LA RÉCRÉATION DE SANDY
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA RÉCRÉATION DE SANDY
"Est-ce que tu vas te décider à me baiser ou quoi?" demanda Sandy, allongée sur le lit, écartant largement ses cuisses lisses et pâles. Ses doigts séparèrent ses grandes lèvres, exposant la chair rose et humide de sa chatte impatiente. Elle léchait ses lèvres pulpeuses, goûtant les restes de sperme salé. De sa main libre, elle taquinait son mamelon dur comme du roc. Elle avait un corps délié mais moelleux avec peu de muscles, des hanches larges et des seins charmants.
"Sacré femelle" dit Tyrone, serrant sa grosse bite noire dans son poing fermé en se positionnant entre les jambes de la donzelle. Il n'avait que 19 ans et était toujours en forme pour niquer toutes les filles qui le voulaient. On l'avait viré du lycée à 17 ans et depuis il vivait de petits boulots, par-ci, par-là.
Tyrone la regarda en souriant et caressa son gland le long de sa chatte mouillée. Il pouvait sentir ses jus sourdre de son puits d'amour et il voulait plonger sa bite profondément, mais il aimait que les filles se tortillent un peu en suppliant avant de leur donner sa bite.
"Qu'est-ce que tu fais? Viens, maintenant, je suis prête!" gémit-elle avec impatience. Se tortillant, elle souleva son bassin, attrapant ses hanches d'ébène, essayant de l'attirer dans sa chatte. Elle respirait bruyamment et le regardait d'un air suppliant avec ses grands yeux bleus. Elle avait un visage juvénile avec des joues potelées et des lèvres moelleuses.
Sandy était une pauvre fille, originaire d'un trou perdu. Ses parents, ouvertement racistes, l'auraient répudiée s'ils savaient qu'elle était au lit avec un noir, mais elle avait ce désir depuis qu'elle avait perdu son pucelage. Elle avait eu quelques opportunités. Pas beaucoup, les blacks préféraient les femmes rondelettes.
Sandy, à 26 ans, était mariée depuis deux ans, et elle avait deux enfants. Un de deux ans avec Tom, son mari, et un de six ans avec son ex. Mais elle avait eu la cuisse légère et son tableau de chasse se comptait en dizaine. Depuis son mariage avec Tom, elle avait été fidèle. Jusqu'à … "Je ne suis pas sûr que tu sois prête et que tu me désires vraiment" la taquina Tyrone avec un sourire ironique. Il a claqué sa lourde hampe de viande noire sur son clitoris et elle a gémi doucement. Il avait une grosse bite avec un tronc extrêmement épais et un gland effilé. Quand il a commencé à avoir des relations sexuelles, sa taille effrayait les gamines. Il ne pouvait baiser qu'avec des vieilles de plus de vingt ans. Mais une fois que sa réputation fut établie, toutes les salopes du quartier voulaient y passer.
"Putain de merde" se lamenta Sandy, haletante de désir. Son mari était parti en mission depuis quatre mois et elle n'avait eu que son jouet en plastique depuis son départ. Tom devait revenir à la fin du mois, mais son régiment a été maintenu sur place quatre mois de plus. Elle n'en pouvait plus de cette période d'abstinence. "Tu ne vois pas à quel point je suis mouillée?""Je vois, et j'aime te faire attendre" fanfaronnait-il. Il tapotait sa grosse bite sur sa chatte écartelée et elle gémissait de plus en plus fort. Il la draguait au travail depuis des mois et elle avait de la répartie pour la taquinerie. Mais il ne pensait pas arriver à la niquer jusqu'à ce qu'elle lui apprenne que son mari était absent depuis plusieurs mois et pour longtemps encore. Elle lui avait dit qu'elle était affamée parce que privée de sexe, puis elle s'était frottée contre lui dans la réserve en lui disant qu'elle voulait sa bite, et ensuite elle lui avait dit qu'elle ne pouvait pas parce qu'elle était mariée et fidèle.
"Tu veux que je te supplie? Va te faire foutre!" cracha Sandy. Elle le détestait parfois. Il était arrogant et hautain, comme un jeune coq, mais la rumeur disait qu'il avait une grosse bite, et qu'il s'en servait de manière fantastique. Pour la taille c'était vrai, et elle avait besoin d'une bonne baise. "Tu veux me voir mendier?""Ouais! Si tu veux le gros bâton de réglisse, tu dois le demander gentiment, petite pute!" sourit méchamment Tyrone.
