La remplaçante mon premier amour. (4)
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La remplaçante mon premier amour. (4)
Un chantage inattendu.
Cela faisait une semaine que la journée 'portes ouvertes' était terminée et depuis Marc et Fanny n'avaient su se voir que brièvement à quelques reprises. Les deux heures de cours avait été assez difficile pour l'un et l'autre, elle devait rester distante pour ne pas éveiller les soupçons et lui ne pouvait pas s'empêcher de la regarder, de la déshabiller du regard. Elle partageait son envie et cela la faisait mouiller alors que quand elle passait à sa hauteur, elle voyait distinctement une bosse déformer son entre-jambe. Ce n'est que discrètement après les cours qu'ils se retrouvaient dans le bois pour partager un bref moment ensemble. L’occasion de s'embrasser, de se caresser, mais pas plus puisque Marc ne devait pas rater son train. Ils n'avaient pas pu se voir le week-end, le seul contact était le GSM, les messages et quelques photos érotiques, juste de quoi pourvoir chacun de leur côté se masturber dans l'attente de retrouvailles plus intimes.
Le lundi suivant fut plus particulier, Pierre était venu s'asseoir près de Marc alors qu'il ne lui parlait plus depuis plusieurs semaines. Mais tout se précisa à la pause de 10 h 00 juste avant le cours avec Mlle Cyka. Pierre prit Marc à part et lui demanda de visionner un montage qu'il avait fait et dans un esprit d’apaisement, il accepta ne sachant pas de quoi il s'agissait. Pierre lança la vidéo sur son GSM et ça commençait par une balade dans les bois jusqu'à ce que le cinéaste su faufile dans un buisson et enregistre deux personnes, au pied d'un arbre en plein ébats amoureux. On ne les reconnaissait pas, mais Marc savait. C'était Fanny et lui le week-end passé lorsqu'ils avaient fait l'amour. Maintenant, il se rappelait ces bruits qu'avait entendus Fanny et qu'il avait prit pour des animaux, de cette sensation d'être suivi qu'il avait encore une fois attribué à la faune locale. Mais non, c'était lui, Pierre, caché dans les fourrés qui les espionnait.
« On ne voit pas qui c'est, mais peut-être as-tu une idée ? » Lui demanda Pierre !
Marc hésitait, on ne les reconnaissaient pas, mais Pierre avait dit que c'était un montage ! Peut-être que sur le reste, on les reconnaissait ? Il ne savait pas et il se tourna vers Pierre :« Pourquoi tu me montre cela, pourquoi crois-tu que je sais qui c'est ? »« Je pensais que tu pourrais m'aider à les identifier, cela m'éviterai de poster toute la vidéo et de poser la question sur internet ! »Il n'y avait plus de doute, il savait que c'était eux, lui et Fanny. Que voulait-il ? Si c'était par simple vengeance il aurait diffusé la vidéo sans lui offrir une possibilité de l'éviter !?
« Laisse-moi le temps d'y réfléchir ! »« OK, tu as jusqu'à midi, ensuite je poste la vidéo originale. »« Mais que veux-tu ? »« Après le cours de Physique, je crois d’ailleurs qu'il serait approprié que tu en parle avec quelqu'un d'autre. »Pierre reprit son GSM et s'éloigna. Il allait devoir en parler avec Fanny, mais comment lui dire ? Comment allait-elle réagir ? Mais surtout le plus important que voulait Pierre en lui montrant cette vidéo ? Il n'avait pas le choix. La pause finie, il se presse pour être le premier à entrer et il demande à Fanny de lui parler deux minutes en privé, c'est urgent ! Elle demande aux autres de s'installer, elle en à pour deux minutes et ils sortent dans le couloir. Ils sont seuls et il lui explique ce qui vient de se passer, la vidéo, Pierre, ses questions et ils veut une réponse pour midi.
« Je croit qu'il veut nous voir tous les deux, pour le reste, je n'en sais rien. Qu'allons-nous faire ? »Elle était devenue blanche, elle imaginait sa carrière terminée, sa réputation salie et leur amour brisé.
« Je... Je ne sais pas. Comment... comment es-ce possible ? On est perdu ! »Elle était morte de peur, il vit des larmes couler sur ses joues et essaya de la rassurer, pas facile dans les circonstances actuelles. Passant sa main sur ses joues pour en effacer les larmes, il lui dit :« Ça va aller, mon cœur, on va d'abord le voir et demander ce qu'il veut, ensuite on avisera. Maintenant cesse de pleurer, tu va donner cours et je m'occupe de Pierre. »Ils rentrèrent en classe, Fanny chercha Pierre et quand elle le vu, elle le fusilla du regard. Il ne réagit pas si ce n'est en lui adressant un grand sourire et prenant son GSM le rangea dans son sac. Fanny donna son cours avec difficulté, elle proposa d’ailleurs à la classe de prendre leur classeur et de réviser pour les examens qui approchaient. S’ils avaient des questions elle viendrai leur expliquer. C'était la meilleure solution pour avoir la paix, elle savais que personne ne poserait de questions. Elle allait simplement devoir les surveiller. L'heure passa lentement, très lentement et quand la cloche sonna elle se retrouva seule attendant que Marc vienne la chercher. Lui de son côté alla trouver Pierre et lui proposa de parler de la vidéo sur le temps de midi, Mlle Cyka viendrai avec lui.
Midi dix, Marc et Fanny retrouve Pierre à l'extérieur de l'école, ils se mettent à l'écart et elle lui demande de voir la vidéo originale.
« Pas de problème Mlle Cyka, mais accrochez-vous, elle est plutôt hard. Quand je l'ai filmée, je n'ai pu m'empêcher de me branler et je vous assure que je n'ai pas tenu longtemps avant de décharger dans les buissons. »Il lui tendit son GSM et elle regarda la vidéo en question. Il était évident qu'on les reconnaissait et que si elle était diffusée elle et Marc auraient de sérieux problèmes.
Mais peut-être avait-il une solution, elle pourrait essayer de lui faire peur ?
