La R5 et le doigt
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La R5 et le doigt
La R5 et le doigt
« Ding Dong » fait la sonnerie de la porte d'entrée de Dominique. Notre père vient de nous déposer devant chez elle. C'est le grand jour, Steve vient récupérer sa R5. J'accompagne mon frère.
« Ding Dong » rien, pas un bruit, nous commençons à être inquiets et pourtant c'est bien le jour convenu.
Ah si, des pas dans le couloir et une apparition. Notre tante échevelée, les yeux gonflés des grandes personnes qui s'éveille, chaussée de claquettes, enveloppée (enfin enveloppée, si on peut dire tellement sa tenue est courte) dans un peignoir de bain blanc qui ne cache pas grand chose, elle doit être nue en dessous.
Mon père complètement estomaqué en oublie de la saluer. Il a l'air tout retourné.
« Vous voudrez bien m'excuser, mais Daniel est parti très tôt ce matin pour préparer une visite de son ministre et je m'étais rendormie. Entrez, ne restez pas là, je vais vous préparer un café »
Dans le couloir jusqu'au salon, papa avait les yeux rivés sur les cuisses ambrées de sa belle sœur, nous ne lui avions jamais connu ce regard.
Assis sur le fauteuil en face de la table basse notre père nous donnait les dernière consignes quant à la voiture. Nous avions pris place sur le retour du canapé d'angle.
« Et voilà, de quoi se réveiller » nous dit la tante en se penchent en avant pour poser le plateau juste devant nous découvrant ainsi ses cuisses jusqu'au ras des fesses.
Elle vint s'asseoir en face de notre père. Lui si discret, était mal à l'aise, je pense qu'il avait une vue plongeante sur l’entrecuisse de Dominique (nous ne pouvions pas savoir étant de côté).
Pendant la conversation, il bafouillait, que lui arrivait-il ?
En fait nous avons très vite compris, Dominique sans le savoir, ni vouloir le provoquer, croisait et décroisait les jambes tel Sharon Stone dans Basic Instinct (d'ailleurs par certains côté elle lui ressemble un peu). Il apercevait alors le triangle brun foncé de sa foufoune. Lui si timide et réservé, il n'allait pas nous avoir une érection ?
On voyait bien que tout en parlant il ne pouvait détacher son regard de ce merveilleux triangle.
« Bon, je vous laisse entre de bonnes mains, il faut que je me sauve, le boulot m'attend. Soyez sage et prudents avec la voiture »
En embrassant sa belle sœur il jeta un regard sur le haut du peignoir entrebâillé, simplement tenu par une ceinture en tissu éponge.. Ce n'était pourtant pas son genre de lorgner sur la poitrine des dames.
En suivant Dominique jusqu'au garage, deux paires d'yeux fixaient le déhanchement de son panier à crottes, elle tortillait du cul en marchant et ce n'était, ma foi, pas désagréable. Notre premier soucis n'était cependant pas là, nous avions hâte de faire rouler notre nouvelle et à la fois vieille voiture.
Vous connaissez notre oncle Daniel, il fait toujours un peu négligé avec une certaine affection pour la bouteille. Eh bien son garage, c'est tout le contraire de lui. Un grand local propre avec un établi bien rangé. Il y a là tous le matériel pour réviser ses voitures . Un emplacement vide, celui de son auto, on devine sous une bâche la fameuse 4CV (voir:la main baladeuse) et la R5 objet de notre convoitise.
«Voilà la bête. Daniel a tout vérifié, il a passé l'aspirateur à l'intérieur, la remise presque à neuf, il a passé du polish sur la carrosserie, bref, il l'a fait reluire ».
Nos regards amusés se sont croisés, nous pensions la même chose -il l'a fait reluire- et la tante elle a pas envie de se faire reluire-.
