LA RECONQUÊTE D’UNE ÉPOUSE – Une infirmière en Beauce 03
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA RECONQUÊTE D’UNE ÉPOUSE – Une infirmière en Beauce 03
LA RECONQUÊTE D’UNE ÉPOUSE – Une infirmière en Beauce 03
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Hervé songe qu’il a toujours ramé avec les femmes, ayant l'impression de ne pas les intéresser. C'est certainement un manque de confiance en soi, mais le constat est là. Il pense aussi que sa femme a failli avoir un amant il a lu que certaines femmes, lorsqu'elles trompent leur mari, changent d'attitude au lit, c'est plutôt ce qui a alimenté ses soupçons. En fait plutôt que de la jalousie, il s’est affolé, de peur que la situation ne lui échappe, qu'elle ne le quitte, mais un sentiment d’excitation de voir son épouse avec un autre homme est né à ce moment.
Hervé a besoin de se confier, mais à qui ? Il pense à celui qui est devenu son ami et qui lui a permis d’accéder au poste de direction qu’il occupe à la banque Saint-Gilles. Celui-ci se nomme Paul Rosequeen, il a soixante-dix-huit ans et c’est un colonel en retraite, ayant servi en Extrême Orient et en Afrique Noire dans les troupes de l’Infanterie de Marine. Veuf depuis quelques années, Hervé sait qu’il a un certain succès et des aventures féminines très discrètes dans la bonne société bourgeoise et très catholique de la capitale de la Lumière et du Parfum, autrement dit la bonne ville de Chartres en Eure et Loir. Il est un des administrateurs de la banque Saint-Gilles que dirige Hervé Legendre et les deux hommes qui s’apprécient sont devenus très amis.
Hervé se confie à Paul sur le manque de sexualité harmonieuse qu’il ressent avec son épouse et il lui avoue progressivement ses envies profondes. Paul lui conseille dans un premier temps de reconquérir sa femme :
« Si mon propos peut t'aider à faire le point, j'en serai ravi. Surtout si, avec ton épouse, cela peut s’arranger et débloquer la situation. Il est vrai qu’il faut que tu donnes plus de tendresse à ta Valérie et qu’elle se rende compte que tu as des attentions pour elle. Offre lui des fleurs et des petits cadeaux sans raison aucune et surtout, ne lui demande pas de faveur sexuelle en échange. Laisse la venir à son rythme, je t’indiquerai au fur et à mesure de votre évolution ce que je pense qu’il faut faire »
Hervé remercie son ami et commence à mettre en pratique ses conseils. Il emmène son épouse en Week-end à Honfleur. Ils ont fait l'amour, rien d'extraordinaire mais agréable quand même. Hervé lui a fait part de ses frustrations mais c'est toujours le même discours, la fatigue, elle n'est pas en condition… Il avoue à Paul qu’ils s'entendent bien dans l'ensemble, et qu’il ne veut pas non plus la braquer. Elle lui a promis de faire des efforts, et il a eu droit à un peu plus de gâteries ces derniers temps mais ce n'est pas la révolution.
Hervé suit les conseils de son ami, il se montre très gentil avec Valérie, lui faisant de petits bisous dans le cou à la moindre occasion, lui prenant la main souvent, et lui glissant des mots doux et des compliments. Il se garde bien d’avoir les mains trop baladeuses et de lui demander de lui accorder son entrejambe, même s’il ne pense qu’à ça. Valérie semble surprise de son comportement, mais elle apprécie ce changement chez son mari et se montre plus affective. Un soir, lorsqu’ils sont dans le lit conjugal, elle accepte ses baisers et lui répond même en caressant son torse et en se montrant hardie. Elle ose glisser une main dans le pantalon du pyjama, se saisit du vit marital, le branle gentiment avant de le sortir à l’air libre pour le prendre dans sa bouche et lui faire une savante fellation. Hervé en profite pour retrousser la nuisette en satin rouge qu’elle a mis exceptionnellement ce soir là, il se glisse entre les cuisses de son épouse et entreprend de lui lécher le minou. Il infiltre sa langue dans le vagin qui est très serré malgré ses trois grossesses, absorbant la mouille qui dégouline, preuve de son excitation et il prend entre ses lèvres le minuscule clitoris après en avoir dégagé le capuchon. Bientôt Valérie halète de plus en plus fort sous l’excitation qui est la sienne. Mais, d’un seul coup, elle prend la tête de son mari avec ses deux mains et l’oblige à quitter son entrejambe, lui demandant de la prendre.
