La rencontre...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2023 dans la catégorie Plus on est
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La rencontre...
Le couple avait insisté pour m’attirer jusqu’à chez eux. Pour me faire découvrir les photos de leur dernière vacance. Dans un lieu que je connaissais très bien pour y avoir passé pas mal de vacance qu’on j’étais enfant.
Sitôt arrivé chez eux ils me mirent à l’aise. M’invitons à prendre place sur le divan. Après s’être absenté quelques instants Ginette, une femme d’une soixantaine d’années, dodue sans être vraiment grosse, mais néanmoins bien en chair. Elle possédait un visage rond, agréable, que ses cheveux mi-longs amincissaient quelque peu. Deux yeux bleus éclairaient son regard d’une lueur malicieuse. Un nez un peu fort aux narines palpitantes et une bouche aux lèvres minces donnaient à ce visage une forte sensualité. Avec quelques kilos de moins, Ginette aurait pu être une très belle femme.
De sa robe légère à manches courtes jaillissaient deux bras potelés, tandis que sa poitrine gonflait outrageusement le devant du vêtement. La femme devait utiliser un soutien-gorge de grande taille. Sa robe imprimée se plaquait étroitement sur des hanches larges, soulignant un ventre rebondi et une croupe incroyablement pulpeuse.
Donc Ginette revenait avec un plateau où était disposés verres et bouteilles. J’avais remarqué qu’elle s’était soulagée de son soutien-gorge, la coquine !
Avaient-ils préparé quelque chose de spéciale ?
Pierre, le maître de maison, et donc le mari de Ginette, chercha dans le meuble télé la fameuse cassette. Alors que Ginette prenait place. Dans le mouvement, la jupe de Ginette remonta un peu trop haut sur ses jambes. Ce qui provoqua mon regard vers elle, souriante de cet effet involontaire sur ma libido.
Son mari après avoir fourré la cassette dans le magnétoscope s’installait près de sa femme. Grâce à la télécommande il m’y en route le visionnage.
Mon regard s’intéressait alors plus à sa femme qu’à l’écran de télé. Surtout que sa jupe dévoilait le haut de ses jambes et sa culotte couleur chair provoquaient un climat de voyeurisme. Au bout d’une dizaine de minutes, Ginette étira un peu ses jambes vers la gauche, écartant légèrement ses cuisses, ce qui eut pour effet de tirer un peu plus sur sa jupe et de tendre un peu son haut.
Pierre continuait de commenté les images comme l’aurait fait un commentateur de foot. Mais sa voix devenait plus suave. Mon regard ne cessait de passer de l’écran de la télé aux cuisses de Ginette, priant que Pierre m’invite à venir déguster le fruit défendu de sa femme. Après une demi-heure de visionnage, je ne sais pourquoi le mari mis en pause. La posture de sa femme me paraissait encore plus osée. Comme moi, Pierre devait apercevoir la lisière de sa culotte.
Le mari continuait tout de même à m’exposé ses vacances, alors que Ginette se redressa, son slip bâilla un peu. Le mari fit de nouveau le plein des verres. Puis enclencha le visionnage. Cette fois Ginette enleva ses chaussures, replia ses jambes sur le canapé et appuya sa tête sur l’épaule de son mari. Sa culotte souffrait de cette position, tendue d’un côté, moulant à la perfection son sexe, bâillant de l’autre côté, offrant un peu de poil à mon regard. Je bandais dur.
Quelques minutes plus tard, Ginette étira de nouveau ses jambes dans ma direction. Elle les écarta innocemment, me dévoilant sa culotte dans son entier. Elle s’en aperçut, me souriait, pencha la tête en arrière et embrassait son mari. Son expression visuelle semblait attendre l’accord de sa moitié pour s’offrir encore plus à mon regard intéressé.
Surtout que je ne m’intéressais plus tout à fait à l’écran. J’attendais parce que j’étais sûr que cela aller venir. D’un moment à un autre, l’œil fixé sur les cuisses entrouvertes de la femme, sur cette lingerie que je percevais humide.
L’ivresse de la situation m’excitait au plus haut point, mon sexe se trouvait à l’étroit. Je priais fort pour que Pierre me donne le feu vert pour consommer, pour entamer des caresses polissonnes sur ce corps si joliment exhibé. La décision lui appartenait, et je savais qu’elle allait venir.
