La rupture : 2éme partie
Récit érotique écrit par Rouge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La rupture : 2éme partie
La rupture : 2éme partie
Sur le seuil, la blonde me sourit. J’ai un vertige. Il a osé l’inviter ; quel salaud !
Je vacille. Je tombe en arrière. Un bras musclé me rattrape par derrière, alors qu’une main fine saisit la mienne.
Je vais tomber dans les pommes. Dans le brouillard du début de l’évanouissement, j’entends la voix de mon sultan.
- Hélène, je te présente Claire, ma fille.
Sa fille, sa fille, bien sûr, mais qu’est-ce que j’ai été conne.
- Hélène, ça va ? M’interroge une voix féminine.
- Oui, oui, fais-je en reprenant pied, et tout de suite, je mens pour sauver la face- Je n’ai presque rien mangé à midi pour me réserver pour ce soir, j’ai dû faire une hypoglycémie
Je me recule et le la contemple. Quelle belle fille élancée, et le même regard doux que son père.
- Je peux vous embrasser. Me propose –t-elle.
- Oui, Oui bien sûr, et je tends ma joue.
Elle se penche et pose ses lèvres dessus.
Sa fragrance atteint mes narines. Ce n’est pas l’odeur de Pierre, mais plutôt sa version féminine, j’inspire ce parfum délicieux. Mais elle se recule.
- Vous sentez très bon.
- Oui, comme mon père.
- Et ce beau garçon derrière vous, c’est votre fiancé.
- Non, c’est Antoine, mon frère.
- Suis-je bête, Antoine, vous ressemblez bien à votre père. Et prise d’une idée subite.
- Vous m’embrassez,
Il s’incline, il frôle mes lèvres et s’arrête sur ma joue. C’est bien le fils de Pierre. Lui aussi porte une odeur naturelle délicieuse. C’est celle de mon amour, en plus juvénile.
Je les prends chacun par un bras et nous rejoignons le salon où nos invités font un sort aux zakouskis.
Le réveillon est fini, nos amis sont repartis. Les enfants dorment dans leurs chambres.
Pierre fait glisser la fermeture de ma robe.
- Je suis crevée mon amour, je ne suis plus bonne à rien ce soir.
- Moi aussi mon amour.
- Mais, on récupère et demain, on fête la nouvelle année dans la débauche.
Nous nous allongeons en petite cuillère l’un contre l’autre. Je trousse ma lingerie pour sentir son ventre contre mes fesses. Puis je lui confesse.
- Pierre, je suis contente de connaître tes enfants. Je m’arrête, puis je reprends.
- J’avais déjà vu ta fille, un soir, quand elle sortait de chez toi.
- Je sais, je t’ai vue cette nuit-là. Me répond-il, je suis venu vers toi, mais tu as démarré trop vite.
- Heureusement que tu m’as trouvée au marché.
- Ce n’était pas un hasard, je traversais le parking parce que j’allais à ta boutique,- Mais je t’avais dit de ne pas me téléphoner- Oui, mais tu ne m’avais pas interdit d’aller te chercher. Tu me manquais trop.
Je me retourne, je le regarde dans les yeux et d’un coup le bonheur me submerge, les larmes débordent. Je me colle à sa poitrine et je me laisse glisser dans le sommeil.
Et voilà, je vais commencer la nouvelle année dans les bras de mon amant retrouvé. Tout est rentré dans l'ordre.
Ou presque…
- Mon chat, tu peux ranger les couverts et les assiettes du repas, et lancer le lave-vaisselle, Je redescends dans cinq minutes.
Je me suis apprêtée, et je viens de descendre l’escalier, sans mes chaussures pour que le claquement de mes talons n’alerte pas Pierre. Je me rechausse et je prends le plateau.
Depuis nos retrouvailles, nous avons fait et refait l’amour de toutes les façons, mais je ne me suis pas encore donné totalement à mon seigneur. Cela fait maintenant plus de trois mois que je suis sevrée de ses attentions les plus poussées. Ce soir, je serai toute à lui. Je suis prête, je suis impatiente.
J’entre. Le clic-clac de mes talons lui fait lever les yeux. Je m’avance un peu et je me mets à ge-noux devant lui.
Récit de Pierre
Elle pose un plateau sur la table du salon. Le claquement sur le bois me fait sursauter et me sort de ma rêverie. Je lève les yeux.