« Tu sais, petit malin, que si tu diffuse cette vidéo tu risque de sérieux problème avec la justice ? »« Je sais, atteinte à l'image, diffusion d'images sans autorisation et plus encore, mais je m'en fou. Je n'ai plus rien à perdre, à cause de vous, je sais que mon année est ratée, mes parents m'ont supprimé mon argent de poche, ma console de jeux et je suis interdit de vacances cet été. »« Oui si tu fais cela, c'est la justice qui va s'en mêler ! »« Rien à foutre, je suis à peine majeur et sans antécédents, qu'est-ce que je risque ? Une peine avec sursis, voir une peine de travaux généraux ? Et alors qu'est-ce que c'est en comparaison de ce que vous risquez de perdre si cette vidéo se retrouve sur internet ? En plus quand ma peine sera faite, on oubliera vite ce que j'ai fais, mais la vidéo, il sera impossible de l'effacer. Dans dix ans on pourra toujours vous reconnaître. »Sa ruse n'avait pas marché et il avait raison, ils avaient beaucoup plus à perdre que lui. Car même s’il était condamné, elle perdrait son boulot pour avoir eu des relations affectives et sexuelles avec un élève. Mais que voulait-il ?
« Mais que veux-tu ? Tu sais que Mlle Cyka ne peut rien pour ton année. »« Je sais et elle ne peut rien pour les sanctions prises par mes parents. Alors vous allez devoir payer autrement. »« Et quand on aura payé, qu'est-ce qui nous prouve que tu ne continuera pas à nous faire chanter ? »« Justement j'y viens. Ce que l'on va faire, sera filmé et si je venais à diffuser cette vidéo ou tout autres, je me tirerai une balle dans le pied puisque je serai impliqué. »Fanny et Marc se regardèrent, mais que veut-il ?
« Marc tu vas filmer la nuit que je vais passer à baiser Mlle Cyka. »« C'est hors de question que tu la touche! Tu comprends, tu ne la baisera pas. »« C'est d'accord, je passe une nuit avec toi et on n'en parle plus. »Marc n'en revenait pas de ce qu'elle venait de dire. Elle acceptait, mais pourquoi ?
« Qu'est-ce que tu raconte? Il n'en n'est pas question. »« On n'a pas le choix, ça me dégoûte rien que d'y penser, mais c'est la seule solution. »Elle était résignée, mais surtout consciente qu'il n'y avait pas d'autre possibilité ou alors peut-être le tuer. Mais c'était inenvisageable, ils devaient choisir le moindre mal.
« Comment veux-tu que l'on organise cette nuit ? »« Je vous observe depuis une semaine et je sais que tu as un appartement pas loin. Marc et moi on va prétexter à nos parents que l'on passe le week-end chez l'autre et samedi matin tu nous accueillera chez toi. Une dernière chose, depuis le moment où tu m'ouvrira la porte jusqu'à ce que je quitte ton appartement, tu devras rester nue. »Marc bouillais de rage, s'il avait pu, Pierre serait mort. Mais Fanny accepta à contre cœur. Elle savait qu'elle n'avait pas le choix, elle allait se prostituer pour éviter les conséquences d'un moment, certes mémorable, mais inconscient. Elle ne remettait pas en question sa relation avec Marc, mais le manque de prudence dont ils avaient fait preuve. En plus elle savait que si elle allait payer physiquement cette erreur, Marc lui allait moralement être meurtri voir anéanti. Il allait filmer, il serait obligé de la voir se faire prendre par un autre et pire, ils ne savaient quelles allaient être les exigences sexuelles de Pierre. Une fellation, un cunnilingus, un 69, une pénétration, une sodomie, le masturber, avaler son sperme, il pouvaient tout lui demander et elle devrait accepter.
Ils s'organisèrent, mais le restant de la semaine fut difficile, la présence de Pierre rappelant constamment le week-end à venir. En plus ni elle ni lui n'avait l'esprit à faire l'amour cela rappelait aussi ce qui les attendaient. Ils s’embrassèrent bien quelques fois discrètement, mais cette vidéo les avaient rendus suspicieux et ils voyaient partout caché un éventuel maître chanteur. Une vraie semaine de merde. Mais le jour fatidique arriva.
Samedi matin, 7 h 00, Fanny avait été chercher Marc et ils n'attendaient pas Pierre avant 17 h00. Ils discutèrent, elle se sentait mal, elle vivait cela comme un viol programmé. Qu'est-ce Marc penserai d'elle quand ce serai fini ? Voudrait-il encore la voir ? Voudrait-il encore lui faire l'amour ? Lui s'efforça de la réconforter, mais jamais il ne lui dit' Ce n'est rien'. Il savait ce qu'elle avait accepté de faire pour eux et s'il avait pu il aurai accepté de se sacrifier pour lui épargner cette épreuve. Ils passèrent la journée blottis l'un contre l'autre et il tenta de prendre sur lui une partie de la culpabilité qu'elle ressentait.
16 h 45.
« Je vais me déshabiller ! Mon amour, promets-moi que rien ne va changer entre nous, j'ai tellement peur de te perdre ! »« Promit mon cœur, mais si ça ne va pas, je peux lui dire que tu n'est pas bien ! »« Et remettre à plus tard ? Non, on va devoir de toute façon payer pour notre imprudence, alors autant que ce soit tout de suite. »Elle parti dans la salle de bain et on frappa à la porte. Elle accouru nue.
« Laisse, c'est moi qui doit lui ouvrir, je ne voudrait pas qu'il trouve à redire sur les clause d’un contrat. »Elle ouvrit la porte, fit entrer Pierre et referma derrière lui.
« Bonjour les amoureux. Ah Marc, tu es déjà là ? Tu as passé la nuit ici, tu voulais réchauffer ma place ? »Marc fulminait, il allait l'étrangler, mais Fanny s'interposa essayant de la raisonner.
« Mon amour, tu sais qu'il dit ça pour te faire enrager, ne rentre pas dans son jeu ! S'il te plaît ne me rends pas la tâche plus difficile ! »Heureusement qu'elle était là, heureusement qu'il tenait à elle plus qu'à lui-même, sinon Pierre serait mort à l'heure actuelle.