Il frottait son gland entre les lèvres de sa chatte et elle cherchait à le happer au passage. Elle sursauta lorsqu'il heurta son clitoris.
En guise d'apéritif, elle lui avait sucé la queue pendant le trajet en voiture. Mais, arrivé à l'appartement, quand elle lui avait demandé de lui manger la chatte, il avait refusé tout net. Il détestait lécher la chatte. C'était bon pour les petits blancs ou les filles, mais les noirs avec une grosse queue ne lèchent pas, ils baisent. Ils niquent.
"S'il te plait, Tyrone, baise-moi maintenant! Allez, chéri, fourre-moi ta grosse queue dans ma petite chatte et fais-moi jouir! " supplia doucement Sandy. Ses joues rougirent et son pouls s'accéléra. Elle était une femelle soumise et elle aimait être dégradée et humiliée. Elle avait eu des amants qui lui avaient claqué le cul, tiré les cheveux et enculée. Mais si l'homme était puissant, elle acceptait les humiliations en jouissant plus fort.
"Mieux que ça, salope! Demande-le moi!" gronda Tyrone. Il continuait de claquer sa bite charnue sur le clitoris gonflé de désir et elle tortillait du bassin comme une chienne en chaleur. Elle avait flirté avec lui et regardé sa bite depuis le jour où il avait commencé à travailler au magasin avec elle, mais elle s'était vanté qu'aucune bite noire n'avait jamais pénétré sa petite chatte blanche.
"Baise-moi, Tyrone. S'il te plaît, bébé. J'ai besoin de cette grosse bite. J'en ai besoin maintenant. S'il te plaît, bébé, s'il te plait!" supplia-t-elle à voix haute. Sa main droite a écarté les lèvres de sa chatte et, haletante, les yeux mi-clos, elle lui susurra: "Viens, chéri! Viens, maintenant! Baise ta petite pute blanche!""C'est mieux", acquiesça-t-il. Il ramena son gland face à l'entrée de la chatte et commença à s'enfoncer doucement.
Après le travail, ils avaient été boire quelques bières dans un entrepôt abandonné que les habitants de cette banlieue ouvrière utilisaient comme bar clandestin. Après plusieurs bières, elle lui avait clairement fait savoir qu'elle était prête à baiser. Elle avait caressé sa bite par-dessus ses vêtements, mis sa langue dans sa bouche, l'avais embrassé fort en frottant son corps sexy contre lui.
Puis elle lui avoué qu'elle avait envie de baiser avec lui depuis des mois. Mais qu'elle voulait le faire chez elle.
"Bon sang, ça c'est une grosse bite!" haleta Sandy. Elle souleva ses jambes pour les verrouiller sur son cul musclé, le maintenant pressé contre elle, la bite fourrée au fond de son vagin, savourant la sensation de sa grosse bite chaude et palpitante.
"Tu vas me laisser te baiser, chienne?" aboya-t-il en se contorsionnant pour atteindre et séparer ses chevilles. Il voulait qu'elle admette qu'il était le dominant et il appuya son torse de tout son poids sur la femelle soumise. Ses hanches ont commencé à bouger lentement, laissant son rythme s'accélérer progressivement. Les chairs s'entrechoquaient et elle grognait et gémissait à chaque pénétration sensuelle. Les pensées de Sandy ont commencé à dériver et son corps à trembler. Ses orteils se recourbèrent et elle sentit une vague de plaisir envahir son corps. Il avait un bon rythme et il était en train d'élargir sa chatte.
"Putain! merde! putain!" grogna-t-elle comme un camionneur. Ses yeux se révulsèrent. Elle se tordit dans un spasme dévastateur en gémissant bruyamment. Son ventre se contracta et sa chatte laissa échapper un jet de cyprine.
Tyrone la laissa finir de jouir puis se retira, provocant une plainte déchirante. Il la retourna et l'installa à quatre pattes, son cul rond en l'air, la tête enfouie dans les coussins. Pour l’essentiel, c’était une fille mince, mais elle avait des cuisses charnues et un cul rond moelleux que tous les hommes du magasin aimaient frôler. Ils savaient qu'elle était mariée à un soldat qui était en mission à l'étranger, mais ils pensaient tous avoir une ouverture parce qu'elle parlait de sexe tout le temps.
