La Pute. 1/2

- Par l'auteur HDS Cocoon66 -
Récit érotique écrit par Cocoon66 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La Pute. 1/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La Pute. 1/2
Je m'appelle Paulo, j'ai 32 ans, j'ai toujours été très timide depuis mon enfance, donc je n’avais pas de petites amies. Je me limitais à regarder des livres pornographiques que j’arrivais à obtenir par des amies. Et avec Internet de nos jours, niveau sexe, on a tous ce qu’on veut. C'est pourquoi maintenant ma vie sexuelle se limite à la masturbation et aux putes de temps en temps. Je parcourais un site de petites annonces, à la recherche de masseuses ou soi-disant masseuses. Car souvent ces annonces cachent en fait des putes. En général dans ces annonces, on trouve un numéro de téléphone a appelé et on prend rendez-vous pour un premier contact. Car en effet les putes n’acceptent pas forcément tout le monde, donc on fait connaissance, on voit si ça colle et ensuite on reprend un vrai rendez-vous cette fois pour la baise. J'ai donc appelé le numéro, une voix charmante de jeune femme me donnait un rendez-vous dans un petit café l'après-midi même.

Je me rendais à ce rendez-vous impatient de découvrir si cette pute était plutôt jolie ou pas. Eh oui, le monde de la prostitution ne regorge pas de top model, de plus certaines mettent des photos sur les annonces qui sont souvent fausses. Mais celle-ci n’avait pas mis de photos donc je ne savais pas à quoi elle ressemblait. Elle m'avait dit qu’elle serait habillée avec une mini-jupe rouge, un chemisier blanc sur lequel serait accrochée une broche représentant une rose pour que je la reconnaisse facilement. J’arrivais donc par le trottoir d'en face, vue direct sur la terrasse du café. Je la vis de loin et quelle ne fut pas ma surprise, elle était totalement charmante et belle, la trentaine une brune des cheveux mi long poser sur ses épaules. J’allais traverser, lorsque la sensation de connaître cette fille m’arrêta. Je réfléchis un instant je ne pus en croire mes yeux, c'était Natacha. Oui c'était bien elle avec quelques années de plus mais toujours aussi belle disons-le franchement bandante. Natacha était dans ma classe au lycée, en seconde, première et terminale. Comme je le disais, plus jeune j'étais quelqu'un de très timide, ça m’a passé un peu avec l'âge mais je le suis encore. A l'époque j'étais très attiré par Natacha mais n'avais jamais osé lui en parler. Je décidais de jouer deux minutes à ses dépens.

Je traversais donc la rue et me dirigeais vers la table où elle était assise jambes croisées, elle était vraiment magnifique comme elle l'avait toujours été.
- Natacha c'est toi, je n'en crois pas mes yeux.
- Pardon on se connaît?
- Je suis Paulo tu ne te souviens pas de moi, nous étions au lycée ensemble?
- Euh, non pas vraiment.
- Mais si rappelle-toi, le gars timide au fond de la classe.
- Ah oui Paulo, je me souviens maintenant, qu'est-ce que tu deviens?
- Je suis ingénieur informatique maintenant. Et voulant jouer avec elle sachant exactement ce qu'elle faisait. Et toi que fais-tu dans la vie ?
- Ben euh… essayant de trouver une réponse rapidement. Je suis... dans le service à la personne.
- Ah oui vraiment ?
- Oui-Oui.
- Et quel genre de service exactement ?
- Ben euh… j'aide les gens on va dire.
- Très bien, je peux m'asseoir ?
- Ah non désolé j'attends quelqu’un.
- Oui, et ce quelqu'un c'est moi. Tout en m’asseyant.
- Comment ça c'est toi ?
- Oui, rendez-vous dans ce petit café, jeune femme mini-jupe rouge avec une broche en forme de rose, ce n'est pas toi ?
- Oh mon dieu, c'est toi mon client ?
- En effet c'est bien moi.
Elle était très gênée, elle est devenue tout rouge me regardant avec des yeux écarquillés. Je commandais deux cafés.
- Je suis gênée, je ne m'attendais pas à quelqu'un que je connaissais, donc tu sais maintenant quel genre de service à la personne je fais. Dit-elle en rigolant.
- Oui, je le savais depuis le début je voulais m'amuser un petit peu à tes dépens, j'espère que tu ne m'en veux pas ?
- Non mais nous allions à l'école ensemble, toi tu as trouvé un travail stable et moi je suis devenue une pute. Tu t'attendais pas à ça je suppose de ma part ?
- Non c'est vrai une belle fille comme toi je l'aurai plus vu mariée à un beau gosse, plutôt que de faire la pute. Mais je dois t'avouer que lorsque j'étais au lycée avec toi, j'avais très envie de coucher avec toi et aujourd'hui je ne suis pas loin de réaliser ce rêve.
- Ecoute, si je donne rendez-vous à mes clients dans ce petit café, c'est justement pour les choisir, je n'accepte pas de coucher avec tout le monde. De plus je te connais et je pense que ce n’est pas une bonne idée.
- Ah non je t'en prie ne me fais pas ça, je fantasme sur toi depuis le lycée. Je suis sûr que si tu fais la pute, c'est pour vivre, donc tu as besoin d'argent n'est-ce pas ?
- Oui c'est vrai mais…- Combien tu prends pour 1h ?
- 200 €- Alors je suis prêt à prendre 2h avec toi, ça te ferai 400 €, je pense que c'est déjà pas mal pour 2h tu ne crois pas ?
- Si mais... Ah bon d'accord.
- Dis-moi tu as des tabous, des choses que tu ne veux pas faire ?
- Non je ne pense pas avoir de tabous, en général je me plie à la volonté de mes clients.
- Tu embrasses ?
- Non ça je ne fais pas, comme la plupart des putes, si tu es habitué tu dois le savoir.
- Je sais oui, mais toi tu n'es pas comme toutes les autres putes, tu es Natacha, tu es un de mes fantasmes, donc j'avais espéré que…- Remets 100 € et tu pourras m'embrasser autant que tu veux, dit-elle en me faisant un clin d'œil et en rigolant.
- C'est d'accord.
- Ah bon, mais je plaisantais, je ne pensais pas que tu remettrais 100 €, mais j'ai besoin d'argent en ce moment les clients ne court pas les rues, donc j'accepte.

