La pute de Monsieur C épisode 1
Récit érotique écrit par LilaLewis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La pute de Monsieur C épisode 1
Je m'étais pourtant juré qu'on ne m'y reprendrait plus. J'avais déjà trop aimé, trop souffert d'aimer, trop souffert autrefois pour ne pas me défier pour toujours d'impossibles amours. J'étais célibataire depuis quelques mois et heureuse de profiter d'une liberté retrouvée, sans entraves, sans contraintes, sans rien de ce qui avait fait le quotidien fastidieux des neuf années passées auprès d'un mari exigeant, dépressif, qui m'avait laissée frustrée tant il me signifiait une fin de non recevoir dès que se manifestait mon désir de lui.
Je n'étais pas en manque de sexe. Je me sentais comme anesthésiée, sortie hors de mon corps par des années d'abstinence. J'avais 32 ans, j'en paraissais moins, mon corps ferme, mes seins ronds, mes jambes longues et musclées, dessinées par la danse que je pratiquais alors intensivement... tout cela ne servait à personne ni à rien. A présent que je dormais seule, la nuit, pour m'endormir, je me caressais rapidement, sans réelle volupté, sans réelles images. Je me contentais d'une masturbation rapide qui ne servait qu'à hâter la venue d'un sommeil réparateur qui n'avait d'autre fonction que de m'apporter l'oubli.
En divorçant, il me fallait changer d'emploi. Conserver celui que A, mon ancien époux, m'avait fourni, dans l'agence où il officiait comme directeur artistique aurait été de mauvais goût. Je m'étais donc retrouvée privée de tout. Une amie me proposa de la remplacer comme assistante de direction dans une grande entreprise du BTP et j'acceptai avec joie tant j'étais pressée d'assumer enfin mon propre loyer et de m'évader de l'appartement que j'occupais encore avec mon ex-mari. L'entretien d'embauche fut simple et direct. On souhaitait une fille compétente, discrète, élégante, trilingue et maîtrisant parfaitement l'orthographe et la syntaxe, on vit mes diplômes, mes sept ans d'expérience de conceptrice-rédactrice dans une grande agence de communication parisienne, ma bonne présentation, classique, élégante et sans ostentation fit le reste. Je devins donc l'assistante de C, numéro 5 d'un groupe international qui officiait dans la construction de grands ensembles immobiliers.
Je n'aimais pas ce travail. C. était de la vieille école. La soixantaine, plutôt grand et bien bâti. Il avait grimpé les échelons un à un depuis la maîtrise d'œuvre jusqu'au presque sommet de la pyramide. Misogyne, il ne se gênait pas pour multiplier à dessein les plaisanteries de mauvais goût, le plus souvent à teneur sexuelle, qu'il faisait avec ses subordonnées non sans avoir reluqué abondamment ma silhouette de l'air de qui s'y connaît. Je m'appliquais à la tâche mais l'homme, corpulent et sûr de lui, tentait souvent d'encombrer le passage d'une porte juste au moment où je l'empruntais et mon corps, dans ces moments, frôlait le sien avec un rien de rejet qui n'avait rien à voir avec le désir.
Un soir que notre travail s'était prolongé et que nous étions tous les deux seuls, il se leva, contourna le large bureau cossu et vint se planter près de moi. Assise dans un fauteuil bas, je me retrouvai nez à nez avec une bosse énorme qui déformait le pantalon à hauteur de braguette. J'aurais dû fuir mais loin de là, je restai à contempler la bosse. Sans un mot, C appuya fermement à l'arrière de ma tête et mon visage vint frotter contre la proéminence dont je sentis l'odeur musquée à peine masquée par le tissu de qualité. C me relâcha aussitôt avec un sourire entendu. "Des bourgeoises comme toi, j'en ai baisé des centaines", me glissa-t-il à l'oreille. J’aurais dû fuir, le planter là et démissionner sur le champ mais au contraire, ses mots se glissèrent entre mes cuisses qui s’écartèrent subrepticement. Juste assez fort pour qu’il sente ce mouvement inconscient et y lise mon assentiment.
