baiser, qu’il lui rendit passionnément. Il se délectait de ces lèvres comme si c’était la première fois, savourant le bonheur du moment avec cette favorite qu’il adorait. Henri se décolla de Sélène pour pouvoir enlever la couverture qui l’empêchait de profiter à plein de son corps. L’obstacle retiré, il se serra plus fort contre elle, sentant la douceur et la chaleur de sa peau, tandis qu’ils continuaient à s’embrasser tendrement. Son érection grandissait à chaque baiser, frottant contre le ventre de Sélène. Henri s’arracha à ses lèvres pour embrasser sa nuque, sentir le parfum de ses cheveux, et s’aventurer plus bas, à la recherche des seins de Sélène, plus clairs que le reste de sa peau car étant un peu timide, elle ne bronzait pas topless.
Il joua avec ses tétons sensibles et caressa ses monts doux comme des oreillers de plumes, les malaxant et les massant avec grande délicatesse. Sélène soupirait, appréciant ces caresses, mais elle en voulait plus. Elle passa ses mains dans les cheveux d’Henri et lui attrapa le visage pour le redresser, plantant à nouveau ses lèvres sur les siennes tandis que sa langue coquine venait chatouiller celle d’Henri. Puis, elle se plaça à califourchon sur lui et descendit sur sa queue dure qui n’attendait que cela. Le sexe humide de Sélène l’accueillit avec facilité. Cette dernière manifesta également son contentement avec un petit bruit de gorge qui ravit Henri et l’excita encore plus. Sélène montait et descendait, et se déhanchait lentement sur la queue d’Henri, qui se laissait porter par le moment, promenant ses mains sur le dos de Sélène, et descendant sur ses fesses, pétrissant les globes ronds et fermes. Les deux amants poussaient des soupirs rauques tandis qu’ils faisaient l’amour tendrement, sans presse, savourant l’instant.
Toutefois, la magie du moment fut interrompue quand Amira entra la pièce. Amira était l’une des shemales du harem ; elle aussi plutôt grande, musclée même si ses muscles n’étaient pas saillants. Sa peu était blanche : elle était syrienne métisse, au teint très clair, et passait facilement pour européenne. Ses origines se manifestaient dans ses cheveux noirs, qui tombaient au-dessus de ses seins, et ses yeux légèrement en amande, noirs aussi, et qui semblaient toujours en colère. Amira avait en effet un tempérament sanguin et changeant, ce qui en faisait une soumise difficile à contrôler et qui devait être disciplinée souvent. Néanmoins, sous ses airs arrogants et l’expression suffisante qu’elle semblait porter en permanence sur son visage, elle était très salope et aimait être punie, autant qu’elle adorait transgresser les règles et dominer les autres soumises du harem si elle le pouvait.
Lorsqu’elle entra dans la chambre, Amira était nue et sa queue impressionnante était déjà en érection, prête à baiser. Elle avait probablement écouté et épié les amants en se caressant, avant d’entrer.
« Alors, je vois que vous passez une bonne matinée… mais moi, je me sens bien seule. Et ma bite est si dure… Henri, je pense que ta chienne appréciera une deuxième queue. Après tout, même si tu la prends dans ton lit ces derniers temps, ça reste une pute. Et une pute est faite pour être remplie. »
Joignant le geste à la parole sans attendre de réponse, Amira s’avança sur le lit, derrière Sélène, et posa une main sur sa hanche tandis que l’autre guidait sa queue rigide vers sa destination. Elle avait bien lubrifié son membre pendant qu’elle se masturbait – elle savait que son maître la punirait impitoyablement si elle faisait du mal à l’une de ses favorites – mais elle s’introduisit avec prudence dans le petit cul serré de Sélène. Sa queue était en effet assez grosse, et même si Henri aimait s’amuser avec l’anus de toutes ses soumises, il n’avait pas touché à celui de Sélène récemment.
Sélène eut brièvement le souffle coupé quand le sexe d’Amira la pénétra. Elle se sentait très pleine à présent, son cul et sa chatte ayant chacun leur queue. Elle était collée contre la poitrine d’Henri, attendant la suite. Une fois bien installée, Amira commença à pistonner l’anus de Sélène, d’abord lentement puis accélérant rapidement. La surprise passée, elle appréciait de sentir son petit trou aussi bien rempli, alors que la queue d’Henri restait solidement plantée dans sa chatte. Sélène gémissait avec passion, et Henri sentait sa mouille dégouliner abondamment sur son sexe. Amira n’était pas avare de soupirs rauques, elle non plus. La vision de sa queue allant et venant entre les fesses parfaites de Sélène l’excitait en diable et elle ne tiendrait plus très longtemps. Amira tira les cheveux de Sélène pour qu’elle relève la tête et, pénétrant profondément le cul à présent complètement offert, elle s’enfonça une dernière fois jusqu’à la garde. Amira éjacula tout son foutre chaud à l’intérieur du petit trou de Sélène, qui elle aussi avait atteint l’orgasme et se laissa tomber, pantelante, sur le torse d’Henri qui l’entoura de ses bras. Sa queue avait glissé hors de la chatte de Sélène durant la phase finale de cette sodomie intense, et frottait à présent contre les poils de son pubis.
