La routine a du bon ! Malgré tout !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La routine a du bon ! Malgré tout !
A cette période, Corinne avait mis un coup de frein à ses activités extra-conjugales.
Elle était en baisse de libido, sur ce point.
Mais elle retrouvera ses envies, assez rapidement !
Quand à moi, c'était l'opposé ! Je faisais une overdose de sexe anal !
La liberté retrouvée de Gilles (son divorce !), se manifestait en besoin quasi quotidien, de me baiser "la chatte".
J'avoue que j'apprécie un peu de calme, de temps en temps.
Je suis bien dans mon statut d'hétéro, sans penser à mes besoins de belles queues.
Je me sens stable et équilibré, puis ses visites bousculent mon bien-être, lorsqu'il utilise mon corps pour son besoin personnel.
Malgré cela, je prends toujours autant de plaisir, même si j'en avais pas besoin !
Et surtout, je suis conscient de ma chance !
Avoir la préférence de Gilles est un cadeau rare !
A force de pénétrations extrêmes, j'ai du mal a trouver des amants convenables en lieux chauds !
Un retour en arrière est inconcevable pour moi ! Je m'ennuie, si je ne me fait pas bien écarteler l'anus !
Je prend du plaisir, mais un peu seulement, beaucoup sont trop précoces !
Gilles est l'amant parfait ! Extrêmement bien monté et très endurant !
Donc, je ne fais pas le difficile et accepte qu'il me baise à sa convenance.
Je ne raconte à Corinne, qu'une faible partie de mes baises avec lui !
Elle se rendrait compte que nos rapports amoureux sont moins fréquents que mes défonces anales avec lui !
Lorsqu'il m'a rendu visite entre midi et 14 heures, j'ai l'après-midi pour me remettre.
Mais, quand c'est un peu avant la fermeture de ma boutique, à 19 h, je rentre avec l'anus béant et coulant de jus, encore plein de sensations intérieures.
Les rares occasions, ou il ne me sollicite que pour une très longue fellation, sont très jouissives pour moi.
Nous sommes jeudi ! Je rentre encore en pensant à nos ébats de midi !
Il s'est encore surpassé, tout en pensant à moi !
Il m'a enculé dans une longue série de positions diverses.
Il m'a amené à éjaculer encore, pendant qu'il me transperçait l'anus.
Puis, il m'a obligé a vider abondamment ma vessie, toujours sous ses profonds coups de queues.
Il est accroc à ce plaisir !
Il nous restait, moins d'une heure pour déjeuner, ensuite !
En revenant à la boutique, j'ai fais un bon ménage de la pièce ou il m'a baisé.
Puis, j'ai ouvert pour aérer, en attendant les clients.
Il n'est pas venu le vendredi, Je fais l'amour avec ma belle ! Ca fait du bien !
Je me pose des questions sur mon Week-end, elle sera absente jusqu'au dimanche soir !
Je risque de m'ennuyer tout seul !
Mon samedi est très mouvementé, je fais un très bon chiffre !
Vers 18h45, Gilles débarque !
Dès que nous sommes seuls, il me dit:
"Bon, on baise maintenant ? Tu fermes ! C'est l'heure, non ?".
"Oui, c'est l'heure ! Mais tu peux aussi venir à la maison ! Corinne n'est pas là !".
"Super ! Comme ça, on a le temps ! J'aime bien dormir avec toi !".
Finalement, il patiente, et m'accompagne chez moi.
En passant la porte, il me demande:
"Tu peux fermer à clefs ? Comme ça, on se met à poil ! J'aime bien te voir nu !".
"Si ça te fait plaisir, alors ! OK !".
Je lui prépare un repas, nu comme un ver, il ne cesse de me toucher les fesses et l'anus, pendant ma préparation.
"Gilles ! Soit patient ! Tu vas m'avoir toute la soirée !".
"Je sais ! Mais, tu me donnes envie, comme ça ! Je suis trop content que tu aimes baiser avec moi !".
"Tu plaisantes ! C'est moi qui ai de la chance ! Tu peux baiser qui tu veux, avec une bite comme la tienne !".
"Je m'en fous ! C'est toi qui me plait ! Et puis, les autres sont plus âgés ! Toi, t'es jeune ! C'est plus excitant !".
Je me tourne et vois qu'il bande fermement !
Je profite d'un temps d'attente de cuisson pour lui englober la verge de mes lèvres chaudes et humides.
"Orhhhhhhhhh ! Chaton, j'adore ta bouche ! C'est tellement bon !".
"Mmmmm ! Tu lui fais du bien, à ma bouche, tu sens comme j'aime te sucer ? C'est l'entrée idéale pour moi !".
"Arhhhhh ! Oui, encore ! Prends moi bien profond !".
Je n'aurai jamais du faire ça ! L'arrêt de la fellation fut difficile et frustrant, pour lui comme pour moi !
Il mange à mes cotés, en caressant ma cuisse et mon cul sans cesse.
"J'aime bien ce genre de moment, aussi ! On pourrait vivre en couple, si cela avait été possible !".
"Tu veux dire, si la société, n'était pas ce qu'elle est, sans préjugé ! J'aurai bien aimé, mais sans me passer d'une femme ! Un couple à plusieurs ! Ou tout est permis ! Mais sans le cacher, c'est la différence avec aujourd'hui !".
"Voilà ! Moi ça me gêne pas que tu baises Corinne ! Et elle, elle adore savoir que je t'encule ! Elle irai baiser avec qui elle veut ! Sans se poser de question sur le regard des gens !".
"Après, je t'avoue, que tu me demandes plus souvent qu'elle ! C'est pas évident pour moi de te satisfaire !".
"Tu t'en sors bien, ma p'tite chatte ! Mais c'est de ta faute ! Je rajeuni avec toi ! J'ai jamais autant baisé !".
"Ah bon ? C'est ma faute ?".
Je me lève pour apporter deux boules de glaces pour chacun, avec une bombe de crème chantilly.
A la fin, il recule sa chaise pour s'en couvrir la verge.
"Tiens ! Il y a un deuxième dessert !".
Me voilà entre ses deux longues jambes, accroupi au sol, afin de lui lécher la bite et les couilles, couvertes de chantilly.