Tyrone l'a pénétré sauvagement, amenant Sandy à geindre fort, comme si elle avait reçu un coup au ventre. Il attrapa ses hanches à deux mains et commença à niquer la fille à un rythme rapide, la pénétrant profondément et durement. Il l'avait fait jouir la première fois sur un rythme plus calme mais il aimait bien changer. Son ventre claquait contre son cul pâle, provocant une sorte de houle sous la peau laiteuse. Une série de grossièretés s'échappait de ses lèvres.
"Putain, vas-y, baise-moi, plus fort!" criait-elle. Le lit tapait en rythme contre le mur de son appartement, envoyant un message clair aux voisins: "je me fais bien baiser, venez pas me faire chier!" agrémenté de cris de plaisir qui déchiraient le calme de la nuit.
Sandy enfouit son visage dans l'oreiller. Son corps se convulsa et elle poussa un cri bestial pendant qu'elle exultait plus fort que jamais. Probablement parce qu'elle avait été sevrée de relations sexuelles, ces dernières semaines. Depuis qu'elle avait perdu sa virginité, elle n'avait jamais connu de période de disette aussi longue.
Tyrone attrapa sa crinière et tira violemment, relevant sa tête en arrière pendant qu'il continuait à la baiser durement et rapidement en levrette. Sa grosse bite noire la forait comme un marteau-piqueur et son deuxième spasme en entraîna un autre, puis un autre...
"Je vais jouir", annonça Tyrone longtemps après. Il l'avait prévenue auparavant qu'il ne porterait pas de préservatif, c'était un truc pour les petits blancs. Sandy lui avait donné son accord, indiquant qu'elle prenait la pilule.
Elle sentit la grosse bite palpiter dans sa chatte. Il se bloqua au fond de son ventre pour éjaculer puissamment, inondant de sperme la vulve incapable de contenir autant de crème.
"Putain, j'avais besoin de ça!" grogna Sandy, le souffle coupé, échappant à l'étreinte du jeune noir pour se retourner sur le dos et écarter les jambes. Une énorme quantité de sperme s'échappait de son orifice dilaté et elle plongea ses doigts dans sa chatte bien baisée, répandant la crème sur son pubis bien taillé et sur ses seins pâles.
"Combien de temps vais-je attendre avant que tu reprennes de la vigueur? J'en ai encore besoin! Je veux plus de ça!" Ronronna-t-elle doucement en caressant sa bite encore semi-dressée. C'était vraiment une belle bite et la rumeur avait raison concernant ses prouesses. Aucun de ses précédents amants n'avaient fait mieux, pas même son mari, mais elle n'était pas encore rassasiée.
"Mets ta jolie bouche sur cette bite et voyons si cela prend plus d'une minute!" répondit-il avec assurance. Sandy obéit rapidement. Elle roula à plat ventre et enveloppa de ses lèvres gourmandes le bâton de chocolat. Son cul était haut dans les airs au pied du lit et son foutre continuait de couler de ses entrailles le long de ses cuisses charnues.
Tyrone lui attrapa la crinière à deux mains et força sa queue semi-dressée dans sa gorge avide. Il aimait le sexe sauvage et il devint rapidement rigide tandis qu'elle s'étouffait et bâillonnait sur la grosse bite noire. Des larmes coulaient sur ses joues et elle retint son souffle en caressant ses bourses à deux mains. Il avait une bonne saveur, même après avoir éjaculé dans sa vulve.
Quelques minutes à peine et Tyrone était opérationnel, prêt à reprendre du service. Sandy abandonna sa queue pour le monter à califourchon, style cowgirl inversée, face au pied du lit. Elle sourit et fit un clin d'œil à la caméra cachée entre les animaux empaillés sur sa commode et commença à sauter sur le chibre tendu. Ses seins se sont déchaînés en dansant la gigue pendant qu'elle le montait vite et fort. Tyrone attrapa ses tétons érigés pour les pincer cruellement, envoyant des soubresauts de plaisir et de douleur à travers son corps. Elle sentait son corps répondre aux différents stimuli. Elle aimait être dessus car elle pouvait adopter le rythme qui lui convenait et trouver le bon angle et la bonne pénétration pour un maximum de plaisir.
