La route des landes est longue et monotone, par annie
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La route des landes est longue et monotone, par annie
Lors de son dernier voyage à Biarritz, Georges m’a raconté son aventure avec un charmant couple, malgré que je sois habituée a ses frasques, nous ne nous cachons rien, j’ai quand même accusé le coup.
- A ton prochain déplacement, je viens avec toi, tu me feras l’amour là où tu as baisé cette nana !!
- Aucuns problèmes chérie ce seras avec plaisir, par contre il faudra laver la couverture, car elle est bien tachée …..
- Gros cochon ….
Huit jours plus tard, La veille du départ, je me suis taillée les poils de la chatte, un fin liseré sur le bord des lèvres, et juste au dessus, un petit cœur qui laisse le clitoris accessible aux yeux et a la langue, au petit matin, je me suis habillée légèrement Georges aime voir et toucher mes cuisses lorsqu’il conduit et par la même occasion en faire profiter les chauffeurs de camions de puis leur cabine, je dois avouer que çà m’excite , et je n’ai pas peur de séparer mes genoux , le haut du corsage bien ouvert …..Les coups de klaxon et les appels de phares fusent !!
- tu es en beauté ce matin chérie, hummmm, je sens que le voyage va durer plus longtemps que prévus !! Fait voir ta petite chatte…
Lentement je soulève ma jupe, mon mini string apparait presque déjà mangé par ma moule
- Voilà !! Mais stop pas touche, tu as le temps, je vais te faire languir mon salaud !!
Nous voilà sur la route, et comme la dernière fois , il a encore oublié de faire le plein , nous nous arrêtons a la même station ou il a pris ce couple en stop….au moment de payer, je rentre avec lui dans la boutique pour m’acheter des bonbons , de nombreux hommes sont là, les discutions vont bon train , et brusquement le silence se fait , tous les regards convergent vers mes cuisses apparentes , certains sans pudeur ,se massent la braguette en me fixant , çà me fais sourire !!Puis nous regagnons la voiture, au moment de monter, l’histoire se répète, une voix, apparemment espagnole nous crie avec l’accent difficile à retranscrire ici
- Por favor, allez vous vers l’Espagne monsieur ?? Mon camion est boqué jusqu’a lundi et ye vais réjoindre ma famille
Houa !! Quel mec …un vrais toréador !! Pas très grand, brun évidement !! Une fine moustache, le visage fin mais très viril, plus bas des épaules larges , et des pectoraux moulés par un teeshirt qui le colle comme une seconde peau, la taille fine, le pantalon serré laisse deviner un matériel costaud ….un fourmillement a mon entre cuisse signale que çà n’a pas échappé a ma chatte !! J’ai de la peine à avaler ma salive ….çà n’échappe pas a mon mari qui me lance un sourire complice….
- Hé bien nous allons à Biarritz, si çà vous arrange-nous pouvons vous emmener …. Çà vous rapprocheras ….
- Ho, gracias, monsieur yé veux bien
Il dit cela tout en me regardant d’un air gourmand….
- Alors allons-y monsieur ?
- yé m’appelle Ruan
- Annie, ma femme, et moi Georges
Tout le monde monte en voiture, Je m’assois sans prendre aucunes précautions quand à ma jupe, celle-ci remonte plus qu’a mis cuisses, mes jambes n’arrivent pas a se serrer l’une contre l’autre !!Georges, d’entrée, règle son rétroviseur afin de capter le regard de notre voyageur pour voir ses réactions, nous voilà partis dans un silence pesant, difficile a rompre, mon mari allume la radio, c’est mieux !!Mais çà ne calme pas mon excitation … je décide de faire évoluer les choses, je baisse mon pare soleil, ouvre le miroir de courtoisie je cherche le visage de l’espagnol qui est juste derrière moi …. Son regard de braise me dévisage, un instant nous nous fixons, il me sourie …moi aussi, je baisse un peu le pare soleil, au juger, va-t-il voir mon entre cuisse ?? Pour être plus sure je pose négligemment un pied nu sur la planche de bord, là s’il ne voit rien, c’est qu’il est aveugle !! Ma jupe glisse et dévoile le renflement de ma vulve dessinée par le tissu de ma culotte étroite.
