La pute thaï - Sous mes mains, il s’écroule

Récit érotique écrit par Passions_secrètes [→ Accès à sa fiche auteur]
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La pute thaï - Sous mes mains, il s’écroule
Je m’appelle Nira, et ce salon, c’est ma cage dorée. Une ruelle paumée en France, des murs qui suintent l’humidité sous une couche de peinture écaillée, une odeur de jasmin cheap qui se bat avec la crasse. Les bougies crépitent, leur lumière jaune éclaire à peine la table usée où je passe mes jours. Mais c’est lui qui me fait tenir. Le gendarme. Il débarque chaque semaine, grand, massif, ses épaules carrées tendues sous une chemise qu’il plie avec soin avant de la poser sur la chaise. Il dit rien, ou presque – un “salut” râpé, un regard noir qui me transperce – mais je sais qu’il kiffe ce que je lui fais. Moi, je sais pas si je kiffe ou si je me noie.
Tout a commencé il y a un bail, presque un an je crois. Un massage nu, mes mains abîmées glissant sur sa peau, chaude, salée, les muscles durs d’un mec qui porte un flingue toute la journée. J’ai grandi dans un bled près de Chiang Mai, appris à pétrir les corps pour les guérir, mais à Bangkok, j’ai vu l’envers : des néons qui piquent les yeux, des types qui payent pour vider leurs couilles. En France, je voulais tirer un trait là-dessus, redevenir quelqu’un. Et puis, avec lui, j’ai replongé. Un jour, sans calculer, ma main a glissé plus bas. J’ai empoigné sa queue, raide, brûlante sous mes doigts, et j’ai serré. Il a lâché un grognement, un truc qui m’a secouée jusqu’aux os, et il m’a laissée faire. Alors, j’ai pas arrêté.
Maintenant, c’est notre routine, un rituel qui pue le secret. Il entre, se fout à poil sans un mot, et je le fais mettre à quatre pattes sur la table. Sa peau sent la sueur d’un mec qui a bossé, un mélange de savon râpeux et de virilité brute qui me colle au nez. Je prends l’huile – une merde visqueuse qui sent le plastique – et j’en tartine mes mains, ses fesses. Elles sont lourdes, fermes, et je les écarte d’un coup sec. Mon doigt trouve son trou, chaud, serré comme une vierge, et je pousse, d’abord léger, puis je force, deux doigts qui l’ouvrent, qui le fouillent. Il râle, un son de gorge qui me fait mouiller malgré moi, et je sens ma chatte pulser sous ma jupe. Je chope sa queue avec l’autre main – grosse, veinée, déjà gluante au bout – et je le branle, fort, mes ongles qui raclent sa peau, l’huile qui claque entre mes doigts. Il jouit comme un porc, son foutre gicle sur la table, épais, brûlant, et il tremble, ses poings crispés, son cul qui se contracte autour de mes doigts. Je le regarde s’effondrer, et je me sens puissante, presque sale, mais vivante.
Pourquoi j’ai fait ça au début ? Il m’a jamais rien demandé. Peut-être que je voulais le briser, ce gendarme avec sa tronche sérieuse et son silence de marbre. En Thaïlande, les mecs comme lui me faisaient fermer ma gueule, me plier. Ici, je le tiens, je le fais plier, et ça me fait bander dans ma tête. Mais y a plus que ça. Je veux le voir craquer, vraiment craquer – pas juste jouir, mais s’abandonner, me supplier, me donner tout ce qu’il cache sous son uniforme. Je veux qu’il me baise, qu’il me remplisse, qu’il me fasse hurler jusqu’à ce que je puisse plus penser.