« Wahou, 'Mon amour' et toi tu l’appelle comment ? 'Ma petite chatte', 'Mon minou' ? »« Pierre arrête, on a un marché. Je passe cette nuit avec toi pour que tu me baise, mais c'est tout, on n'est pas obligé d'entendre tes sarcasmes. »« Ok, j'arrête ! Mais bon dieu que tu es excitante. Une poitrine bien ferme, des tétons bien ronds, un ventre plat, de belles longues jambes, des fesses bien rondes et une chatte bien épilée... »« Arrête tu n'es pas venu pour acheter une esclave, elle n'est pas à vendre. »« Je comprend mon ami que tu es jaloux j'espère que je vais prendre autant de plaisir que toi à me faire cette déesse grecque ! »« Je ne suis PAS ton ami ! Et j'espère que ta petite bite n'aura pas la force de se redresser. »« Pour cela ne t'inquiète pas, et même si ça devait être le cas, il y a beaucoup d'autre façon de prendre son pied avec une salope. »« Pierre tu dépasse les bornes ! »« Ah bon, pourtant j'ai fais quelques recherches et Mlle, il me semble que Cyka est du russe ? Et si je ne me trompe pas cela se traduit par 'salope' »Elle ne répondit pas, mais regarda Marc et baissa les yeux, elle savait qu'il avait raison et était honteuse. Mais cela n'alla pas plus loin Pierre prenant la direction des choses, il donna une caméra à Marc, lui expliqua son fonctionnement. Il se tourna ensuite vers Fanny.
« Alors 'Salope' tu me montre la salle de bain, ensuite nous passerons dans la chambre. »Elle l'accompagna, il se déshabilla devant elle, mais elle n'avait pas envie de regarder et détourna le regard.
« Non... non... tu regardes et même tu viens ici me sucer pour me mettre en condition. Et toi tu filme tout, c'est votre garantie. »Elle s'obligea à le regarder, il était nu, un peu plus petit que Marc, mais avec un peu plus de carrure. Son torse, mais aussi tout son corps était poilu. Ses jambes musclées et ses abdominaux assez bien développés. Il était un peu plus athlétique que Marc. Pour finir son sexe, il bandait, elle ne savait pas s’il était à son maximum et elle avait du mal à en estimer la taille tant il avait des poils sur le pubis. Elle le prit, glissa sa main jusqu'à sa base et put estimer à 15... 16... 17... non 18 cm sa taille. Elle allait devoir essayer de ne pas le comparer à celui de Marc, pour lui, elle se devait de jouir le moins possible, de prendre le moins de plaisir possible et ce même si le sexe avait pour but d'en procurer le plus possible. Elle se devait de préserver sont amour-propre et elle sa dignité.
« Alors, tu me la suce cette bite. Où peut-être te faut-il le temps de t'habituer à sa taille. Ce n'est pas tous les jours que tu dois en voir une de cette taille ? »Elle devait choisir, la sucer normalement en le confortant dans la confiance qu'il avait dans son sexe ou lui faire une gorge profonde pour lui montrer qu'elle avait l'habitude de cette taille et peut-être même plus grande. Le risque était que Marc qui filmait tout crois qu'elle se donnait entièrement à Pierre. Elle fit le choix de la gorge profonde et enfonça cette queue dans sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres se perdent dans sa toison brune. Elle avait réussi à la prendre en entier et il n'était pas au fond, presque, mais pas au fond. Elle la ressorti et fièrement dit :« Désolé je ne pourrais pas te faire une gorge profonde, elle n'est pas assez grande ! »Elle regarda Marc du coin de l’œil et vit qu'il esquissait un petit sourire. Elle avait gagné le premier round, mais le match ne faisait que commencer. Pierre avait été piqué dans sa virilité et ne comptait pas en reste là. Il prit la tête de Fanny entre ses mains et se servi de sa bouche comme d'un vagin. Elle n'avait aucun contrôle sur ce qui se passait. Pierre était tellement vexé par la remarque qu'il voulait lui montrer ce dont il était capable, mais ce fut une erreur de sa part. Il s'activa tellement vite qu'il oublia de se maîtriser et en pins de deux minutes, il jouis dans sa bouche. Dans un premier temps il fut fier de sa performance, mais quand Fanny eut tout avalé, elle s'exclama :« Quoi déjà ! »Il se rendit compte de son erreur et la poussa en arrière la faisant tomber sur le carrelage de la salle de bain. Marc voulu se précipiter pur la relever et dire à Pierre ce qu'il pensait de lui, mais il fut stoppé dans son élan quand on lui intimât l'ordre :« Toi tu reste là, ton boulot, c'est de filmer ! Je n'en n'ai pas fini avec elle ! »Pierre était pitoyable, il venait de se prendre deux claques de Fanny et il voyait sa bite pendante entre ses jambes. Que pouvait-il faire pour ne pas perdre la face ? Une idée lui traversa l'esprit, il se fit conduire dans la chambre et pour commencer ordonna à Fanny de lui nettoyer la bite et si elle en était capable de le refaire bander. Elle s'agenouilla nouveau et cette fois dut faire preuve de toute son expérience pour que cette bite retrouve de la vigueur, mais elle y arriva. Il bandait, mais rien de comparable avec ce qu'elle devinait dans le pantalon de Marc. Est-ce que ça l'exciterait de savoir qu'elle allait se faire prendre par un autre ? Non, pas possible il était trop jaloux. C'est sûrement la voir elle qui l'excitait tant. Ses pensées furent interrompues par Pierre qui la souleva et la jeta sur le lit. Il ouvrit les armoires à la recherche de draps et l'attacha bras et jambes écartées sur le lit. Pierre se tourna vers Marc et du regard le nargua. Il monta sur le lit, se glissa entre les jambes de Fanny et lui lécha la chatte, lui suça le clito. Elle devait avouer il était plutôt doué dans cet exercice et elle allait avoir difficile de ne pas jouir. Il sentait maintenant qu'il prenait l'ascendant sur elle, il pouvait la contrôler. Elle jouira quand il l'aura décidé. Elle commençait d’ailleurs à gémir et sentant le plaisir monter, elle chercha de la force dans le regard de Marc. Mais c'était trop fort, Pierre savait comment faire et elle était attachée, elle ne pouvait rien faire. Mais elle s'en voulu quand elle cria :« Oh oui... encore... ouiii... je sens que ça vient... je... je jouiiiis !!! »Elle avait perdu tout contrôle et s'était laissée submergée par son premier orgasme de la soirée. Elle s'en voulait de lire de la tristesse dans le regard de son amour. Mais elle n'avait rien sur faire, c'était trop fort, trop bon, il l'avait fait jouir.
Deux à un, Pierre remonte tout comme sa fierté.
Qu'allait-il inventer maintenant ? Elle était trempée suite à cet orgasme et il voulait en profiter. La bite tendue, il s'avança vers son entre-jambe et se couchant sur elle s'enfonça dans doucement dans son vagin. Il voulait qu'elle et surtout Marc profite de cette vision, sa bite entrant sans résistance dans l'intimité de Mlle Cyka.