Le deal était fait, elle me donna une petite carte avec son adresse et nous prenions rendez-vous le lendemain pour 14h. Mais, j'étais intrigué par la façon dont elle était devenue une pute. C'est pourquoi avant de se quitter tout en finissant notre café, je lui ai demandé de m'expliquer comment elle en était arrivée là.

Elle m'expliqua qu’elle n'avait pas eu son bac, même au rattrapage. Elle avait essayé de trouver des petits boulots, mais rien qui ne l'intéressait vraiment. D'autre part elle m'expliqua qu’elle avait eu quelques aventures avec des hommes mais pas les bons. Ce qui était dommage, car elle adorait le sexe. Puis un jour, alors qu'elle revenait d’un entretien pour un boulot, qu'elle n'a pas eu, et étant plutôt fauchée à ce moment-là, elle fit une chose dont elle ne se serait jamais crue capable.

Elle monte dans le train pour rentrer chez elle après c'est entretien raté. Assise dans le fond du wagon, cogitant sur sa vie merdique du moment, elle aperçut un homme en costume quelques sièges plus loin, qui l'observait. Elle s'était plutôt bien habillée pour cet entretien, une jupe noir au-dessus du genou, des talons, un chemisier blanc une veste de tailleur. L’homme l'observait, la trouvant sans doute à son gout et très sexy. Un petit jeu de regards commença entre eux. Natacha aimant beaucoup le sexe, comme elle me le disait précédemment, elle commença à avoir envie de baiser avec ce mec. Et une idée lui traversa l'esprit, pourquoi ne pas se faire payer pour baiser.

Elle se leva, alla s'asseoir près de l'homme, celui-ci fut surpris, mais lui lança un petit bonjour.
- Bonjour.
- Bonjour Monsieur, dit-elle d’une voix suave. J’ai remarqué que je ne vous laissais pas indifférent, cela fait maintenant quelques minutes que vous me regardez, je me suis dit que vous voudriez voir de plus près.
L’homme était gêné, un peu décontenancé, mais content de la tournure que prenait la situation.
- En effet, vous êtes charmante mademoiselle et vous me plaisez beaucoup. Mais voyez-vous je suis marié.
- Ne vous inquiétez pas je ne suis pas jalouse dit-elle en rigolant. Ce qu'il faut savoir, c'est si vous avez envie de moi ou pas.
- Bien, si je n'étais pas marié, je n'hésiterai pas une seconde.
- Pourquoi ne pas satisfaire cette envie dès maintenant. Je ne demande pas grand-chose, juste quelques billets en échange d’une pipe et de mon cul, là, vite fait dans les chiottes. Vous n'allez pas refuser quand même ? Ce serait dommage.
L’homme resta sans voix un moment, la gorge nouée, tiraillé entre la fidélité à sa femme et la proposition alléchante que lui faisait Natacha.
- Et euh… on parlerait de combien de billets exactement ?
- Je ne sais pas, qu'avez-vous sur vous ?
- Peut-être 100 €- Eh bien, pour une pipe et pour vous soulager dans mon cul ou ma bouche, je pense que c'est un prix raisonnable n'est-ce pas ?
- En effet je le pense aussi.
- Alors, je pars devant, je vous attends dans les chiottes.
Natacha se leva, traversa les quelques mètres qui menaient aux chiottes du train, mais de façon très sexy, jetant quelques coups d'œil en se retournant et souriant à l'homme, en espérant qu’il ne change pas d'avis au dernier moment.