Un soir, après une séance où il a râlé comme un chien en rut, où ses hanches ont cogné mes mains comme s’il voulait que je le démonte, j’ai lâché un truc sans réfléchir. “Je vais à Paris la semaine prochaine,” j’ai dit, la voix cassée, les joues en feu. “On pourrait… à l’hôtel, peut-être ?” Il m’a fixée, ses yeux plissés comme s’il cherchait un piège, et il a marmonné un “ouais” avant de se casser. Mon cœur tapait trop fort, mes mains tremblaient. Paris, une chambre, lui et moi – je voyais tout : sa queue dans ma gorge, son cul qui s’ouvre sous mes doigts, nos corps qui puent le sexe et la sueur dans un lit qui craque. Je voulais le baiser jusqu’à ce qu’il oublie son nom, jusqu’à ce que je sois plus qu’une masseuse dans sa tête.
Mais après, j’ai su. Un gars du salon, un Français avec sa grande gueule, a lâché qu’il avait une femme. Une meuf quelque part, une vie rangée, peut-être des mômes. Ça m’a cognée en plein ventre. En Thaïlande, tromper, c’est la merde – un truc qui te colle au karma, qui te fait payer cher. Même ici, où tout le monde s’en branle, ça me fout les jetons. Et s’il dit non ? Je perds un client, mon meilleur. Et s’il dit oui, et que ça part en vrille ? Sa femme qui gueule, lui qui disparaît, moi qui reste seule avec mes rêves tordus. J’ai pas reparlé de l’hôtel, mais ça me hante, ça me bouffe les tripes.
Cette nuit-là, seule dans mon lit qui sent le moisi et la lessive rance, je ferme les yeux et je me laisse aller. La chambre d’hôtel est crade, un luxe de façade avec des rideaux rouges qui puent la clope froide, des néons de Paris qui clignotent dehors comme une promesse cassée. Je suis là, en string noir trempé, mes seins lourds qui débordent d’un soutif trop petit, ma peau luisante de sueur et d’envie. Il entre, son blouson en cuir jeté sur une chaise bancale, et il me mate comme un loup prêt à bouffer. Je m’approche, mes mains claquent sur son torse, et je le pousse sur le lit, mes ongles qui s’enfoncent dans sa chemise. “Fous-toi à poil, connard,” je grogne en thaï, et il obéit, son jean qui tombe avec un bruit sourd, son boxer qui dégage, sa queue qui se dresse, épaisse, rouge, déjà suintante.
Il se met à quatre pattes, son cul en l’air comme une offrande, et je me fous derrière lui. J’ouvre une bouteille d’huile – un truc chimique qui pue le pétrole – et j’en balance partout, sur ses fesses, sur mes doigts, sur sa raie qui brille sous la lumière. Je l’écarte brutalement, mes mains qui tremblent d’excitation, et je plonge – deux doigts d’un coup, bien au fond, jusqu’à ce que je sente sa prostate, ce point qui le fait chialer de plaisir. Il hurle, un “putain” rauque qui me déchire, et je le branle en même temps, ma main serrée sur sa queue, mes doigts qui glissent dans son foutre précoce, mes ongles qui le labourent. Je sens chaque veine sous ma paume, chaque pulsation, et ma chatte dégouline, un vide qui me hurle de le prendre. Je sors un vibro – un truc noir, cheap, acheté en pensant à lui – et je l’enfonce, brutal, jusqu’à ce qu’il gueule, son cul qui se resserre, ses couilles qui se crispent. Je le pompe avec ma main, je sens son gland gonfler, prêt à exploser, et l’odeur de sa sueur, de son sexe, me prend à la gorge comme un coup de poing.
Mais je veux plus, je veux tout. Je balance mon string, trempé, puant mon envie, et je me fous à poil, mes seins qui tombent, mes tétons durs qui me font mal tellement je le veux. Je me colle à lui, ma chatte mouillée qui frotte son dos, mes cuisses qui tremblent contre sa peau brûlante. Je mords sa nuque, je lèche le sel de sa sueur, et je grogne en thaï : “T’es ma pute ce soir.” Il se retourne, me chope par les hanches, et me jette sur le lit comme une poupée. Ses mains, calleuses, puantes l’essence et la poudre, s’enfoncent dans ma chatte – trois doigts direct, qui m’écartent, qui me fouillent, et je hurle, trempée, mes cuisses qui claquent sous ses coups. Je sens chaque phalange, chaque pression, et ma chatte pulse, un vide qui me rend folle. Il m’embrasse, sa langue qui force ma bouche, un goût de clope froide et de bière aigre, et je le griffe, mes ongles qui déchirent son dos, qui marquent sa peau.