« Wahou, qu'est-ce qu'elle mouille ! Tu entends ce bruit de succion quand j'entre et ressort de cette chatte douce et chaude ? »Marc savais qu'il s'adressait à lui, mais fit semblant de rien. Il se sentait impuissant alors que la femme qu'il aimait devait accepter de se faire baiser contre sa volonté, et ce, pour éviter les conséquences d'une erreur dont il était en partie responsable. Il savait qu'elle faisait son possible pour l'épargner, mais il était conscient qu'elle ne pourrait pas toujours se contrôler face aux assauts de Pierre. Il aurait voulu lui dire, lui faire comprendre d'un regard, mais déjà elle perdait le contrôle. Elle venait de jouir et voilà que Pierre la baissait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Et il doit le reconnaître il était bien monté pour satisfaire n'importe quelle femme.
Pierre se connaissait, il savait que puisqu'il avait déjà jouis, il faudrait du temps pour qu'il éjacule une seconde fois. Il en profita pour se donner à fond et ça commençait à payer, elle gémissait à nouveau et bien qu'il savait qu'elle faisait tout pour ne pas jouir, elle ne pourrait pas le faire indéfiniment. Au bout de dix minutes, les gémissements devenaient petit à petit de plus en plus fort.
Marc avait pitié d'elle, tous ces efforts pour qu'il ne croit pas qu'elle aimait faire l'amour avec un autre. IL se décida à la libérer de ce fardeau.
« Mon amour, laisse-toi aller, je sais que c'est moi que tu aimes ! S'il te plaît ne te retiens pas, donne lui ce qu'il veut. Ça me fait mal que tu souffre à cause de moi. »Elle se tourna et vu des larmes couler le long de ses joues. Il pleurait de la voir ainsi offerte, il pleurait qu'elle se culpabilise à chaque fois qu'elle avait du plaisir avec Pierre. Il la libérait de prendre soin de son amour-propre. Elle s’épuisait en essayant de garder le contrôle de son corps, elle allait pouvoir se libérer. Certes elle ne cherchera pas à donner du plaisir à leur bourreau, mais maintenant, elle pouvait se laisser aller. Non pas profiter, mais ne plus résister au plaisir qui l'envahissait. Elle se sentait redevable de cette liberté qu'il lui donnait.
« C'est ça salope, jouis, prend ton pied pendant que je te défonce la chatte. Mais gardes en en réserve pour quand je vais t'éclater la rondelle. »L'orgasme qui avait commencé à l'envahir venait tout à coup de retomber, de disparaître. De savoir qu'elle allait se faire sodomiser par cette brute, d'imaginer la violence dont il allait faire preuve la terrifiait. Son soulagement avait été de courte durée.
On peut considérer que Pierre venait de marquer un second point. Deux à deux.
« Alors salope, tu vas jouir ? J'espère que je ne suis pas tombé sur la seule meuf frigide du coin !? »Au bout d'un quart d'heure, elle n'avait toujours pas jouis, l'image de la queue de Pierre dans son cul faisait barrage. Cela ne plut pas à leur tortionnaire et il décida de la punir. Il arrêta de lui baiser la chatte et s'installa pour un 69, mais au lieu de se pencher pour lui lécher la chatte et de lui enfoncer sa bite dans la bouche, avec ses mains, il s'écarta les fesses et posa sa rondelle sur sa bouche.
« Je vais explorer ton cul avec ma bite, tu devrais peut-être en faire de même ? Mais comme tu n'as pas de membre viril, c'est ta langue que tu vas enfoncer. D'abord commence par me lécher la rondelle et quand je te le dirai, tu enfoncera ta langue dans mon cul.
Petit à petit Pierre commençait à prendre le dessus, il devenait évident qu'elle allait devoir se soumettre et lui donner ce qu'il voulait. Elle s’exécuta et entreprit de lui caresser la rondelle avec sa langue. Cela la dégouttait, imaginer qu'il déféquait par cet orifice et qu'elle devait maintenant le nettoyer avec sa langue et après elle devra l'y enfoncer, elle en avait des haut-le-cœur. Mais petit à petit elle y prenait goût, l'odeur âcre ne la dérangeait pas plus que ça et elle supposait qu'il l'avait méticuleusement lavé avant de vernir. Maintenant elle allait devoir y enfoncer sa langue, elle se lança et encore une fois, elle fut surprise de ne pas être plus dégoûtée. En plus elle devait être douée car elle reçu des compliments de Pierre. Quand il estima qu'elle en avait assez fait, il se recula et se pencha pour cette fois qu'ils puissent se faire jouir avec un 69 qui fut long et savamment dirigé Par Pierre. Cette fois, il avait su se contrôler et elle avait dû jouir à trois reprises avant qu'il ne se retire et éjacule sur ses seins. Pierre fier, la détache et lui ordonne de récupérer le sperme et de lui montrer qu'elle aime l'avaler. Elle se redressa et habillement, elle racla toute cette semence qui lui recouvrait la poitrine et porta ses doigts à sa bouche avant de les lécher sensuellement.
« Maintenant tu vas me nettoyer la bite. »Elle se pencha et lui lécha le gland avant d'en aspirer les quelques gouttes restant. Elle s'attendait à maintenant se faire sodomiser, mais quel ne fut pas surprise quand Pierre décréta qu'il était tard et qu'il ne tirerait plus rien de bon de d'elle. Il se rhabilla, reprit la caméra, sortit la carte et la tendit à Marc.
« Tien, voilà de quoi t'apprendre comment dresser une femme. »Il était 02 h 00, mais ni lui ni nous ne voulions qu'il reste jusqu'au matin et c'est avec joie que Marc l'a raccompagné à la porte le temps que Fanny se remette de cette soirée pour le moi éprouvante pour elle tant physiquement que psychologiquement.
De retour à ses côtés, il lui apporta une chemise de nuit pour qu'elle se couvre et la prit dans ses bras pour lui témoigner son soutien et son amour. Il n'avait pas l'intention de profiter d'elle et ce même s’il avait été excité toute la soirée sans pouvoir se soulager. Ce n'est pas de cela qu'elle avait besoin, mais bien de sa présence et de mots rassurants. Étant couvert il allait passer la nuit couché la tenant dans ses bras. La seule chose qu'il s'autorisait, c'était quelques petits bisous dans le cou. Elle se senti rassurée et lui aussi alors qu'il s'endormirent.
À suivre...