Ma douce s’est apprêtée.
Un petit corset en cuir orné d’anneaux serre sa taille, les jarretelles qui en partent soutiennent des bas noirs. Pas de culotte évidement. Les anneaux de ses lèvres portent deux petits pendentifs d’habitude destinés aux oreilles. Conformément à mes désirs, elle n’est pas complétement épilée, elle garde un ticket de métro, châtain, qui ne dissimule rien de son Néfertiti.
Rien ne cache, ni ne soutient sa poitrine. Par coquetterie, elle a passé un rouge léger sur ses aréoles pour mieux les mettre en valeur.
Elle a ceint son cou d’une minerve de cuir. Sa belle chevelure est coiffée en queue de cheval.
Et sa bouche…
Récit d’Hélène.
Mes chevilles et mes poignets portent des bracelets de cuir, munis de mousquetons.
Je me suis moi-même bâillonnée avec un mors circulaire qui bloque mes mâchoires.
Je peux plus parler, ni m’opposer à la pénétration de ma bouche. Ma nuque est bloquée par mon collier, je ne peux plus tourner la têteJe suis intégralement disponible,Depuis l’épisode du meuble anglais, j’adore cette sensation d’être à l’entière disposition de mon sultan. Mon visage, et ma bouche ne sont plus qu’un accessoire de plaisirJe mouille à l’idée que mon seigneur puisse introduire sa verge divine et m’étouffer de son membre.
Dans mon fantasme, il m’envahit, puis bouge ma tête d’avant en arrière, en poussant son vit jusqu’à ma glotte. J’attends avec impatience de sentir sur ma langue la palpitation de sa tige qui précède l’expulsion de son sirop.
Parfois, dans mon délire, j’espère qu’il me fera don de son champagne doré.
J’ai posé devant lui un plateau, avec les instruments que je désire subir : pinces, chaines, cravache, martinet, fouet.
Je baisse la tête en signe de soumission.
- Tu es folle. Fait Pierre en soulevant mon menton.
Puis il glisse sa langue à travers le mors. Il joue avec la mienne. Elles se nouent et se dénouent dans un doux baiser.
Récit de Pierre.
La cérémonie commence, je pose un petit coussin devant moi.
- Agenouille-toi ma beauté
Elle s’exécute,
- Tends tes mains.
Je saisis ses poignets, et je clique les bracelets qui les parent sur les anneaux du corset.
Je m’empare de ses deux tétons et doucement, je les masse, et je les pinçote.
J’attrape une petite pince circulaire, munie de petits picots à l’intérieur. Je la pose autour de sa framboise gauche. Elle respire de plus en plus vite. Ses paupières se baissent.
Récit d'Hélène
Mes bouts ont doublé de volume. Pierre prend les pinces. Je sens les picots s'incruster dans ma chair. Mon bourreau serre doucement.
J'apprécie de plus en plus que ma poitrine soit travaillée. J’aime ce plaisir qui se mue doucement en supplice. Bouche ouverte, j’halète sous la souffrance qui croit.
Récit de Pierre
Je tourne la vis, scrutant la douleur sur le visage de ma belle. Elle rouvre ses yeux, elle aspire l’air à grandes goulée.
Un battement de cils, j’y vois un signe d’approbation. Je continue de la supplicier. Elle hoquète, un clignement de paupières, elle souffre, Encore un tour et je m’arrête.
Récit d’Hélène
Mon tortionnaire adoré vient de stopper l’écrasement de mes tétines. Il a suspendu ma torture juste au bon moment : au-delà de ce que je peux supporter, mais en deçà de l’évanouissement.
Ce salaud chéri me connait par cœur.
Il me laisse me reposer. Je souffle.
Il attrape une courte chaine qu’il passe à travers la boucle de ma minerve. Il en crochète une extrémité sur une des pinces. Il tire légèrement sur mon sein droit et verrouille l’autre bout sur mon autre mamelle.
Non seulement mes deux bouts sont pincés, mais ils sont aussi étirés.
Pierre m’aide à me relever, et glissant un doigt dans cet anneau dont il est le seigneur , il me guide derrière le grand fauteuil en cuir , face à la télévision. Il me ploie sur le dossier.
Récit de Pierre.
Mon amoureuse est magnifique.
Elle a des jambes splendides affinées par la couture du nylon noir.
