La route de la jouissance...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : La route de la jouissance... Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La route de la jouissance...
Ce jour-là, j’ai pour mission de me rendre jusqu’à la gare pour aller chercher Jeanne, une fille d’un invité. Pour une fois, le train est à l’heure. Et parmi la foule nombreuse, je ne mets pas longtemps à l’apercevoir. Elle porte une valise dans une main, un sac en toile dans l’autre. Un dialogue des plus banal s’instaure entre nous et cela jusqu’à arriver devant la voiture.
Alors que je m’occupe de mettre les bagages dans le coffre ; tout en matant son cul, la voilà qu’elle se retourne et surprend mon regard posé sur elle. Elle se cambre. Une toile alors s’affiche à mes rétines. Celui d’apercevoir sous son short, que je définirais de tout mince, l’effigie de son maillot qui, visiblement d’une seule pièce, se perd entre les deux globes de ses fesses. Consciente de mon admiration pour ce qu’elle m’offre, elle accentue encore sa cambrure. Comme si elle se prépare à quelque assaut amoureux.
Je brûle d’envie de fracasser ses barrières. Mais oui… quelque chose me dit que ce serait une erreur irréparable.
Une fois sur la route, une, connivence s’établie entre nous. La chose se concrétise lors d’une confession sur son futur époux. Incapable par ses dires, de la satisfaire. Obligée qu’elle est, de se soulager indépendamment. Elle profite même de ce court échange pour poser sa main sur la mienne sur le levier de vitesse. Je suis surpris de ce geste tout à fait insolite pour une fille comme elle. Parfaitement éduqué ! Mais que dire, quand elle se met à la caresser du bout des doigts.
Elle a bien changée, la Jeanne. Elle a à présent, le visage, d’une parfaite femme, qui brûle de l’ardent désir de jouir de son corps. Mon cœur cabriole dans ma cage thoracique. Comme celui d’un adolescent. Elle est loin de deviner à quel point je la désire.
-Et tu te satisfais souvent ? Je m’entends lui dire, d’une voix calme.
-Trop souvent à mon goût ! Me répond-t-elle.
-Eh bien !
-Et ce que tu ne sais pas, c’est que j’aimerais bien me caresser devant un homme… me confit-elle, en prenant l’air un peu triste.
À l’image de ce qu’elle laisse transparaître. Je ne tiens plus là derrière mon volant. La crudité du langage, surtout venant d’elle, est un stimulant supplémentaire à ma lubricité.
-Est-ce que je peux d’aider à quelque chose?
-C’est si bien proposé que je dirai oui… un grand oui même !
-Je t’écoute. Je serais même très heureux de te rendre un service…
-Je me sens toute chose d’un coup ! Je… enfin… je ne sais… pas si je dois… vraiment me confesser à toi… bafouille-t-elle.
-Ce n’est pas en gardant le silence que je vais pouvoir t’aider Jeanne.
-Je le sais bien Alain. Mais ce que j’ai à te demander est très particulier.
-Je suis prêt à tout entendre…
-Comme tu veux, tu l’auras voulu. Voilà… je désire de ta part que tu me fasses du bien.
-C’est-à-dire ?
-Oh ! Enfin Alain…Non pas ça. Je ne pourrais pas… enfin te le dire, j’aurais trop honte.
-Alors, passe à la pratique ! Tu n’as pas besoin de parler pour ça…
-Tu en es sûr ?
-Si je te le dis.
-Bon… bon, si tu insistes.
Et là, elle se penche de mon côté et prend l’initiative de dégrafer alors largement mon pantalon et d’écarter par la même occasion mon slip. Et de libérer par cette action, ma verge et ses attributs. Comme toujours en pareil cas, mon sexe prend très vite de la raideur. Pour se dresser contre mon ventre. En parfaite experte, elle décalotte lentement le gland, tandis que de l’autre main, elle masse les testicules.
Très vite, elle imprime un mouvement de pompe à la main qui a enveloppé ma verge. Elle accélère même son rythme. Au point que mon gland devient rouge, et se met dans la foulée à luire. Dans l’action, le corps de Jeanne se met à osciller d’avant en arrière sur le siège passager. Comme si elle faisait l’amour. Le mouvement masturbateur de sa main va et vient de plus en plus vite.
-Tu ne penses pas qu’il serait conseillé de t’arrêter quelque part ? Lui fais-je.
-Enfin ! Maintenant que tu me le dis !