George me fait un clin d œil, maintenant je sais que notre invité voit mon entre cuisses…. Et pour faire monter la pression d’un cran mon mari pose sa main sur mon genoux, et lentement en décrivant des cercles de plus en plus larges, me caresse en remontant vers le haut, je m’écarte au maximum, impudique, je ferme les yeux et j’imagine l’homme qui est derrière moi se caresser la bosse énorme qui doit s’être formée a son entre jambes, je cherche le bouton qui règle mon siège, je fait basculer le dossier vers l’arrière, afin de faire profiter de visu du spectacle a l’espagnol, en prime il doit voir aussi mon soutien gorge bien remplis, je sens son souffle dans mon cou, une main hésitante se pose sur mon épaule , les doigts agiles et doux glissent vers ma nuque pour redescendre sur mon bras, son autre main vient se joindre a la première de l’autre coté du repose tête, une douce chaleur irradie mon bas ventre, çà y est … il enveloppe mes seins par-dessus le tissu, il malaxe doucement, pinçant tour a tour mes tétons érigés ….l’une après l’autre les bretelles de mon haut glissent sur mes épaules , c’est maintenant a peau nue que mes seins sont triturés…
Georges lui, malaxe mon minou, une première goute de cyprine suinte entre mes lèvres et mouille mon string…je suis à cran ….
Dehors, déjà, des coups de klaxons et des appels de phares fusent ….
- Chéri… je peu passer derrière ??.....
- Jai le droit de dire non ?? !!!
- Merci mon amour …..
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai redressé mon siège, avancé au maximum pour avoir de l’aisance derrière, une enjambée et me voilà assise à coté du mâle que je convoite… il me regarde un peu étonné, il regarde Georges également ….. Alors pour le rassurer quant a nos intentions, je soulève mes fesses et retire le string qui va devenir encombrant, je le passe a mon mari qui le hume longuement en me regardant dans le rétro.
- Tu sens bon chérie …..Je veux tout voir …..
Alors je prends la place du milieu entre les deux sièges, ce n’est pas la plus confortable, mais c’est de là que mon chéri verras sa femme se faire peloter, ma chatte s’offre a sa vue, Ruan, sait qu’il a le feu vert ,son bras gauche entoure mes épaules , sa bouche cherche ma mienne, tandis que sa main droite glisse sur l’intérieur de ma cuisse, ses doigts atteignent vite mon abricot gonflé de désir , les lèvres sont entrouvertes ,mouillées, il n’a aucun mal a introduire deux doigts dans ma grotte en ébullition, mon bassin s’avance de lui-même au bord du siège pour faciliter la pénétration, son pouce trouve mon clitoris :
- AAAAHHHHH…. Ouiiiii …. Caresse moi…..j’ai envie que tu me lèche …..Donne-moi ta queue ….
Il comprend vite, je me retrouve allongée sur lui tête bêche, la jupe sur les reins, il maintient mon bassin a hauteur de sa bouche, sa langue m’ouvre en deux, devant mes yeux je découvre une bosse énorme, je me hâte de défaire le pantalon encombrant, ma main glisse entre la peau et le boxer ou une tache humide apparait, je me saisie d’une queue énorme, mes petits doigts ne font pas le tour, j’ai de la peine à la mettre a l’air libre … Houaaaaa !!Une bitte brune, cintrée comme une corne de taureau, qui aurait une énorme boule de protection au bout, me saute aux yeux, une grosse perle translucide suinte de l’orifice, je me dépêche de la lécher avec gourmandise avant qu’elle ne tombe, je mets vite son gland au chaud dans ma bouche, je ne peux émettre que des ‘Huuuummmms’ ce salaud me fait du bien , je lui fait savoir en frottant ma moule sur sa bouche , ma sève de femme coule hors de mon vagin , il n’en perd pas une goute.
La voiture a ralentis, Georges doit avoir de la peine à se concentrer a la conduite, bientôt je ressens des chaos, nous venons enfin de quitter la route, la voiture s’immobilise, nous continuons nos ébats, le coffre s’ouvre et se referme ….
- Chérie, vous pouvez descendre, nous serons mieux ici….
A regret je lâche mon sabre de chair, je lève la tête nous sommes au milieu des fougères une couverture est étendue , titubante , je m’arrache a mon amant , nous descendons a moitié a poil, très vite nous reprenons ce que nous faisions, avec beaucoup plus d’espace , je branle frénétiquement ce monstre de chair , je veux sentir le sperme chaud couler dans ma gorge, d’autant plus que ma jouissance monte , il a trouvé le bon fonctionnement de mon clito.