«Votre oncle a fait tout le nécessaire à son boulot pour la paperasse, tout est dans le vide poche côté passager » nous dit-elle en s'étendant sur le siège afin de les attraper, nous présentant ainsi, vue la faible longueur de son peignoir, une paire de fesses fermes et bien proportionnée. Elle était couchée maintenant à plat ventre sur les sièges, le derrière bien en évidence.
Steve n'y résista pas, il s'abattit sur elle et enfouie sa tête entre les deux hémisphères.
« Mais qu'est ce que tu fais, t'es fou, ton frère nous regarde, arrêtes ça »
« Ta tenue, ta position, c'est un vrai appel au viol » lui rétorqua Steve.
Sans doute voulant être drôle je rajoutais :
« Tu sais bien qu'on se fait toujours baisé quand on achète une voiture d'occasion ».
« Ah oui, c'est ça, en fait vous voulez le beurre, l'argent du beurre et la crémière par dessus le marché » répondit-elle en se dégageant de l'emprise de Steve.
Je sentais mon frère honteux de ce qu'il venait de faire,quand elle le poussa violemment en arrière entre les sièges de la voiture. Il était maintenant couché les jambes pendantes du côté conducteur. Ignorant ma présence, elle sauta littéralement à genoux au dessus de lui. Déboutonnant alors sa braguette et sans autre forme de procès elle s'empala sur lui. J'assistais, impuissant (je ne sais pas si c'est vraiment le mot) à une scène surréaliste. La tante se démenant comme une furie sur le ventre de son neveu.
Troussant alors le peignoir sur ses reins, elle me laissait voir impudiquement son beau cul poilu. Dans un souffle elle me dit :
« Pierrot, met moi un doigt »
« Un doigt » demandais je
« Oui, gros bêta, un doigt, je voudrais sentir ton doigt »
« Mais un doigt où ? »
« Oh, qu'il est con, mais un doigt dans le cul, dans mon cul, voyons »
N'ayant jamais fait ça auparavant, j'hésitais et ne savait pas trop comment m'y prendre. Faillait-il mouillé, le faire à sec.
Se démenant comme un beau diable sur le sexe de mon frère :
« Tu te dépêches, t'as entendu ce que je viens de te dire, mouille ton index et carre le moi dans l’oignon »
C'était vraiment plus la même femme que j'avais sous les yeux. Humidifiant alors mon doigt je l'approchait de son magnifique petit trou. Il y glissa sans difficulté. J'avais mon doigt dans le rectum de ma tante. Je ne vous dis pas la sensation, c'était la première fois. C'était bon, c'était chaud, je percevais à travers mon index les contractions de son anus, c'était merveilleux. Je fouillais l'intérieur de cette belle quadra quand elle me dit :
« Tu peux y mettre autre chose si tu veux, là je sais que tu sais faire ».
Ça alors elle voulait que je l'encule pendant qu'elle se faisait sauter par mon frère.
Je ressorti mon index de son doux étui et le portait à mon nez. Contrairement à ce que j'aurai pu penser, il sentait bon, il sentait le cul de belle femme en chaleur. Mes phalanges se souviendront longtemps de ce premier contact.
J'écartais les jambes de Steve pour pouvoir m'approcher au plus près de son derrière, tous deux ne bougeaient plus pour faciliter mon introduction. Faut dire que c'est pas trop facile quand quelqu'un est déjà dans un trou pour arriver à combler l'autre. Ma petite intervention de tout à l'heure a été bénéfique en ce sens ou je la pénétrais par derrière sans trop de difficulté. Steve commença son va et vient et je le sentais à travers la mince cloison qui sépare le rectum du vagin, j'avais l'impression qu'il me branlait à travers cette femme en furie, car elle criait la garce. Sans nous êtes mis d'accord nous bougions alternativement dans chacun de nos orifices. Nous baisions, nous enculions notre tante dans sa voiture, enfin notre voiture. Je pense qu'elle a joui quand son anus se resserra sur ma queue, à travers la fine paroi je sentis comme une onde sur la bitte de Steve, il éjaculait en elle. Il ne m'en fallait pas plus pour que je remplisse à mon tour le boyau accueillant. Mon dieu que c'était bon. Nous étions bien, là, emmanchés tous les trois mais il me fallait bien ressortir et libérer ma tante et mon frère.