Amira se tenait toujours derrière Sélène, admirant la vue, tandis que sa queue se dégonflait progressivement. Elle se retira, appréciant le spectacle de son sperme qui coulait hors de l’anus de Sélène, élargi par le membre large d’Amira. Cette dernière asséna plusieurs claques sur le derrière de la favorite qu’elle venait de baiser comme une catin de bas étage.
« Tu vois, salope, pas besoin de prendre de grands airs parce que tu es la favorite du maître… quand on te baise, tu cries toujours comme une chienne. Et puis, les favorites, ça ne dure jamais très longtemps. »
Amira marqua une pause, caressant la chatte de Sélène, introduisant deux doigts dans son anus pour la faire couiner et étaler un peu plus le sperme sur ses cuisses… et reprit.
« En plus, tu manques à tes devoirs, vu que tu as joui mais pas ton maître. Tu es vraiment bonne à rien, en fait. Je ne sais même pas pourquoi Henri te garde auprès de lui. »
Amira attrapa vicieusement Sélène par l’épaule et la tira en arrière pour qu’elle se redresse, puis la saisit aux hanches et la fit reculer pour qu’elle se trouve au niveau du sexe d’Henri, très dur et couvert de mouille. Amira attrapa Sélène par les cheveux et lui plaqua la bouche sur la queue de son maître.
« Allez, suce-le maintenant petite pute, nettoie bien sa queue que tu as toute souillée avec ta chatte. Ma grosse queue t’a vraiment fait de l’effet, on dirait. »
Sélène se mit immédiatement au travail, passant de grands coups de langue des bourses jusqu’au gland. Une fois qu’Amira fut satisfaite, elle serra la queue d’Henri d’une main tandis que l’autre se posait sur la tête de Sélène, et, la saisissant par les cheveux, elle la fit s’empaler sur la queue dure qui n’attendait que cela. Amira faisait monter et descendre la tête de Sélène le long de la queue d’Henri, et la bloquait parfois pendant de longues secondes, faisant s’étouffer Sélène, qui crachait et toussait. En peu de temps, Henri était sur le point de jouir. Amira fit à nouveau descendre Sélène sur la queue de son maître. Elle le gobait entièrement, et il pouvait sentir la pointe de sa langue sur ses couilles. Il attrapa la main de Sélène et jouit dans un râle de plaisir. La favorite avala tout le sperme avec délectation et continua à le sucer alors même que la main sévère d’Amira ne l’y obligeait plus.
Cette dernière, enfin satisfaite et pour l’instant rassasiée, quitta la chambre en quête d’une nouvelle soumise à tourmenter, ou peut-être d’un maître pour lui démonter le cul, les deux lui convenaient.
Sélène revint se blottir contre la poitrine d’Henri, qui caressa doucement ses cheveux. Elle lui lança un regard complice tandis qu’il contemplait sa bouche décorée de salive et de sperme.
« Elle ne t’a pas épargné, notre princesse shemale orgueilleuse… mais tu as adoré ça, j’en suis sûr. Après tout, tu restes une soumise, même si tu es l’une de mes favorites !
Toutefois, elle a touché sans ma permission à une concubine… et on ne peut pas dire qu’elle ait été gentille avec toi. Du coup, elle mérite bien entendu une punition à la hauteur de sa transgression. Et puis, on ne voudrait pas qu’elle perde de vue où est sa place. »
Henri se redressa pour poser un doux baiser sur le front de Sélène, qui souriait à présent d’un air mutin à l’idée de la punition d’Amira. Cette dernière ne perdait rien pour attendre.