Une fois la voiture stoppée, Jeanne se serre contre moi. Je sens une bouffée de son parfum m’entourer, fouettant mes sens déjà très aiguisés par branlette. Là, elle approche son visage du mien. Ses yeux encadrés de longs cils, légèrement écarquillés, cherchent les miens, sa bouche joliment dessinée est entrouverte, une fine moiteur encadre les ailes de son nez fin.
Nos lèvres s’unissent, en un long et brûlant baiser. Nos bouches ouvertes laissant passer nos langues enlacées. Quand j’abandonne sa bouche c’est pour lui soumettre de se séparer de son short. Elle s’exécute. Suite à ça, je lui demande :
-Donne-moi ta culotte, aussi…
Tout en se soumettant à mon envie, elle baisse la tête. Une figure plus écarlate que jamais. La culotte très échancrée est en dentelle ajourée. Sauf à l’entrejambe. Sa honte s’accroît quand je retourne la culotte comme un gant pour en examiner le fond, que je hume bruyamment.
- Ça sent fort. Et ça me plaît, Jeanne.
Je glisse ma main entre ses cuisses. Je lisse les poils de sa toison, tire sur une mèche.
- Quelle touffe ! Un vrai buisson.
J’effleure la crête des lèvres de son sexe. Elle gémit et avance ses fesses au bord du siège. Je la sens plus salope que jamais ! Il a suffit que je la touche un peu pour qu’elle mouille comme une fontaine. Je titille son clitoris. Je caresse ensuite ses petites lèvres. Je masse les bords du vagin. Elle se remue sur son siège, écarte et resserre ses cuisses. D’un geste convulsif, elle presse même ses seins à travers son tee-shirt.
Poussé par une envie irrésistible, je m’installe tan bien que mal, entre ses jambes. Pas dans la des plus confortables des positions. Mais cela ne m’empêche pas d’avancer ma bouche, à lui faire toucher l’entaille baveuse. Elle y trouve la plaie des lèvres. Ma langue s’y insère, s’enroule autour du bourgeon couleur corail. Jeanne tient ses seins dans ses mains, elle se les masse, en lâchant un :
- Lèche ma chatte, se dévergonde-t-elle. Salaud, lèche-moi bien ma foune !
Encouragé, je la lèche, et je jappe de bonheur. Je suis son chien. Je lape son bouton. Il est aussi dur que ma verge.
- Oh… Oui… N’arrête pas…Lèche-moi toujours ! Me dit-elle en basculant sa tête en arrière.
Je la lape de bas en haut, et de haut en bas. Elle remue ses hanches au rythme de ma langue. Un liquide chaud se fait sentir. Sa chatte a un goût des plus délicieux. Ce qui pour effet de m’enivrer, de m’exciter encore plus. À la fouiller dans les moindres plis des muqueuses. À petits coups de langue. A grands coups aussi, je lèche encore et encore, du clitoris à l’ourlet tendre des grandes lèvres.
- Ohhh ! T’as une bonne langue de chien, toi ! Lâche-t-elle entre deux râles !
Le visage barbouillé de son jus vaginal, j’explore de la langue la fente entière, jusqu’au creux de l’anus que ses jambes relevées, m’offre. Les chairs intimes enflent et palpitent. Humides de mouille et de salive sucrée. Il est temps pour moi de la mener à l’orgasme. Pour ce faire j’emprisonne le clito entre mes lèvres et lui masse doucement tout en aspirant. Elle largue là, une nouvelle dose de cette cyprine au goût exquis tout en respirant et râlant de plus en plus fort.
-Humm… oui continue comme ça ! Ouiiii … !
Je me délecte de cette chatte brûlante. Elle aime ça, jouir Jeanne, alors je m’applique à lui donner quatre orgasmes.
Il est temps à présent de m’occuper de mon plaisir. Elle me propose bien de la prendre. Mais non, je choisis qu’elle me branle. Elle encercle pour cela la base de ma hampe avec le pouce et l’index de sa main gauche, serre un peu, ce qui augmente encore la dureté de mon érection. Avec le pouce et l’index de la main droite, elle dégage le gland, puis elle passe les doigts très délicatement, très lentement, sur celui-ci. La sensation est aussi poignante que si une bouche s’est emparée de mon sexe. Mon cœur bat très fort, ma respiration est saccadée, je suis entièrement sous sa domination, et cela jusqu’à la jouissance.
Après m’être essuyer, j’ai repris la route.

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