Comme à son habitude, Valérie a sans doute peur de lâcher prise et de se laisser aller, la jouissance étant trop forte. Hervé est déçu, mais, retirant son pyjama pendant que son épouse ôte sa nuisette, il vient aussitôt perforer la chatte engluée de mouille et de salive dans la position du missionnaire et comme il ne tient pas trop la route, il éjacule rapidement sans que sa femme ait pu jouir. Il s’en veut et il veut la masturber pour la finir, mais elle lui retire doucement sa main et lui fait un baiser en lui souhaitant une bonne nuit.
Hervé n’arrive pas à dormir, il fantasme souvent sur sa femme en jupe très courte avec des talons ou des bottes, il aimerait qu'elle se promène de temps en temps avec lui et que des mecs la voient comme ça. Il rêve aussi tout éveillé de voir sa femme se conduire en parfaite salope, avec lui dans le lit ou dans des lieux publics, mais il commence à souhaiter la voir faire l’amour devant lui avec un autre homme. Il espère qu’elle se lâchera et criera lorsqu’un orgasme la terrassera. Il désire la voir se tordre de plaisir, sous des mains qui tripoteront ses seins et sa moule devant ses yeux stupéfiés. Hervé regarde si son épouse s’est endormie, puis, il se masturbe discrètement, mais avec fébrilité, troublé par ses pensées libidineuses.
De nouveau, Hervé se confie à Paul :
« Vous savez Paul, Valérie se montre un peu plus coopérative, mais elle est tout de même toujours coincée, son éducation dans un milieu catho n’a pas arrangé les choses. En tout cas j'ai commencé à suivre certains de vos conseils, lundi soir je l'ai enlacée en rentrant du travail et bisous dans le cou, comme d'habitude elle a dit que ce n'était pas le moment mais le ton n'était pas le même. J'ai senti qu'elle appréciait surtout après ce qui c'est passé ou plutôt pas passé le WE, puisque elle avait invité sa sœur et que nous avons dû nous tenir sages, j'aurais pu faire la tête plusieurs jours. Le soir nous avons fait l'amour tendrement, très classique, pas extraordinaire sur le plan purement sexuel mais j'ai senti que nous étions proches, je lui a dit que j'aimerais le faire plus souvent. Elle comprend mais m'a dit que nous n'avions pas assez de temps ensemble, ce sont des réponses un peu stéréotypées, j'ai dit que cela allait changer »
« Elle m'a promis un jour de faire l'intégral pour son pubis et sa vulve, mais c’est une promesse non tenue même si je le lui rappelle souvent, je pense qu'elle n'ose pas demander. J’ai suivi vos conseils et j'évite de lui faire la tête lorsqu’elle n’est pas disponible ; vous avez raison, si je m'énerve cela ne va pas arranger les choses, mais c'est vrai que sur le moment, ce n'est pas facile, quand ce n'est jamais le moment de l'approcher »
Paul sourit et donne des indications à Hervé pour entrainer Valérie dans des pratiques plus perverses jusqu’à ce qu’elle accepte une sexualité plus sensuelle :
« Pour ce qui est de ton épouse, je suis persuadé qu'elle s'est coincée elle-même sexuellement après l'adultère qu'elle se préparait à commettre ou qu'elle a consommé, sait-on jamais. Elle va certainement à la messe avec toutes les contradictions qu'elle peut ressentir et elle se sent coupable de péchés envers sa religion, même si elle n’est pas une pratiquante assidue. »