Nous jouissons tous les deux dans des cris étouffés, une partie de sa semence coule de ma bouche, je ne peux pas tout absorber, une chose me surprend, sa rigidité ne faiblit pas …... je lève la tête Georges est là, il se masturbe en me souriant…
- C’est bon chérie ???
Houa !! Super !! Regarde, il bande toujours ….
- Alors profite en chérie, au fait c’est là que j’ai baisé la femme l’autre jour ….les fougères ne se sont pas redressées !!
- Gros salaud !! Alors je vais me faire baiser ici moi aussi.
Et je bascule sur le dos les genoux sur mes seins, offerte, Ruan a compris l’invitation…
- Yé peu Georges ??
- Bien sur !! C’est même conseillé !!
Il se met à genoux entre mes cuisses, la bitte collée a son ventre, il se saisit de mes jambes et les passent sur ses épaules, d’une main il guide la queue rebelle vers ma fente béante, et c’est l’estocade, d’une seule poussée ses couilles sont sur mon cul.
- AAAAHHHHH mon dieu !! Il va me déchirer le salaud ….
- Yé vais te fendre en deux petite madame ….
Et là une sarabande infernale commence, il sait baiser ce mâle hors normes, il alterne les coups de bassins, plus ou moins profonds et rapides, le gland vient régulièrement labourer mon point G, des cris stridents fusent de ma bouche, Georges vient vite me bâillonner avec sa queue, je la garde difficilement en bouche tellement je suis ballotée, mes bouts de seins décrivent des huit dans l’air.
- Ouiiiii, baise-moi !! Défonce moi tu me fais jouiiiiirrrr, décharge au fond de mon ventre ….
Et, tout d’un coup, il s’arrête, il va jouir ?? Hé bien non, je ne sais pas comment il s’y est pris, mais je me retrouve en levrette, sans qu’il soit sortit de ma chatte, les coups redoublent, nos chairs claquent l’une sur l’autre, ses couilles frappent mon clitoris, je jouie sans discontinuer sa corne laboure mon ventre, il beugle et souffle comme un taureau, et enfin il me bloque sur lui, des jets drus et chauds emplissent ma matrice, mon visage tombe sur mes avants bras, je suis lessivée , il reste planté en moi, et soudain je l’entend parler en espagnol, je lève la tête des hommes sont là , ils ont assistés au spectacle de ma chatte en saillie derrière mes fesses , plantée par un mâle hors norme, Georges n’a rien dit sans doute pour que je profite pleinement de mon amant de passage.
- Georges, Por favor, mon ami aimerais beaucoup présenter ses hommages à Annie … ce serait gentil …
- Oh, je pense qu’il n’y a pas de problème, Annie en a vus d’autres ….n ‘est ce pas mon amour…
Je regarde l’homme en question, jeune aussi, sa queue est plus courte, mais surtout plus large que celle que je viens de me prendre, il se branle doucement en me regardant… je fais seulement oui de la tête, aussitôt, les deux hommes se tape dans la main comme le feraient des relayeurs en sport, échange de place, mes lèvres n’ont pas le temps de se refermer que je suis à nouveau empalée, le sperme du premier n’a même pas eut le temps de sortir, c’est la pénétration du second qui provoque des fuites ,l’intérieur de mes cuisses engluées de nos liqueurs mélangées.
Celui-ci va plus doucement, sa queue coulisse dans mon fourreau comme un métronome, il apprécie l’étroitesse de mon vagin, malgré la lubrification abondante, c’est bon, mes centres nerveux exacerbés par le pilonnage récent me maintienne a la limite de la jouissance.
- Chérie donne moi ta queue, il me fait un bien fou, je veux te sucer en même temps.
Il bande comme un âne, j’aime la belle bite de mon mari, mais voilà qu’une deuxième se joint a lui, alternativement je suce les bites tandis que je me fais reluire l’abricot par une troisième, et je suis sure que, même si je ne les vois pas d’autres types se branles en nous regardant.