Son corps s'arc-bouta en tremblant tandis qu'un nouvel orgasme la terrassait. Elle a ralentit pour reprendre un rythme lent et sensuel, le temps de surmonter la vague d'euphorie. Ses hanches ondulaient lascivement et elle déclencha un autre clin d’œil à l'objectif de la caméra.
Tyrone a projeté Sandy de côté et s'est agenouillé entre ses cuisses ouvertes. Il ne voulait pas que le rythme ralentisse et il la plaqua à plat ventre sur le lit. Sa queue était fortement imbibée de leurs jus combinés, de même que les fesses de Sandy. Il écarta ses fesses soyeuses, crachant sa salive dans sa rosette.
Elle savait ce qu'il voulait et comme un vrai mâle, il n'a pas demandé la permission. Sandy détendit son sphincter et gémit comme une putain vorace tandis qu'il introduisait la longueur de sa queue dans son trou du cul. Contrairement à beaucoup de filles, Sandy aimait l'anal et elle se masturbait le clitoris pendant que Tyrone investissait son trou du cul.
Il la baisa durement et profondément pendant plusieurs longues minutes. Sandy parvint deux fois à exulter avant qu'il se vide les couilles dans ses entrailles. Il se retira et essuya sa queue souillée sur les fesses moelleuses de Sandy avant de quitter le lit.
Tyrone regarda l'heure sur son téléphone et hocha la tête, content de lui. Bientôt deux heures qu'il baisait cette pouffe.
"Je dois y aller. Je commence tôt avec le chef et tu sais comment il se comporte!""Cool" dit Sandy épuisée. "Tu peux partir, j'ai eu tout ce que je voulais!""Bisou" demanda Sandy pendant que Tyrone enfilait son jean ample et son tee-shirt.
Il se pencha sur elle pour l'embrasser et elle le saisit par son vêtement:"Je ne travaille pas aujourd'hui mais n'en profite pas pour te vanter de m'avoir baisée. Je suis mariée, n'oublie pas.""T'inquiète. Je serai muet!"Sandy entendit la porte se refermer et elle attrapa son smartphone. "Il vient de partir", elle tapa et appuya sur envoyer.
Il était environ 11 heures en Afghanistan mais elle était ravie de lui parler de sa nuit.
Son téléphone tinta et elle lut rapidement la réponse de son mari. Il était carrément excité et voulait voir des photos d'elle en action.
"J'ai tout enregistré bébé. Je vais devoir éditer des clips pour te les envoyer" Sandy envoya avant d'ajouter:"Merci de m'avoir accordé cette faveur. Je t'aime tellement.""Je t'aime aussi. J'ai hâte de regarder les vidéos. Combien de fois t'as-t-il baisée?""Seulement deux fois. Mais deux coups très longs. Une fois dans ma chatte, une fois dans mon cul. Je vais t'envoyer une vidéo du premier coup, son sperme qui coule de ma chatte pendant que je le suce pour le redémarrer." La première fois que son mari lui avait suggéré de s'envoyer en l'air avec un jeune étalon, elle avait été choquée. Mais son absence se prolongeant, son jouet en plastique ne parvenait plus à la satisfaire. La nuit, sur Skype, elle regardait Tom se masturber en se doigtant la chatte. Mais elle était toujours en manque, et s'était résolue à écouter la voix de la sagesse.
"Avait-il une grosse bite? Combien de fois as-tu joui? Je suis tellement dur en pensant à toi!""Très grosse et épaisse. Il m'a fait un mal de chien au début et dans mon cul mais après j'ai aimé. Perdu le compte de combien de fois j'ai joui. Caresse ta grosse bite pour moi, bébé" a écrit Sandy.
"Bébé, c'est tellement excitant. Je me caresse la queue. Je vais jouir bientôt.""Bien, jouis pour moi, bébé." "J'ai fini bébé. Tu m’envoies les vidéos plus tard, OK?""OK. Tu me manques.""Tu me manques aussi, bébé. Je t'aime. Bonne nuit.""Je t'aime aussi. Bisous." Répondit Sandy avant de ranger son téléphone.
Mais elle avait du mal à trouver le sommeil. Elle repensait aux événements récents.
Son jus recommençait à couler et elle dû se calmer en masturbant son clitoris exigeant.
Elle avait dit à Tom qu'il y avait un jeune noir bien bâti au travail. Des filles avaient noué des liens avec lui. Elles racontaient que le jeune noir était une affaire au lit. Tom semblait très excité quand elle lui a dit qu'elle y pensait.