Aux chevilles, ses bas sont ornés de deux petits nœuds. Le trait sombre remonte sur ses mollets bien tendus par les talons. Ses cuisses charnues tendent la lisière de ses cervinho.
Penchée en avant, elle déploie son cul superbe dans toute sa plénitude. Elle a dû se laisser aller un peu pendant notre séparation : ses fesses me semblent plus opulentes. Qu’importe, ce fessier semble encore plus qu’avant, appeler le fouet et le martinet.
Je pose ma main sur la chair, au-dessus de la lisière sombre, je l’insinue entre ses cuisses qu’elle écarte complaisamment. Je remonte doucement vers la fourche entrouverte. Un petit soupir me répond J’ai l’impression de caresser de la soie. Puis je glisse mes doigts sur ses fesses, sa peau de pêche est d’une douceur incroyable. Je continuerai bien, mais je dois lui donner ce qu’elle me demande.
Récit d’Hélène,
J’aime sentir les doigts de mon seigneur effleurer mon corps et surtout cette partie si tentante.
Mais je veux autre chose et je sais que mon amant va me la donner. Je me suis moi-même rendue muette. Pas de safe word, je suis à sa merci. J’espère qu’il sera sans pitié, je veux qu’il dépasse mes limites.
Doucement, il caresse mon glorieux popotin avec les lanières de mon instrument de torture préféré.
Je mouille d’attente, je désire impatiemment cette fouettée.
Sa main se pose sur ma fesse, et la caresse. J’ai la chair de poule. J’attends la fessée.
RienJ’ondule du croupion., comme si je le suppliais de commencer Une première cinglée s’abat. Enfin !
Pierre ne me ménage pas ; il me fait subir un panaché de cravache, de martinet, de tawse.
Mon cul me brule. Mes seins, étirés par les lests et ballotant sous mes ruades me lancent.
Je subis mon amour.
J’ai mal, je geins en bloquant ma mâchoire. Les larmes coulentPuis soudain, sous une fouettée plus appuyée, j’ai un flash, le safeword n’aurait servi à rien, mon amant saura s’arrêter à mes limites. Je n’ai qu’à lui faire confiance.
Une cinglée gicle entre mes cuisses, Je me cabre, foudroyée par la brulure de mon clitoris.
Une pause, Pierre me relève doucement puis m’agenouille devant lui.
Il est nu, superbe, en pleine forme. Il s’empare de ma queue de cheval et pousse mon visage vers son membre. Un instant, j’ai peur d’avoir choisi un anneau trop petit, et qu’il ne puisse pas passer à travers.
Il m’embouche, son gland s’arrête un instant pour se faire caresser par ma langue. Puis il pousse sur ma nuque pour atteindre ma glotte. J’étouffe, il se retire.
Son membre me semble énorme. Il se recule.
Mon tortionnaire adoré me relève et me courbe à nouveau sur le fauteuil. Du coin de l’œil, je le vois s’emparer de la cravache.
La fin de mon supplice n’est pas loin, mais j’ai une dernière épreuve. Je la désire depuis si longtemps. Demain en m’asseyant, je sentirai à nouveau la marque de ma possession.
Une caresse fugitive sur mon postérieur, puis une plus appuyée, je suis impatiente, je frémis La tige flexible court sur toute la surface de mes rondeurs. Puis il ajuste sa visée en appuyant un peu au-dessus de la zone où les fesses et les cuisses se rejoignent, juste à l’endroit où mon séant se pose sur mon siège. Lundi l’assise sera douloureuse, je grimacerai en m’appuyant dessus, puis au cours de la semaine, la sensation glissera de pénible à agréable, comme une sensation de chatouille. Et puis quand la marque sera résorbée, il me restera l’attente et le phantasme d’un nouveau marquage.
Dans ma tête, tout se passe au ralenti, d’abord un sifflement puis la tige de la cravache s’incruste dans ma chair avec une sensation de coupure. Puis la douleur si intense que j’en ai le souffle coupéSans le bâillon, j’aurais hurlé, puis comme un écho, le sang afflue vers la zone endolorie, je ressens une pulsation douloureuse à chaque battement de mon cœur.
Je sens ma liqueur couler le long de mes cuisses, je mouille sous la souffrance. Ou est-ce le bonheur d’être enfin totalement à mon amant adoré.
Je souffle, j’essaye de maitriser l’emballement de mon pouls.
Je n’ai pas le temps de récupérer, mon bourreau écarte mon cul, et pousse son gland sur mon œillet.
