La reine des verges
Récit érotique écrit par Malong [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2021 dans la catégorie A dormir debout
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La reine des verges
Ce matin peu après mon réveil, c'est un eunuque qui m'a donné du plaisir. Un bel eunuque androgyne à la peau luisante.
Je me suis réveillée excité. Des idées obscènes se bousculaient dans mon esprit. En réaction, je me liquéfiais plus bas. Je ne tenais plus.
À cet instant je ne voulais pas atteindre seul l'orgasme. Je n’avais pas envie de jouir seule. Il me fallait du contact. De la chaleur humaine.
Je n'ai pas eu besoin de parler pour que ce bel eunuque comprenne ce que j'attendais de lui. J'ai ouvert mes jambes et sa langue est venue se poser sur moi. Ce bellâtre émasculé m'a lapé comme un chaton devant une écuelle de lait.
Et puis j'ai bloqué cet objet vivant entre mes jambes. Une étreinte en ciseaux jusqu'à l'extase. Peut être même que je l’étouffais. Je ne sais pas. Mais c’était bon.
Je l'ai alors libéré pour aller me poser nue sur mon siège et boire. Cet orgasme m'avait donné soif. Je n’avais pas fini que déjà une femme esclave me peignait les cheveux. Lissant avec précaution la coiffe de mes vingt ans. Elle avait fini par orner le galbe de mon oreille d'une fleur de tiare. Le parfum enivrant de la fleur m'envahit délicatement.
Il me plaisait de me voir mon reflet dans le plateau en cuivre pendant qu'une autre esclave bien jeune me l'avait l'entre cuisse à l'eau tiède. Une vraie caresse de propreté. Ces gestes entre mes jambes ne m'aidait pas à rompre avec mon excitation. La température de l’éponge de mer sur mon sexe me rappelait la dernière verge qui avait profité de la lubrification de ma vulve et glisser entre mes grandes lèvres avant que mon vagin l'accueille. Ah oui. C’était le sexe de mon cousin. D'ailleurs un question m'obstinait, quand les hommes hommes allaient-ils rentrer?
Cette mémoire érotique orienta mon esprit et Je fis rire toutes mes aides en mimant une fellation avec une banane que j'engloutis. J’avais faim mais je la mangeais peu par dépit.
Ce souvenir me rappela que tous les hommes de mon rang étaient partis en campagne depuis plusieurs semaines. Ce n'était pas de sitôt que j'allais sentir en moi la vivacité d'un membre viril. Pourle moment j’étais seule etu je régentais le pays.
Je laissais dans ma chambre mon esprit de jeux et mes envies pour aller au conseil. Les gardes me devançaient dans les couloirs du palais où je dédaignais l'iconographie de l’histoire de mon arrière-grand-père. Si parfois je m'inclinais par respect, ce matin, je fi de le voir.
Je m'intronisais bientôt dans la salledu parlement où les affaires du pays m'attendaient. Les vieux sages, les grands prêtres étaient déjà dans la grande salle aux colonnes de pierre. Rien de particulier ne ressortis de cette assemblée, si ce n'est que l’armée qui n'accompagnait nos plus vaillants hommes s’enfonçaient d’avantage dans les terres éloignées.
Alors qu'ils rentrent, avais-je souhaité haut et fort.
Le grand prêtre s'y était farouchement opposé expliquant que les amulettes avaient parlé. Notre armée devait réduire nos voisins à l'esclavage. Nous avions besoin de bras et forces. Nous en manquions de cette dernière depuis le règne de mon arrière-grand-père qui a vu le départ précipité de ces êtres forts instruit qui étaient venus dans leur vaisseau pyramide de bien plus loin derrière Râ. Et depuis ce temps nous essayons de reproduire leurs vaisseaux, mais aucun ne se soulève pour rejoindre le ciel. Mon aïeul Ptolémée fut le premier à réaliser ces gigantesques travaux à Aoumet sans grand résultat.
Notre peuple avait déplacé des montagnes, mais la magie de ces êtres venus des étoiles nous ont été donné que partiellement.