Cela faisait une semaine que la journée 'portes ouvertes' était terminée et depuis Marc et Fanny n'avaient su se voir que brièvement à quelques reprises. Les deux heures de cours avait été assez difficile pour l'un et l'autre, elle devait rester distante pour ne pas éveiller les soupçons et lui ne pouvait pas s'empêcher de la regarder, de la déshabiller du regard. Elle partageait son envie et cela la faisait mouiller alors que quand elle passait à sa hauteur, elle voyait distinctement une bosse déformer son entre-jambe. Ce n'est que discrètement après les cours qu'ils se retrouvaient dans le bois pour partager un bref moment ensemble. L’occasion de s'embrasser, de se caresser, mais pas plus puisque Marc ne devait pas rater son train. Ils n'avaient pas pu se voir le week-end, le seul contact était le GSM, les messages et quelques photos érotiques, juste de quoi pourvoir chacun de leur côté se masturber dans l'attente de retrouvailles plus intimes.
Le lundi suivant fut plus particulier, Pierre était venu s'asseoir près de Marc alors qu'il ne lui parlait plus depuis plusieurs semaines. Mais tout se précisa à la pause de 10 h 00 juste avant le cours avec Mlle Cyka. Pierre prit Marc à part et lui demanda de visionner un montage qu'il avait fait et dans un esprit d’apaisement, il accepta ne sachant pas de quoi il s'agissait. Pierre lança la vidéo sur son GSM et ça commençait par une balade dans les bois jusqu'à ce que le cinéaste su faufile dans un buisson et enregistre deux personnes, au pied d'un arbre en plein ébats amoureux. On ne les reconnaissait pas, mais Marc savait. C'était Fanny et lui le week-end passé lorsqu'ils avaient fait l'amour. Maintenant, il se rappelait ces bruits qu'avait entendus Fanny et qu'il avait prit pour des animaux, de cette sensation d'être suivi qu'il avait encore une fois attribué à la faune locale. Mais non, c'était lui, Pierre, caché dans les fourrés qui les espionnait.
« On ne voit pas qui c'est, mais peut-être as-tu une idée ? » Lui demanda Pierre !
Marc hésitait, on ne les reconnaissaient pas, mais Pierre avait dit que c'était un montage ! Peut-être que sur le reste, on les reconnaissait ? Il ne savait pas et il se tourna vers Pierre :« Pourquoi tu me montre cela, pourquoi crois-tu que je sais qui c'est ? »« Je pensais que tu pourrais m'aider à les identifier, cela m'éviterai de poster toute la vidéo et de poser la question sur internet ! »Il n'y avait plus de doute, il savait que c'était eux, lui et Fanny. Que voulait-il ? Si c'était par simple vengeance il aurait diffusé la vidéo sans lui offrir une possibilité de l'éviter !?
« Laisse-moi le temps d'y réfléchir ! »« OK, tu as jusqu'à midi, ensuite je poste la vidéo originale. »« Mais que veux-tu ? »« Après le cours de Physique, je crois d’ailleurs qu'il serait approprié que tu en parle avec quelqu'un d'autre. »Pierre reprit son GSM et s'éloigna. Il allait devoir en parler avec Fanny, mais comment lui dire ? Comment allait-elle réagir ? Mais surtout le plus important que voulait Pierre en lui montrant cette vidéo ? Il n'avait pas le choix. La pause finie, il se presse pour être le premier à entrer et il demande à Fanny de lui parler deux minutes en privé, c'est urgent ! Elle demande aux autres de s'installer, elle en à pour deux minutes et ils sortent dans le couloir. Ils sont seuls et il lui explique ce qui vient de se passer, la vidéo, Pierre, ses questions et ils veut une réponse pour midi.
« Je croit qu'il veut nous voir tous les deux, pour le reste, je n'en sais rien. Qu'allons-nous faire ? »Elle était devenue blanche, elle imaginait sa carrière terminée, sa réputation salie et leur amour brisé.
« Je... Je ne sais pas. Comment... comment es-ce possible ? On est perdu ! »Elle était morte de peur, il vit des larmes couler sur ses joues et essaya de la rassurer, pas facile dans les circonstances actuelles. Passant sa main sur ses joues pour en effacer les larmes, il lui dit :« Ça va aller, mon cœur, on va d'abord le voir et demander ce qu'il veut, ensuite on avisera. Maintenant cesse de pleurer, tu va donner cours et je m'occupe de Pierre. »Ils rentrèrent en classe, Fanny chercha Pierre et quand elle le vu, elle le fusilla du regard. Il ne réagit pas si ce n'est en lui adressant un grand sourire et prenant son GSM le rangea dans son sac. Fanny donna son cours avec difficulté, elle proposa d’ailleurs à la classe de prendre leur classeur et de réviser pour les examens qui approchaient. S’ils avaient des questions elle viendrai leur expliquer. C'était la meilleure solution pour avoir la paix, elle savais que personne ne poserait de questions. Elle allait simplement devoir les surveiller. L'heure passa lentement, très lentement et quand la cloche sonna elle se retrouva seule attendant que Marc vienne la chercher. Lui de son côté alla trouver Pierre et lui proposa de parler de la vidéo sur le temps de midi, Mlle Cyka viendrai avec lui.
Midi dix, Marc et Fanny retrouve Pierre à l'extérieur de l'école, ils se mettent à l'écart et elle lui demande de voir la vidéo originale.
« Pas de problème Mlle Cyka, mais accrochez-vous, elle est plutôt hard. Quand je l'ai filmée, je n'ai pu m'empêcher de me branler et je vous assure que je n'ai pas tenu longtemps avant de décharger dans les buissons. »Il lui tendit son GSM et elle regarda la vidéo en question. Il était évident qu'on les reconnaissait et que si elle était diffusée elle et Marc auraient de sérieux problèmes.
Mais peut-être avait-il une solution, elle pourrait essayer de lui faire peur ?