Plus tard, dans l’après-midi, après avoir déjeuné et profité de la mer, Henri, accompagné de Sélène et de Marianne, son autre favorite, alla retrouver Amira. Elle discutait dans l’un des salons avec d’autres maîtres qui avaient été invités pour assister aux combats de soumises et y faire participer leur harem. Amira se tenait debout, détendue, papotant avec les hôtes. Henri s’approcha d’elle le sourire aux lèvres et la prit totalement par surprise lorsqu’il lui asséna deux gifles retentissantes. Le bruit sec attira l’attention de tous, les maîtres et maîtresses et leurs soumis / soumises interrompant leurs conversations (ou pipes et cunnilingus) pour se délecter du spectacle.
« Ecoute-moi bien petite salope, tu croyais vraiment que tu pouvais t’inviter dans mon lit et baiser une de mes favorites sans me demander la permission ? Tu l’as enculée comme une catin, la pauvre, alors que nous faisions tranquillement l’amour. J’espère que tu en as bien profité parce que maintenant, tu vas comprendre que penser avec sa queue a un prix ! »
Henri poursuivit en ouvrant brusquement le chemisier d’Amira, faisant voler les boutons et dénudant ses seins (elle portait rarement un soutien-gorge). Marianne et Sélène n’étaient pas venues les mains vides, et parmi ce qu’elles transportaient, Henri choisit deux pinces qu’il referma avec délectation sur les tétons d’Amira. Il suffisait de faire bouger les pinces pour envoyer des frissons de douleur et de plaisir dans les seins de la soumise arrogante qui avait beaucoup perdu de sa morgue en l’espace de quelques minutes.
Encore sonnée par les gifles, Amira ne réagit pas plus quand Henri la prit par les cheveux et tira (sèchement mais sans être brutal, tout de même, il ne voulait pas casser ses jouets) pour la mettre à genoux. Il lui passa ensuite un collier de cuir au cou auquel il attacha une laisse. Il attrapa enfin une cravache et claqua fermement les fesses d’Amira, qui se déhanchaient devant lui quand elle avançait à quatre pattes. Sélène s’approcha d’elle et passa ses mains sur la jupe plutôt courte qu’elle portait, dernier rempart de sa dignité. Puis la baissa impitoyablement sur ses cuisses, dévoilant ses fesses et sa queue engorgée (elle considérait aussi que les culottes étaient en option) : si Amira jetait des regards noirs à toute l’assistance, il était évident que le fait de se faire humilier l’excitait considérablement. Marianne s’approcha à son tour, un plug anal de belle taille en main. Elle le lécha d’un air provocateur avant de l’enduire de lubrifiant puis, sans grands égards, de le fourrer dans le cul d’Amira qui poussa un cri de protestation mêlé de plaisir.
A ce moment, cette dernière se dit qu’elle pouvait peut-être encore échapper à la suite. Elle se retourna et s’approcha d’Henri, puis frotta son visage contre l’entrejambe de ce dernier. Elle sentait à travers le pantalon à quel point il était dur. Elle mordilla le contour de sa queue à travers le tissu et se lécha les lèvres avec gourmandise en le regardant.
« Oh Henri, je suis désolée, s’il-te-plaît, laisse-moi me rattraper… laisse-moi te sucer ici, maintenant, devant tout le monde, que je te montre à quel point je suis une bonne soumise… Je pourrais même lécher Sélène aussi pour me faire pardonner ! »
Henri passa sa main dans ses cheveux sombres et les caressa, ainsi que son visage, puis il le plaqua encore plus contre sa queue, comme s’il comptait accepter. Puis il la repoussa, et titilla les pinces qui enserraient ses tétons, pour la faire couiner un peu.
« Petite conne, tu crois que tu as mérité le droit de me sucer ? Ne t’inquiète pas, tu boufferas ma queue, mais pas tout de suite, j’ai plein de surprises pour toi avant. »
Henri ponctua ces derniers mots de coups de vifs coups de cravache sur les fesses pâles d’Amira, à présent exposées. Il voulait les voir rosir. Comprenant le message, elle se mit à avancer. Elle savait exactement où ils allaient : dans l’une des salles de punition de la villa. Henri et ses deux favorites se mirent donc en route, précédés d’Amira qui faisait de son mieux pour avancer, à quatre pattes et sa jupe à mi-cuisse, un plug dans le cul et des pinces sur ses tétons. Chaque ralentissement attirait de nouveaux coups de cravache. Ils étaient suivis par plusieurs maîtres et maîtresses et quelques-uns de leurs familiers. D’autres étaient restés dans le salon, et, très excités par la scène à laquelle ils venaient d’assister, préféraient se faire sucer ou lécher par leurs soumis(es).