Je ne comprenais pas grand-chose aux idées des prêtres. C’était pour moi des illuminés asexués. Mais tous les rapports des conseils convergeaient dans lemême sens. Les chantiers n’avançaient pas assez vite, il fallait du monde. Mon père Ptolémée 12 et son armée s'étaient enfoncée dans les terres pour répondre à la demande du grand prêtre. Aussi les démonstrations de bons présages se cumulaient. Les Greniers étaient pleins et les troupeaux étaient florissants.
La séance terminée je retournais à des intérêts bien plus personnels.
Avant que l'on m'embaume pour accédera u portail de l’au-delà, la vie m'accordait l'embellissement. Aussi tous les jours je me faisais belle au cas où la mort m'accueillerait dans l'instant. Jer etournais à mes appartements.
L'huile parfumée décuplait le ressenti du massage le transformant en une impression si agréable que la sensation ne manquait pas de me rappeler insidieusement l'orgasme du matin. Ce stimulus réactivait mon envie.
J'avais été satisfaite à mon réveil. Pourtant sous l’assaut de nouvelles pensées érotiques que me prodiguaient les douces palpation du massage. L’eunuque réalisait des palpé-roulés de mes flancs je sentais monté le désir à travers l'appel sexuel de mon bas ventre. Je glissais un doigt entre mes lèvres.J’étais mouillée. Mais j’avais toujours la même frustration qui voguait dansmon esprit. Le constat était que j'avais beau jouir comme je le souhaitais, ce que je voulais, ce que mon esprit attendait dans le fond de mes entrailles c'étaitr essentir une bonne pénétration. Un bon sexe d’homme manquait et tous lebmeilleur le plus habile doigt du royaume ne suffisaient plus. Pendant que cet eunuque aux mains douces comme les pétales de fleurs me caressaient, j'entreprenais la zone de mes délices. Je me masturbais.
L'eunuque voulait prendre part à la recherche de mon plaisir, mais je repoussais son allégeance. Ce que je voulais, là maintenant, il ne pouvait me le donner. Je voulais un membre. Un sexe gonflé. J'attendais qu'une dureté prenne possession de moi.
Ma reine, me dit-il, j'ai peut-être ce que tu désires.
Quoi ? La vie aurait donné des chaires. Allons parle ! Je m’impatientais. Tu es magicien ?
Il me pria de patienter. Il quitta la pièce pour revenir quelques instants plus tard avec un paquet qu'il me tendit à genoux en offrande.
Je dénouais les liens et m'empressais d'écarter l'étoffe du paquet qui laissa apparaître à un objet auquel je n'attendais pas.
Je ne connaissais pas. Un instant suffit pour que je comprenne ce que c’était. Surtout il n’était pas difficile de comprendre à quoi pouvait servir cet objet et ce que j’allais pouvoir tirer de cette création. Ce n’était pas un manche de sistre, c’était un magnifique phallus en bois d'ébène. C’était de belle façon. C’était doux. J'étais conquise. Une série de pensées positives me traversait l’esprit et je m’excitais davantage à l’idée d’utiliser cette nouveauté.
Le massage repris son cours. Je m'étais placée sur le ventre les mains sous la tête attendant avec un sourire satisfaisant la sentence émotionnelle.
Derrière moi dans une posture d’un jeu traite, je ne voyais pas ce que préparait l’esclave. Je projetais de nouvelles sensations qui me condamnant pour le moment à me fondre dans la volupté d’Hathor la déesse de l’amour.
J’appréhendais le premier contact avec cette chose nouvelle. L’excitation était là . L'eunuque appliqua une huile qui me chauffait la croupe et l’anus. Ses mains remontaient sur mes reins et redescendaient par le sillon de mes fesses jusqu’à mon entre cuisses. Je me laissais conduire vers l’extase.
L’eunuque introduit un doigt dans mon vagin pour remonter légèrement ma cambrure. Les yeux fermés je sentais bientôt une dureté. Ce n’était plus une main, c’était l'objet du plaisir qui glissait contre mon clitoris. C’était dur, mais Le geste expert était fait de précision rendait l’objet d’une telle douceur que je remontais un peu plus mon bassin pour mieux présenter ma croupe. Puis l'objet se retrouva bientôt en moi.