« Il te faut la reconquérir, par de petites attentions qu'elle n'a peut-être pas l'habitude d'avoir, par des allusions légèrement coquines, par des compliments sur son corps, ses vêtements qui lui vont bien, sa coiffure. Je sais, c'est un travail de longue haleine, mais toutes les femmes sont très sensibles à tout ce que je viens de te décrire et je suis certain que cela en vaut la peine. Essaie aussi qu’elle se masturbe devant toi, prends-lui la main et pose la sur sa chatte pendant que tu la masturbe de ton autre main. Pince-lui les tétons lorsqu’elle te chevauche, va doucement au début, mais cela m’étonnerait qu’elle n’apprécie pas. »
Hervé suit scrupuleusement les conseils de son ami, redoublant d’attention pour son épouse qui semble apprécier le changement de comportement de son mari. Plus de reproches ni de mauvaise humeur, car Hervé a l’habitude depuis longtemps de faire la tête durant des jours lorsque Valérie se refuse à faire l’amour. Il lui offre des petits bouquets de fleurs sans aucune raison, lui faisant des bisous très souvent et lui disant qu’il l’aime. Mais il attend sagement qu’elle lui montre elle-même sa disponibilité à ouvrir les cuisses, et même à présent, c’est elle qui se love contre lui lorsqu’ils sont au lit pour le caresser et très souvent lui faire une savante fellation. Elle ne va pas jusqu’au bout, retirant le vit de ses lèvres, lorsqu’elle sent la sève monter dans l’urètre et faisant répandre le foutre sur le ventre de son mari ou même entre ses seins. Quelquefois, emportée par la fougue qu’elle met à sucer la verge maritale, elle se laisse surprendre par le premier flot de sperme qui jaillit dans sa bouche. Dans ce cas, elle ne l’avale pas, mais le recrache discrètement peu après dans un mouchoir de papier.
Elle accepte même une fois un 69, et laisse Hervé écarter au plus grand ses cuisses et se régaler de sa vulve entièrement déployée. Il ne se gène pas pour écarter de ses doigts les grandes lèvres afin de tripoter les chairs du vagin dégoulinantes de mouille et sortir de sa gangue le clitoris qu’il suce à satiété. Valérie essaie de ne pas penser à ce que son mari découvre entre ses jambes, elle a honte de se montrer ainsi, mais étonnamment elle est troublée et émoustillée par ce qu’elle ose accorder. Elle engloutit le pénis en érection, s’appliquant avec sa langue et sa salive à le rendre encore plus dur pour qu’il la pénètre comme il faut. Lorsqu’elle sent que la liqueur de son homme s’approche du méat, elle serre ses doigts fermement au bas de la hampe faisant refluer le foutre. Puis, se dégageant, elle vient chevaucher son mari en se retournant et s’enfonce son gourdin dans la chatte, en s’agitant au-dessus de lui. Celui-ci empoigne les deux nichons à portée de mains et vient pincer les tétons, qu’il étire de plusieurs centimètres. Valérie pousse un gémissement sous cette légère douleur qui a sa grande surprise lui occasionne en même temps un plaisir diffus dans la poitrine. Son mari la contemple et pince un peu plus fort alors que son épouse se laisse choir sur son torse, ayant joui de toute évidence. Les deux amants s’enlacent et s’embrassent, heureux de ce moment qui annonce des jours meilleurs.
Enfin, à la grande joie d’Hervé, Valérie revient un soir d’un rendez-vous chez son esthéticienne. Le soir, une fois dans le lit conjugal, elle prend la main de son mari et la met entre ses cuisses. Celui-ci, tout de même un peu surpris, veut caresser le pubis et la chatte de sa femme, se rendant compte aussitôt qu’il a sous ses doigts un sexe glabre de tout poil. Il lui retrousse aussitôt son tee-shirt et découvre avec ravissement la vulve nue qu’il s’empresse de couvrir de baisers. Un grand pas est fait, son épouse s’est fait épiler totalement, mais pas seulement, elle ose offrir à son mari sa chatte dépouillée pour qu’il puisse contempler tout à loisir les secrets de son intimité.