Henri admira son œuvre. Amira se tenait à quatre pattes, jambes écartées, dos légèrement cambré, sur une table basse un peu particulière. En effet, elle comportait un système de fixations, qui venaient emprisonner les chevilles et les poignets d’Amira et la maintenaient fermement en place. Elle avait beau se tortiller, les attaches étaient bien solides. Elle poussa un soupir exaspéré : clairement, elle ne pensait pas que cette sodomie matinale allait lui coûter aussi cher.
Sélène et Marianne se dénudèrent et s’approchèrent avec gourmandise d’Amira, qui bandait toujours aussi dur. Marianne était plus petite que Sélène, la peau un peu plus claire aussi, mate sans être foncée : elle était métisse avec du sang latino. Ses boucles brunes couvraient juste sa nuque et le haut de ses épaules, formant comme un collier sur le devant. La beauté de son visage était rehaussée par ses pommettes hautes et bien dessinées. Ses beaux yeux de biche, marrons, exprimaient sa sensualité latine mais aussi l’amour et le dévouement profonds qu’elle vouait à son maître : elle était à lui. S’il n’avait jamais eu besoin de la soumettre, c’est parce qu’elle lui appartenait corps et âme.
Les deux favorites s’approchèrent de leur proie immobilisée. Marianne embrassa doucement Amira tandis que Sélène se mit derrière elle et se mit à lui lécher l’anus avec passion tout en branlant sa queue excitée.
Amira s’attendait à tout sauf à ça. Elle sentit le plaisir monter en elle tandis qu’elle gémissait, puis jouit entre les doigts de Sélène, tout en sentant la langue de celle-ci jouer avec son petit trou. Au moment de l’orgasme, Sélène attrapa une coupe en cristal et dirigea la queue d’Amira vers celle-ci, prenant garde à ne rien laisser perdre. Amira n’y prêta pas vraiment attention sur le moment. Les deux favorites échangèrent leurs places, Marianne venant se placer au niveau de l’arrière-train de la soumise désobéissante tandis que Sélène venait devant.
Elle fit lécher ses doigts pleins de sperme à Amira, qui s’exécuta avec docilité. Puis elle titilla les pinces qui agressaient ses tétons et, attrapant la cravache, se mit à distribuer de petits coups sur les seins d’Amira, qui avait beau se trémousser, mais ne pouvait échapper à la morsure de l’instrument. Pendant ce temps, Marianne jouait avec la queue ramollie d’Amira, et lécha à son tour son anus sensible, ce qui la fit durcir rapidement. Puis, elle ramena la queue d’Amira vers elle afin de pouvoir la sucer. La sensation des lèvres de Marianne sur son membre était divine et la soumise enchaînée s’abandonnait au plaisir, gémissant sans retenue, oubliant le petit public qui l’observait. Marianne alternait entre la pipe et la combinaison pipe + anulingus. Elle voulait exciter au maximum la shemale pour en tirer le maximum de sperme. Enfin, elle jouit. Marianne sortit la queue de sa bouche juste à temps pour recueillir, comme précédemment, le foutre d’Amira dans la coupe de cristal. Puis elle se remit immédiatement au travail.
La queue d’Amira était à présent très sensible et le plaisir se mêlait d’inconfort. Elle jeta un regard vers Henri qui lui adressa un sourire carnassier. Et elle comprit le sens de la punition : elle était en train d’être traite. Sélène et Marianne continuèrent implacablement leur ouvrage, se relayant pour faire jouir Amira une fois de plus. Puis, Sélène attrapa un gode ceinture et se plaça derrière Amira. Marianne lubrifia le sexe de silicone, à la taille considérable, et retira le plug qui décorait le cul de la soumise punie. Sélène enfila Amira sans délicatesse et se mit immédiatement à la pistonner. Cette dernière, submergée par les sensations, s’abandonnait complètement, gémissant, criant, haletant comme une chienne en chaleur. Elle voulait être baisée et jouir encore et encore. Sélène en profita pour prendre sa revanche :
« Alors connasse, tu vois, toi aussi tu cries quand on te baise ! Tu fais moins la fière maintenant, toujours à prendre les autres de haut, mais en réalité, tu es plus à ta place dans cette position ! »
Sur ces entrefaites, Sandra, une autre shemale et grande rivale d’Amira dans les combats de soumises, entra dans la pièce. Elle chercha l’assentiment d’Henri qui lui donna bien volontiers et se plaça à côté de Sélène, caressant ses fesses et sa chatte.