Elle entra dans le chiotte, l'homme ne mit pas longtemps à la rejoindre, frappa à la porte, elle ouvrit. Il y avait peu de place, ils étaient collés l'un à l'autre, elle se mit dos à la porte. Elle regarda l'homme dans les yeux, lui demanda son dû, elle plia les billets et les cacha dans son soutien-gorge.
- Sors ta queue, lui dit-elle dans ton autoritaire.
L’homme s'exécuta sans un mot, il bandait déjà, certainement excité par la situation. Natacha prix sa queue dans sa main, commença à la branler doucement, l'homme était aux anges. Puis relevant légèrement sa jupe elle s'accroupit devant lui pour le sucer. Bouche ouverte devant sa queue, elle le faisait languir.
- Allez vas-y suce-moi salope, ne me fais pas attendre.
Mais Natacha reste impassible, continuant à le branler doucement, bouche ouverte, le regardant fixement.
- Aller… l'homme ne put finir sa phrase, car le coup de langue que Natacha venait de mettre sur son gland, lui envoya une onde de plaisir intense.
Elle mit un second coup de langue, puis un troisième, avant de faire glisser ses lèvres pulpeuses le long du manche tendu à l'extrême de l'homme. Elle allait et venait du gland jusqu'aux couilles enserrant bien fort sa bite entre ses lèvres, alternait de temps en temps avec une branlette et des coups de langue sur son gland, puis le repompait frénétiquement. En l'espace de deux minutes l'homme était déjà au bord de la jouissance. Ne voulant pas jouir tout de suite, il releva Natacha, la retourna, la plaqua contre la porte du chiotte. Il remonta sa jupe sur son petit cul si bandant, fit descendre son string à ses chevilles, puis entreprit de lui caresser la chatte déjà trempée d'excitation, enfonçant deux doigts dans son minou dégoulinant, récoltant le jus pour lubrifier son cul. Après l'avoir bien ouvert avec ses doigts, il posa son gland à l'entrée du fourreau serré.
- C'est ça que tu veux sale pute ?
- Oui, vas-y fourre moi le cul j'en ai trop envie, baise-moi comme la chienne que je suis.
Il s'enfonça d'un trait au fond de son cul serré et chaud dans un cri de plaisir commun.
Il la défonça littéralement, lui le souffle court et haletant, et Natacha dans des grands cris synchronisés avec des coups de queue qui la transperçaient et l'électrisaient à chaque va et vient. Natacha sentant venir l'homme, se retourna vers lui et lui dit avec un regard de salope.
- Où tu veux jouir ? Dans mon cul ? Dans ma bouche ou sur mon visage peut-être ? Dis-moi ?
- Aaah tu es vraiment une sale chienne, putain tu vas me faire venir. Aaaah oui j'arrive, viens me finir salope.
A ces mots, l'homme retira son dard turgescent du cul complètement ouvert de Natacha, la retourna et appuya sur ses épaules pour l’accroupir. Elle le branla énergiquement les yeux dans les yeux, l'homme au bord de l'explosion, puis dans un râle des jets puissants de foutre éclaboussèrent le visage de Natacha qui en avala un peu au passage.
- Aaaaaaaah tiens avale salope.
Elle continua à le branler et à lécher son gland jusqu'à la dernière goutte.
- Alors dis-moi tu prends autant de plaisir avec ta femme ?
- Non, c'est clair, mais toi tu es une vraie pute oui, on peut prendre que du plaisir avec toi.
L'homme remballa sa queue et une fois tous les deux rhabillés et présentable, ils sortirent des chiottes, allèrent s'asseoir à leurs places d'origines, sans d'autres mots échangés.

Natacha m’avoua que c’est à cet instant qu'elle décida devenir une pute. Nous nous quittions donc sur ce récit et nous donnâmes rendez-vous comme convenu le lendemain chez elle...

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Texte coquin : La Pute. 1/2
Histoire sexe : Une rose rouge
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