Je prend un plaisir énorme, en prenant mon temps, nous ne sommes pas pressés après tout !
"C'est bon ! Mon chaton ! Tu l'aimes ma grosse glace ?".
"Mmmm ! Oui ! C'est excitant de te lécher comme ça ! Mmmmmmmm !".
Après de longues minutes de plaisir mutuel, il me demande:
"Tu as du gel ? Pour que je t'encules ?".
"Oui ! Dans le tiroir de la commode, dans ma chambre !".
Il va prendre le tube, puis revient.
Il me fait monter à genoux sur une chaise, en lui offrant mes fesses, puis ajoute:
"Je vais te bouffer la chatte avant ! J'adore te préparer comme ça !".
Je me cambre en m'offrant à mon amant préféré.
Il me dévore l'anus savamment, en caressant ma petite verge.
Imperceptiblement, il me dilate l'œillet anal, avec sa grosse langue rugueuse.
Il me crache vicieusement à plusieurs reprises sur l'orifice, qui s'ouvre de plus en plus.
Puis, il se dresse et s'enduit la bite de gel.
Il pose le bout du tube, à l'entrée élargie, de mon anus, et m'insère du produit.
Il place son énorme gland, en poussant fermement.
Son gros membre glisse, presque sans résistance, mais en m'apportant une incroyable sensation d'écartèlement extrême, et trop soudain.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Gilles ! Oh ! Putain ! C'est trop rapide ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il vient toucher le fond de mon cul, puis insiste en poussant encore, et glisse en moi jusqu'aux couilles.
"Putain, j'adore ta chatte, chaton !".
"Orghhhhhhhh ! Ouffffffffffffffff ! Tu me démontes encore ! T'es un dingue ! Oh, mon p'tit cul !".
"Tu vas pas te plaindre ? On est bien là ! T'aimes ça ! Pas vrai ?".
"Arhhhhhhhh ! Oui, J'aime ça ! Tu le sais ! Orghhhhhhh ! Tu m'encules comme personne ! Y a que toi qui me remplit la chatte comme ça ! Arhhhhhhhh !".
Il bouge en moi à un rythme contrôlé, mais profond.
Un enfoncement par seconde !
Ce rythme, calé sur une musique lente, me fait orgasmer sur sa grosse verge comme rarement.
Il me demande de lui confirmer que je lui appartiens, qu'il me prend la chatte quand il veut.
Je joui en lui confirmant tout ça, avec des râles vicieux.
"Orhhh ! Mon p'tit amour ! J'adore t'éclater la chatte, comme ça !".
"Mmmmm ! Orhhh ! Tu le fais tellement bien ! Putainnnnnnnnnn !".
"Tu m'en veux, si je te défonces plus fort ? J'ai envie de jouir, on rebaisera encore après !".
"Non, vas-y ! Fais toi plaisir !".
Il amplifie son rythme et ses glissements.
Sa main gauche m'interdit de crier, pendant qu'il me maintient les fesses cambrées, en m'enculant comme une bête déchainée.
C'est un intense, et interminablement délicieux supplice pour moi.
J'enchaine les orgasmes, dont le dernier, qui me fait mordre la paume de sa main.
J'éjacule entre mes cuisses, sur la chaise.
Je commence à vider ma vessie également, c'est à ce moment qu'il explose dans mes intestins.
"Arghhhhhhhhhh ! Chaton ! Je joui ! Arghhhhhhhhhhh Arghhhhhh....".
Je me cambre davantage pour l'accueillir plus profondément.
Il se cramponne à mes hanches, en m'assénant ses derniers assauts juteux.
"Putain ! Gilles ! C'est trop bon ! Orhhhh ! J'aime ces moments là !".
"Ourhhh ! Moi aussi ! Mon p'tit chat ! J'adore jouir dans ta chatte ! Hummm ! Ca glisse tout seul ! C'est bien aussi, avec du gel !".
J'ai une sensation d'énorme humidité entre les fesses, il se retire, puis revient sans cesse.
Je gémis à chaque retour, mais j'adore ça !
"Hummm ! C'est à moi ! J'en fais ce que je veux ! T'es ma p'tite pute ! Tu le sais ! Tu me diras jamais non ! Avoues le !".
"Oui ! Tu peux m'enculer quand tu veux ! Orhhh ! J'ai bien joui, encore ! Si tu savais !".
"J'ai vu, t'as bien giclé, ma salope !".
Il se retire enfin et m'aide à me redresser.
Je glisse ma main entre mes fesses, comme pour constater les dégâts, et faire un constat de l'état de mon anus.
"Ouhhh ! Même si j'adore ça ! T'y es allé fort encore !".
Il revient de la salle de bain avec une serviette et m'essuie l'entre fesses.
"Voilà, t'es toute propre, ma chérie !".
Il m'enlace et m'embrasse en me serrant fermement, je serre mon sphincter pour éviter les écoulements anaux.
"Viens, on va se câliner dans ta chambre !".
Je passe devant lui, et m'allonge sur le ventre, afin de reprendre des forces, en relâchant mon sphincter.
Sa main qui me caresse doucement, des pieds, jusqu'au haut du crane, me fait énormément de bien.
Ensuite, il se glisse entre mes cuisses, qu'il écarte pour me lécher l'anus.
"Je l'aime ta chatte ! Pascal ! J'adore te lécher comme ça !".
"Hummmm ! C'est bon, ça me fait du bien, après ce que tu m'as mis ! Encore !".
Sa langue qui me fouille au plus profond de ses possibilités, me fait rejeter son foutre encore chaud.
"Hummm ! Je te l'ai bien rempli, encore ! Désolé, j'avais trop besoin de jouir !".
"Mmmm ! C'est pas grave ! j'aime ça aussi ! La preuve, c'est que tu m'as encore fait éjaculer !".
"Oui, mais maintenant, je veux te montrer autre chose !".
"Je sais ! Moi aussi, j'en ai envie !".
Je me laisse aimer longuement, cette fois, (contrairement avec Corinne) je reçois de la tendresse.
Je profite des rares moments, ou c'est possible, pour engloutir son gros gland et le lécher amoureusement.