« Tu sais, petit malin, que si tu diffuse cette vidéo tu risque de sérieux problème avec la justice ? »« Je sais, atteinte à l'image, diffusion d'images sans autorisation et plus encore, mais je m'en fou. Je n'ai plus rien à perdre, à cause de vous, je sais que mon année est ratée, mes parents m'ont supprimé mon argent de poche, ma console de jeux et je suis interdit de vacances cet été. »« Oui si tu fais cela, c'est la justice qui va s'en mêler ! »« Rien à foutre, je suis à peine majeur et sans antécédents, qu'est-ce que je risque ? Une peine avec sursis, voir une peine de travaux généraux ? Et alors qu'est-ce que c'est en comparaison de ce que vous risquez de perdre si cette vidéo se retrouve sur internet ? En plus quand ma peine sera faite, on oubliera vite ce que j'ai fais, mais la vidéo, il sera impossible de l'effacer. Dans dix ans on pourra toujours vous reconnaître. »Sa ruse n'avait pas marché et il avait raison, ils avaient beaucoup plus à perdre que lui. Car même s’il était condamné, elle perdrait son boulot pour avoir eu des relations affectives et sexuelles avec un élève. Mais que voulait-il ?
« Mais que veux-tu ? Tu sais que Mlle Cyka ne peut rien pour ton année. »« Je sais et elle ne peut rien pour les sanctions prises par mes parents. Alors vous allez devoir payer autrement. »« Et quand on aura payé, qu'est-ce qui nous prouve que tu ne continuera pas à nous faire chanter ? »« Justement j'y viens. Ce que l'on va faire, sera filmé et si je venais à diffuser cette vidéo ou tout autres, je me tirerai une balle dans le pied puisque je serai impliqué. »Fanny et Marc se regardèrent, mais que veut-il ?
« Marc tu vas filmer la nuit que je vais passer à baiser Mlle Cyka. »« C'est hors de question que tu la touche! Tu comprends, tu ne la baisera pas. »« C'est d'accord, je passe une nuit avec toi et on n'en parle plus. »Marc n'en revenait pas de ce qu'elle venait de dire. Elle acceptait, mais pourquoi ?
« Qu'est-ce que tu raconte? Il n'en n'est pas question. »« On n'a pas le choix, ça me dégoûte rien que d'y penser, mais c'est la seule solution. »Elle était résignée, mais surtout consciente qu'il n'y avait pas d'autre possibilité ou alors peut-être le tuer. Mais c'était inenvisageable, ils devaient choisir le moindre mal.
« Comment veux-tu que l'on organise cette nuit ? »« Je vous observe depuis une semaine et je sais que tu as un appartement pas loin. Marc et moi on va prétexter à nos parents que l'on passe le week-end chez l'autre et samedi matin tu nous accueillera chez toi. Une dernière chose, depuis le moment où tu m'ouvrira la porte jusqu'à ce que je quitte ton appartement, tu devras rester nue. »Marc bouillais de rage, s'il avait pu, Pierre serait mort. Mais Fanny accepta à contre cœur. Elle savait qu'elle n'avait pas le choix, elle allait se prostituer pour éviter les conséquences d'un moment, certes mémorable, mais inconscient. Elle ne remettait pas en question sa relation avec Marc, mais le manque de prudence dont ils avaient fait preuve. En plus elle savait que si elle allait payer physiquement cette erreur, Marc lui allait moralement être meurtri voir anéanti. Il allait filmer, il serait obligé de la voir se faire prendre par un autre et pire, ils ne savaient quelles allaient être les exigences sexuelles de Pierre. Une fellation, un cunnilingus, un 69, une pénétration, une sodomie, le masturber, avaler son sperme, il pouvaient tout lui demander et elle devrait accepter.
Ils s'organisèrent, mais le restant de la semaine fut difficile, la présence de Pierre rappelant constamment le week-end à venir. En plus ni elle ni lui n'avait l'esprit à faire l'amour cela rappelait aussi ce qui les attendaient. Ils s’embrassèrent bien quelques fois discrètement, mais cette vidéo les avaient rendus suspicieux et ils voyaient partout caché un éventuel maître chanteur. Une vraie semaine de merde. Mais le jour fatidique arriva.
Samedi matin, 7 h 00, Fanny avait été chercher Marc et ils n'attendaient pas Pierre avant 17 h00. Ils discutèrent, elle se sentait mal, elle vivait cela comme un viol programmé. Qu'est-ce Marc penserai d'elle quand ce serai fini ? Voudrait-il encore la voir ? Voudrait-il encore lui faire l'amour ? Lui s'efforça de la réconforter, mais jamais il ne lui dit' Ce n'est rien'. Il savait ce qu'elle avait accepté de faire pour eux et s'il avait pu il aurai accepté de se sacrifier pour lui épargner cette épreuve. Ils passèrent la journée blottis l'un contre l'autre et il tenta de prendre sur lui une partie de la culpabilité qu'elle ressentait.
16 h 45.
« Je vais me déshabiller ! Mon amour, promets-moi que rien ne va changer entre nous, j'ai tellement peur de te perdre ! »« Promit mon cœur, mais si ça ne va pas, je peux lui dire que tu n'est pas bien ! »« Et remettre à plus tard ? Non, on va devoir de toute façon payer pour notre imprudence, alors autant que ce soit tout de suite. »Elle parti dans la salle de bain et on frappa à la porte. Elle accouru nue.
« Laisse, c'est moi qui doit lui ouvrir, je ne voudrait pas qu'il trouve à redire sur les clause d’un contrat. »Elle ouvrit la porte, fit entrer Pierre et referma derrière lui.
« Bonjour les amoureux. Ah Marc, tu es déjà là ? Tu as passé la nuit ici, tu voulais réchauffer ma place ? »Marc fulminait, il allait l'étrangler, mais Fanny s'interposa essayant de la raisonner.
« Mon amour, tu sais qu'il dit ça pour te faire enrager, ne rentre pas dans son jeu ! S'il te plaît ne me rends pas la tâche plus difficile ! »Heureusement qu'elle était là, heureusement qu'il tenait à elle plus qu'à lui-même, sinon Pierre serait mort à l'heure actuelle.
« Wahou, 'Mon amour' et toi tu l’appelle comment ? 'Ma petite chatte', 'Mon minou' ? »« Pierre arrête, on a un marché. Je passe cette nuit avec toi pour que tu me baise, mais c'est tout, on n'est pas obligé d'entendre tes sarcasmes. »« Ok, j'arrête ! Mais bon dieu que tu es excitante. Une poitrine bien ferme, des tétons bien ronds, un ventre plat, de belles longues jambes, des fesses bien rondes et une chatte bien épilée... »« Arrête tu n'es pas venu pour acheter une esclave, elle n'est pas à vendre. »« Je comprend mon ami que tu es jaloux j'espère que je vais prendre autant de plaisir que toi à me faire cette déesse grecque ! »« Je ne suis PAS ton ami ! Et j'espère que ta petite bite n'aura pas la force de se redresser. »« Pour cela ne t'inquiète pas, et même si ça devait être le cas, il y a beaucoup d'autre façon de prendre son pied avec une salope. »« Pierre tu dépasse les bornes ! »« Ah bon, pourtant j'ai fais quelques recherches et Mlle, il me semble que Cyka est du russe ? Et si je ne me trompe pas cela se traduit par 'salope' »Elle ne répondit pas, mais regarda Marc et baissa les yeux, elle savait qu'il avait raison et était honteuse. Mais cela n'alla pas plus loin Pierre prenant la direction des choses, il donna une caméra à Marc, lui expliqua son fonctionnement. Il se tourna ensuite vers Fanny.