Il me soulève, me fout à quatre pattes, et il me prend – sa queue qui cogne, qui me déchire, un coup sec qui me coupe le souffle. Je sens chaque centimètre, chaque veine qui frotte mes parois, et je hurle, mes seins qui balancent, mes cuisses qui brûlent. L’odeur de nos corps – huile rance, sueur acide, sexe cru – me gave les poumons, et je jouis, un spasme qui me casse en deux, ma chatte qui se serre autour de lui. Il me retourne, me plaque sur le dos, et je le regarde me baiser, ses yeux fous, sa queue qui va et vient, mes cuisses écartées qui tremblent sous ses coups. Je sens son gland taper au fond, ses couilles qui claquent contre moi, et je veux qu’il me remplisse, qu’il me noie. Il grogne, “t’es une salope,” et je jouis encore, mes doigts crispés sur ses bras, mes ongles dans sa chair, pendant qu’il explose, son foutre qui gicle en moi, chaud, épais, un flot qui me brûle de l’intérieur. On s’effondre, collés, puants, le lit trempé de sueur, d’huile et de nos jus mélangés, ma chatte qui palpite encore, son souffle qui râpe contre mon cou.
Dans ma tête, je veux plus. Je veux qu’il me prenne encore, qu’il me foute sur le ventre et me baise le cul, qu’il me fasse mal jusqu’à ce que je pleure, qu’il me force à le sucer jusqu’à ce que je m’étouffe avec son foutre. Je veux qu’il me dise qu’il me veut, qu’il largue sa meuf, qu’il me garde comme sa chienne. Mais là, elle arrive. Sa femme. Une ombre qui pleure, une voix qui gueule, et mon rêve se barre en couilles. J’ouvre les yeux, seule, ma main enfoncée entre mes cuisses, mes doigts trempés de ma mouille, ma culotte qui pue mon envie. Je respire comme une dingue, le cœur en vrac, la gorge sèche. Je peux pas faire ça. Pas à Paris, pas à l’hôtel, pas avec lui. Il est marié, et moi, je suis juste une pute qui rêve de trop.
Tout a commencé il y a un bail, presque un an je crois. Un massage nu, mes mains abîmées glissant sur sa peau, chaude, salée, les muscles durs d’un mec qui porte un flingue toute la journée. J’ai grandi dans un bled près de Chiang Mai, appris à pétrir les corps pour les guérir, mais à Bangkok, j’ai vu l’envers : des néons qui piquent les yeux, des types qui payent pour vider leurs couilles. En France, je voulais tirer un trait là-dessus, redevenir quelqu’un. Et puis, avec lui, j’ai replongé. Un jour, sans calculer, ma main a glissé plus bas. J’ai empoigné sa queue, raide, brûlante sous mes doigts, et j’ai serré. Il a lâché un grognement, un truc qui m’a secouée jusqu’aux os, et il m’a laissée faire. Alors, j’ai pas arrêté.
Maintenant, c’est notre routine, un rituel qui pue le secret. Il entre, se fout à poil sans un mot, et je le fais mettre à quatre pattes sur la table. Sa peau sent la sueur d’un mec qui a bossé, un mélange de savon râpeux et de virilité brute qui me colle au nez. Je prends l’huile – une merde visqueuse qui sent le plastique – et j’en tartine mes mains, ses fesses. Elles sont lourdes, fermes, et je les écarte d’un coup sec. Mon doigt trouve son trou, chaud, serré comme une vierge, et je pousse, d’abord léger, puis je force, deux doigts qui l’ouvrent, qui le fouillent. Il râle, un son de gorge qui me fait mouiller malgré moi, et je sens ma chatte pulser sous ma jupe. Je chope sa queue avec l’autre main – grosse, veinée, déjà gluante au bout – et je le branle, fort, mes ongles qui raclent sa peau, l’huile qui claque entre mes doigts. Il jouit comme un porc, son foutre gicle sur la table, épais, brûlant, et il tremble, ses poings crispés, son cul qui se contracte autour de mes doigts. Je le regarde s’effondrer, et je me sens puissante, presque sale, mais vivante.