D’ailleurs il se mit à caresser les cheveux de sa femme, avant de la faire pivoter sur le dos pour disposer sa tête sur ses cuisses. Elle replia sa jambe gauche et écarta franchement ses cuisses, ce qui eut pour effet de faire glisser sa jupe vers son ventre, ainsi prête à subir l’intrusion de mains étrangères sur son corps frissonnant.
Le message fut immédiatement compris, un simple regard vers moi, me montra son accord tacite pour qu’un moment sublime et inoubliable de tendresse, de caresses et de jouissance, arrive au plus vite.
Pour mettre sa femme en confiance, il lui caressait délicatement le front de la main droite, et posait voluptueusement sa main gauche sur son ventre. Ne tenant plus je me levais et m’agenouillais entre les cuisses écartées de la femme. Ma main effleura doucement le grain de sa peau, sans se presser, ma bouche déposant de petits baisers sur toutes les parties frôlées. Ginette, allongée sur le dos, la tête sur les cuisses du mari, s’arc-boutait sous mes caresses.
C’était surréaliste et tellement sensuel ! Le mari en profitait pour ôter sa chemise pour qu’elle puisse embrasser mon ventre.
Pour mon compte j’arrivais doucement à l’intérieur des cuisses, là où la peau était si chatouilleuse. Ses sensations provoquèrent le ruissellement sans retenue de son vagin. J’embrassais son sexe couvert de coton, puis écartais les bords de cette lingerie excitante pour glisser ma langue sur sa chatte trempée.
Quelques léchouilles plus tard, je glissais mes mains de part et d’autre de la jupe pour la faire glisser le long de ses jambes dénudées depuis le début du visionnage. Elle se souleva pour me faciliter la tâche, je faisais de même avec la culotte avant de plonger ma bouche entre ses cuisses, vers ce puits d’amour inondé. Sa toison châtain clair subissait l’assaut de ma langue et de mes doigts vicieux.
Je la suçais, tétais, et caressais un long moment, offerte comme nous l’avait espéré le mari. Un fantasme devenu réalité.
Après un orgasme explosif, elle se leva, entreprit d’enlever le pantalon de son époux, prélude à une suite attendue. Ginette, nue, se pencha, embrassa son sexe, tandis que je me déshabillais. Une fois dévêtu, je me collais derrière elle pour saisir à pleines mains ses deux seins dressés à travers l’étoffe. J’appuyais mon pénis gonflé sur ses fesses et la redressais.
Elle fixa amoureusement son mari, qui lui tendais un préservatif, puis devant le sourire de l‘époux, elle descendait doucement vers le pieu qui n’attendait le droit d’entrée dans son antre. Ce sexe si bien chauffé par ma bouche, qui n’était plus que fontaine de jouissance. Je la pénétrai en douceur.
Pierre observait avec amour son épouse, content de son exhibition, de son audace et de la tournure de la soirée, caressant son sexe raide et sensible face à tant d’érotisme. Je jouis dans ses entrailles.
Plus tard, après avoir vidé une nouvelle bouteille, nous nous retrouvâmes dans la chambre. Une idée du mari. Désirant de continuer cette agréable soirée de plaisir en proposant à sa moitié un sandwich maison. Qu’elle accepta tout de suite.
La coquine fut embrassée partout, du cou au bas du ventre. J’en profitais pour insinuer ma langue entre ses fesses, sur son œillet fragile et très amer. Nous étions de nouveau repartis dans une excitation irréelle. La sentant fléchir sous mes mains et ma bouche, l’époux l’avait attirée à lui, à cheval sur son sexe en lui écartant les fesses. Je me plaçais pour ma part, derrière elle, pointais ma verge gainé d’une nouvelle capote vers son petit trou bien lubrifié, puis nous nous mîmes en mouvement calmement, lui arrachant des cris de plaisir.
Je pris même l’initiative après avoir enculé la Ginette d’amener ma queue à la hauteur de la bouche de Pierre, qui la goba comme une affamée.
J’eus eûmes tous le plaisir de profiter de l’appétit sexuel du couple durant cette soirée. L’ambiance, l’alcool, l’érotisme de la situation et la lenteur de mes caresses d’expert avaient grandement contribué à la réalisation du fantasme de Pierre dont je garde un délicieux souvenir de jouissance, de partage, qui alimente même certaines caresses solitaires de ma personne.
Quelques jours plus tard, au téléphone, je proposais à Pierre d’emmener une partenaire femme lors de notre prochain rendez-vous. Je pensais pour cela à Myriam ma partenaire de cul du moment. Une mordue de cul. Pour apaiser notre soif sexuelle.