Je prend un plaisir énorme, lorsqu'il me voute sous lui, en me dévorant encore l'anus, tout en me serrant doucement les testicules dans sa main.
On s'arrête, puis on recommence, un arrêt encore, ensuite, on est encore attiré l'un vers l'autre.
Je reprend sa grosse verge entre mes doigts, elle reprend vigueur, puis durcit fermement entre mes lèvres chaudes.
Son gland a atteint sa taille maximum, au fond de ma gorge.
Un de ses doigts me fouille l'anus, me faisant gémir, enfoncé sur sa bite.
Au bout d'un certain temps, j'en peux plus !
Je prend la décision de le chevaucher, pour m'enfoncer sur sa grosse verge.
"Mmmmmmm ! Oh, je l'aime, ta bite ! Arghhhhhhhhhh !".
Je vis un orgasme instantané, mes parois anales sont encore hyper sensibilisées par sa longue saillie.
"Tu jouis ? Mon chaton ! C'est ça ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Argggggggggggggggggggg !".
Il me regarde crisper mon petit corps, empalé sur lui, puis me détendre enfin, et m'écrouler sur son torse.
"Orhhhhh ! Merci, Gilles ! J'ai trop aimé ça ! Chéri !".
"Tu me parles pas assez comme ça, j'aime quand tu me donnes des p'tits noms comme ça !".
"Je sais ! Désolé, ça me fait peur ! Je veux pas casser notre entente ! Si on se met à s'aimer, ça va devenir dangereux ! Mais si ça te manques, je le ferai plus souvent ! Mon chéri !".
"Te fais pas de souci pour les sentiments, on en ressent déjà, mais on les contrôle bien, depuis le nombre d'années qu'on baise ensemble !".
"C'est vrai ! t'as raison ! Et puis, je dois t'avouer que j'aime bien que tu me parles comme à une femme !".
"Je le sais ! C'est pour ça que je le fais ! Ma p'tite chatte !".
Il nous fait pivoter, se retrouve au dessus de moi, entre mes cuisses.
Il m'embrasse en me transperçant "la chatte" le plus profondément possible de sa grosse queue.
"J'ai envie de faire jouir encore ! T'es mon p'tit chaton ! Mon p'tit amour ! Ma p'tite salope aussi ! Je suis bien avec toi, Pascal !".
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Gilles, tu me rend fou ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
Il coulisse en moi, en observant les effets de sa possession sur mon visage de jeune homme, pris par un sexagénaire, à présent.
Ma jeunesse l'excite autant, que moi j'aime appartenir à un homme de son âge.
Heureusement, il n'a pas les défauts de ses années de vie accumulées, il reste très actif et endurant, pour mon bonheur !
Je connaitrais plus tard, Jean ! Un autre homme de son âge, avec une verge magnifiquement large et longue !
Mais, il ne parvenait que rarement, à être assez dur, pour me baiser convenablement.
Après quatre tentatives, de moins en moins concluantes, j'ai cessé mes visites chez lui !
Mais revenons à Gilles, qui m'emporte vers des sommets de plaisir anal, blottit dans ses bras.
"Mmmmm ! Chéri, Gilles ! je joui encore ! Aarghhhhhhhhhh ! Orhhhhh ! Je t'adore ! Tu le sais !".
"Oui, chaton ! Putain, si je t'avais connu avant, je t'aurai gardé que pour moi !".
Il me fait pivoter encore et revient dans mon orifice, mais en me surprenant par son choix de position.
Il est a l'opposé de mon corps, ses pieds au niveau de ma tête.
Sa verge s'insère en moi, en me faisant hurler de plaisir.
Son gros gland m'arrache des cris à chaque glissement.
Le frottement est extrême !
Ma verge durcit irrémédiablement.
Après une longue séance d'enfoncements profonds, je plonge mon visage dans mon coussin, pour étouffer mon puissant double orgasme.
Je sens mon gland, qui déverse le peu de sperme, qu'il a reproduit depuis ma première éjaculation.
Si elle est plus faible en quantité, elle est bien plus intense en sensation !
Gilles est encore davantage motivé par mes manifestations de plaisir.
Il gagne en force et profondeur dans ma "chatte" anale.
Mes râles ressemblent à des pleurs, tant mon plaisir est fort.
Il se dresse sur ses bras et s'acharne dans mes fesses, sans augmenter son rythme.
Il cherche à me faire crier, et il réussi, mes cris augmentent son plaisir.
Il va bientôt me rejoindre, je le sais !
Enfin, je reçois d'incroyables derniers enfoncements, pendant qu'il oscille entre cris, grognements, et gémissements.
Ma tête va exploser, c'est trop puissant pour moi !
Je sens son gland, à plus de 26 cm dans mon cul, qui se déverse encore et encore.
"Arhhhhhh ! Putain, Gilles ! Tu m'éclates la chatte ! Arghhhhhhhhhhh ! Tu me fais trop bien l'amour, mon chéri !".
Il ne cesse de grogner en se vidant de toute sa semence.
Puis, son torse se colle entre mes jambes, il a joui complètement, je suis comblé ! Heureux comme jamais !
Je lui offre tout le temps nécessaire, pour reprendre ses esprits.
Il se relève enfin, se retire, se place dans mon sens, reprend le chemin de mon anus, et me blottit contre son torse.
"Mon p'tit chat, j'ai trop bien joui, je t'adore tellement ! Si tu savais à quel point ! Hummm ! Je suis bien dans ta chatte !".
"C'é... c'était incroyable ! J'ai sali les draps ! Mais tant pis ! Je raconterai tout à Corinne !".
"Tu lui racontes pas toujours ?".
"Non ! Pas à chaque fois ! Je sais pas, si elle apprécierai que je baise plus avec toi, qu'avec elle !".
"Comme tu veux ! Moi ça me regarde pas ! Elle a quelqu'un en ce moment ?".
"Non, mais ça va la reprendre bientôt, je pense ! Je la laisse gérer sa double vie, toute seule ! J'ai pas envie qu'elle baise sur ma demande !".