Je me laisse envahir.
Voilà, j’ai les seins torturés, je suis liée, bâillonnée, fouettée, marquée, et enculée.
Qu’est-ce qu’une honnête femme peut rêver de mieux ? Je me donne totalement à mon homme, je suis heureuse
Sous ses coups de butoirs, qui me ramonent l’anus et la douleur irradiant de ma poitrine, dans ma tête, j’annone des mots sans suite.
- Baise ta salope de bourgeoise.
- Encule ta grosse pute.
- Envoie ta purée
La souffrance de mes seins, la douleur cuisante de mes fesses et le plaisir de mon enculage se té-lescopent, et un orgasme phénoménal explose dans ma tête.
Je m’abats et je prends inerte de chaque côté du dossier.
Je sens sa main fraiche qui caresse mon fessier en ébullition. Puis elle se glisse vers ma poitrine et commence à libérer mes seins.
- Non, arrête, laisse-les-moi.
Pendant quelques instants, je reprends mon souffle, profitant de cette pause. Puis…
- Emmène-moi au lit.
Il me guide et m’allonge sur le dos, avec une délicatesse infinie, il desserre doucement les pinces, pour éviter l’afflux brutal du sang dans mes bouts. Puis il les masse avec un onguent adoucissant.
Puis il me roule sur le côté et me place sur le ventreC’est mon moment préféré, après la fessée, quand il pétrit mes fesses et qu’il en profite pour ca-resser mes chairs intimes .
Ça ne loupe pas, ces attouchements réveillent un besoin d’amour. Il écarte mon posterieur et embrasse mon œil de bronze , sa main se glisse dans ma fente.
Sa langue me pénetre, je me cambre, les yeux fermés j’imagine le visage de mon homme s’enfoncant dans mon cul.
Je roucoule sous cette pénétration anale si douce. Un pouce décalotte mon clitoris et rape mon bourgeon dénudé. Je lache pied , je perds prise, un orgasme tout en douceur me balaie.
Il m’abandonne, pantelante, je me mets en chien de fusil, il lance la couette sur moi et se glisse contre moi.
Je glisse dans le sommeil, demain ce sera dimanche cocooning, et sexe câlin.
Quel bon week-end !!!
Sur le seuil, la blonde me sourit. J’ai un vertige. Il a osé l’inviter ; quel salaud !
Je vacille. Je tombe en arrière. Un bras musclé me rattrape par derrière, alors qu’une main fine saisit la mienne.
Je vais tomber dans les pommes. Dans le brouillard du début de l’évanouissement, j’entends la voix de mon sultan.
- Hélène, je te présente Claire, ma fille.
Sa fille, sa fille, bien sûr, mais qu’est-ce que j’ai été conne.
- Hélène, ça va ? M’interroge une voix féminine.
- Oui, oui, fais-je en reprenant pied, et tout de suite, je mens pour sauver la face- Je n’ai presque rien mangé à midi pour me réserver pour ce soir, j’ai dû faire une hypoglycémie
Je me recule et le la contemple. Quelle belle fille élancée, et le même regard doux que son père.
- Je peux vous embrasser. Me propose –t-elle.
- Oui, Oui bien sûr, et je tends ma joue.
Elle se penche et pose ses lèvres dessus.
Sa fragrance atteint mes narines. Ce n’est pas l’odeur de Pierre, mais plutôt sa version féminine, j’inspire ce parfum délicieux. Mais elle se recule.
- Vous sentez très bon.
- Oui, comme mon père.
- Et ce beau garçon derrière vous, c’est votre fiancé.
- Non, c’est Antoine, mon frère.
- Suis-je bête, Antoine, vous ressemblez bien à votre père. Et prise d’une idée subite.
- Vous m’embrassez,
Il s’incline, il frôle mes lèvres et s’arrête sur ma joue. C’est bien le fils de Pierre. Lui aussi porte une odeur naturelle délicieuse. C’est celle de mon amour, en plus juvénile.
Je les prends chacun par un bras et nous rejoignons le salon où nos invités font un sort aux zakouskis.
Le réveillon est fini, nos amis sont repartis. Les enfants dorment dans leurs chambres.
Pierre fait glisser la fermeture de ma robe.
- Je suis crevée mon amour, je ne suis plus bonne à rien ce soir.
- Moi aussi mon amour.