Je me reculais donc et contemplait Dominique qui se tordait en tous sens afin de s'extraire du véhicule, pas trop facile mais oh combien érotique de la voir se démener en tous sens, exposant ainsi tous ses trésors intimes.
Une fois tous trois debout un peu ébêtés. Dominique lança à la cantonade :
«Steve, passe moi vite le machin, là, sous l'établi qui sert à la vidange des voitures, c'est à chaque fois la même chose quand j'ai bien fait l'amour, ma vessie se rappelle systématiquement à moi. Excusez moi les garçons mais il faut absolument que je pisse ».
Elle eu tout juste le temps de s'accroupir en relevant son peignoir au dessus de la cuvette d'huile que déjà le jet fusait, faisant un bruit métallique en s'écrasant dans le récipient qui avait plus l'habitude de recevoir la vidange d'une automobile que celle d'une femme.
Tout en contemplant le spectacle de cette belle femelle qui se vidait Steve se mit à en faire autant, surpris par son acte je fis de même mais envoyait le jet non pas dans la cuvette mais sur Dominique. Fallait oser.
Mon frère ne demanda pas son reste et visait, non pas comme moi les habits mais directement le visage de notre tante, j'en fis autant, surprise, celle ci essaya bien de nous engueuler mais ne pouvait ouvrir la bouche sans être obligée de goûter notre urine. Elle se protégeait tant qu'elle put avec les mains attendant que l'averse dorée se passe, et nous, comme des cons, ça nous amusaient de l'humilier.
Nos trois vessies furent vides presque en même temps.
« Bande de petits salopards, c'est de pire en pire avec vous, d'abord vous vous branlez (voir : la leçon d'anatomie), ensuite vous me retenez en otage (voir un dépucelage raté) et pis quoi encore, vous n'êtes pas sympas, ce sera quoi la prochaine fois et puis d'abord je crois bien qu'il ni aura pas de prochaine fois, vous êtes trop désagréables ».
« Excuse nous,nous n'aurions pas dû, mais tu as bien fait la même chose pendant le mariage (voir : un beau mariage). T'es vraiment fâchée ? »
« Fâchée, pas vraiment, mais votre oncle n'a jamais osé ça et pourtant il ne manque pas d'idées sur le sujet . Allez, oust, je file prendre une douche, je suis trempée et j'ai froid maintenant. Prenez votre cadeau, je ne sais pas si vous le méritez. Je ne vous raccompagne pas bande de pisseux, je ne voudrais pas que les voisins me vois dans cet état »
Elle disparut précipitamment dans la maison en posant son peignoir tout en marchant sans nous dire au revoir.
Étions nous fiers de notre exploit, je ne pense pas.
En roulant vers la maison Steve me demanda :
« T'as fait un peu de ménage dans le garage, c'était tout mouillé, t'as vidé le récipient ? »
« Ben non »
« Merde alors, si elle ne retourne pas là bas avant que tonton rentre, bonjour les dégâts, tatillon comme il est sur son garage, il va se poser des questions. Appelle la pour qu'elle efface les traces du désastre avant qu'il ne soit trop tard ».
Je me suis fait copieusement engueuler, d'abord pour l'avoir fait sortir de sa douche à cause de mon appel, ensuite pour n'avoir pas eu la politesse de nettoyer les dégâts avant de partir.
« T'as vu, le père, il avait l'air bien énervé devant Dominique, je ne l'ai jamais vu comme ça. C'est la cinquantaine qui le travaille » me rappela Steve
« Faut dire que la tante, même si c'est sa belle sœur, chaude comme elle est, elle a de quoi faire de l'effet à un homme et nous en savons quelque chose , hein, frérot ».
(a suivre)
« Ding Dong » fait la sonnerie de la porte d'entrée de Dominique. Notre père vient de nous déposer devant chez elle. C'est le grand jour, Steve vient récupérer sa R5. J'accompagne mon frère.
