La pute 4
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
La pute 4
Comme tu le sens tu seras à la hauteur de la queue du mec. C’est réglable à l’avant comme à l’arrière. Deux mecs l’avaient rejoint, leurs shorts se soulevaient laissant voir les couilles. Une tache au niveau du gland montrait leur envie de se vider. Le premier n’a pas attendu pour soulever un pan du short et j’ai à peine aperçu le gland mais quand il a frotté entre mes fesses, j’ai senti que ce n’était pas le genre petite bite. Il a dû forcer pour me pénétrer malgré mon statut d’homo qui aime la queue. Je l’ai bien senti quand il a passé le gland. J’ai crié.
-Ouvre bien la bouche quand tu cries. Le deuxième avait baissé lui son short et devant moi, c’était presque une queue de poney qui se balançait. Il l’a fourré dans ma bouche étouffant mes cris. J’ai tenté de le repousser des mains mais Habib me les a menottées dans le dos. Chaque coup de reins dans me fesses faisait frotter ma queue raide sur le paillasson et me picotait tout le gland. Entre la gosse bite dans ma tronche et l’autre dans mes fesses je me remuais et chaque mouvement faisait frotter mon gland sur le paillasson. Quand ils se sont retirés j’ai eu un moment de répit mais c’était juste pour inverser les cotés et cette fois j’ai eu la queue de poney du mec dans le cul j’ai hurlé mais vite la bouche pleine de l’autre bite. J’ai crié dessus.
Rien ne les empêchait de continuer à me labourer. Enfin dans mon dos il a eu un frémissement et une fois retiré j’ai senti sa semence couler sur mes couilles. Habib a défait la sangle et passé la main sous ma queue.
-Tu as bavé comme une vraie chienne mais ne compte pas jouir encore.
Il avait entre les doigts une sorte de muselet comme sur les bouteilles de champagnes dans lequel il a engagé mon gland et le long de ma bite.
-Comme ça tu vas jouir un peu, genre goutte à goutte et rester excité pour la suite.
Il a remis la sangle serrant assez fort, je n’avais que le centre du ventre du nombril aux épaules qui touchait et pouvait tourner la tête librement avec le collier.
-Je suppose que tu connais les boules attachées japonaises ? Je vais profiter du moment où t’es bien ouvert pour en placer dans tes boyaux. La dernière est la plus grosse. Regarde-les.
En effet si les premières allaient entrer, la dernière allait tenir mon trou ouvert, la poignée pour retirer le total était courte après cette boule. Il a engagé la première et une à une elles m’ont pénétré, la dernière entrait mais juste et était retenue par les muscles de mes fesses. On devait la voir dépasser un peu.
-Tu vas me récompenser des soins que j’apporte au plaisir de tes fantasmes de soumis/esclave.
Il a dégagé son sexe, normal, que j’ai pompé avidement, il se retenait mais m’a lâché son jus sur la tronche l’étalant de la main.
-Tu auras un masque facial, les femmes payent pour se faire mettre de la boue, toi ce sera mon sperme. Il a eu un sourire.
Je reste comme ça ?
-Non je vais te détacher du tréteau et tu pourras enfiler un slip en plastique transparent et serré pour retenir tes boules dans les fesses. Pas de tissus devant bien sur il faut qu’on voie ta bite en permanence, juste des bretelles pour tout retenir. Tu garderas le collier et les mains attachées dans le dos sauf pour manger tout à l’heure.
Je vais manger ?
-Oui comme tout le monde mais sur un tabouret à un mètre du bout de table. L’assiette dans la main. Je suis sur que tu vas aimer que les mecs te voient bouffer et L’élastique fixé au slip que tu ne pourras pas t’empêcher de bander avec les boules dans les fesses.
Une fois debout j’ai senti les boules bouger et il a sorti le slip d’une armoire et il a dénoué les cordes de mes mains.
-Enfile le vite avant que la grosse boule tombe sinon je te file une raclée et ne te touche pas les fesses
Une fois enfilé il a passé la main et pris un élastique large qu’il a entouré de mes couilles. Et a passé les bretelles sur mes épaules avant de les attacher.
-Voilà on va sortir dans la cour le soleil tombe et il fait moins chaud.
Chaque marche d’escalier m’était pénible. Je sentais les boules bouger en moi, serrant comme je pouvais les fesses dessus, ça me donnait une démarche féminine. L’élastique fixé au slip retenait mes boules en arrière, je les serrais en même temps que les fesses pour ne pas lâcher la boule. En haut dans la cour le plus âgé était toujours sur son fauteuil et une table avait été dressée pour cinq mecs dont les deux qui avaient usé de moi et une chaise vide. A l’autre bout un tabouret seul et un peu éloigné de la table.
-Alors Éric, tu as apprécié mes étalons ?
Oui monsieur, je les sens encore.
-Assieds-toi sur le tabouret je vais t’expliquer le programme de cette nuit.
Je me suis assis doucement mes couilles appuyées sur le tabouret et les boules coincées. Chaque mouvement les faisait bouger et je ne pouvais m’empêcher de bander comme le maso que je devenais.
-Après manger Tonio ira en ville chercher les hommes qui ont appelés pour se vider les couilles. Pas plus de trois et les yeux bandés pour ne pas connaître le lieu où nous sommes. Ils n’auront à part leurs vêtements que l’argent du service que tu vas leur rendre. La plupart sont des hommes âgés et bandent mal. A toi de bien faire pour les aider. A la fin de la nuit tu auras un des étalons insatiables pour te démonter à t’en faire hurler comme une chatte en chaleur. Maintenant mange bien. Le poulet vient de ma ferme pas loin. Pas besoin de couvert, des doigts graisseux peuvent aider de vieux corps fatigués.