Enfin le va-et-vient stimula mon plaisir jusqu’à jouir. Je ne le retenais pas.
Je me suis réveillée excité. Des idées obscènes se bousculaient dans mon esprit. En réaction, je me liquéfiais plus bas. Je ne tenais plus.
À cet instant je ne voulais pas atteindre seul l'orgasme. Je n’avais pas envie de jouir seule. Il me fallait du contact. De la chaleur humaine.
Je n'ai pas eu besoin de parler pour que ce bel eunuque comprenne ce que j'attendais de lui. J'ai ouvert mes jambes et sa langue est venue se poser sur moi. Ce bellâtre émasculé m'a lapé comme un chaton devant une écuelle de lait.
Et puis j'ai bloqué cet objet vivant entre mes jambes. Une étreinte en ciseaux jusqu'à l'extase. Peut être même que je l’étouffais. Je ne sais pas. Mais c’était bon.
Je l'ai alors libéré pour aller me poser nue sur mon siège et boire. Cet orgasme m'avait donné soif. Je n’avais pas fini que déjà une femme esclave me peignait les cheveux. Lissant avec précaution la coiffe de mes vingt ans. Elle avait fini par orner le galbe de mon oreille d'une fleur de tiare. Le parfum enivrant de la fleur m'envahit délicatement.
Il me plaisait de me voir mon reflet dans le plateau en cuivre pendant qu'une autre esclave bien jeune me l'avait l'entre cuisse à l'eau tiède. Une vraie caresse de propreté. Ces gestes entre mes jambes ne m'aidait pas à rompre avec mon excitation. La température de l’éponge de mer sur mon sexe me rappelait la dernière verge qui avait profité de la lubrification de ma vulve et glisser entre mes grandes lèvres avant que mon vagin l'accueille. Ah oui. C’était le sexe de mon cousin. D'ailleurs un question m'obstinait, quand les hommes hommes allaient-ils rentrer?
Cette mémoire érotique orienta mon esprit et Je fis rire toutes mes aides en mimant une fellation avec une banane que j'engloutis. J’avais faim mais je la mangeais peu par dépit.
Ce souvenir me rappela que tous les hommes de mon rang étaient partis en campagne depuis plusieurs semaines. Ce n'était pas de sitôt que j'allais sentir en moi la vivacité d'un membre viril. Pourle moment j’étais seule etu je régentais le pays.
Je laissais dans ma chambre mon esprit de jeux et mes envies pour aller au conseil. Les gardes me devançaient dans les couloirs du palais où je dédaignais l'iconographie de l’histoire de mon arrière-grand-père. Si parfois je m'inclinais par respect, ce matin, je fi de le voir.
Je m'intronisais bientôt dans la salledu parlement où les affaires du pays m'attendaient. Les vieux sages, les grands prêtres étaient déjà dans la grande salle aux colonnes de pierre. Rien de particulier ne ressortis de cette assemblée, si ce n'est que l’armée qui n'accompagnait nos plus vaillants hommes s’enfonçaient d’avantage dans les terres éloignées.
Alors qu'ils rentrent, avais-je souhaité haut et fort.
Le grand prêtre s'y était farouchement opposé expliquant que les amulettes avaient parlé. Notre armée devait réduire nos voisins à l'esclavage. Nous avions besoin de bras et forces. Nous en manquions de cette dernière depuis le règne de mon arrière-grand-père qui a vu le départ précipité de ces êtres forts instruit qui étaient venus dans leur vaisseau pyramide de bien plus loin derrière Râ. Et depuis ce temps nous essayons de reproduire leurs vaisseaux, mais aucun ne se soulève pour rejoindre le ciel. Mon aïeul Ptolémée fut le premier à réaliser ces gigantesques travaux à Aoumet sans grand résultat.
Notre peuple avait déplacé des montagnes, mais la magie de ces êtres venus des étoiles nous ont été donné que partiellement.