Pourquoi j’ai fait ça au début ? Il m’a jamais rien demandé. Peut-être que je voulais le briser, ce gendarme avec sa tronche sérieuse et son silence de marbre. En Thaïlande, les mecs comme lui me faisaient fermer ma gueule, me plier. Ici, je le tiens, je le fais plier, et ça me fait bander dans ma tête. Mais y a plus que ça. Je veux le voir craquer, vraiment craquer – pas juste jouir, mais s’abandonner, me supplier, me donner tout ce qu’il cache sous son uniforme. Je veux qu’il me baise, qu’il me remplisse, qu’il me fasse hurler jusqu’à ce que je puisse plus penser.
Un soir, après une séance où il a râlé comme un chien en rut, où ses hanches ont cogné mes mains comme s’il voulait que je le démonte, j’ai lâché un truc sans réfléchir. “Je vais à Paris la semaine prochaine,” j’ai dit, la voix cassée, les joues en feu. “On pourrait… à l’hôtel, peut-être ?” Il m’a fixée, ses yeux plissés comme s’il cherchait un piège, et il a marmonné un “ouais” avant de se casser. Mon cœur tapait trop fort, mes mains tremblaient. Paris, une chambre, lui et moi – je voyais tout : sa queue dans ma gorge, son cul qui s’ouvre sous mes doigts, nos corps qui puent le sexe et la sueur dans un lit qui craque. Je voulais le baiser jusqu’à ce qu’il oublie son nom, jusqu’à ce que je sois plus qu’une masseuse dans sa tête.
Mais après, j’ai su. Un gars du salon, un Français avec sa grande gueule, a lâché qu’il avait une femme. Une meuf quelque part, une vie rangée, peut-être des mômes. Ça m’a cognée en plein ventre. En Thaïlande, tromper, c’est la merde – un truc qui te colle au karma, qui te fait payer cher. Même ici, où tout le monde s’en branle, ça me fout les jetons. Et s’il dit non ? Je perds un client, mon meilleur. Et s’il dit oui, et que ça part en vrille ? Sa femme qui gueule, lui qui disparaît, moi qui reste seule avec mes rêves tordus. J’ai pas reparlé de l’hôtel, mais ça me hante, ça me bouffe les tripes.
Cette nuit-là, seule dans mon lit qui sent le moisi et la lessive rance, je ferme les yeux et je me laisse aller. La chambre d’hôtel est crade, un luxe de façade avec des rideaux rouges qui puent la clope froide, des néons de Paris qui clignotent dehors comme une promesse cassée. Je suis là, en string noir trempé, mes seins lourds qui débordent d’un soutif trop petit, ma peau luisante de sueur et d’envie. Il entre, son blouson en cuir jeté sur une chaise bancale, et il me mate comme un loup prêt à bouffer. Je m’approche, mes mains claquent sur son torse, et je le pousse sur le lit, mes ongles qui s’enfoncent dans sa chemise. “Fous-toi à poil, connard,” je grogne en thaï, et il obéit, son jean qui tombe avec un bruit sourd, son boxer qui dégage, sa queue qui se dresse, épaisse, rouge, déjà suintante.