Je commence à avoir mal aux mâchoires, heureusement celui qui me maintient les hanches pour mieux m’enfiler, se crispe sur mon cul, une nouvelle fois je suis bombardée de jets puissants tout au font de ma matrice déjà engluée, j’ouvre la bouche pour crier mon bonheur quant le deuxième mec lâche son foutre, j’en prends la moitié au fond de la gorge, et l’autre sur tout le visage.
Lorsque mon baiseur se retire de mes entrailles, un flot de semence tombe sur la couverture !!
- Excusez moi, mais je repars avec mon ami, je vous remercie pour tout … peut être a une prochaine fois sur cette route …..
Epuisée mais heureuse, je bascule sur le dos, les cuisses toujours ouvertes, Georges me sourie.
- Comment te sens-tu mon amour ??
- Ouf !! vidée et pleine à la fois !! Mais toi chéri, tu n’as rien eu……alors vient me lécher …
- Te lécher ?? Tu es folle tu as vu dans quel état est ta chatte ??
Je me redresse un peu sur les coudes …mon dieu !! Les poils sont collés, les lèvres encore disjointes laissent s’échapper un liquide visqueux, l’intérieur des cuisses maculé et je dois m’estimer heureuse, ils ne s’en sont pas pris a mon petit cul !!
- C’est vrai, tu as raison, mais tu a bien une bouteille d’eau dans le coffre …
Deux minutes plus tard, après avoir expédié les voyeurs qui attendaient la suite, mon chéri est entre mes cuisses et finit de laver mon minou avec sa langue.
- Chérie, je n’en peu plus, il faut que je te baise a mon tour !!
- Alors vient …
Les genoux sur les seins je lui tend les bras, dés qu’il est en moi je le ceinture de mes jambes pour l’attirer plus profondément en moi, il m’a fait l’amour doucement et longtemps, comme j’aime , la chatte a nouveau remplie , recoiffée et remaquillée je suis remontée en voiture sans culote, la jupe dur le ventre pour la grande joie des routiers seulement un papier sous ma chatte , afin d’absorber le trop plein , et pour soulager encore Georges de sa grande excitation je l’ai sucé pendant qu’il conduisait , évidement nous sommes arrivés en retard a son rendez vous !!!!
Je crois que je ferais de nouveaux voyages avec lui ……….
- A ton prochain déplacement, je viens avec toi, tu me feras l’amour là où tu as baisé cette nana !!
- Aucuns problèmes chérie ce seras avec plaisir, par contre il faudra laver la couverture, car elle est bien tachée …..
- Gros cochon ….
Huit jours plus tard, La veille du départ, je me suis taillée les poils de la chatte, un fin liseré sur le bord des lèvres, et juste au dessus, un petit cœur qui laisse le clitoris accessible aux yeux et a la langue, au petit matin, je me suis habillée légèrement Georges aime voir et toucher mes cuisses lorsqu’il conduit et par la même occasion en faire profiter les chauffeurs de camions de puis leur cabine, je dois avouer que çà m’excite , et je n’ai pas peur de séparer mes genoux , le haut du corsage bien ouvert …..Les coups de klaxon et les appels de phares fusent !!
- tu es en beauté ce matin chérie, hummmm, je sens que le voyage va durer plus longtemps que prévus !! Fait voir ta petite chatte…
Lentement je soulève ma jupe, mon mini string apparait presque déjà mangé par ma moule
- Voilà !! Mais stop pas touche, tu as le temps, je vais te faire languir mon salaud !!
Nous voilà sur la route, et comme la dernière fois , il a encore oublié de faire le plein , nous nous arrêtons a la même station ou il a pris ce couple en stop….au moment de payer, je rentre avec lui dans la boutique pour m’acheter des bonbons , de nombreux hommes sont là, les discutions vont bon train , et brusquement le silence se fait , tous les regards convergent vers mes cuisses apparentes , certains sans pudeur ,se massent la braguette en me fixant , çà me fais sourire !!Puis nous regagnons la voiture, au moment de monter, l’histoire se répète, une voix, apparemment espagnole nous crie avec l’accent difficile à retranscrire ici
- Por favor, allez vous vers l’Espagne monsieur ?? Mon camion est boqué jusqu’a lundi et ye vais réjoindre ma famille
Houa !! Quel mec …un vrais toréador !! Pas très grand, brun évidement !! Une fine moustache, le visage fin mais très viril, plus bas des épaules larges , et des pectoraux moulés par un teeshirt qui le colle comme une seconde peau, la taille fine, le pantalon serré laisse deviner un matériel costaud ….un fourmillement a mon entre cuisse signale que çà n’a pas échappé a ma chatte !! J’ai de la peine à avaler ma salive ….çà n’échappe pas a mon mari qui me lance un sourire complice….