- Mais, on récupère et demain, on fête la nouvelle année dans la débauche.
Nous nous allongeons en petite cuillère l’un contre l’autre. Je trousse ma lingerie pour sentir son ventre contre mes fesses. Puis je lui confesse.
- Pierre, je suis contente de connaître tes enfants. Je m’arrête, puis je reprends.
- J’avais déjà vu ta fille, un soir, quand elle sortait de chez toi.
- Je sais, je t’ai vue cette nuit-là. Me répond-il, je suis venu vers toi, mais tu as démarré trop vite.
- Heureusement que tu m’as trouvée au marché.
- Ce n’était pas un hasard, je traversais le parking parce que j’allais à ta boutique,- Mais je t’avais dit de ne pas me téléphoner- Oui, mais tu ne m’avais pas interdit d’aller te chercher. Tu me manquais trop.
Je me retourne, je le regarde dans les yeux et d’un coup le bonheur me submerge, les larmes débordent. Je me colle à sa poitrine et je me laisse glisser dans le sommeil.
Et voilà, je vais commencer la nouvelle année dans les bras de mon amant retrouvé. Tout est rentré dans l'ordre.
Ou presque…
- Mon chat, tu peux ranger les couverts et les assiettes du repas, et lancer le lave-vaisselle, Je redescends dans cinq minutes.
Je me suis apprêtée, et je viens de descendre l’escalier, sans mes chaussures pour que le claquement de mes talons n’alerte pas Pierre. Je me rechausse et je prends le plateau.
Depuis nos retrouvailles, nous avons fait et refait l’amour de toutes les façons, mais je ne me suis pas encore donné totalement à mon seigneur. Cela fait maintenant plus de trois mois que je suis sevrée de ses attentions les plus poussées. Ce soir, je serai toute à lui. Je suis prête, je suis impatiente.
J’entre. Le clic-clac de mes talons lui fait lever les yeux. Je m’avance un peu et je me mets à ge-noux devant lui.
Récit de Pierre
Elle pose un plateau sur la table du salon. Le claquement sur le bois me fait sursauter et me sort de ma rêverie. Je lève les yeux.
Ma douce s’est apprêtée.
Un petit corset en cuir orné d’anneaux serre sa taille, les jarretelles qui en partent soutiennent des bas noirs. Pas de culotte évidement. Les anneaux de ses lèvres portent deux petits pendentifs d’habitude destinés aux oreilles. Conformément à mes désirs, elle n’est pas complétement épilée, elle garde un ticket de métro, châtain, qui ne dissimule rien de son Néfertiti.
Rien ne cache, ni ne soutient sa poitrine. Par coquetterie, elle a passé un rouge léger sur ses aréoles pour mieux les mettre en valeur.
Elle a ceint son cou d’une minerve de cuir. Sa belle chevelure est coiffée en queue de cheval.
Et sa bouche…
Récit d’Hélène.
Mes chevilles et mes poignets portent des bracelets de cuir, munis de mousquetons.
Je me suis moi-même bâillonnée avec un mors circulaire qui bloque mes mâchoires.
Je peux plus parler, ni m’opposer à la pénétration de ma bouche. Ma nuque est bloquée par mon collier, je ne peux plus tourner la têteJe suis intégralement disponible,Depuis l’épisode du meuble anglais, j’adore cette sensation d’être à l’entière disposition de mon sultan. Mon visage, et ma bouche ne sont plus qu’un accessoire de plaisirJe mouille à l’idée que mon seigneur puisse introduire sa verge divine et m’étouffer de son membre.
Dans mon fantasme, il m’envahit, puis bouge ma tête d’avant en arrière, en poussant son vit jusqu’à ma glotte. J’attends avec impatience de sentir sur ma langue la palpitation de sa tige qui précède l’expulsion de son sirop.
Parfois, dans mon délire, j’espère qu’il me fera don de son champagne doré.
J’ai posé devant lui un plateau, avec les instruments que je désire subir : pinces, chaines, cravache, martinet, fouet.
Je baisse la tête en signe de soumission.
- Tu es folle. Fait Pierre en soulevant mon menton.
Puis il glisse sa langue à travers le mors. Il joue avec la mienne. Elles se nouent et se dénouent dans un doux baiser.
Récit de Pierre.
La cérémonie commence, je pose un petit coussin devant moi.
- Agenouille-toi ma beauté
Elle s’exécute,
- Tends tes mains.