-Voir deux femmes s’aimer, me fit-il, étant un autre de nos fantasmes communs.
Sitôt arrivé chez eux ils me mirent à l’aise. M’invitons à prendre place sur le divan. Après s’être absenté quelques instants Ginette, une femme d’une soixantaine d’années, dodue sans être vraiment grosse, mais néanmoins bien en chair. Elle possédait un visage rond, agréable, que ses cheveux mi-longs amincissaient quelque peu. Deux yeux bleus éclairaient son regard d’une lueur malicieuse. Un nez un peu fort aux narines palpitantes et une bouche aux lèvres minces donnaient à ce visage une forte sensualité. Avec quelques kilos de moins, Ginette aurait pu être une très belle femme.
De sa robe légère à manches courtes jaillissaient deux bras potelés, tandis que sa poitrine gonflait outrageusement le devant du vêtement. La femme devait utiliser un soutien-gorge de grande taille. Sa robe imprimée se plaquait étroitement sur des hanches larges, soulignant un ventre rebondi et une croupe incroyablement pulpeuse.
Donc Ginette revenait avec un plateau où était disposés verres et bouteilles. J’avais remarqué qu’elle s’était soulagée de son soutien-gorge, la coquine !
Avaient-ils préparé quelque chose de spéciale ?
Pierre, le maître de maison, et donc le mari de Ginette, chercha dans le meuble télé la fameuse cassette. Alors que Ginette prenait place. Dans le mouvement, la jupe de Ginette remonta un peu trop haut sur ses jambes. Ce qui provoqua mon regard vers elle, souriante de cet effet involontaire sur ma libido.
Son mari après avoir fourré la cassette dans le magnétoscope s’installait près de sa femme. Grâce à la télécommande il m’y en route le visionnage.
Mon regard s’intéressait alors plus à sa femme qu’à l’écran de télé. Surtout que sa jupe dévoilait le haut de ses jambes et sa culotte couleur chair provoquaient un climat de voyeurisme. Au bout d’une dizaine de minutes, Ginette étira un peu ses jambes vers la gauche, écartant légèrement ses cuisses, ce qui eut pour effet de tirer un peu plus sur sa jupe et de tendre un peu son haut.
Pierre continuait de commenté les images comme l’aurait fait un commentateur de foot. Mais sa voix devenait plus suave. Mon regard ne cessait de passer de l’écran de la télé aux cuisses de Ginette, priant que Pierre m’invite à venir déguster le fruit défendu de sa femme. Après une demi-heure de visionnage, je ne sais pourquoi le mari mis en pause. La posture de sa femme me paraissait encore plus osée. Comme moi, Pierre devait apercevoir la lisière de sa culotte.
Le mari continuait tout de même à m’exposé ses vacances, alors que Ginette se redressa, son slip bâilla un peu. Le mari fit de nouveau le plein des verres. Puis enclencha le visionnage. Cette fois Ginette enleva ses chaussures, replia ses jambes sur le canapé et appuya sa tête sur l’épaule de son mari. Sa culotte souffrait de cette position, tendue d’un côté, moulant à la perfection son sexe, bâillant de l’autre côté, offrant un peu de poil à mon regard. Je bandais dur.
Quelques minutes plus tard, Ginette étira de nouveau ses jambes dans ma direction. Elle les écarta innocemment, me dévoilant sa culotte dans son entier. Elle s’en aperçut, me souriait, pencha la tête en arrière et embrassait son mari. Son expression visuelle semblait attendre l’accord de sa moitié pour s’offrir encore plus à mon regard intéressé.
Surtout que je ne m’intéressais plus tout à fait à l’écran. J’attendais parce que j’étais sûr que cela aller venir. D’un moment à un autre, l’œil fixé sur les cuisses entrouvertes de la femme, sur cette lingerie que je percevais humide.
L’ivresse de la situation m’excitait au plus haut point, mon sexe se trouvait à l’étroit. Je priais fort pour que Pierre me donne le feu vert pour consommer, pour entamer des caresses polissonnes sur ce corps si joliment exhibé. La décision lui appartenait, et je savais qu’elle allait venir.
D’ailleurs il se mit à caresser les cheveux de sa femme, avant de la faire pivoter sur le dos pour disposer sa tête sur ses cuisses. Elle replia sa jambe gauche et écarta franchement ses cuisses, ce qui eut pour effet de faire glisser sa jupe vers son ventre, ainsi prête à subir l’intrusion de mains étrangères sur son corps frissonnant.