Mais elle avait hâte que son mari revienne. Tyrone avait été bon mais ce n'était qu'un intérimaire jusqu'à ce que Tom rentre à la maison. Elle était impatiente de voir la vidéo et de la monter afin que son mari puisse la voir et la revoir en action.
"Sacré femelle" dit Tyrone, serrant sa grosse bite noire dans son poing fermé en se positionnant entre les jambes de la donzelle. Il n'avait que 19 ans et était toujours en forme pour niquer toutes les filles qui le voulaient. On l'avait viré du lycée à 17 ans et depuis il vivait de petits boulots, par-ci, par-là.
Tyrone la regarda en souriant et caressa son gland le long de sa chatte mouillée. Il pouvait sentir ses jus sourdre de son puits d'amour et il voulait plonger sa bite profondément, mais il aimait que les filles se tortillent un peu en suppliant avant de leur donner sa bite.
"Qu'est-ce que tu fais? Viens, maintenant, je suis prête!" gémit-elle avec impatience. Se tortillant, elle souleva son bassin, attrapant ses hanches d'ébène, essayant de l'attirer dans sa chatte. Elle respirait bruyamment et le regardait d'un air suppliant avec ses grands yeux bleus. Elle avait un visage juvénile avec des joues potelées et des lèvres moelleuses.
Sandy était une pauvre fille, originaire d'un trou perdu. Ses parents, ouvertement racistes, l'auraient répudiée s'ils savaient qu'elle était au lit avec un noir, mais elle avait ce désir depuis qu'elle avait perdu son pucelage. Elle avait eu quelques opportunités. Pas beaucoup, les blacks préféraient les femmes rondelettes.
Sandy, à 26 ans, était mariée depuis deux ans, et elle avait deux enfants. Un de deux ans avec Tom, son mari, et un de six ans avec son ex. Mais elle avait eu la cuisse légère et son tableau de chasse se comptait en dizaine. Depuis son mariage avec Tom, elle avait été fidèle. Jusqu'à … "Je ne suis pas sûr que tu sois prête et que tu me désires vraiment" la taquina Tyrone avec un sourire ironique. Il a claqué sa lourde hampe de viande noire sur son clitoris et elle a gémi doucement. Il avait une grosse bite avec un tronc extrêmement épais et un gland effilé. Quand il a commencé à avoir des relations sexuelles, sa taille effrayait les gamines. Il ne pouvait baiser qu'avec des vieilles de plus de vingt ans. Mais une fois que sa réputation fut établie, toutes les salopes du quartier voulaient y passer.
"Putain de merde" se lamenta Sandy, haletante de désir. Son mari était parti en mission depuis quatre mois et elle n'avait eu que son jouet en plastique depuis son départ. Tom devait revenir à la fin du mois, mais son régiment a été maintenu sur place quatre mois de plus. Elle n'en pouvait plus de cette période d'abstinence. "Tu ne vois pas à quel point je suis mouillée?""Je vois, et j'aime te faire attendre" fanfaronnait-il. Il tapotait sa grosse bite sur sa chatte écartelée et elle gémissait de plus en plus fort. Il la draguait au travail depuis des mois et elle avait de la répartie pour la taquinerie. Mais il ne pensait pas arriver à la niquer jusqu'à ce qu'elle lui apprenne que son mari était absent depuis plusieurs mois et pour longtemps encore. Elle lui avait dit qu'elle était affamée parce que privée de sexe, puis elle s'était frottée contre lui dans la réserve en lui disant qu'elle voulait sa bite, et ensuite elle lui avait dit qu'elle ne pouvait pas parce qu'elle était mariée et fidèle.
"Tu veux que je te supplie? Va te faire foutre!" cracha Sandy. Elle le détestait parfois. Il était arrogant et hautain, comme un jeune coq, mais la rumeur disait qu'il avait une grosse bite, et qu'il s'en servait de manière fantastique. Pour la taille c'était vrai, et elle avait besoin d'une bonne baise. "Tu veux me voir mendier?""Ouais! Si tu veux le gros bâton de réglisse, tu dois le demander gentiment, petite pute!" sourit méchamment Tyrone.
Il frottait son gland entre les lèvres de sa chatte et elle cherchait à le happer au passage. Elle sursauta lorsqu'il heurta son clitoris.