Je saisis ses poignets, et je clique les bracelets qui les parent sur les anneaux du corset.
Je m’empare de ses deux tétons et doucement, je les masse, et je les pinçote.
J’attrape une petite pince circulaire, munie de petits picots à l’intérieur. Je la pose autour de sa framboise gauche. Elle respire de plus en plus vite. Ses paupières se baissent.
Récit d'Hélène
Mes bouts ont doublé de volume. Pierre prend les pinces. Je sens les picots s'incruster dans ma chair. Mon bourreau serre doucement.
J'apprécie de plus en plus que ma poitrine soit travaillée. J’aime ce plaisir qui se mue doucement en supplice. Bouche ouverte, j’halète sous la souffrance qui croit.
Récit de Pierre
Je tourne la vis, scrutant la douleur sur le visage de ma belle. Elle rouvre ses yeux, elle aspire l’air à grandes goulée.
Un battement de cils, j’y vois un signe d’approbation. Je continue de la supplicier. Elle hoquète, un clignement de paupières, elle souffre, Encore un tour et je m’arrête.
Récit d’Hélène
Mon tortionnaire adoré vient de stopper l’écrasement de mes tétines. Il a suspendu ma torture juste au bon moment : au-delà de ce que je peux supporter, mais en deçà de l’évanouissement.
Ce salaud chéri me connait par cœur.
Il me laisse me reposer. Je souffle.
Il attrape une courte chaine qu’il passe à travers la boucle de ma minerve. Il en crochète une extrémité sur une des pinces. Il tire légèrement sur mon sein droit et verrouille l’autre bout sur mon autre mamelle.
Non seulement mes deux bouts sont pincés, mais ils sont aussi étirés.
Pierre m’aide à me relever, et glissant un doigt dans cet anneau dont il est le seigneur , il me guide derrière le grand fauteuil en cuir , face à la télévision. Il me ploie sur le dossier.
Récit de Pierre.
Mon amoureuse est magnifique.
Elle a des jambes splendides affinées par la couture du nylon noir.
Aux chevilles, ses bas sont ornés de deux petits nœuds. Le trait sombre remonte sur ses mollets bien tendus par les talons. Ses cuisses charnues tendent la lisière de ses cervinho.
Penchée en avant, elle déploie son cul superbe dans toute sa plénitude. Elle a dû se laisser aller un peu pendant notre séparation : ses fesses me semblent plus opulentes. Qu’importe, ce fessier semble encore plus qu’avant, appeler le fouet et le martinet.
Je pose ma main sur la chair, au-dessus de la lisière sombre, je l’insinue entre ses cuisses qu’elle écarte complaisamment. Je remonte doucement vers la fourche entrouverte. Un petit soupir me répond J’ai l’impression de caresser de la soie. Puis je glisse mes doigts sur ses fesses, sa peau de pêche est d’une douceur incroyable. Je continuerai bien, mais je dois lui donner ce qu’elle me demande.
Récit d’Hélène,
J’aime sentir les doigts de mon seigneur effleurer mon corps et surtout cette partie si tentante.
Mais je veux autre chose et je sais que mon amant va me la donner. Je me suis moi-même rendue muette. Pas de safe word, je suis à sa merci. J’espère qu’il sera sans pitié, je veux qu’il dépasse mes limites.
Doucement, il caresse mon glorieux popotin avec les lanières de mon instrument de torture préféré.
Je mouille d’attente, je désire impatiemment cette fouettée.
Sa main se pose sur ma fesse, et la caresse. J’ai la chair de poule. J’attends la fessée.
RienJ’ondule du croupion., comme si je le suppliais de commencer Une première cinglée s’abat. Enfin !
Pierre ne me ménage pas ; il me fait subir un panaché de cravache, de martinet, de tawse.
Mon cul me brule. Mes seins, étirés par les lests et ballotant sous mes ruades me lancent.
Je subis mon amour.
J’ai mal, je geins en bloquant ma mâchoire. Les larmes coulentPuis soudain, sous une fouettée plus appuyée, j’ai un flash, le safeword n’aurait servi à rien, mon amant saura s’arrêter à mes limites. Je n’ai qu’à lui faire confiance.
Une cinglée gicle entre mes cuisses, Je me cabre, foudroyée par la brulure de mon clitoris.
Une pause, Pierre me relève doucement puis m’agenouille devant lui.