« Ding Dong » rien, pas un bruit, nous commençons à être inquiets et pourtant c'est bien le jour convenu.
Ah si, des pas dans le couloir et une apparition. Notre tante échevelée, les yeux gonflés des grandes personnes qui s'éveille, chaussée de claquettes, enveloppée (enfin enveloppée, si on peut dire tellement sa tenue est courte) dans un peignoir de bain blanc qui ne cache pas grand chose, elle doit être nue en dessous.
Mon père complètement estomaqué en oublie de la saluer. Il a l'air tout retourné.
« Vous voudrez bien m'excuser, mais Daniel est parti très tôt ce matin pour préparer une visite de son ministre et je m'étais rendormie. Entrez, ne restez pas là, je vais vous préparer un café »
Dans le couloir jusqu'au salon, papa avait les yeux rivés sur les cuisses ambrées de sa belle sœur, nous ne lui avions jamais connu ce regard.
Assis sur le fauteuil en face de la table basse notre père nous donnait les dernière consignes quant à la voiture. Nous avions pris place sur le retour du canapé d'angle.
« Et voilà, de quoi se réveiller » nous dit la tante en se penchent en avant pour poser le plateau juste devant nous découvrant ainsi ses cuisses jusqu'au ras des fesses.
Elle vint s'asseoir en face de notre père. Lui si discret, était mal à l'aise, je pense qu'il avait une vue plongeante sur l’entrecuisse de Dominique (nous ne pouvions pas savoir étant de côté).
Pendant la conversation, il bafouillait, que lui arrivait-il ?
En fait nous avons très vite compris, Dominique sans le savoir, ni vouloir le provoquer, croisait et décroisait les jambes tel Sharon Stone dans Basic Instinct (d'ailleurs par certains côté elle lui ressemble un peu). Il apercevait alors le triangle brun foncé de sa foufoune. Lui si timide et réservé, il n'allait pas nous avoir une érection ?
On voyait bien que tout en parlant il ne pouvait détacher son regard de ce merveilleux triangle.
« Bon, je vous laisse entre de bonnes mains, il faut que je me sauve, le boulot m'attend. Soyez sage et prudents avec la voiture »
En embrassant sa belle sœur il jeta un regard sur le haut du peignoir entrebâillé, simplement tenu par une ceinture en tissu éponge.. Ce n'était pourtant pas son genre de lorgner sur la poitrine des dames.
En suivant Dominique jusqu'au garage, deux paires d'yeux fixaient le déhanchement de son panier à crottes, elle tortillait du cul en marchant et ce n'était, ma foi, pas désagréable. Notre premier soucis n'était cependant pas là, nous avions hâte de faire rouler notre nouvelle et à la fois vieille voiture.
Vous connaissez notre oncle Daniel, il fait toujours un peu négligé avec une certaine affection pour la bouteille. Eh bien son garage, c'est tout le contraire de lui. Un grand local propre avec un établi bien rangé. Il y a là tous le matériel pour réviser ses voitures . Un emplacement vide, celui de son auto, on devine sous une bâche la fameuse 4CV (voir:la main baladeuse) et la R5 objet de notre convoitise.
«Voilà la bête. Daniel a tout vérifié, il a passé l'aspirateur à l'intérieur, la remise presque à neuf, il a passé du polish sur la carrosserie, bref, il l'a fait reluire ».
Nos regards amusés se sont croisés, nous pensions la même chose -il l'a fait reluire- et la tante elle a pas envie de se faire reluire-.
«Votre oncle a fait tout le nécessaire à son boulot pour la paperasse, tout est dans le vide poche côté passager » nous dit-elle en s'étendant sur le siège afin de les attraper, nous présentant ainsi, vue la faible longueur de son peignoir, une paire de fesses fermes et bien proportionnée. Elle était couchée maintenant à plat ventre sur les sièges, le derrière bien en évidence.