Il est temps pour celui-ci de revoir son ami Paul pour qu’il le conseille à présent afin de l’entraîner dans la débauche et de la faire basculer dans le dévergondage !....
À suivre…
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Hervé songe qu’il a toujours ramé avec les femmes, ayant l'impression de ne pas les intéresser. C'est certainement un manque de confiance en soi, mais le constat est là. Il pense aussi que sa femme a failli avoir un amant il a lu que certaines femmes, lorsqu'elles trompent leur mari, changent d'attitude au lit, c'est plutôt ce qui a alimenté ses soupçons. En fait plutôt que de la jalousie, il s’est affolé, de peur que la situation ne lui échappe, qu'elle ne le quitte, mais un sentiment d’excitation de voir son épouse avec un autre homme est né à ce moment.
Hervé a besoin de se confier, mais à qui ? Il pense à celui qui est devenu son ami et qui lui a permis d’accéder au poste de direction qu’il occupe à la banque Saint-Gilles. Celui-ci se nomme Paul Rosequeen, il a soixante-dix-huit ans et c’est un colonel en retraite, ayant servi en Extrême Orient et en Afrique Noire dans les troupes de l’Infanterie de Marine. Veuf depuis quelques années, Hervé sait qu’il a un certain succès et des aventures féminines très discrètes dans la bonne société bourgeoise et très catholique de la capitale de la Lumière et du Parfum, autrement dit la bonne ville de Chartres en Eure et Loir. Il est un des administrateurs de la banque Saint-Gilles que dirige Hervé Legendre et les deux hommes qui s’apprécient sont devenus très amis.
Hervé se confie à Paul sur le manque de sexualité harmonieuse qu’il ressent avec son épouse et il lui avoue progressivement ses envies profondes. Paul lui conseille dans un premier temps de reconquérir sa femme :
« Si mon propos peut t'aider à faire le point, j'en serai ravi. Surtout si, avec ton épouse, cela peut s’arranger et débloquer la situation. Il est vrai qu’il faut que tu donnes plus de tendresse à ta Valérie et qu’elle se rende compte que tu as des attentions pour elle. Offre lui des fleurs et des petits cadeaux sans raison aucune et surtout, ne lui demande pas de faveur sexuelle en échange. Laisse la venir à son rythme, je t’indiquerai au fur et à mesure de votre évolution ce que je pense qu’il faut faire »
Hervé remercie son ami et commence à mettre en pratique ses conseils. Il emmène son épouse en Week-end à Honfleur. Ils ont fait l'amour, rien d'extraordinaire mais agréable quand même. Hervé lui a fait part de ses frustrations mais c'est toujours le même discours, la fatigue, elle n'est pas en condition… Il avoue à Paul qu’ils s'entendent bien dans l'ensemble, et qu’il ne veut pas non plus la braquer. Elle lui a promis de faire des efforts, et il a eu droit à un peu plus de gâteries ces derniers temps mais ce n'est pas la révolution.
Hervé suit les conseils de son ami, il se montre très gentil avec Valérie, lui faisant de petits bisous dans le cou à la moindre occasion, lui prenant la main souvent, et lui glissant des mots doux et des compliments. Il se garde bien d’avoir les mains trop baladeuses et de lui demander de lui accorder son entrejambe, même s’il ne pense qu’à ça. Valérie semble surprise de son comportement, mais elle apprécie ce changement chez son mari et se montre plus affective. Un soir, lorsqu’ils sont dans le lit conjugal, elle accepte ses baisers et lui répond même en caressant son torse et en se montrant hardie. Elle ose glisser une main dans le pantalon du pyjama, se saisit du vit marital, le branle gentiment avant de le sortir à l’air libre pour le prendre dans sa bouche et lui faire une savante fellation. Hervé en profite pour retrousser la nuisette en satin rouge qu’elle a mis exceptionnellement ce soir là, il se glisse entre les cuisses de son épouse et entreprend de lui lécher le minou. Il infiltre sa langue dans le vagin qui est très serré malgré ses trois grossesses, absorbant la mouille qui dégouline, preuve de son excitation et il prend entre ses lèvres le minuscule clitoris après en avoir dégagé le capuchon. Bientôt Valérie halète de plus en plus fort sous l’excitation qui est la sienne. Mais, d’un seul coup, elle prend la tête de son mari avec ses deux mains et l’oblige à quitter son entrejambe, lui demandant de la prendre.