« Alors 'Salope' tu me montre la salle de bain, ensuite nous passerons dans la chambre. »Elle l'accompagna, il se déshabilla devant elle, mais elle n'avait pas envie de regarder et détourna le regard.
« Non... non... tu regardes et même tu viens ici me sucer pour me mettre en condition. Et toi tu filme tout, c'est votre garantie. »Elle s'obligea à le regarder, il était nu, un peu plus petit que Marc, mais avec un peu plus de carrure. Son torse, mais aussi tout son corps était poilu. Ses jambes musclées et ses abdominaux assez bien développés. Il était un peu plus athlétique que Marc. Pour finir son sexe, il bandait, elle ne savait pas s’il était à son maximum et elle avait du mal à en estimer la taille tant il avait des poils sur le pubis. Elle le prit, glissa sa main jusqu'à sa base et put estimer à 15... 16... 17... non 18 cm sa taille. Elle allait devoir essayer de ne pas le comparer à celui de Marc, pour lui, elle se devait de jouir le moins possible, de prendre le moins de plaisir possible et ce même si le sexe avait pour but d'en procurer le plus possible. Elle se devait de préserver sont amour-propre et elle sa dignité.
« Alors, tu me la suce cette bite. Où peut-être te faut-il le temps de t'habituer à sa taille. Ce n'est pas tous les jours que tu dois en voir une de cette taille ? »Elle devait choisir, la sucer normalement en le confortant dans la confiance qu'il avait dans son sexe ou lui faire une gorge profonde pour lui montrer qu'elle avait l'habitude de cette taille et peut-être même plus grande. Le risque était que Marc qui filmait tout crois qu'elle se donnait entièrement à Pierre. Elle fit le choix de la gorge profonde et enfonça cette queue dans sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres se perdent dans sa toison brune. Elle avait réussi à la prendre en entier et il n'était pas au fond, presque, mais pas au fond. Elle la ressorti et fièrement dit :« Désolé je ne pourrais pas te faire une gorge profonde, elle n'est pas assez grande ! »Elle regarda Marc du coin de l’œil et vit qu'il esquissait un petit sourire. Elle avait gagné le premier round, mais le match ne faisait que commencer. Pierre avait été piqué dans sa virilité et ne comptait pas en reste là. Il prit la tête de Fanny entre ses mains et se servi de sa bouche comme d'un vagin. Elle n'avait aucun contrôle sur ce qui se passait. Pierre était tellement vexé par la remarque qu'il voulait lui montrer ce dont il était capable, mais ce fut une erreur de sa part. Il s'activa tellement vite qu'il oublia de se maîtriser et en pins de deux minutes, il jouis dans sa bouche. Dans un premier temps il fut fier de sa performance, mais quand Fanny eut tout avalé, elle s'exclama :« Quoi déjà ! »Il se rendit compte de son erreur et la poussa en arrière la faisant tomber sur le carrelage de la salle de bain. Marc voulu se précipiter pur la relever et dire à Pierre ce qu'il pensait de lui, mais il fut stoppé dans son élan quand on lui intimât l'ordre :« Toi tu reste là, ton boulot, c'est de filmer ! Je n'en n'ai pas fini avec elle ! »Pierre était pitoyable, il venait de se prendre deux claques de Fanny et il voyait sa bite pendante entre ses jambes. Que pouvait-il faire pour ne pas perdre la face ? Une idée lui traversa l'esprit, il se fit conduire dans la chambre et pour commencer ordonna à Fanny de lui nettoyer la bite et si elle en était capable de le refaire bander. Elle s'agenouilla nouveau et cette fois dut faire preuve de toute son expérience pour que cette bite retrouve de la vigueur, mais elle y arriva. Il bandait, mais rien de comparable avec ce qu'elle devinait dans le pantalon de Marc. Est-ce que ça l'exciterait de savoir qu'elle allait se faire prendre par un autre ? Non, pas possible il était trop jaloux. C'est sûrement la voir elle qui l'excitait tant. Ses pensées furent interrompues par Pierre qui la souleva et la jeta sur le lit. Il ouvrit les armoires à la recherche de draps et l'attacha bras et jambes écartées sur le lit. Pierre se tourna vers Marc et du regard le nargua. Il monta sur le lit, se glissa entre les jambes de Fanny et lui lécha la chatte, lui suça le clito. Elle devait avouer il était plutôt doué dans cet exercice et elle allait avoir difficile de ne pas jouir. Il sentait maintenant qu'il prenait l'ascendant sur elle, il pouvait la contrôler. Elle jouira quand il l'aura décidé. Elle commençait d’ailleurs à gémir et sentant le plaisir monter, elle chercha de la force dans le regard de Marc. Mais c'était trop fort, Pierre savait comment faire et elle était attachée, elle ne pouvait rien faire. Mais elle s'en voulu quand elle cria :« Oh oui... encore... ouiii... je sens que ça vient... je... je jouiiiis !!! »Elle avait perdu tout contrôle et s'était laissée submergée par son premier orgasme de la soirée. Elle s'en voulait de lire de la tristesse dans le regard de son amour. Mais elle n'avait rien sur faire, c'était trop fort, trop bon, il l'avait fait jouir.
Deux à un, Pierre remonte tout comme sa fierté.
Qu'allait-il inventer maintenant ? Elle était trempée suite à cet orgasme et il voulait en profiter. La bite tendue, il s'avança vers son entre-jambe et se couchant sur elle s'enfonça dans doucement dans son vagin. Il voulait qu'elle et surtout Marc profite de cette vision, sa bite entrant sans résistance dans l'intimité de Mlle Cyka.