En guise d'apéritif, elle lui avait sucé la queue pendant le trajet en voiture. Mais, arrivé à l'appartement, quand elle lui avait demandé de lui manger la chatte, il avait refusé tout net. Il détestait lécher la chatte. C'était bon pour les petits blancs ou les filles, mais les noirs avec une grosse queue ne lèchent pas, ils baisent. Ils niquent.
"S'il te plait, Tyrone, baise-moi maintenant! Allez, chéri, fourre-moi ta grosse queue dans ma petite chatte et fais-moi jouir! " supplia doucement Sandy. Ses joues rougirent et son pouls s'accéléra. Elle était une femelle soumise et elle aimait être dégradée et humiliée. Elle avait eu des amants qui lui avaient claqué le cul, tiré les cheveux et enculée. Mais si l'homme était puissant, elle acceptait les humiliations en jouissant plus fort.
"Mieux que ça, salope! Demande-le moi!" gronda Tyrone. Il continuait de claquer sa bite charnue sur le clitoris gonflé de désir et elle tortillait du bassin comme une chienne en chaleur. Elle avait flirté avec lui et regardé sa bite depuis le jour où il avait commencé à travailler au magasin avec elle, mais elle s'était vanté qu'aucune bite noire n'avait jamais pénétré sa petite chatte blanche.
"Baise-moi, Tyrone. S'il te plaît, bébé. J'ai besoin de cette grosse bite. J'en ai besoin maintenant. S'il te plaît, bébé, s'il te plait!" supplia-t-elle à voix haute. Sa main droite a écarté les lèvres de sa chatte et, haletante, les yeux mi-clos, elle lui susurra: "Viens, chéri! Viens, maintenant! Baise ta petite pute blanche!""C'est mieux", acquiesça-t-il. Il ramena son gland face à l'entrée de la chatte et commença à s'enfoncer doucement.
Après le travail, ils avaient été boire quelques bières dans un entrepôt abandonné que les habitants de cette banlieue ouvrière utilisaient comme bar clandestin. Après plusieurs bières, elle lui avait clairement fait savoir qu'elle était prête à baiser. Elle avait caressé sa bite par-dessus ses vêtements, mis sa langue dans sa bouche, l'avais embrassé fort en frottant son corps sexy contre lui.
Puis elle lui avoué qu'elle avait envie de baiser avec lui depuis des mois. Mais qu'elle voulait le faire chez elle.
"Bon sang, ça c'est une grosse bite!" haleta Sandy. Elle souleva ses jambes pour les verrouiller sur son cul musclé, le maintenant pressé contre elle, la bite fourrée au fond de son vagin, savourant la sensation de sa grosse bite chaude et palpitante.
"Tu vas me laisser te baiser, chienne?" aboya-t-il en se contorsionnant pour atteindre et séparer ses chevilles. Il voulait qu'elle admette qu'il était le dominant et il appuya son torse de tout son poids sur la femelle soumise. Ses hanches ont commencé à bouger lentement, laissant son rythme s'accélérer progressivement. Les chairs s'entrechoquaient et elle grognait et gémissait à chaque pénétration sensuelle. Les pensées de Sandy ont commencé à dériver et son corps à trembler. Ses orteils se recourbèrent et elle sentit une vague de plaisir envahir son corps. Il avait un bon rythme et il était en train d'élargir sa chatte.
"Putain! merde! putain!" grogna-t-elle comme un camionneur. Ses yeux se révulsèrent. Elle se tordit dans un spasme dévastateur en gémissant bruyamment. Son ventre se contracta et sa chatte laissa échapper un jet de cyprine.
Tyrone la laissa finir de jouir puis se retira, provocant une plainte déchirante. Il la retourna et l'installa à quatre pattes, son cul rond en l'air, la tête enfouie dans les coussins. Pour l’essentiel, c’était une fille mince, mais elle avait des cuisses charnues et un cul rond moelleux que tous les hommes du magasin aimaient frôler. Ils savaient qu'elle était mariée à un soldat qui était en mission à l'étranger, mais ils pensaient tous avoir une ouverture parce qu'elle parlait de sexe tout le temps.
Tyrone l'a pénétré sauvagement, amenant Sandy à geindre fort, comme si elle avait reçu un coup au ventre. Il attrapa ses hanches à deux mains et commença à niquer la fille à un rythme rapide, la pénétrant profondément et durement. Il l'avait fait jouir la première fois sur un rythme plus calme mais il aimait bien changer. Son ventre claquait contre son cul pâle, provocant une sorte de houle sous la peau laiteuse. Une série de grossièretés s'échappait de ses lèvres.