Peu de temps après, on se lève pour mater la télé, mais comme le programme est peu intéressant, je sombre sur sa cuisse, en m'endormant.
Je suis éveillé en sentant qu'il me soulève.
"Non ! Gilles ! Pose-moi, je vais y aller tout seul ! Repose-toi !".
Je titube un peu jusqu'à la chambre, puis me couche contre lui, pour retrouver un sommeil réparateur et parfait.
Au matin, je sens son gros gland qui cherche à s'insérer en moi, aidé du gel lubrifiant.
"Orhhhhhh ! Gilles ! Mon chéri ! Tu trouves pas que c'est un peu tôt ? Arhhhhhh !".
"Tu m'excites, tout nu, avec la chatte tendue vers moi ! J'ai résisté comme j'ai pu, mais là, j'en peux plus !".
Il parvient à ses fins et me transperce encore !
Très rapidement, je reconnais la sensation d'un besoin de vider ma vessie.
"Gilles ! Arghhhhhhhh ! Tu vas me faire gicler !".
"Tu vas encore vider ton foutre ? Mon chaton ?".
"Non ! Pas ça ! Arghhhhh ! Pas dans le lit ! S'il te plait !".
Il me décale, s'allonge au sol, pour que je m'empale sur sa grosse verge en érection matinale.
Je peux enfin me laisser aller. Mon liquide chaud et doré, inonde son ventre à chaque enfoncement.
Il me motive avec des paroles vulgaires, pour que je continue de le couvrir de mon jus.
"Putain, j'adore te faire pisser en te défonçant la chatte ! Bébé !".
Je me bloque parfois, complètement enfoncé sur lui, alors que ma verge libère son trop plein.
"Arghhhhhhhhhh ! Tu me fais faire des choses folles ! Gilles ! Tu me rends dingue ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Dès lors, notre copulation devient plus bruyante, à cause de l'humidité sur son pubis.
Il nous change de sens, me plaçant sur le ventre, contre le sol mouillé.
Il me transperce, comme avec un marteau piqueur, sans discontinuer.
Il me libère d'une succession d'orgasmes trop intenses, en se levant d'un coup pour éjaculer debout, sur mon corps.
"Arhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Prends mon foutre ! Salope ! Argggggggggghhhhhhhh !".
Après son déversement, il reprend sa place dans mon anus.
Ses doigts m'abreuvent de son sperme, qu'il récupère sur mon dos.
"Bonjour, mon chaton ! Merci pour ce super réveil ! T'as aimé ?".
"Oufff ! Je sais pas, tu sais que ça me gênes de me vider comme ça ! Mais, je dois avouer que c'est toujours énormément de plaisir ! Ourhhhhhhhh ! Je dois aller aux toilettes !".
Il me quitte analement pour me voir courir, tout nu, affolé.
Il me rejoint, en faisant couler le pommeau de la douche, située à coté.
Mes flatulences, lui révèlent que j'ai encore quelques soucis anaux.
Ce ne seront pas les derniers de la journée, Corinne rentre vers 20h, et il compte bien en profiter !
Juste après notre petit déjeuner copieux, il m'aide à effacer les traces de nos "bêtises" sexuelles.
En vérifiant les draps, je constate des taches de sperme qui ne sont pas les miennes !
"Qu'est-ce que tu regardes comme ça ? Tu les changes ou pas ?".
"Non, elle va se douter de quelque chose ! Mais tout ça, c'est pas moi !".
"Ah, donc elle s'est amusée, elle aussi !".
"Je m'en doutais un peu ! Mais je préfère qu'elle m'en parle en premier ! Elle n'a pas eu le temps de les changer, elle non plus ! Ca nous arrange !".
On prend le reste de la matinée pour se balader loin de la ville.
Il m'emmène aux "Salins", plage connue pour être fréquentée par des homos, des bisexuels mariés et des échangistes.
Il ne résiste pas à se faire sucer au milieu des roseaux, jusqu'à ce que deux hommes nous rejoignent.
Son regard lubrique me fait comprendre qu'il désire me mater, pendant qu'on m'encule devant lui.
Les deux hommes s'en donnent à cœur joie, mais avec préservatifs !
Le dernier l'ôtera pour m'éjaculer dans la bouche, à la demande de Gilles.
On mange dans une baraque à sandwich, puis on rentre chez lui, pour changer !
Je le reçois profondément et puissamment contre son canapé, alors qu'un DVD porno gay, défile sur l'écran de sa TV, devant nous.
Je macule le dos du canapé avec mon sperme, alors qu'il me fait jouir, encore et encore.
Il éjacule à son tour, longtemps après, quand je suis devant lui, couché sur le sol.
Ses grosses mains s'agrippent à mes hanches, alors qu'il glisse en moi lentement, tout en m'inséminant.
On se dit des mots tendres et pervers.
On reste ainsi, sans cesser nos caresses, jusqu'à la fin de son érection dans mon anus.
Il est 18 h, il me faut rentrer ! Même si j'en ai pas vraiment envie !
Gilles vient de me faire vivre, quasiment, un tour d'horloge de sexe anal !
Les deux petites heures que j'ai devant moi, vont m'aider à retrouver des sensations presque "normales".
Enfin, je le croyais !
Si ma belle, ne s'est rendue compte de rien au niveau propreté, elle a compris, à ma gêne au bas ventre, et mes allers retours incessants aux WC, que j'avais pratiqué la sodomie !
"T'es sorti ? T'as été au Sex-shop ?".
"Euh, non, pas besoin, Gilles est passé me prend... euh ! A la boutique ! Et il est venu ici !".
"Oui, et te prendre par la même occasion !".
"Euh, voilà ! Oui ! J'ai pris cher encore !".
"T'as eu raison ! Tu sais que je l'aime bien ! Je préfère que ce soit lui ! Tu me raconteras ?".
"Si tu veux !".
"Je te raconterai des choses, moi aussi !".
"J'attends que ça ! Il est nouveau ?".
"Oui, il est différent des autres, on va dire ! Comment t'as deviné ?".
"Un peu, ton comportement ! Et surtout les draps !".
"Zut ! J'ai oublié de les laver ! Désolée !".