Comme à son habitude, Valérie a sans doute peur de lâcher prise et de se laisser aller, la jouissance étant trop forte. Hervé est déçu, mais, retirant son pyjama pendant que son épouse ôte sa nuisette, il vient aussitôt perforer la chatte engluée de mouille et de salive dans la position du missionnaire et comme il ne tient pas trop la route, il éjacule rapidement sans que sa femme ait pu jouir. Il s’en veut et il veut la masturber pour la finir, mais elle lui retire doucement sa main et lui fait un baiser en lui souhaitant une bonne nuit.
Hervé n’arrive pas à dormir, il fantasme souvent sur sa femme en jupe très courte avec des talons ou des bottes, il aimerait qu'elle se promène de temps en temps avec lui et que des mecs la voient comme ça. Il rêve aussi tout éveillé de voir sa femme se conduire en parfaite salope, avec lui dans le lit ou dans des lieux publics, mais il commence à souhaiter la voir faire l’amour devant lui avec un autre homme. Il espère qu’elle se lâchera et criera lorsqu’un orgasme la terrassera. Il désire la voir se tordre de plaisir, sous des mains qui tripoteront ses seins et sa moule devant ses yeux stupéfiés. Hervé regarde si son épouse s’est endormie, puis, il se masturbe discrètement, mais avec fébrilité, troublé par ses pensées libidineuses.
De nouveau, Hervé se confie à Paul :
« Vous savez Paul, Valérie se montre un peu plus coopérative, mais elle est tout de même toujours coincée, son éducation dans un milieu catho n’a pas arrangé les choses. En tout cas j'ai commencé à suivre certains de vos conseils, lundi soir je l'ai enlacée en rentrant du travail et bisous dans le cou, comme d'habitude elle a dit que ce n'était pas le moment mais le ton n'était pas le même. J'ai senti qu'elle appréciait surtout après ce qui c'est passé ou plutôt pas passé le WE, puisque elle avait invité sa sœur et que nous avons dû nous tenir sages, j'aurais pu faire la tête plusieurs jours. Le soir nous avons fait l'amour tendrement, très classique, pas extraordinaire sur le plan purement sexuel mais j'ai senti que nous étions proches, je lui a dit que j'aimerais le faire plus souvent. Elle comprend mais m'a dit que nous n'avions pas assez de temps ensemble, ce sont des réponses un peu stéréotypées, j'ai dit que cela allait changer »
« Elle m'a promis un jour de faire l'intégral pour son pubis et sa vulve, mais c’est une promesse non tenue même si je le lui rappelle souvent, je pense qu'elle n'ose pas demander. J’ai suivi vos conseils et j'évite de lui faire la tête lorsqu’elle n’est pas disponible ; vous avez raison, si je m'énerve cela ne va pas arranger les choses, mais c'est vrai que sur le moment, ce n'est pas facile, quand ce n'est jamais le moment de l'approcher »
Paul sourit et donne des indications à Hervé pour entrainer Valérie dans des pratiques plus perverses jusqu’à ce qu’elle accepte une sexualité plus sensuelle :
« Pour ce qui est de ton épouse, je suis persuadé qu'elle s'est coincée elle-même sexuellement après l'adultère qu'elle se préparait à commettre ou qu'elle a consommé, sait-on jamais. Elle va certainement à la messe avec toutes les contradictions qu'elle peut ressentir et elle se sent coupable de péchés envers sa religion, même si elle n’est pas une pratiquante assidue. »
« Il te faut la reconquérir, par de petites attentions qu'elle n'a peut-être pas l'habitude d'avoir, par des allusions légèrement coquines, par des compliments sur son corps, ses vêtements qui lui vont bien, sa coiffure. Je sais, c'est un travail de longue haleine, mais toutes les femmes sont très sensibles à tout ce que je viens de te décrire et je suis certain que cela en vaut la peine. Essaie aussi qu’elle se masturbe devant toi, prends-lui la main et pose la sur sa chatte pendant que tu la masturbe de ton autre main. Pince-lui les tétons lorsqu’elle te chevauche, va doucement au début, mais cela m’étonnerait qu’elle n’apprécie pas. »