« Jamais tu n’as été traitée comme une chienne. » Ajouta-t-il. « Une petite chienne docile qui se laisse monter sans rien dire et qui ne jouit que si son maître l’y autorise. Je ferai de toi cette petite chienne-là. » Sans un mot de plus, il me fit lever de mon siège sans me toucher davantage. Le lendemain, je devais revenir, m’ordonna-t-il, sans rien porter sous ma jupe d’autre que des bas retenus par des porte-jarretelles dont il recommanda un modèle que j’irais me procurer dans un magasin spécialisé dans la lingerie érotique où il avait ses habitudes. Il glissa rapidement quelques billets dans ma main, pressa mon sein droit fortement et me congédia dans l’instant.
Ma vulve était gonflée, douloureuse presque. Je n’avais pas ressenti pareille excitation depuis les premiers temps de mon mariage. La frustration endurée auprès de ce mari abstinent m’avait rendue perméable à toutes les aventures et ce sexagénaire ventripotent venait de me prouver que je n’avais qu’une envie : que n’importe qui me prenne, me fasse jouir et redonne vie à ce sexe laissé en jachère depuis trop d’années.
Je sortis, comme il me l’avait ordonné, pour aller chercher les sous-vêtements recommandés. Je me vis bientôt harnachée dans un dispositif audacieux, noir et rouge, dont le soutien-gorge laissait les têtons à découvert et le serre-taille soulignait la courbe des fesses tout en offrant le sexe à la vue.
Le lendemain matin, je revêtis sur cet attirail, une jupe stricte mais assez souple pour permettre qu’on la trousse, un chemisier de soie grège de bon ton mais qui laissait voir, grâce à la finesse de l’étoffe, deux têtons dressés, dont j’oubliais sciemment de boutonner les deux derniers boutons afin que l’on voit la naissance des seins et qu’on ait envie d’y plonger le regard. Contrairement à mon habitude, je décidais de porter mes talons les plus hauts. Mon mètre soixante-quinze poussé vers le haut de 10 centimètres de plus, je me sentis royale en poussant la porte du bureau de C.
Guère impressionné, l’homme me demanda de rester au milieu de la pièce, à quelques mètres de lui. Je devais rester debout, jambes légèrement écartées et remonter ma jupe. J’exhibais ainsi le porte-jarretelle neuf qui encadrait une chatte épilée de frais pour l’occasion. C poussa sa chaise à roulettes vers moi. Sa braguette était ouverte. Sans cesser de sourire, il en sortit un sexe turgescent, effrayant de diamètre et de longueur. Il glissa une main distraite sur mon sexe, en approuvant le galbe et, constatant sa douceur, tira sur les lèvres un coup sec qui me fit perdre de ma superbe.
- A genoux !
Me dit-il. Et je m’exécutais aussitôt trop contente d’être bientôt la proie de cette bite énorme et dure qui me faisait envie. Tirant et caressant le sexe herculéen et se servant de ses talons pour diriger son siège, C fondit sur moi. M’ouvrant la bouche au moyen de deux doigts, il planta son sexe au fond de ma gorge. Je suffoquais tout d’abord mais l’excitation fut la plus forte et je me mis à lécher le gland, la tige et les couilles avec avidité. C me tenait par les cheveux et poussait sa verge dans ma bouche en m’insultant. « Suce-moi salope ! » Disait-il en me tenant par les cheveux. Et la salope en moi se précipitait de plus belle pour avaler, sucer, englober le gland magistral, lécher les couilles volumineuses et poilues, rugueuses, qui me donnaient l’impression de promener ma langue sur du papier de verre. Goulûment, je têtais, suçais, léchais, je m’emplissais le plus profondément possible de cette queue en espérant qu’il finirait par me prendre. J’en voulais plus et plus encore. Sentant mon désir, il se mit à se caresser tout en tenant ma tête collée sur son bas-ventre si bien que j’étouffais à en défaillir. « Tu vas me faire jouir salope ! » dit-il avant de se redresser et de me jeter brutalement en travers du bureau dont il balaya le contenu d’un revers de main. Tenant toujours mes cheveux et les tirant à m’en sortir des larmes, il remonta de l’autre main ma jupe, découvrant mon cul musclé et bronzé et, sans prévenir, m’assena une claque bruyante qui m’arracha un cri.