J'apprendrai que son nouvel amant est un homme de couleur de 50 ans ! Je l'ai rencontré ! Il était charmant et très viril !
Elle était en baisse de libido, sur ce point.
Mais elle retrouvera ses envies, assez rapidement !
Quand à moi, c'était l'opposé ! Je faisais une overdose de sexe anal !
La liberté retrouvée de Gilles (son divorce !), se manifestait en besoin quasi quotidien, de me baiser "la chatte".
J'avoue que j'apprécie un peu de calme, de temps en temps.
Je suis bien dans mon statut d'hétéro, sans penser à mes besoins de belles queues.
Je me sens stable et équilibré, puis ses visites bousculent mon bien-être, lorsqu'il utilise mon corps pour son besoin personnel.
Malgré cela, je prends toujours autant de plaisir, même si j'en avais pas besoin !
Et surtout, je suis conscient de ma chance !
Avoir la préférence de Gilles est un cadeau rare !
A force de pénétrations extrêmes, j'ai du mal a trouver des amants convenables en lieux chauds !
Un retour en arrière est inconcevable pour moi ! Je m'ennuie, si je ne me fait pas bien écarteler l'anus !
Je prend du plaisir, mais un peu seulement, beaucoup sont trop précoces !
Gilles est l'amant parfait ! Extrêmement bien monté et très endurant !
Donc, je ne fais pas le difficile et accepte qu'il me baise à sa convenance.
Je ne raconte à Corinne, qu'une faible partie de mes baises avec lui !
Elle se rendrait compte que nos rapports amoureux sont moins fréquents que mes défonces anales avec lui !
Lorsqu'il m'a rendu visite entre midi et 14 heures, j'ai l'après-midi pour me remettre.
Mais, quand c'est un peu avant la fermeture de ma boutique, à 19 h, je rentre avec l'anus béant et coulant de jus, encore plein de sensations intérieures.
Les rares occasions, ou il ne me sollicite que pour une très longue fellation, sont très jouissives pour moi.
Nous sommes jeudi ! Je rentre encore en pensant à nos ébats de midi !
Il s'est encore surpassé, tout en pensant à moi !
Il m'a enculé dans une longue série de positions diverses.
Il m'a amené à éjaculer encore, pendant qu'il me transperçait l'anus.
Puis, il m'a obligé a vider abondamment ma vessie, toujours sous ses profonds coups de queues.
Il est accroc à ce plaisir !
Il nous restait, moins d'une heure pour déjeuner, ensuite !
En revenant à la boutique, j'ai fais un bon ménage de la pièce ou il m'a baisé.
Puis, j'ai ouvert pour aérer, en attendant les clients.
Il n'est pas venu le vendredi, Je fais l'amour avec ma belle ! Ca fait du bien !
Je me pose des questions sur mon Week-end, elle sera absente jusqu'au dimanche soir !
Je risque de m'ennuyer tout seul !
Mon samedi est très mouvementé, je fais un très bon chiffre !
Vers 18h45, Gilles débarque !
Dès que nous sommes seuls, il me dit:
"Bon, on baise maintenant ? Tu fermes ! C'est l'heure, non ?".
"Oui, c'est l'heure ! Mais tu peux aussi venir à la maison ! Corinne n'est pas là !".
"Super ! Comme ça, on a le temps ! J'aime bien dormir avec toi !".
Finalement, il patiente, et m'accompagne chez moi.
En passant la porte, il me demande:
"Tu peux fermer à clefs ? Comme ça, on se met à poil ! J'aime bien te voir nu !".
"Si ça te fait plaisir, alors ! OK !".
Je lui prépare un repas, nu comme un ver, il ne cesse de me toucher les fesses et l'anus, pendant ma préparation.
"Gilles ! Soit patient ! Tu vas m'avoir toute la soirée !".
"Je sais ! Mais, tu me donnes envie, comme ça ! Je suis trop content que tu aimes baiser avec moi !".
"Tu plaisantes ! C'est moi qui ai de la chance ! Tu peux baiser qui tu veux, avec une bite comme la tienne !".
"Je m'en fous ! C'est toi qui me plait ! Et puis, les autres sont plus âgés ! Toi, t'es jeune ! C'est plus excitant !".
Je me tourne et vois qu'il bande fermement !
Je profite d'un temps d'attente de cuisson pour lui englober la verge de mes lèvres chaudes et humides.
"Orhhhhhhhhh ! Chaton, j'adore ta bouche ! C'est tellement bon !".
"Mmmmm ! Tu lui fais du bien, à ma bouche, tu sens comme j'aime te sucer ? C'est l'entrée idéale pour moi !".
"Arhhhhh ! Oui, encore ! Prends moi bien profond !".
Je n'aurai jamais du faire ça ! L'arrêt de la fellation fut difficile et frustrant, pour lui comme pour moi !
Il mange à mes cotés, en caressant ma cuisse et mon cul sans cesse.
"J'aime bien ce genre de moment, aussi ! On pourrait vivre en couple, si cela avait été possible !".
"Tu veux dire, si la société, n'était pas ce qu'elle est, sans préjugé ! J'aurai bien aimé, mais sans me passer d'une femme ! Un couple à plusieurs ! Ou tout est permis ! Mais sans le cacher, c'est la différence avec aujourd'hui !".
"Voilà ! Moi ça me gêne pas que tu baises Corinne ! Et elle, elle adore savoir que je t'encule ! Elle irai baiser avec qui elle veut ! Sans se poser de question sur le regard des gens !".
"Après, je t'avoue, que tu me demandes plus souvent qu'elle ! C'est pas évident pour moi de te satisfaire !".
"Tu t'en sors bien, ma p'tite chatte ! Mais c'est de ta faute ! Je rajeuni avec toi ! J'ai jamais autant baisé !".
"Ah bon ? C'est ma faute ?".
Je me lève pour apporter deux boules de glaces pour chacun, avec une bombe de crème chantilly.
A la fin, il recule sa chaise pour s'en couvrir la verge.
"Tiens ! Il y a un deuxième dessert !".
Me voilà entre ses deux longues jambes, accroupi au sol, afin de lui lécher la bite et les couilles, couvertes de chantilly.