"Putain, vas-y, baise-moi, plus fort!" criait-elle. Le lit tapait en rythme contre le mur de son appartement, envoyant un message clair aux voisins: "je me fais bien baiser, venez pas me faire chier!" agrémenté de cris de plaisir qui déchiraient le calme de la nuit.
Sandy enfouit son visage dans l'oreiller. Son corps se convulsa et elle poussa un cri bestial pendant qu'elle exultait plus fort que jamais. Probablement parce qu'elle avait été sevrée de relations sexuelles, ces dernières semaines. Depuis qu'elle avait perdu sa virginité, elle n'avait jamais connu de période de disette aussi longue.
Tyrone attrapa sa crinière et tira violemment, relevant sa tête en arrière pendant qu'il continuait à la baiser durement et rapidement en levrette. Sa grosse bite noire la forait comme un marteau-piqueur et son deuxième spasme en entraîna un autre, puis un autre...
"Je vais jouir", annonça Tyrone longtemps après. Il l'avait prévenue auparavant qu'il ne porterait pas de préservatif, c'était un truc pour les petits blancs. Sandy lui avait donné son accord, indiquant qu'elle prenait la pilule.
Elle sentit la grosse bite palpiter dans sa chatte. Il se bloqua au fond de son ventre pour éjaculer puissamment, inondant de sperme la vulve incapable de contenir autant de crème.
"Putain, j'avais besoin de ça!" grogna Sandy, le souffle coupé, échappant à l'étreinte du jeune noir pour se retourner sur le dos et écarter les jambes. Une énorme quantité de sperme s'échappait de son orifice dilaté et elle plongea ses doigts dans sa chatte bien baisée, répandant la crème sur son pubis bien taillé et sur ses seins pâles.
"Combien de temps vais-je attendre avant que tu reprennes de la vigueur? J'en ai encore besoin! Je veux plus de ça!" Ronronna-t-elle doucement en caressant sa bite encore semi-dressée. C'était vraiment une belle bite et la rumeur avait raison concernant ses prouesses. Aucun de ses précédents amants n'avaient fait mieux, pas même son mari, mais elle n'était pas encore rassasiée.
"Mets ta jolie bouche sur cette bite et voyons si cela prend plus d'une minute!" répondit-il avec assurance. Sandy obéit rapidement. Elle roula à plat ventre et enveloppa de ses lèvres gourmandes le bâton de chocolat. Son cul était haut dans les airs au pied du lit et son foutre continuait de couler de ses entrailles le long de ses cuisses charnues.
Tyrone lui attrapa la crinière à deux mains et força sa queue semi-dressée dans sa gorge avide. Il aimait le sexe sauvage et il devint rapidement rigide tandis qu'elle s'étouffait et bâillonnait sur la grosse bite noire. Des larmes coulaient sur ses joues et elle retint son souffle en caressant ses bourses à deux mains. Il avait une bonne saveur, même après avoir éjaculé dans sa vulve.
Quelques minutes à peine et Tyrone était opérationnel, prêt à reprendre du service. Sandy abandonna sa queue pour le monter à califourchon, style cowgirl inversée, face au pied du lit. Elle sourit et fit un clin d'œil à la caméra cachée entre les animaux empaillés sur sa commode et commença à sauter sur le chibre tendu. Ses seins se sont déchaînés en dansant la gigue pendant qu'elle le montait vite et fort. Tyrone attrapa ses tétons érigés pour les pincer cruellement, envoyant des soubresauts de plaisir et de douleur à travers son corps. Elle sentait son corps répondre aux différents stimuli. Elle aimait être dessus car elle pouvait adopter le rythme qui lui convenait et trouver le bon angle et la bonne pénétration pour un maximum de plaisir.
Son corps s'arc-bouta en tremblant tandis qu'un nouvel orgasme la terrassait. Elle a ralentit pour reprendre un rythme lent et sensuel, le temps de surmonter la vague d'euphorie. Ses hanches ondulaient lascivement et elle déclencha un autre clin d’œil à l'objectif de la caméra.