Je ne comprenais pas grand-chose aux idées des prêtres. C’était pour moi des illuminés asexués. Mais tous les rapports des conseils convergeaient dans lemême sens. Les chantiers n’avançaient pas assez vite, il fallait du monde. Mon père Ptolémée 12 et son armée s'étaient enfoncée dans les terres pour répondre à la demande du grand prêtre. Aussi les démonstrations de bons présages se cumulaient. Les Greniers étaient pleins et les troupeaux étaient florissants.
La séance terminée je retournais à des intérêts bien plus personnels.
Avant que l'on m'embaume pour accédera u portail de l’au-delà, la vie m'accordait l'embellissement. Aussi tous les jours je me faisais belle au cas où la mort m'accueillerait dans l'instant. Jer etournais à mes appartements.
L'huile parfumée décuplait le ressenti du massage le transformant en une impression si agréable que la sensation ne manquait pas de me rappeler insidieusement l'orgasme du matin. Ce stimulus réactivait mon envie.
J'avais été satisfaite à mon réveil. Pourtant sous l’assaut de nouvelles pensées érotiques que me prodiguaient les douces palpation du massage. L’eunuque réalisait des palpé-roulés de mes flancs je sentais monté le désir à travers l'appel sexuel de mon bas ventre. Je glissais un doigt entre mes lèvres.J’étais mouillée. Mais j’avais toujours la même frustration qui voguait dansmon esprit. Le constat était que j'avais beau jouir comme je le souhaitais, ce que je voulais, ce que mon esprit attendait dans le fond de mes entrailles c'étaitr essentir une bonne pénétration. Un bon sexe d’homme manquait et tous lebmeilleur le plus habile doigt du royaume ne suffisaient plus. Pendant que cet eunuque aux mains douces comme les pétales de fleurs me caressaient, j'entreprenais la zone de mes délices. Je me masturbais.
L'eunuque voulait prendre part à la recherche de mon plaisir, mais je repoussais son allégeance. Ce que je voulais, là maintenant, il ne pouvait me le donner. Je voulais un membre. Un sexe gonflé. J'attendais qu'une dureté prenne possession de moi.
Ma reine, me dit-il, j'ai peut-être ce que tu désires.
Quoi ? La vie aurait donné des chaires. Allons parle ! Je m’impatientais. Tu es magicien ?
Il me pria de patienter. Il quitta la pièce pour revenir quelques instants plus tard avec un paquet qu'il me tendit à genoux en offrande.
Je dénouais les liens et m'empressais d'écarter l'étoffe du paquet qui laissa apparaître à un objet auquel je n'attendais pas.
Je ne connaissais pas. Un instant suffit pour que je comprenne ce que c’était. Surtout il n’était pas difficile de comprendre à quoi pouvait servir cet objet et ce que j’allais pouvoir tirer de cette création. Ce n’était pas un manche de sistre, c’était un magnifique phallus en bois d'ébène. C’était de belle façon. C’était doux. J'étais conquise. Une série de pensées positives me traversait l’esprit et je m’excitais davantage à l’idée d’utiliser cette nouveauté.
Le massage repris son cours. Je m'étais placée sur le ventre les mains sous la tête attendant avec un sourire satisfaisant la sentence émotionnelle.
Derrière moi dans une posture d’un jeu traite, je ne voyais pas ce que préparait l’esclave. Je projetais de nouvelles sensations qui me condamnant pour le moment à me fondre dans la volupté d’Hathor la déesse de l’amour.
J’appréhendais le premier contact avec cette chose nouvelle. L’excitation était là . L'eunuque appliqua une huile qui me chauffait la croupe et l’anus. Ses mains remontaient sur mes reins et redescendaient par le sillon de mes fesses jusqu’à mon entre cuisses. Je me laissais conduire vers l’extase.
L’eunuque introduit un doigt dans mon vagin pour remonter légèrement ma cambrure. Les yeux fermés je sentais bientôt une dureté. Ce n’était plus une main, c’était l'objet du plaisir qui glissait contre mon clitoris. C’était dur, mais Le geste expert était fait de précision rendait l’objet d’une telle douceur que je remontais un peu plus mon bassin pour mieux présenter ma croupe. Puis l'objet se retrouva bientôt en moi.
Enfin le va-et-vient stimula mon plaisir jusqu’à jouir. Je ne le retenais pas.
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