Je prend un plaisir énorme, en prenant mon temps, nous ne sommes pas pressés après tout !
"C'est bon ! Mon chaton ! Tu l'aimes ma grosse glace ?".
"Mmmm ! Oui ! C'est excitant de te lécher comme ça ! Mmmmmmmm !".
Après de longues minutes de plaisir mutuel, il me demande:
"Tu as du gel ? Pour que je t'encules ?".
"Oui ! Dans le tiroir de la commode, dans ma chambre !".
Il va prendre le tube, puis revient.
Il me fait monter à genoux sur une chaise, en lui offrant mes fesses, puis ajoute:
"Je vais te bouffer la chatte avant ! J'adore te préparer comme ça !".
Je me cambre en m'offrant à mon amant préféré.
Il me dévore l'anus savamment, en caressant ma petite verge.
Imperceptiblement, il me dilate l'œillet anal, avec sa grosse langue rugueuse.
Il me crache vicieusement à plusieurs reprises sur l'orifice, qui s'ouvre de plus en plus.
Puis, il se dresse et s'enduit la bite de gel.
Il pose le bout du tube, à l'entrée élargie, de mon anus, et m'insère du produit.
Il place son énorme gland, en poussant fermement.
Son gros membre glisse, presque sans résistance, mais en m'apportant une incroyable sensation d'écartèlement extrême, et trop soudain.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Gilles ! Oh ! Putain ! C'est trop rapide ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il vient toucher le fond de mon cul, puis insiste en poussant encore, et glisse en moi jusqu'aux couilles.
"Putain, j'adore ta chatte, chaton !".
"Orghhhhhhhh ! Ouffffffffffffffff ! Tu me démontes encore ! T'es un dingue ! Oh, mon p'tit cul !".
"Tu vas pas te plaindre ? On est bien là ! T'aimes ça ! Pas vrai ?".
"Arhhhhhhhh ! Oui, J'aime ça ! Tu le sais ! Orghhhhhhh ! Tu m'encules comme personne ! Y a que toi qui me remplit la chatte comme ça ! Arhhhhhhhh !".
Il bouge en moi à un rythme contrôlé, mais profond.
Un enfoncement par seconde !
Ce rythme, calé sur une musique lente, me fait orgasmer sur sa grosse verge comme rarement.
Il me demande de lui confirmer que je lui appartiens, qu'il me prend la chatte quand il veut.
Je joui en lui confirmant tout ça, avec des râles vicieux.
"Orhhh ! Mon p'tit amour ! J'adore t'éclater la chatte, comme ça !".
"Mmmmm ! Orhhh ! Tu le fais tellement bien ! Putainnnnnnnnnn !".
"Tu m'en veux, si je te défonces plus fort ? J'ai envie de jouir, on rebaisera encore après !".
"Non, vas-y ! Fais toi plaisir !".
Il amplifie son rythme et ses glissements.
Sa main gauche m'interdit de crier, pendant qu'il me maintient les fesses cambrées, en m'enculant comme une bête déchainée.
C'est un intense, et interminablement délicieux supplice pour moi.
J'enchaine les orgasmes, dont le dernier, qui me fait mordre la paume de sa main.
J'éjacule entre mes cuisses, sur la chaise.
Je commence à vider ma vessie également, c'est à ce moment qu'il explose dans mes intestins.
"Arghhhhhhhhhh ! Chaton ! Je joui ! Arghhhhhhhhhhh Arghhhhhh....".
Je me cambre davantage pour l'accueillir plus profondément.
Il se cramponne à mes hanches, en m'assénant ses derniers assauts juteux.
"Putain ! Gilles ! C'est trop bon ! Orhhhh ! J'aime ces moments là !".
"Ourhhh ! Moi aussi ! Mon p'tit chat ! J'adore jouir dans ta chatte ! Hummm ! Ca glisse tout seul ! C'est bien aussi, avec du gel !".
J'ai une sensation d'énorme humidité entre les fesses, il se retire, puis revient sans cesse.
Je gémis à chaque retour, mais j'adore ça !
"Hummm ! C'est à moi ! J'en fais ce que je veux ! T'es ma p'tite pute ! Tu le sais ! Tu me diras jamais non ! Avoues le !".
"Oui ! Tu peux m'enculer quand tu veux ! Orhhh ! J'ai bien joui, encore ! Si tu savais !".
"J'ai vu, t'as bien giclé, ma salope !".
Il se retire enfin et m'aide à me redresser.
Je glisse ma main entre mes fesses, comme pour constater les dégâts, et faire un constat de l'état de mon anus.
"Ouhhh ! Même si j'adore ça ! T'y es allé fort encore !".
Il revient de la salle de bain avec une serviette et m'essuie l'entre fesses.
"Voilà, t'es toute propre, ma chérie !".
Il m'enlace et m'embrasse en me serrant fermement, je serre mon sphincter pour éviter les écoulements anaux.
"Viens, on va se câliner dans ta chambre !".
Je passe devant lui, et m'allonge sur le ventre, afin de reprendre des forces, en relâchant mon sphincter.
Sa main qui me caresse doucement, des pieds, jusqu'au haut du crane, me fait énormément de bien.
Ensuite, il se glisse entre mes cuisses, qu'il écarte pour me lécher l'anus.
"Je l'aime ta chatte ! Pascal ! J'adore te lécher comme ça !".
"Hummmm ! C'est bon, ça me fait du bien, après ce que tu m'as mis ! Encore !".
Sa langue qui me fouille au plus profond de ses possibilités, me fait rejeter son foutre encore chaud.
"Hummm ! Je te l'ai bien rempli, encore ! Désolé, j'avais trop besoin de jouir !".
"Mmmm ! C'est pas grave ! j'aime ça aussi ! La preuve, c'est que tu m'as encore fait éjaculer !".
"Oui, mais maintenant, je veux te montrer autre chose !".
"Je sais ! Moi aussi, j'en ai envie !".
Je me laisse aimer longuement, cette fois, (contrairement avec Corinne) je reçois de la tendresse.
Je profite des rares moments, ou c'est possible, pour engloutir son gros gland et le lécher amoureusement.