Je tentai de me débattre : la douleur était forte. C avait la force de ceux qui ont toute leur vie trimé à des tâches difficiles et je ne pouvais rien contre le désir qu’il avait de me punir. Ecartant mes jambes d’un coup de genoux habile entre les cuisses, il réitéra la fessée mais cette fois plus près de mon entrejambe. Je gémis de plaisir. Encouragé par ma réaction et me tenant toujours par les cheveux, il m’assena une seconde claque plus forte que la première. Je sentis le foutre se répandre à l’intérieur de mes cuisses. Je ne pouvais cacher que cet homme, de trente ans mon aîné, en me traitant comme une moins que rien, une servante, pas même une servante, une chienne, étant en train de me donner du plaisir comme jamais je n’en avais pris. Cette fessée, alternée de caresse appuyées et rudes contre mon entrejambe inondait l’intérieur de mes cuisses d’un jus chaud et poisseux. Je ne résistais plus. « Encore ! » Priais-je avec humilité. « Oh tu vas être une salope, une putain, une chienne magnifique ! » s’exclama-t-il avec joie. Aussitôt, je fus assaillie par sa queue. Tout en distribuant les claques sur mon cul désormais rougi, il me pénétra soudainement et avec force. Son gland se fraya aisément un passage dans une vulve trempée et prête à l’accueillir. Je tendis mes fesses vers lui. Je me cambrais et je me mis à gémir. Il glissa dans ma bouche un mors pour étouffer les cris et m’obliger à me cambrer davantage : sa ceinture de cuir pliée. Sa queue me labourait, entrait profondément en moi. Je voulais hurler d’un plaisir mêlé de douleur et la ceinture tirait ma bouche en arrière, forçait mes mouvements, me contraignant au silence. J’étais au bord de l’explosion. Mes cuisses trempées en témoignaient. Enfin, je sentis que je venais. Je laissais exploser un plaisir inouï, sans retenue que mon désormais maître accueilli d’une gifle. J’avais joui sans sa permission. Dorénavant, il me faudrait attendre son ordre et ne pas me laisser aller à moins qu’il ne me l’ait signifié.
Ma punition fut sévère. Je fus condamnée à tenir toute la matinée, chemisier ouvert sur mes têtons dressés pressés dans l’étrange soutien-gorge acheté la veille et jupe relevé révélant ma chatte, mains sur la tête et jambes écartées à côté de son bureau. Toute la journée, les secrétaires et les visiteurs purent me contempler dans ma déchéance. Les plus audacieux, hommes comme femmes, n’hésitaient pas à glisser un doigt ou deux dans ma fente ou dans ma bouche. On me gifla avec gentillesse. On pinça mes seins avec sévérité. On moqua la mouille qui lustrait l’intérieur de mes cuisses.
Mais pour tous, maintenant, j’étais la pute de Monsieur C et je n’étais qu’au début de mes aventures.
Je n'étais pas en manque de sexe. Je me sentais comme anesthésiée, sortie hors de mon corps par des années d'abstinence. J'avais 32 ans, j'en paraissais moins, mon corps ferme, mes seins ronds, mes jambes longues et musclées, dessinées par la danse que je pratiquais alors intensivement... tout cela ne servait à personne ni à rien. A présent que je dormais seule, la nuit, pour m'endormir, je me caressais rapidement, sans réelle volupté, sans réelles images. Je me contentais d'une masturbation rapide qui ne servait qu'à hâter la venue d'un sommeil réparateur qui n'avait d'autre fonction que de m'apporter l'oubli.
En divorçant, il me fallait changer d'emploi. Conserver celui que A, mon ancien époux, m'avait fourni, dans l'agence où il officiait comme directeur artistique aurait été de mauvais goût. Je m'étais donc retrouvée privée de tout. Une amie me proposa de la remplacer comme assistante de direction dans une grande entreprise du BTP et j'acceptai avec joie tant j'étais pressée d'assumer enfin mon propre loyer et de m'évader de l'appartement que j'occupais encore avec mon ex-mari. L'entretien d'embauche fut simple et direct. On souhaitait une fille compétente, discrète, élégante, trilingue et maîtrisant parfaitement l'orthographe et la syntaxe, on vit mes diplômes, mes sept ans d'expérience de conceptrice-rédactrice dans une grande agence de communication parisienne, ma bonne présentation, classique, élégante et sans ostentation fit le reste. Je devins donc l'assistante de C, numéro 5 d'un groupe international qui officiait dans la construction de grands ensembles immobiliers.