Steve n'y résista pas, il s'abattit sur elle et enfouie sa tête entre les deux hémisphères.
« Mais qu'est ce que tu fais, t'es fou, ton frère nous regarde, arrêtes ça »
« Ta tenue, ta position, c'est un vrai appel au viol » lui rétorqua Steve.
Sans doute voulant être drôle je rajoutais :
« Tu sais bien qu'on se fait toujours baisé quand on achète une voiture d'occasion ».
« Ah oui, c'est ça, en fait vous voulez le beurre, l'argent du beurre et la crémière par dessus le marché » répondit-elle en se dégageant de l'emprise de Steve.
Je sentais mon frère honteux de ce qu'il venait de faire,quand elle le poussa violemment en arrière entre les sièges de la voiture. Il était maintenant couché les jambes pendantes du côté conducteur. Ignorant ma présence, elle sauta littéralement à genoux au dessus de lui. Déboutonnant alors sa braguette et sans autre forme de procès elle s'empala sur lui. J'assistais, impuissant (je ne sais pas si c'est vraiment le mot) à une scène surréaliste. La tante se démenant comme une furie sur le ventre de son neveu.
Troussant alors le peignoir sur ses reins, elle me laissait voir impudiquement son beau cul poilu. Dans un souffle elle me dit :
« Pierrot, met moi un doigt »
« Un doigt » demandais je
« Oui, gros bêta, un doigt, je voudrais sentir ton doigt »
« Mais un doigt où ? »
« Oh, qu'il est con, mais un doigt dans le cul, dans mon cul, voyons »
N'ayant jamais fait ça auparavant, j'hésitais et ne savait pas trop comment m'y prendre. Faillait-il mouillé, le faire à sec.
Se démenant comme un beau diable sur le sexe de mon frère :
« Tu te dépêches, t'as entendu ce que je viens de te dire, mouille ton index et carre le moi dans l’oignon »
C'était vraiment plus la même femme que j'avais sous les yeux. Humidifiant alors mon doigt je l'approchait de son magnifique petit trou. Il y glissa sans difficulté. J'avais mon doigt dans le rectum de ma tante. Je ne vous dis pas la sensation, c'était la première fois. C'était bon, c'était chaud, je percevais à travers mon index les contractions de son anus, c'était merveilleux. Je fouillais l'intérieur de cette belle quadra quand elle me dit :
« Tu peux y mettre autre chose si tu veux, là je sais que tu sais faire ».
Ça alors elle voulait que je l'encule pendant qu'elle se faisait sauter par mon frère.
Je ressorti mon index de son doux étui et le portait à mon nez. Contrairement à ce que j'aurai pu penser, il sentait bon, il sentait le cul de belle femme en chaleur. Mes phalanges se souviendront longtemps de ce premier contact.
J'écartais les jambes de Steve pour pouvoir m'approcher au plus près de son derrière, tous deux ne bougeaient plus pour faciliter mon introduction. Faut dire que c'est pas trop facile quand quelqu'un est déjà dans un trou pour arriver à combler l'autre. Ma petite intervention de tout à l'heure a été bénéfique en ce sens ou je la pénétrais par derrière sans trop de difficulté. Steve commença son va et vient et je le sentais à travers la mince cloison qui sépare le rectum du vagin, j'avais l'impression qu'il me branlait à travers cette femme en furie, car elle criait la garce. Sans nous êtes mis d'accord nous bougions alternativement dans chacun de nos orifices. Nous baisions, nous enculions notre tante dans sa voiture, enfin notre voiture. Je pense qu'elle a joui quand son anus se resserra sur ma queue, à travers la fine paroi je sentis comme une onde sur la bitte de Steve, il éjaculait en elle. Il ne m'en fallait pas plus pour que je remplisse à mon tour le boyau accueillant. Mon dieu que c'était bon. Nous étions bien, là, emmanchés tous les trois mais il me fallait bien ressortir et libérer ma tante et mon frère.