Je prend un plaisir énorme, lorsqu'il me voute sous lui, en me dévorant encore l'anus, tout en me serrant doucement les testicules dans sa main.
On s'arrête, puis on recommence, un arrêt encore, ensuite, on est encore attiré l'un vers l'autre.
Je reprend sa grosse verge entre mes doigts, elle reprend vigueur, puis durcit fermement entre mes lèvres chaudes.
Son gland a atteint sa taille maximum, au fond de ma gorge.
Un de ses doigts me fouille l'anus, me faisant gémir, enfoncé sur sa bite.
Au bout d'un certain temps, j'en peux plus !
Je prend la décision de le chevaucher, pour m'enfoncer sur sa grosse verge.
"Mmmmmmm ! Oh, je l'aime, ta bite ! Arghhhhhhhhhh !".
Je vis un orgasme instantané, mes parois anales sont encore hyper sensibilisées par sa longue saillie.
"Tu jouis ? Mon chaton ! C'est ça ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Argggggggggggggggggggg !".
Il me regarde crisper mon petit corps, empalé sur lui, puis me détendre enfin, et m'écrouler sur son torse.
"Orhhhhh ! Merci, Gilles ! J'ai trop aimé ça ! Chéri !".
"Tu me parles pas assez comme ça, j'aime quand tu me donnes des p'tits noms comme ça !".
"Je sais ! Désolé, ça me fait peur ! Je veux pas casser notre entente ! Si on se met à s'aimer, ça va devenir dangereux ! Mais si ça te manques, je le ferai plus souvent ! Mon chéri !".
"Te fais pas de souci pour les sentiments, on en ressent déjà, mais on les contrôle bien, depuis le nombre d'années qu'on baise ensemble !".
"C'est vrai ! t'as raison ! Et puis, je dois t'avouer que j'aime bien que tu me parles comme à une femme !".
"Je le sais ! C'est pour ça que je le fais ! Ma p'tite chatte !".
Il nous fait pivoter, se retrouve au dessus de moi, entre mes cuisses.
Il m'embrasse en me transperçant "la chatte" le plus profondément possible de sa grosse queue.
"J'ai envie de faire jouir encore ! T'es mon p'tit chaton ! Mon p'tit amour ! Ma p'tite salope aussi ! Je suis bien avec toi, Pascal !".
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Gilles, tu me rend fou ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
Il coulisse en moi, en observant les effets de sa possession sur mon visage de jeune homme, pris par un sexagénaire, à présent.
Ma jeunesse l'excite autant, que moi j'aime appartenir à un homme de son âge.
Heureusement, il n'a pas les défauts de ses années de vie accumulées, il reste très actif et endurant, pour mon bonheur !
Je connaitrais plus tard, Jean ! Un autre homme de son âge, avec une verge magnifiquement large et longue !
Mais, il ne parvenait que rarement, à être assez dur, pour me baiser convenablement.
Après quatre tentatives, de moins en moins concluantes, j'ai cessé mes visites chez lui !
Mais revenons à Gilles, qui m'emporte vers des sommets de plaisir anal, blottit dans ses bras.
"Mmmmm ! Chéri, Gilles ! je joui encore ! Aarghhhhhhhhhh ! Orhhhhh ! Je t'adore ! Tu le sais !".
"Oui, chaton ! Putain, si je t'avais connu avant, je t'aurai gardé que pour moi !".
Il me fait pivoter encore et revient dans mon orifice, mais en me surprenant par son choix de position.
Il est a l'opposé de mon corps, ses pieds au niveau de ma tête.
Sa verge s'insère en moi, en me faisant hurler de plaisir.
Son gros gland m'arrache des cris à chaque glissement.
Le frottement est extrême !
Ma verge durcit irrémédiablement.
Après une longue séance d'enfoncements profonds, je plonge mon visage dans mon coussin, pour étouffer mon puissant double orgasme.
Je sens mon gland, qui déverse le peu de sperme, qu'il a reproduit depuis ma première éjaculation.
Si elle est plus faible en quantité, elle est bien plus intense en sensation !
Gilles est encore davantage motivé par mes manifestations de plaisir.
Il gagne en force et profondeur dans ma "chatte" anale.
Mes râles ressemblent à des pleurs, tant mon plaisir est fort.
Il se dresse sur ses bras et s'acharne dans mes fesses, sans augmenter son rythme.
Il cherche à me faire crier, et il réussi, mes cris augmentent son plaisir.
Il va bientôt me rejoindre, je le sais !
Enfin, je reçois d'incroyables derniers enfoncements, pendant qu'il oscille entre cris, grognements, et gémissements.
Ma tête va exploser, c'est trop puissant pour moi !
Je sens son gland, à plus de 26 cm dans mon cul, qui se déverse encore et encore.
"Arhhhhhh ! Putain, Gilles ! Tu m'éclates la chatte ! Arghhhhhhhhhhh ! Tu me fais trop bien l'amour, mon chéri !".
Il ne cesse de grogner en se vidant de toute sa semence.
Puis, son torse se colle entre mes jambes, il a joui complètement, je suis comblé ! Heureux comme jamais !
Je lui offre tout le temps nécessaire, pour reprendre ses esprits.
Il se relève enfin, se retire, se place dans mon sens, reprend le chemin de mon anus, et me blottit contre son torse.
"Mon p'tit chat, j'ai trop bien joui, je t'adore tellement ! Si tu savais à quel point ! Hummm ! Je suis bien dans ta chatte !".
"C'é... c'était incroyable ! J'ai sali les draps ! Mais tant pis ! Je raconterai tout à Corinne !".
"Tu lui racontes pas toujours ?".
"Non ! Pas à chaque fois ! Je sais pas, si elle apprécierai que je baise plus avec toi, qu'avec elle !".
"Comme tu veux ! Moi ça me regarde pas ! Elle a quelqu'un en ce moment ?".
"Non, mais ça va la reprendre bientôt, je pense ! Je la laisse gérer sa double vie, toute seule ! J'ai pas envie qu'elle baise sur ma demande !".
Peu de temps après, on se lève pour mater la télé, mais comme le programme est peu intéressant, je sombre sur sa cuisse, en m'endormant.