- Hé bien nous allons à Biarritz, si çà vous arrange-nous pouvons vous emmener …. Çà vous rapprocheras ….
- Ho, gracias, monsieur yé veux bien
Il dit cela tout en me regardant d’un air gourmand….
- Alors allons-y monsieur ?
- yé m’appelle Ruan
- Annie, ma femme, et moi Georges
Tout le monde monte en voiture, Je m’assois sans prendre aucunes précautions quand à ma jupe, celle-ci remonte plus qu’a mis cuisses, mes jambes n’arrivent pas a se serrer l’une contre l’autre !!Georges, d’entrée, règle son rétroviseur afin de capter le regard de notre voyageur pour voir ses réactions, nous voilà partis dans un silence pesant, difficile a rompre, mon mari allume la radio, c’est mieux !!Mais çà ne calme pas mon excitation … je décide de faire évoluer les choses, je baisse mon pare soleil, ouvre le miroir de courtoisie je cherche le visage de l’espagnol qui est juste derrière moi …. Son regard de braise me dévisage, un instant nous nous fixons, il me sourie …moi aussi, je baisse un peu le pare soleil, au juger, va-t-il voir mon entre cuisse ?? Pour être plus sure je pose négligemment un pied nu sur la planche de bord, là s’il ne voit rien, c’est qu’il est aveugle !! Ma jupe glisse et dévoile le renflement de ma vulve dessinée par le tissu de ma culotte étroite.
George me fait un clin d œil, maintenant je sais que notre invité voit mon entre cuisses…. Et pour faire monter la pression d’un cran mon mari pose sa main sur mon genoux, et lentement en décrivant des cercles de plus en plus larges, me caresse en remontant vers le haut, je m’écarte au maximum, impudique, je ferme les yeux et j’imagine l’homme qui est derrière moi se caresser la bosse énorme qui doit s’être formée a son entre jambes, je cherche le bouton qui règle mon siège, je fait basculer le dossier vers l’arrière, afin de faire profiter de visu du spectacle a l’espagnol, en prime il doit voir aussi mon soutien gorge bien remplis, je sens son souffle dans mon cou, une main hésitante se pose sur mon épaule , les doigts agiles et doux glissent vers ma nuque pour redescendre sur mon bras, son autre main vient se joindre a la première de l’autre coté du repose tête, une douce chaleur irradie mon bas ventre, çà y est … il enveloppe mes seins par-dessus le tissu, il malaxe doucement, pinçant tour a tour mes tétons érigés ….l’une après l’autre les bretelles de mon haut glissent sur mes épaules , c’est maintenant a peau nue que mes seins sont triturés…
Georges lui, malaxe mon minou, une première goute de cyprine suinte entre mes lèvres et mouille mon string…je suis à cran ….
Dehors, déjà, des coups de klaxons et des appels de phares fusent ….
- Chéri… je peu passer derrière ??.....
- Jai le droit de dire non ?? !!!
- Merci mon amour …..
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai redressé mon siège, avancé au maximum pour avoir de l’aisance derrière, une enjambée et me voilà assise à coté du mâle que je convoite… il me regarde un peu étonné, il regarde Georges également ….. Alors pour le rassurer quant a nos intentions, je soulève mes fesses et retire le string qui va devenir encombrant, je le passe a mon mari qui le hume longuement en me regardant dans le rétro.
- Tu sens bon chérie …..Je veux tout voir …..
Alors je prends la place du milieu entre les deux sièges, ce n’est pas la plus confortable, mais c’est de là que mon chéri verras sa femme se faire peloter, ma chatte s’offre a sa vue, Ruan, sait qu’il a le feu vert ,son bras gauche entoure mes épaules , sa bouche cherche ma mienne, tandis que sa main droite glisse sur l’intérieur de ma cuisse, ses doigts atteignent vite mon abricot gonflé de désir , les lèvres sont entrouvertes ,mouillées, il n’a aucun mal a introduire deux doigts dans ma grotte en ébullition, mon bassin s’avance de lui-même au bord du siège pour faciliter la pénétration, son pouce trouve mon clitoris :
- AAAAHHHHH…. Ouiiiii …. Caresse moi…..j’ai envie que tu me lèche …..Donne-moi ta queue ….