Tonio m’a tendu une cuisse de poulet bien grasse que j’ai dévorée, affamé. Puis du blanc avec la peau grasse et a fini en me tendant une crème mousseuse. J’ai remarqué que les autres n’avaient pas le même dessert. C’est le plus vieux qui en rigolant m’a averti que la crème contenait des hormones femelles.
-C’est bon pour toi.
-Ouvre bien la bouche quand tu cries. Le deuxième avait baissé lui son short et devant moi, c’était presque une queue de poney qui se balançait. Il l’a fourré dans ma bouche étouffant mes cris. J’ai tenté de le repousser des mains mais Habib me les a menottées dans le dos. Chaque coup de reins dans me fesses faisait frotter ma queue raide sur le paillasson et me picotait tout le gland. Entre la gosse bite dans ma tronche et l’autre dans mes fesses je me remuais et chaque mouvement faisait frotter mon gland sur le paillasson. Quand ils se sont retirés j’ai eu un moment de répit mais c’était juste pour inverser les cotés et cette fois j’ai eu la queue de poney du mec dans le cul j’ai hurlé mais vite la bouche pleine de l’autre bite. J’ai crié dessus.
Rien ne les empêchait de continuer à me labourer. Enfin dans mon dos il a eu un frémissement et une fois retiré j’ai senti sa semence couler sur mes couilles. Habib a défait la sangle et passé la main sous ma queue.
-Tu as bavé comme une vraie chienne mais ne compte pas jouir encore.
Il avait entre les doigts une sorte de muselet comme sur les bouteilles de champagnes dans lequel il a engagé mon gland et le long de ma bite.
-Comme ça tu vas jouir un peu, genre goutte à goutte et rester excité pour la suite.
Il a remis la sangle serrant assez fort, je n’avais que le centre du ventre du nombril aux épaules qui touchait et pouvait tourner la tête librement avec le collier.
-Je suppose que tu connais les boules attachées japonaises ? Je vais profiter du moment où t’es bien ouvert pour en placer dans tes boyaux. La dernière est la plus grosse. Regarde-les.
En effet si les premières allaient entrer, la dernière allait tenir mon trou ouvert, la poignée pour retirer le total était courte après cette boule. Il a engagé la première et une à une elles m’ont pénétré, la dernière entrait mais juste et était retenue par les muscles de mes fesses. On devait la voir dépasser un peu.
-Tu vas me récompenser des soins que j’apporte au plaisir de tes fantasmes de soumis/esclave.
Il a dégagé son sexe, normal, que j’ai pompé avidement, il se retenait mais m’a lâché son jus sur la tronche l’étalant de la main.
-Tu auras un masque facial, les femmes payent pour se faire mettre de la boue, toi ce sera mon sperme. Il a eu un sourire.
Je reste comme ça ?
-Non je vais te détacher du tréteau et tu pourras enfiler un slip en plastique transparent et serré pour retenir tes boules dans les fesses. Pas de tissus devant bien sur il faut qu’on voie ta bite en permanence, juste des bretelles pour tout retenir. Tu garderas le collier et les mains attachées dans le dos sauf pour manger tout à l’heure.
Je vais manger ?
-Oui comme tout le monde mais sur un tabouret à un mètre du bout de table. L’assiette dans la main. Je suis sur que tu vas aimer que les mecs te voient bouffer et L’élastique fixé au slip que tu ne pourras pas t’empêcher de bander avec les boules dans les fesses.
Une fois debout j’ai senti les boules bouger et il a sorti le slip d’une armoire et il a dénoué les cordes de mes mains.
-Enfile le vite avant que la grosse boule tombe sinon je te file une raclée et ne te touche pas les fesses
Une fois enfilé il a passé la main et pris un élastique large qu’il a entouré de mes couilles. Et a passé les bretelles sur mes épaules avant de les attacher.
-Voilà on va sortir dans la cour le soleil tombe et il fait moins chaud.
Chaque marche d’escalier m’était pénible. Je sentais les boules bouger en moi, serrant comme je pouvais les fesses dessus, ça me donnait une démarche féminine. L’élastique fixé au slip retenait mes boules en arrière, je les serrais en même temps que les fesses pour ne pas lâcher la boule. En haut dans la cour le plus âgé était toujours sur son fauteuil et une table avait été dressée pour cinq mecs dont les deux qui avaient usé de moi et une chaise vide. A l’autre bout un tabouret seul et un peu éloigné de la table.
-Alors Éric, tu as apprécié mes étalons ?
Oui monsieur, je les sens encore.
-Assieds-toi sur le tabouret je vais t’expliquer le programme de cette nuit.
Je me suis assis doucement mes couilles appuyées sur le tabouret et les boules coincées. Chaque mouvement les faisait bouger et je ne pouvais m’empêcher de bander comme le maso que je devenais.
-Après manger Tonio ira en ville chercher les hommes qui ont appelés pour se vider les couilles. Pas plus de trois et les yeux bandés pour ne pas connaître le lieu où nous sommes. Ils n’auront à part leurs vêtements que l’argent du service que tu vas leur rendre. La plupart sont des hommes âgés et bandent mal. A toi de bien faire pour les aider. A la fin de la nuit tu auras un des étalons insatiables pour te démonter à t’en faire hurler comme une chatte en chaleur. Maintenant mange bien. Le poulet vient de ma ferme pas loin. Pas besoin de couvert, des doigts graisseux peuvent aider de vieux corps fatigués.
Tonio m’a tendu une cuisse de poulet bien grasse que j’ai dévorée, affamé. Puis du blanc avec la peau grasse et a fini en me tendant une crème mousseuse. J’ai remarqué que les autres n’avaient pas le même dessert. C’est le plus vieux qui en rigolant m’a averti que la crème contenait des hormones femelles.
-C’est bon pour toi.
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