Hervé suit scrupuleusement les conseils de son ami, redoublant d’attention pour son épouse qui semble apprécier le changement de comportement de son mari. Plus de reproches ni de mauvaise humeur, car Hervé a l’habitude depuis longtemps de faire la tête durant des jours lorsque Valérie se refuse à faire l’amour. Il lui offre des petits bouquets de fleurs sans aucune raison, lui faisant des bisous très souvent et lui disant qu’il l’aime. Mais il attend sagement qu’elle lui montre elle-même sa disponibilité à ouvrir les cuisses, et même à présent, c’est elle qui se love contre lui lorsqu’ils sont au lit pour le caresser et très souvent lui faire une savante fellation. Elle ne va pas jusqu’au bout, retirant le vit de ses lèvres, lorsqu’elle sent la sève monter dans l’urètre et faisant répandre le foutre sur le ventre de son mari ou même entre ses seins. Quelquefois, emportée par la fougue qu’elle met à sucer la verge maritale, elle se laisse surprendre par le premier flot de sperme qui jaillit dans sa bouche. Dans ce cas, elle ne l’avale pas, mais le recrache discrètement peu après dans un mouchoir de papier.
Elle accepte même une fois un 69, et laisse Hervé écarter au plus grand ses cuisses et se régaler de sa vulve entièrement déployée. Il ne se gène pas pour écarter de ses doigts les grandes lèvres afin de tripoter les chairs du vagin dégoulinantes de mouille et sortir de sa gangue le clitoris qu’il suce à satiété. Valérie essaie de ne pas penser à ce que son mari découvre entre ses jambes, elle a honte de se montrer ainsi, mais étonnamment elle est troublée et émoustillée par ce qu’elle ose accorder. Elle engloutit le pénis en érection, s’appliquant avec sa langue et sa salive à le rendre encore plus dur pour qu’il la pénètre comme il faut. Lorsqu’elle sent que la liqueur de son homme s’approche du méat, elle serre ses doigts fermement au bas de la hampe faisant refluer le foutre. Puis, se dégageant, elle vient chevaucher son mari en se retournant et s’enfonce son gourdin dans la chatte, en s’agitant au-dessus de lui. Celui-ci empoigne les deux nichons à portée de mains et vient pincer les tétons, qu’il étire de plusieurs centimètres. Valérie pousse un gémissement sous cette légère douleur qui a sa grande surprise lui occasionne en même temps un plaisir diffus dans la poitrine. Son mari la contemple et pince un peu plus fort alors que son épouse se laisse choir sur son torse, ayant joui de toute évidence. Les deux amants s’enlacent et s’embrassent, heureux de ce moment qui annonce des jours meilleurs.
Enfin, à la grande joie d’Hervé, Valérie revient un soir d’un rendez-vous chez son esthéticienne. Le soir, une fois dans le lit conjugal, elle prend la main de son mari et la met entre ses cuisses. Celui-ci, tout de même un peu surpris, veut caresser le pubis et la chatte de sa femme, se rendant compte aussitôt qu’il a sous ses doigts un sexe glabre de tout poil. Il lui retrousse aussitôt son tee-shirt et découvre avec ravissement la vulve nue qu’il s’empresse de couvrir de baisers. Un grand pas est fait, son épouse s’est fait épiler totalement, mais pas seulement, elle ose offrir à son mari sa chatte dépouillée pour qu’il puisse contempler tout à loisir les secrets de son intimité.
Il est temps pour celui-ci de revoir son ami Paul pour qu’il le conseille à présent afin de l’entraîner dans la débauche et de la faire basculer dans le dévergondage !....
À suivre…
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