Tyrone a projeté Sandy de côté et s'est agenouillé entre ses cuisses ouvertes. Il ne voulait pas que le rythme ralentisse et il la plaqua à plat ventre sur le lit. Sa queue était fortement imbibée de leurs jus combinés, de même que les fesses de Sandy. Il écarta ses fesses soyeuses, crachant sa salive dans sa rosette.
Elle savait ce qu'il voulait et comme un vrai mâle, il n'a pas demandé la permission. Sandy détendit son sphincter et gémit comme une putain vorace tandis qu'il introduisait la longueur de sa queue dans son trou du cul. Contrairement à beaucoup de filles, Sandy aimait l'anal et elle se masturbait le clitoris pendant que Tyrone investissait son trou du cul.
Il la baisa durement et profondément pendant plusieurs longues minutes. Sandy parvint deux fois à exulter avant qu'il se vide les couilles dans ses entrailles. Il se retira et essuya sa queue souillée sur les fesses moelleuses de Sandy avant de quitter le lit.
Tyrone regarda l'heure sur son téléphone et hocha la tête, content de lui. Bientôt deux heures qu'il baisait cette pouffe.
"Je dois y aller. Je commence tôt avec le chef et tu sais comment il se comporte!""Cool" dit Sandy épuisée. "Tu peux partir, j'ai eu tout ce que je voulais!""Bisou" demanda Sandy pendant que Tyrone enfilait son jean ample et son tee-shirt.
Il se pencha sur elle pour l'embrasser et elle le saisit par son vêtement:"Je ne travaille pas aujourd'hui mais n'en profite pas pour te vanter de m'avoir baisée. Je suis mariée, n'oublie pas.""T'inquiète. Je serai muet!"Sandy entendit la porte se refermer et elle attrapa son smartphone. "Il vient de partir", elle tapa et appuya sur envoyer.
Il était environ 11 heures en Afghanistan mais elle était ravie de lui parler de sa nuit.
Son téléphone tinta et elle lut rapidement la réponse de son mari. Il était carrément excité et voulait voir des photos d'elle en action.
"J'ai tout enregistré bébé. Je vais devoir éditer des clips pour te les envoyer" Sandy envoya avant d'ajouter:"Merci de m'avoir accordé cette faveur. Je t'aime tellement.""Je t'aime aussi. J'ai hâte de regarder les vidéos. Combien de fois t'as-t-il baisée?""Seulement deux fois. Mais deux coups très longs. Une fois dans ma chatte, une fois dans mon cul. Je vais t'envoyer une vidéo du premier coup, son sperme qui coule de ma chatte pendant que je le suce pour le redémarrer." La première fois que son mari lui avait suggéré de s'envoyer en l'air avec un jeune étalon, elle avait été choquée. Mais son absence se prolongeant, son jouet en plastique ne parvenait plus à la satisfaire. La nuit, sur Skype, elle regardait Tom se masturber en se doigtant la chatte. Mais elle était toujours en manque, et s'était résolue à écouter la voix de la sagesse.
"Avait-il une grosse bite? Combien de fois as-tu joui? Je suis tellement dur en pensant à toi!""Très grosse et épaisse. Il m'a fait un mal de chien au début et dans mon cul mais après j'ai aimé. Perdu le compte de combien de fois j'ai joui. Caresse ta grosse bite pour moi, bébé" a écrit Sandy.
"Bébé, c'est tellement excitant. Je me caresse la queue. Je vais jouir bientôt.""Bien, jouis pour moi, bébé." "J'ai fini bébé. Tu m’envoies les vidéos plus tard, OK?""OK. Tu me manques.""Tu me manques aussi, bébé. Je t'aime. Bonne nuit.""Je t'aime aussi. Bisous." Répondit Sandy avant de ranger son téléphone.
Mais elle avait du mal à trouver le sommeil. Elle repensait aux événements récents.
Son jus recommençait à couler et elle dû se calmer en masturbant son clitoris exigeant.
Elle avait dit à Tom qu'il y avait un jeune noir bien bâti au travail. Des filles avaient noué des liens avec lui. Elles racontaient que le jeune noir était une affaire au lit. Tom semblait très excité quand elle lui a dit qu'elle y pensait.
Mais elle avait hâte que son mari revienne. Tyrone avait été bon mais ce n'était qu'un intérimaire jusqu'à ce que Tom rentre à la maison. Elle était impatiente de voir la vidéo et de la monter afin que son mari puisse la voir et la revoir en action.
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