Je suis éveillé en sentant qu'il me soulève.
"Non ! Gilles ! Pose-moi, je vais y aller tout seul ! Repose-toi !".
Je titube un peu jusqu'à la chambre, puis me couche contre lui, pour retrouver un sommeil réparateur et parfait.
Au matin, je sens son gros gland qui cherche à s'insérer en moi, aidé du gel lubrifiant.
"Orhhhhhh ! Gilles ! Mon chéri ! Tu trouves pas que c'est un peu tôt ? Arhhhhhh !".
"Tu m'excites, tout nu, avec la chatte tendue vers moi ! J'ai résisté comme j'ai pu, mais là, j'en peux plus !".
Il parvient à ses fins et me transperce encore !
Très rapidement, je reconnais la sensation d'un besoin de vider ma vessie.
"Gilles ! Arghhhhhhhh ! Tu vas me faire gicler !".
"Tu vas encore vider ton foutre ? Mon chaton ?".
"Non ! Pas ça ! Arghhhhh ! Pas dans le lit ! S'il te plait !".
Il me décale, s'allonge au sol, pour que je m'empale sur sa grosse verge en érection matinale.
Je peux enfin me laisser aller. Mon liquide chaud et doré, inonde son ventre à chaque enfoncement.
Il me motive avec des paroles vulgaires, pour que je continue de le couvrir de mon jus.
"Putain, j'adore te faire pisser en te défonçant la chatte ! Bébé !".
Je me bloque parfois, complètement enfoncé sur lui, alors que ma verge libère son trop plein.
"Arghhhhhhhhhh ! Tu me fais faire des choses folles ! Gilles ! Tu me rends dingue ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Dès lors, notre copulation devient plus bruyante, à cause de l'humidité sur son pubis.
Il nous change de sens, me plaçant sur le ventre, contre le sol mouillé.
Il me transperce, comme avec un marteau piqueur, sans discontinuer.
Il me libère d'une succession d'orgasmes trop intenses, en se levant d'un coup pour éjaculer debout, sur mon corps.
"Arhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Prends mon foutre ! Salope ! Argggggggggghhhhhhhh !".
Après son déversement, il reprend sa place dans mon anus.
Ses doigts m'abreuvent de son sperme, qu'il récupère sur mon dos.
"Bonjour, mon chaton ! Merci pour ce super réveil ! T'as aimé ?".
"Oufff ! Je sais pas, tu sais que ça me gênes de me vider comme ça ! Mais, je dois avouer que c'est toujours énormément de plaisir ! Ourhhhhhhhh ! Je dois aller aux toilettes !".
Il me quitte analement pour me voir courir, tout nu, affolé.
Il me rejoint, en faisant couler le pommeau de la douche, située à coté.
Mes flatulences, lui révèlent que j'ai encore quelques soucis anaux.
Ce ne seront pas les derniers de la journée, Corinne rentre vers 20h, et il compte bien en profiter !
Juste après notre petit déjeuner copieux, il m'aide à effacer les traces de nos "bêtises" sexuelles.
En vérifiant les draps, je constate des taches de sperme qui ne sont pas les miennes !
"Qu'est-ce que tu regardes comme ça ? Tu les changes ou pas ?".
"Non, elle va se douter de quelque chose ! Mais tout ça, c'est pas moi !".
"Ah, donc elle s'est amusée, elle aussi !".
"Je m'en doutais un peu ! Mais je préfère qu'elle m'en parle en premier ! Elle n'a pas eu le temps de les changer, elle non plus ! Ca nous arrange !".
On prend le reste de la matinée pour se balader loin de la ville.
Il m'emmène aux "Salins", plage connue pour être fréquentée par des homos, des bisexuels mariés et des échangistes.
Il ne résiste pas à se faire sucer au milieu des roseaux, jusqu'à ce que deux hommes nous rejoignent.
Son regard lubrique me fait comprendre qu'il désire me mater, pendant qu'on m'encule devant lui.
Les deux hommes s'en donnent à cœur joie, mais avec préservatifs !
Le dernier l'ôtera pour m'éjaculer dans la bouche, à la demande de Gilles.
On mange dans une baraque à sandwich, puis on rentre chez lui, pour changer !
Je le reçois profondément et puissamment contre son canapé, alors qu'un DVD porno gay, défile sur l'écran de sa TV, devant nous.
Je macule le dos du canapé avec mon sperme, alors qu'il me fait jouir, encore et encore.
Il éjacule à son tour, longtemps après, quand je suis devant lui, couché sur le sol.
Ses grosses mains s'agrippent à mes hanches, alors qu'il glisse en moi lentement, tout en m'inséminant.
On se dit des mots tendres et pervers.
On reste ainsi, sans cesser nos caresses, jusqu'à la fin de son érection dans mon anus.
Il est 18 h, il me faut rentrer ! Même si j'en ai pas vraiment envie !
Gilles vient de me faire vivre, quasiment, un tour d'horloge de sexe anal !
Les deux petites heures que j'ai devant moi, vont m'aider à retrouver des sensations presque "normales".
Enfin, je le croyais !
Si ma belle, ne s'est rendue compte de rien au niveau propreté, elle a compris, à ma gêne au bas ventre, et mes allers retours incessants aux WC, que j'avais pratiqué la sodomie !
"T'es sorti ? T'as été au Sex-shop ?".
"Euh, non, pas besoin, Gilles est passé me prend... euh ! A la boutique ! Et il est venu ici !".
"Oui, et te prendre par la même occasion !".
"Euh, voilà ! Oui ! J'ai pris cher encore !".
"T'as eu raison ! Tu sais que je l'aime bien ! Je préfère que ce soit lui ! Tu me raconteras ?".
"Si tu veux !".
"Je te raconterai des choses, moi aussi !".
"J'attends que ça ! Il est nouveau ?".
"Oui, il est différent des autres, on va dire ! Comment t'as deviné ?".
"Un peu, ton comportement ! Et surtout les draps !".
"Zut ! J'ai oublié de les laver ! Désolée !".
J'apprendrai que son nouvel amant est un homme de couleur de 50 ans ! Je l'ai rencontré ! Il était charmant et très viril !
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