Il comprend vite, je me retrouve allongée sur lui tête bêche, la jupe sur les reins, il maintient mon bassin a hauteur de sa bouche, sa langue m’ouvre en deux, devant mes yeux je découvre une bosse énorme, je me hâte de défaire le pantalon encombrant, ma main glisse entre la peau et le boxer ou une tache humide apparait, je me saisie d’une queue énorme, mes petits doigts ne font pas le tour, j’ai de la peine à la mettre a l’air libre … Houaaaaa !!Une bitte brune, cintrée comme une corne de taureau, qui aurait une énorme boule de protection au bout, me saute aux yeux, une grosse perle translucide suinte de l’orifice, je me dépêche de la lécher avec gourmandise avant qu’elle ne tombe, je mets vite son gland au chaud dans ma bouche, je ne peux émettre que des ‘Huuuummmms’ ce salaud me fait du bien , je lui fait savoir en frottant ma moule sur sa bouche , ma sève de femme coule hors de mon vagin , il n’en perd pas une goute.
La voiture a ralentis, Georges doit avoir de la peine à se concentrer a la conduite, bientôt je ressens des chaos, nous venons enfin de quitter la route, la voiture s’immobilise, nous continuons nos ébats, le coffre s’ouvre et se referme ….
- Chérie, vous pouvez descendre, nous serons mieux ici….
A regret je lâche mon sabre de chair, je lève la tête nous sommes au milieu des fougères une couverture est étendue , titubante , je m’arrache a mon amant , nous descendons a moitié a poil, très vite nous reprenons ce que nous faisions, avec beaucoup plus d’espace , je branle frénétiquement ce monstre de chair , je veux sentir le sperme chaud couler dans ma gorge, d’autant plus que ma jouissance monte , il a trouvé le bon fonctionnement de mon clito.
Nous jouissons tous les deux dans des cris étouffés, une partie de sa semence coule de ma bouche, je ne peux pas tout absorber, une chose me surprend, sa rigidité ne faiblit pas …... je lève la tête Georges est là, il se masturbe en me souriant…
- C’est bon chérie ???
Houa !! Super !! Regarde, il bande toujours ….
- Alors profite en chérie, au fait c’est là que j’ai baisé la femme l’autre jour ….les fougères ne se sont pas redressées !!
- Gros salaud !! Alors je vais me faire baiser ici moi aussi.
Et je bascule sur le dos les genoux sur mes seins, offerte, Ruan a compris l’invitation…
- Yé peu Georges ??
- Bien sur !! C’est même conseillé !!
Il se met à genoux entre mes cuisses, la bitte collée a son ventre, il se saisit de mes jambes et les passent sur ses épaules, d’une main il guide la queue rebelle vers ma fente béante, et c’est l’estocade, d’une seule poussée ses couilles sont sur mon cul.
- AAAAHHHHH mon dieu !! Il va me déchirer le salaud ….
- Yé vais te fendre en deux petite madame ….
Et là une sarabande infernale commence, il sait baiser ce mâle hors normes, il alterne les coups de bassins, plus ou moins profonds et rapides, le gland vient régulièrement labourer mon point G, des cris stridents fusent de ma bouche, Georges vient vite me bâillonner avec sa queue, je la garde difficilement en bouche tellement je suis ballotée, mes bouts de seins décrivent des huit dans l’air.
- Ouiiiii, baise-moi !! Défonce moi tu me fais jouiiiiirrrr, décharge au fond de mon ventre ….
Et, tout d’un coup, il s’arrête, il va jouir ?? Hé bien non, je ne sais pas comment il s’y est pris, mais je me retrouve en levrette, sans qu’il soit sortit de ma chatte, les coups redoublent, nos chairs claquent l’une sur l’autre, ses couilles frappent mon clitoris, je jouie sans discontinuer sa corne laboure mon ventre, il beugle et souffle comme un taureau, et enfin il me bloque sur lui, des jets drus et chauds emplissent ma matrice, mon visage tombe sur mes avants bras, je suis lessivée , il reste planté en moi, et soudain je l’entend parler en espagnol, je lève la tête des hommes sont là , ils ont assistés au spectacle de ma chatte en saillie derrière mes fesses , plantée par un mâle hors norme, Georges n’a rien dit sans doute pour que je profite pleinement de mon amant de passage.