Il se met à quatre pattes, son cul en l’air comme une offrande, et je me fous derrière lui. J’ouvre une bouteille d’huile – un truc chimique qui pue le pétrole – et j’en balance partout, sur ses fesses, sur mes doigts, sur sa raie qui brille sous la lumière. Je l’écarte brutalement, mes mains qui tremblent d’excitation, et je plonge – deux doigts d’un coup, bien au fond, jusqu’à ce que je sente sa prostate, ce point qui le fait chialer de plaisir. Il hurle, un “putain” rauque qui me déchire, et je le branle en même temps, ma main serrée sur sa queue, mes doigts qui glissent dans son foutre précoce, mes ongles qui le labourent. Je sens chaque veine sous ma paume, chaque pulsation, et ma chatte dégouline, un vide qui me hurle de le prendre. Je sors un vibro – un truc noir, cheap, acheté en pensant à lui – et je l’enfonce, brutal, jusqu’à ce qu’il gueule, son cul qui se resserre, ses couilles qui se crispent. Je le pompe avec ma main, je sens son gland gonfler, prêt à exploser, et l’odeur de sa sueur, de son sexe, me prend à la gorge comme un coup de poing.
Mais je veux plus, je veux tout. Je balance mon string, trempé, puant mon envie, et je me fous à poil, mes seins qui tombent, mes tétons durs qui me font mal tellement je le veux. Je me colle à lui, ma chatte mouillée qui frotte son dos, mes cuisses qui tremblent contre sa peau brûlante. Je mords sa nuque, je lèche le sel de sa sueur, et je grogne en thaï : “T’es ma pute ce soir.” Il se retourne, me chope par les hanches, et me jette sur le lit comme une poupée. Ses mains, calleuses, puantes l’essence et la poudre, s’enfoncent dans ma chatte – trois doigts direct, qui m’écartent, qui me fouillent, et je hurle, trempée, mes cuisses qui claquent sous ses coups. Je sens chaque phalange, chaque pression, et ma chatte pulse, un vide qui me rend folle. Il m’embrasse, sa langue qui force ma bouche, un goût de clope froide et de bière aigre, et je le griffe, mes ongles qui déchirent son dos, qui marquent sa peau.
Il me soulève, me fout à quatre pattes, et il me prend – sa queue qui cogne, qui me déchire, un coup sec qui me coupe le souffle. Je sens chaque centimètre, chaque veine qui frotte mes parois, et je hurle, mes seins qui balancent, mes cuisses qui brûlent. L’odeur de nos corps – huile rance, sueur acide, sexe cru – me gave les poumons, et je jouis, un spasme qui me casse en deux, ma chatte qui se serre autour de lui. Il me retourne, me plaque sur le dos, et je le regarde me baiser, ses yeux fous, sa queue qui va et vient, mes cuisses écartées qui tremblent sous ses coups. Je sens son gland taper au fond, ses couilles qui claquent contre moi, et je veux qu’il me remplisse, qu’il me noie. Il grogne, “t’es une salope,” et je jouis encore, mes doigts crispés sur ses bras, mes ongles dans sa chair, pendant qu’il explose, son foutre qui gicle en moi, chaud, épais, un flot qui me brûle de l’intérieur. On s’effondre, collés, puants, le lit trempé de sueur, d’huile et de nos jus mélangés, ma chatte qui palpite encore, son souffle qui râpe contre mon cou.
Dans ma tête, je veux plus. Je veux qu’il me prenne encore, qu’il me foute sur le ventre et me baise le cul, qu’il me fasse mal jusqu’à ce que je pleure, qu’il me force à le sucer jusqu’à ce que je m’étouffe avec son foutre. Je veux qu’il me dise qu’il me veut, qu’il largue sa meuf, qu’il me garde comme sa chienne. Mais là, elle arrive. Sa femme. Une ombre qui pleure, une voix qui gueule, et mon rêve se barre en couilles. J’ouvre les yeux, seule, ma main enfoncée entre mes cuisses, mes doigts trempés de ma mouille, ma culotte qui pue mon envie. Je respire comme une dingue, le cœur en vrac, la gorge sèche. Je peux pas faire ça. Pas à Paris, pas à l’hôtel, pas avec lui. Il est marié, et moi, je suis juste une pute qui rêve de trop.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel joli texte bien structuré c’est agréable à lire
Daniel
Daniel
Un texte très bien écrit, comme toujours.
Il est permis de rêver! Bien écrit, on se met facilement à sa place
Chacun fait fait fait c'qui lui plait plait plait :) Excellent !