Je n'aimais pas ce travail. C. était de la vieille école. La soixantaine, plutôt grand et bien bâti. Il avait grimpé les échelons un à un depuis la maîtrise d'œuvre jusqu'au presque sommet de la pyramide. Misogyne, il ne se gênait pas pour multiplier à dessein les plaisanteries de mauvais goût, le plus souvent à teneur sexuelle, qu'il faisait avec ses subordonnées non sans avoir reluqué abondamment ma silhouette de l'air de qui s'y connaît. Je m'appliquais à la tâche mais l'homme, corpulent et sûr de lui, tentait souvent d'encombrer le passage d'une porte juste au moment où je l'empruntais et mon corps, dans ces moments, frôlait le sien avec un rien de rejet qui n'avait rien à voir avec le désir.
Un soir que notre travail s'était prolongé et que nous étions tous les deux seuls, il se leva, contourna le large bureau cossu et vint se planter près de moi. Assise dans un fauteuil bas, je me retrouvai nez à nez avec une bosse énorme qui déformait le pantalon à hauteur de braguette. J'aurais dû fuir mais loin de là, je restai à contempler la bosse. Sans un mot, C appuya fermement à l'arrière de ma tête et mon visage vint frotter contre la proéminence dont je sentis l'odeur musquée à peine masquée par le tissu de qualité. C me relâcha aussitôt avec un sourire entendu. "Des bourgeoises comme toi, j'en ai baisé des centaines", me glissa-t-il à l'oreille. J’aurais dû fuir, le planter là et démissionner sur le champ mais au contraire, ses mots se glissèrent entre mes cuisses qui s’écartèrent subrepticement. Juste assez fort pour qu’il sente ce mouvement inconscient et y lise mon assentiment.
« Jamais tu n’as été traitée comme une chienne. » Ajouta-t-il. « Une petite chienne docile qui se laisse monter sans rien dire et qui ne jouit que si son maître l’y autorise. Je ferai de toi cette petite chienne-là. » Sans un mot de plus, il me fit lever de mon siège sans me toucher davantage. Le lendemain, je devais revenir, m’ordonna-t-il, sans rien porter sous ma jupe d’autre que des bas retenus par des porte-jarretelles dont il recommanda un modèle que j’irais me procurer dans un magasin spécialisé dans la lingerie érotique où il avait ses habitudes. Il glissa rapidement quelques billets dans ma main, pressa mon sein droit fortement et me congédia dans l’instant.
Ma vulve était gonflée, douloureuse presque. Je n’avais pas ressenti pareille excitation depuis les premiers temps de mon mariage. La frustration endurée auprès de ce mari abstinent m’avait rendue perméable à toutes les aventures et ce sexagénaire ventripotent venait de me prouver que je n’avais qu’une envie : que n’importe qui me prenne, me fasse jouir et redonne vie à ce sexe laissé en jachère depuis trop d’années.
Je sortis, comme il me l’avait ordonné, pour aller chercher les sous-vêtements recommandés. Je me vis bientôt harnachée dans un dispositif audacieux, noir et rouge, dont le soutien-gorge laissait les têtons à découvert et le serre-taille soulignait la courbe des fesses tout en offrant le sexe à la vue.
Le lendemain matin, je revêtis sur cet attirail, une jupe stricte mais assez souple pour permettre qu’on la trousse, un chemisier de soie grège de bon ton mais qui laissait voir, grâce à la finesse de l’étoffe, deux têtons dressés, dont j’oubliais sciemment de boutonner les deux derniers boutons afin que l’on voit la naissance des seins et qu’on ait envie d’y plonger le regard. Contrairement à mon habitude, je décidais de porter mes talons les plus hauts. Mon mètre soixante-quinze poussé vers le haut de 10 centimètres de plus, je me sentis royale en poussant la porte du bureau de C.
Guère impressionné, l’homme me demanda de rester au milieu de la pièce, à quelques mètres de lui. Je devais rester debout, jambes légèrement écartées et remonter ma jupe. J’exhibais ainsi le porte-jarretelle neuf qui encadrait une chatte épilée de frais pour l’occasion. C poussa sa chaise à roulettes vers moi. Sa braguette était ouverte. Sans cesser de sourire, il en sortit un sexe turgescent, effrayant de diamètre et de longueur. Il glissa une main distraite sur mon sexe, en approuvant le galbe et, constatant sa douceur, tira sur les lèvres un coup sec qui me fit perdre de ma superbe.
- A genoux !