Le message fut immédiatement compris, un simple regard vers moi, me montra son accord tacite pour qu’un moment sublime et inoubliable de tendresse, de caresses et de jouissance, arrive au plus vite.
Pour mettre sa femme en confiance, il lui caressait délicatement le front de la main droite, et posait voluptueusement sa main gauche sur son ventre. Ne tenant plus je me levais et m’agenouillais entre les cuisses écartées de la femme. Ma main effleura doucement le grain de sa peau, sans se presser, ma bouche déposant de petits baisers sur toutes les parties frôlées. Ginette, allongée sur le dos, la tête sur les cuisses du mari, s’arc-boutait sous mes caresses.
C’était surréaliste et tellement sensuel ! Le mari en profitait pour ôter sa chemise pour qu’elle puisse embrasser mon ventre.
Pour mon compte j’arrivais doucement à l’intérieur des cuisses, là où la peau était si chatouilleuse. Ses sensations provoquèrent le ruissellement sans retenue de son vagin. J’embrassais son sexe couvert de coton, puis écartais les bords de cette lingerie excitante pour glisser ma langue sur sa chatte trempée.
Quelques léchouilles plus tard, je glissais mes mains de part et d’autre de la jupe pour la faire glisser le long de ses jambes dénudées depuis le début du visionnage. Elle se souleva pour me faciliter la tâche, je faisais de même avec la culotte avant de plonger ma bouche entre ses cuisses, vers ce puits d’amour inondé. Sa toison châtain clair subissait l’assaut de ma langue et de mes doigts vicieux.
Je la suçais, tétais, et caressais un long moment, offerte comme nous l’avait espéré le mari. Un fantasme devenu réalité.
Après un orgasme explosif, elle se leva, entreprit d’enlever le pantalon de son époux, prélude à une suite attendue. Ginette, nue, se pencha, embrassa son sexe, tandis que je me déshabillais. Une fois dévêtu, je me collais derrière elle pour saisir à pleines mains ses deux seins dressés à travers l’étoffe. J’appuyais mon pénis gonflé sur ses fesses et la redressais.
Elle fixa amoureusement son mari, qui lui tendais un préservatif, puis devant le sourire de l‘époux, elle descendait doucement vers le pieu qui n’attendait le droit d’entrée dans son antre. Ce sexe si bien chauffé par ma bouche, qui n’était plus que fontaine de jouissance. Je la pénétrai en douceur.
Pierre observait avec amour son épouse, content de son exhibition, de son audace et de la tournure de la soirée, caressant son sexe raide et sensible face à tant d’érotisme. Je jouis dans ses entrailles.
Plus tard, après avoir vidé une nouvelle bouteille, nous nous retrouvâmes dans la chambre. Une idée du mari. Désirant de continuer cette agréable soirée de plaisir en proposant à sa moitié un sandwich maison. Qu’elle accepta tout de suite.
La coquine fut embrassée partout, du cou au bas du ventre. J’en profitais pour insinuer ma langue entre ses fesses, sur son œillet fragile et très amer. Nous étions de nouveau repartis dans une excitation irréelle. La sentant fléchir sous mes mains et ma bouche, l’époux l’avait attirée à lui, à cheval sur son sexe en lui écartant les fesses. Je me plaçais pour ma part, derrière elle, pointais ma verge gainé d’une nouvelle capote vers son petit trou bien lubrifié, puis nous nous mîmes en mouvement calmement, lui arrachant des cris de plaisir.
Je pris même l’initiative après avoir enculé la Ginette d’amener ma queue à la hauteur de la bouche de Pierre, qui la goba comme une affamée.
J’eus eûmes tous le plaisir de profiter de l’appétit sexuel du couple durant cette soirée. L’ambiance, l’alcool, l’érotisme de la situation et la lenteur de mes caresses d’expert avaient grandement contribué à la réalisation du fantasme de Pierre dont je garde un délicieux souvenir de jouissance, de partage, qui alimente même certaines caresses solitaires de ma personne.
Quelques jours plus tard, au téléphone, je proposais à Pierre d’emmener une partenaire femme lors de notre prochain rendez-vous. Je pensais pour cela à Myriam ma partenaire de cul du moment. Une mordue de cul. Pour apaiser notre soif sexuelle.
-Voir deux femmes s’aimer, me fit-il, étant un autre de nos fantasmes communs.
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Et voilà un couple bien serviable! Excellent!