« Baise-la bien ma chérie, c’est parfait. Cette salope ne mérite que ça. C’est la seule façon d’éduquer les soumises indisciplinées. Mais, laisse-moi l’honneur de te relayer. »
S’exécutant avec plaisir, Sélène se retira du cul d’Amira tandis que Sandra prenait sa place, sa propre queue, qui n’avait à rien à envier à celle d’Amira en termes de dimensions, érigée et prête à l’action. Sandra empala Amira sans ménagement, elle était dilatée et lubrifiée, et prête à l’accueillir. Evidemment, elle ne put résister au plaisir d’humilier encore plus sa rivale.
« Tu as un bon cul, salope, il me fera bien jouir. Par contre, je vois que dans le ring ou en-dehors, ta place est à quatre pattes… peut-être que tu es en train de comprendre ce que tu es vraiment, juste une perdante qui vit pour être dominée ! »
Sandra baisait le cul d’Amira sauvagement, et pour son plaisir uniquement. Elle se vida les couilles avec un râle de satisfaction sans cesser de sodomiser la soumise. Pendant ce temps, Sélène et Marianne branlaient à l’unisson la queue si sensible de la chienne à quatre pattes, et la firent jouir une dernière fois dans la coupe. Sandra se retira finalement, et vint fourrer sa queue dans la bouche d’Amira pour qu’elle la nettoie, avant de reprendre place parmi le public.
Satisfait, Henri attrapa le réceptacle plein de sperme et se plaça devant Amira.
« Tu vois ma chère, tu n’as pas encore gagné le droit de me sucer, mais tu as bien mérité ta ration de foutre. Ouvre la bouche. »
Abattue et vidée, défaite, écrasée par les vagues successives de plaisir qu’elle avait reçues, Amira s’exécuta docilement et avala son foutre en se léchant les lèvres. Elle pensait qu’elle allait être libérée à présent. Henri lui enleva même les pinces qui suppliciaient ses tétons.
Mais il n’en avait pas tout à fait terminé. Il murmura à l’oreille de ses favorites, qui allèrent placer un anneau vibrant autour de la queue d’Amira et un plug vibrant dans son anus. Puis Henri alluma les appareils. La soumise lui jeta un regard suppliant :
« S’il-te-plaît Henri laisse-moi partir, j’ai déjà joui tellement de fois, je n’en peux plus je vais devenir folle ! S’il-te-plaît, je t’en prie ! Je suis désolée pour ce matin ! Je ferai tout ce que tu veux, je te sucerai comme jamais, je te lècherai le cul pendant des heures ! S’il-te-plaît, ne me laisse pas ! »
Néanmoins, pas attendri pour autant, Henri s’éloigna, laissant Amira trépigner sur sa table basse, entourée par quelques maîtres(ses) et soumis(es) qui se délectaient du spectacle en se masturbant / léchant / doigtant. Henri revint après une dizaine de minutes.
Amira gémissait, sa queue rouge et endolorie. Elle était couverte de plusieurs traces de sperme, probablement venant de membres du public qui ne s’étaient pas gênés pour jouir sur elle.
Henri désactiva les jouets vibrants, défit son pantalon et présenta sa queue à Amira.
« Voilà, petite pute. Maintenant, tu as gagné le droit de me sucer. Fais du bon travail et je te laisserai partir. J’espère que tu as bien compris maintenant ce qui arrive aux soumises impertinentes. »
Amira se mit au travail avec ardeur, comme si sa vie en dépendait. Son attitude toute entière s’était transformée par rapport au matin, trahissant une servilité et une docilité qui étaient rares chez elles. Elle avançait pour prendre Henri tout entier dans sa bouche, utilisant aussi sa langue pour le stimuler. Ravi de ces bons efforts, ce dernier – extrêmement excité depuis tout à l’heure – se laissa aller à son plaisir. Sentant l’orgasme arriver, il posa ses mains sur le visage d’Amira et se mit à lui baiser la bouche avant de jouir au fond de sa gorge. Il resta là quelques instants, admirant les cheveux défaits, les traînées de maquillage et de salive qui maculaient son visage, et le foutre qui décorait son corps.
Il détacha Amira qui s’effondra, les muscles endoloris. Henri la laissa reprendre ses esprits puis l’attrapa doucement, un bras sous le haut de son dos, un autre sous ses genoux. Il la déposa sur son lit et lui sourit. Avant qu’il ne quitte la pièce, Amira se redressa et lui murmura à l’oreille :
« Merci maître. Merci de m’avoir punie. J’ai tellement joui, Henri, j’adore quand tu me corriges. Tu sais que je suis à toi, je suis ta chienne. Je t’aime. »
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Les avis des lecteurs
J'aurais tellement aimé être cette salope d'Amira, violée en punition, tout ce que j'aime