Me dit-il. Et je m’exécutais aussitôt trop contente d’être bientôt la proie de cette bite énorme et dure qui me faisait envie. Tirant et caressant le sexe herculéen et se servant de ses talons pour diriger son siège, C fondit sur moi. M’ouvrant la bouche au moyen de deux doigts, il planta son sexe au fond de ma gorge. Je suffoquais tout d’abord mais l’excitation fut la plus forte et je me mis à lécher le gland, la tige et les couilles avec avidité. C me tenait par les cheveux et poussait sa verge dans ma bouche en m’insultant. « Suce-moi salope ! » Disait-il en me tenant par les cheveux. Et la salope en moi se précipitait de plus belle pour avaler, sucer, englober le gland magistral, lécher les couilles volumineuses et poilues, rugueuses, qui me donnaient l’impression de promener ma langue sur du papier de verre. Goulûment, je têtais, suçais, léchais, je m’emplissais le plus profondément possible de cette queue en espérant qu’il finirait par me prendre. J’en voulais plus et plus encore. Sentant mon désir, il se mit à se caresser tout en tenant ma tête collée sur son bas-ventre si bien que j’étouffais à en défaillir. « Tu vas me faire jouir salope ! » dit-il avant de se redresser et de me jeter brutalement en travers du bureau dont il balaya le contenu d’un revers de main. Tenant toujours mes cheveux et les tirant à m’en sortir des larmes, il remonta de l’autre main ma jupe, découvrant mon cul musclé et bronzé et, sans prévenir, m’assena une claque bruyante qui m’arracha un cri.
Je tentai de me débattre : la douleur était forte. C avait la force de ceux qui ont toute leur vie trimé à des tâches difficiles et je ne pouvais rien contre le désir qu’il avait de me punir. Ecartant mes jambes d’un coup de genoux habile entre les cuisses, il réitéra la fessée mais cette fois plus près de mon entrejambe. Je gémis de plaisir. Encouragé par ma réaction et me tenant toujours par les cheveux, il m’assena une seconde claque plus forte que la première. Je sentis le foutre se répandre à l’intérieur de mes cuisses. Je ne pouvais cacher que cet homme, de trente ans mon aîné, en me traitant comme une moins que rien, une servante, pas même une servante, une chienne, étant en train de me donner du plaisir comme jamais je n’en avais pris. Cette fessée, alternée de caresse appuyées et rudes contre mon entrejambe inondait l’intérieur de mes cuisses d’un jus chaud et poisseux. Je ne résistais plus. « Encore ! » Priais-je avec humilité. « Oh tu vas être une salope, une putain, une chienne magnifique ! » s’exclama-t-il avec joie. Aussitôt, je fus assaillie par sa queue. Tout en distribuant les claques sur mon cul désormais rougi, il me pénétra soudainement et avec force. Son gland se fraya aisément un passage dans une vulve trempée et prête à l’accueillir. Je tendis mes fesses vers lui. Je me cambrais et je me mis à gémir. Il glissa dans ma bouche un mors pour étouffer les cris et m’obliger à me cambrer davantage : sa ceinture de cuir pliée. Sa queue me labourait, entrait profondément en moi. Je voulais hurler d’un plaisir mêlé de douleur et la ceinture tirait ma bouche en arrière, forçait mes mouvements, me contraignant au silence. J’étais au bord de l’explosion. Mes cuisses trempées en témoignaient. Enfin, je sentis que je venais. Je laissais exploser un plaisir inouï, sans retenue que mon désormais maître accueilli d’une gifle. J’avais joui sans sa permission. Dorénavant, il me faudrait attendre son ordre et ne pas me laisser aller à moins qu’il ne me l’ait signifié.
Ma punition fut sévère. Je fus condamnée à tenir toute la matinée, chemisier ouvert sur mes têtons dressés pressés dans l’étrange soutien-gorge acheté la veille et jupe relevé révélant ma chatte, mains sur la tête et jambes écartées à côté de son bureau. Toute la journée, les secrétaires et les visiteurs purent me contempler dans ma déchéance. Les plus audacieux, hommes comme femmes, n’hésitaient pas à glisser un doigt ou deux dans ma fente ou dans ma bouche. On me gifla avec gentillesse. On pinça mes seins avec sévérité. On moqua la mouille qui lustrait l’intérieur de mes cuisses.
Mais pour tous, maintenant, j’étais la pute de Monsieur C et je n’étais qu’au début de mes aventures.
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