« Wahou, qu'est-ce qu'elle mouille ! Tu entends ce bruit de succion quand j'entre et ressort de cette chatte douce et chaude ? »Marc savais qu'il s'adressait à lui, mais fit semblant de rien. Il se sentait impuissant alors que la femme qu'il aimait devait accepter de se faire baiser contre sa volonté, et ce, pour éviter les conséquences d'une erreur dont il était en partie responsable. Il savait qu'elle faisait son possible pour l'épargner, mais il était conscient qu'elle ne pourrait pas toujours se contrôler face aux assauts de Pierre. Il aurait voulu lui dire, lui faire comprendre d'un regard, mais déjà elle perdait le contrôle. Elle venait de jouir et voilà que Pierre la baissait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Et il doit le reconnaître il était bien monté pour satisfaire n'importe quelle femme.
Pierre se connaissait, il savait que puisqu'il avait déjà jouis, il faudrait du temps pour qu'il éjacule une seconde fois. Il en profita pour se donner à fond et ça commençait à payer, elle gémissait à nouveau et bien qu'il savait qu'elle faisait tout pour ne pas jouir, elle ne pourrait pas le faire indéfiniment. Au bout de dix minutes, les gémissements devenaient petit à petit de plus en plus fort.
Marc avait pitié d'elle, tous ces efforts pour qu'il ne croit pas qu'elle aimait faire l'amour avec un autre. IL se décida à la libérer de ce fardeau.
« Mon amour, laisse-toi aller, je sais que c'est moi que tu aimes ! S'il te plaît ne te retiens pas, donne lui ce qu'il veut. Ça me fait mal que tu souffre à cause de moi. »Elle se tourna et vu des larmes couler le long de ses joues. Il pleurait de la voir ainsi offerte, il pleurait qu'elle se culpabilise à chaque fois qu'elle avait du plaisir avec Pierre. Il la libérait de prendre soin de son amour-propre. Elle s’épuisait en essayant de garder le contrôle de son corps, elle allait pouvoir se libérer. Certes elle ne cherchera pas à donner du plaisir à leur bourreau, mais maintenant, elle pouvait se laisser aller. Non pas profiter, mais ne plus résister au plaisir qui l'envahissait. Elle se sentait redevable de cette liberté qu'il lui donnait.
« C'est ça salope, jouis, prend ton pied pendant que je te défonce la chatte. Mais gardes en en réserve pour quand je vais t'éclater la rondelle. »L'orgasme qui avait commencé à l'envahir venait tout à coup de retomber, de disparaître. De savoir qu'elle allait se faire sodomiser par cette brute, d'imaginer la violence dont il allait faire preuve la terrifiait. Son soulagement avait été de courte durée.
On peut considérer que Pierre venait de marquer un second point. Deux à deux.
« Alors salope, tu vas jouir ? J'espère que je ne suis pas tombé sur la seule meuf frigide du coin !? »Au bout d'un quart d'heure, elle n'avait toujours pas jouis, l'image de la queue de Pierre dans son cul faisait barrage. Cela ne plut pas à leur tortionnaire et il décida de la punir. Il arrêta de lui baiser la chatte et s'installa pour un 69, mais au lieu de se pencher pour lui lécher la chatte et de lui enfoncer sa bite dans la bouche, avec ses mains, il s'écarta les fesses et posa sa rondelle sur sa bouche.
« Je vais explorer ton cul avec ma bite, tu devrais peut-être en faire de même ? Mais comme tu n'as pas de membre viril, c'est ta langue que tu vas enfoncer. D'abord commence par me lécher la rondelle et quand je te le dirai, tu enfoncera ta langue dans mon cul.
Petit à petit Pierre commençait à prendre le dessus, il devenait évident qu'elle allait devoir se soumettre et lui donner ce qu'il voulait. Elle s’exécuta et entreprit de lui caresser la rondelle avec sa langue. Cela la dégouttait, imaginer qu'il déféquait par cet orifice et qu'elle devait maintenant le nettoyer avec sa langue et après elle devra l'y enfoncer, elle en avait des haut-le-cœur. Mais petit à petit elle y prenait goût, l'odeur âcre ne la dérangeait pas plus que ça et elle supposait qu'il l'avait méticuleusement lavé avant de vernir. Maintenant elle allait devoir y enfoncer sa langue, elle se lança et encore une fois, elle fut surprise de ne pas être plus dégoûtée. En plus elle devait être douée car elle reçu des compliments de Pierre. Quand il estima qu'elle en avait assez fait, il se recula et se pencha pour cette fois qu'ils puissent se faire jouir avec un 69 qui fut long et savamment dirigé Par Pierre. Cette fois, il avait su se contrôler et elle avait dû jouir à trois reprises avant qu'il ne se retire et éjacule sur ses seins. Pierre fier, la détache et lui ordonne de récupérer le sperme et de lui montrer qu'elle aime l'avaler. Elle se redressa et habillement, elle racla toute cette semence qui lui recouvrait la poitrine et porta ses doigts à sa bouche avant de les lécher sensuellement.
« Maintenant tu vas me nettoyer la bite. »Elle se pencha et lui lécha le gland avant d'en aspirer les quelques gouttes restant. Elle s'attendait à maintenant se faire sodomiser, mais quel ne fut pas surprise quand Pierre décréta qu'il était tard et qu'il ne tirerait plus rien de bon de d'elle. Il se rhabilla, reprit la caméra, sortit la carte et la tendit à Marc.
« Tien, voilà de quoi t'apprendre comment dresser une femme. »Il était 02 h 00, mais ni lui ni nous ne voulions qu'il reste jusqu'au matin et c'est avec joie que Marc l'a raccompagné à la porte le temps que Fanny se remette de cette soirée pour le moi éprouvante pour elle tant physiquement que psychologiquement.
De retour à ses côtés, il lui apporta une chemise de nuit pour qu'elle se couvre et la prit dans ses bras pour lui témoigner son soutien et son amour. Il n'avait pas l'intention de profiter d'elle et ce même s’il avait été excité toute la soirée sans pouvoir se soulager. Ce n'est pas de cela qu'elle avait besoin, mais bien de sa présence et de mots rassurants. Étant couvert il allait passer la nuit couché la tenant dans ses bras. La seule chose qu'il s'autorisait, c'était quelques petits bisous dans le cou. Elle se senti rassurée et lui aussi alors qu'il s'endormirent.
À suivre...
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Les avis des lecteurs
Histoire intéressante, après tout ce temps passé serait_il possible de connaitre la fin de cet amour ?