- Georges, Por favor, mon ami aimerais beaucoup présenter ses hommages à Annie … ce serait gentil …
- Oh, je pense qu’il n’y a pas de problème, Annie en a vus d’autres ….n ‘est ce pas mon amour…
Je regarde l’homme en question, jeune aussi, sa queue est plus courte, mais surtout plus large que celle que je viens de me prendre, il se branle doucement en me regardant… je fais seulement oui de la tête, aussitôt, les deux hommes se tape dans la main comme le feraient des relayeurs en sport, échange de place, mes lèvres n’ont pas le temps de se refermer que je suis à nouveau empalée, le sperme du premier n’a même pas eut le temps de sortir, c’est la pénétration du second qui provoque des fuites ,l’intérieur de mes cuisses engluées de nos liqueurs mélangées.
Celui-ci va plus doucement, sa queue coulisse dans mon fourreau comme un métronome, il apprécie l’étroitesse de mon vagin, malgré la lubrification abondante, c’est bon, mes centres nerveux exacerbés par le pilonnage récent me maintienne a la limite de la jouissance.
- Chérie donne moi ta queue, il me fait un bien fou, je veux te sucer en même temps.
Il bande comme un âne, j’aime la belle bite de mon mari, mais voilà qu’une deuxième se joint a lui, alternativement je suce les bites tandis que je me fais reluire l’abricot par une troisième, et je suis sure que, même si je ne les vois pas d’autres types se branles en nous regardant.
Je commence à avoir mal aux mâchoires, heureusement celui qui me maintient les hanches pour mieux m’enfiler, se crispe sur mon cul, une nouvelle fois je suis bombardée de jets puissants tout au font de ma matrice déjà engluée, j’ouvre la bouche pour crier mon bonheur quant le deuxième mec lâche son foutre, j’en prends la moitié au fond de la gorge, et l’autre sur tout le visage.
Lorsque mon baiseur se retire de mes entrailles, un flot de semence tombe sur la couverture !!
- Excusez moi, mais je repars avec mon ami, je vous remercie pour tout … peut être a une prochaine fois sur cette route …..
Epuisée mais heureuse, je bascule sur le dos, les cuisses toujours ouvertes, Georges me sourie.
- Comment te sens-tu mon amour ??
- Ouf !! vidée et pleine à la fois !! Mais toi chéri, tu n’as rien eu……alors vient me lécher …
- Te lécher ?? Tu es folle tu as vu dans quel état est ta chatte ??
Je me redresse un peu sur les coudes …mon dieu !! Les poils sont collés, les lèvres encore disjointes laissent s’échapper un liquide visqueux, l’intérieur des cuisses maculé et je dois m’estimer heureuse, ils ne s’en sont pas pris a mon petit cul !!
- C’est vrai, tu as raison, mais tu a bien une bouteille d’eau dans le coffre …
Deux minutes plus tard, après avoir expédié les voyeurs qui attendaient la suite, mon chéri est entre mes cuisses et finit de laver mon minou avec sa langue.
- Chérie, je n’en peu plus, il faut que je te baise a mon tour !!
- Alors vient …
Les genoux sur les seins je lui tend les bras, dés qu’il est en moi je le ceinture de mes jambes pour l’attirer plus profondément en moi, il m’a fait l’amour doucement et longtemps, comme j’aime , la chatte a nouveau remplie , recoiffée et remaquillée je suis remontée en voiture sans culote, la jupe dur le ventre pour la grande joie des routiers seulement un papier sous ma chatte , afin d’absorber le trop plein , et pour soulager encore Georges de sa grande excitation je l’ai sucé pendant qu’il conduisait , évidement nous sommes arrivés en retard a son rendez vous !!!!
Je crois que je ferais de nouveaux voyages avec lui ……….
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai beaucoup aimé ça, t'es bien chaude comme femme, tu m'as fait du bien, j'ai joui
aussi à 6000 km de la France
Crisss
aussi à 6000 km de la France
Crisss
bandant