Je me reculais donc et contemplait Dominique qui se tordait en tous sens afin de s'extraire du véhicule, pas trop facile mais oh combien érotique de la voir se démener en tous sens, exposant ainsi tous ses trésors intimes.
Une fois tous trois debout un peu ébêtés. Dominique lança à la cantonade :
«Steve, passe moi vite le machin, là, sous l'établi qui sert à la vidange des voitures, c'est à chaque fois la même chose quand j'ai bien fait l'amour, ma vessie se rappelle systématiquement à moi. Excusez moi les garçons mais il faut absolument que je pisse ».
Elle eu tout juste le temps de s'accroupir en relevant son peignoir au dessus de la cuvette d'huile que déjà le jet fusait, faisant un bruit métallique en s'écrasant dans le récipient qui avait plus l'habitude de recevoir la vidange d'une automobile que celle d'une femme.
Tout en contemplant le spectacle de cette belle femelle qui se vidait Steve se mit à en faire autant, surpris par son acte je fis de même mais envoyait le jet non pas dans la cuvette mais sur Dominique. Fallait oser.
Mon frère ne demanda pas son reste et visait, non pas comme moi les habits mais directement le visage de notre tante, j'en fis autant, surprise, celle ci essaya bien de nous engueuler mais ne pouvait ouvrir la bouche sans être obligée de goûter notre urine. Elle se protégeait tant qu'elle put avec les mains attendant que l'averse dorée se passe, et nous, comme des cons, ça nous amusaient de l'humilier.
Nos trois vessies furent vides presque en même temps.
« Bande de petits salopards, c'est de pire en pire avec vous, d'abord vous vous branlez (voir : la leçon d'anatomie), ensuite vous me retenez en otage (voir un dépucelage raté) et pis quoi encore, vous n'êtes pas sympas, ce sera quoi la prochaine fois et puis d'abord je crois bien qu'il ni aura pas de prochaine fois, vous êtes trop désagréables ».
« Excuse nous,nous n'aurions pas dû, mais tu as bien fait la même chose pendant le mariage (voir : un beau mariage). T'es vraiment fâchée ? »
« Fâchée, pas vraiment, mais votre oncle n'a jamais osé ça et pourtant il ne manque pas d'idées sur le sujet . Allez, oust, je file prendre une douche, je suis trempée et j'ai froid maintenant. Prenez votre cadeau, je ne sais pas si vous le méritez. Je ne vous raccompagne pas bande de pisseux, je ne voudrais pas que les voisins me vois dans cet état »
Elle disparut précipitamment dans la maison en posant son peignoir tout en marchant sans nous dire au revoir.
Étions nous fiers de notre exploit, je ne pense pas.
En roulant vers la maison Steve me demanda :
« T'as fait un peu de ménage dans le garage, c'était tout mouillé, t'as vidé le récipient ? »
« Ben non »
« Merde alors, si elle ne retourne pas là bas avant que tonton rentre, bonjour les dégâts, tatillon comme il est sur son garage, il va se poser des questions. Appelle la pour qu'elle efface les traces du désastre avant qu'il ne soit trop tard ».
Je me suis fait copieusement engueuler, d'abord pour l'avoir fait sortir de sa douche à cause de mon appel, ensuite pour n'avoir pas eu la politesse de nettoyer les dégâts avant de partir.
« T'as vu, le père, il avait l'air bien énervé devant Dominique, je ne l'ai jamais vu comme ça. C'est la cinquantaine qui le travaille » me rappela Steve
« Faut dire que la tante, même si c'est sa belle sœur, chaude comme elle est, elle a de quoi faire de l'effet à un homme et nous en savons quelque chose , hein, frérot ».
(a suivre)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien, j'avais trouvé l'avant dernier épisode un peu fade mais là, surprise, j'avais imaginé que l'auteure ferait en sorte de prendre la mère des ados dans les filets de la tata, mais je n'avais pas pensé au papa, attendons la suite avec patience.Remerciement à l'auteure.