Il est nu, superbe, en pleine forme. Il s’empare de ma queue de cheval et pousse mon visage vers son membre. Un instant, j’ai peur d’avoir choisi un anneau trop petit, et qu’il ne puisse pas passer à travers.
Il m’embouche, son gland s’arrête un instant pour se faire caresser par ma langue. Puis il pousse sur ma nuque pour atteindre ma glotte. J’étouffe, il se retire.
Son membre me semble énorme. Il se recule.
Mon tortionnaire adoré me relève et me courbe à nouveau sur le fauteuil. Du coin de l’œil, je le vois s’emparer de la cravache.
La fin de mon supplice n’est pas loin, mais j’ai une dernière épreuve. Je la désire depuis si longtemps. Demain en m’asseyant, je sentirai à nouveau la marque de ma possession.
Une caresse fugitive sur mon postérieur, puis une plus appuyée, je suis impatiente, je frémis La tige flexible court sur toute la surface de mes rondeurs. Puis il ajuste sa visée en appuyant un peu au-dessus de la zone où les fesses et les cuisses se rejoignent, juste à l’endroit où mon séant se pose sur mon siège. Lundi l’assise sera douloureuse, je grimacerai en m’appuyant dessus, puis au cours de la semaine, la sensation glissera de pénible à agréable, comme une sensation de chatouille. Et puis quand la marque sera résorbée, il me restera l’attente et le phantasme d’un nouveau marquage.
Dans ma tête, tout se passe au ralenti, d’abord un sifflement puis la tige de la cravache s’incruste dans ma chair avec une sensation de coupure. Puis la douleur si intense que j’en ai le souffle coupéSans le bâillon, j’aurais hurlé, puis comme un écho, le sang afflue vers la zone endolorie, je ressens une pulsation douloureuse à chaque battement de mon cœur.
Je sens ma liqueur couler le long de mes cuisses, je mouille sous la souffrance. Ou est-ce le bonheur d’être enfin totalement à mon amant adoré.
Je souffle, j’essaye de maitriser l’emballement de mon pouls.
Je n’ai pas le temps de récupérer, mon bourreau écarte mon cul, et pousse son gland sur mon œillet.
Je me laisse envahir.
Voilà, j’ai les seins torturés, je suis liée, bâillonnée, fouettée, marquée, et enculée.
Qu’est-ce qu’une honnête femme peut rêver de mieux ? Je me donne totalement à mon homme, je suis heureuse
Sous ses coups de butoirs, qui me ramonent l’anus et la douleur irradiant de ma poitrine, dans ma tête, j’annone des mots sans suite.
- Baise ta salope de bourgeoise.
- Encule ta grosse pute.
- Envoie ta purée
La souffrance de mes seins, la douleur cuisante de mes fesses et le plaisir de mon enculage se té-lescopent, et un orgasme phénoménal explose dans ma tête.
Je m’abats et je prends inerte de chaque côté du dossier.
Je sens sa main fraiche qui caresse mon fessier en ébullition. Puis elle se glisse vers ma poitrine et commence à libérer mes seins.
- Non, arrête, laisse-les-moi.
Pendant quelques instants, je reprends mon souffle, profitant de cette pause. Puis…
- Emmène-moi au lit.
Il me guide et m’allonge sur le dos, avec une délicatesse infinie, il desserre doucement les pinces, pour éviter l’afflux brutal du sang dans mes bouts. Puis il les masse avec un onguent adoucissant.
Puis il me roule sur le côté et me place sur le ventreC’est mon moment préféré, après la fessée, quand il pétrit mes fesses et qu’il en profite pour ca-resser mes chairs intimes .
Ça ne loupe pas, ces attouchements réveillent un besoin d’amour. Il écarte mon posterieur et embrasse mon œil de bronze , sa main se glisse dans ma fente.
Sa langue me pénetre, je me cambre, les yeux fermés j’imagine le visage de mon homme s’enfoncant dans mon cul.
Je roucoule sous cette pénétration anale si douce. Un pouce décalotte mon clitoris et rape mon bourgeon dénudé. Je lache pied , je perds prise, un orgasme tout en douceur me balaie.
Il m’abandonne, pantelante, je me mets en chien de fusil, il lance la couette sur moi et se glisse contre moi.
Je glisse dans le sommeil, demain ce sera dimanche cocooning, et sexe câlin.
Quel bon week-end !!!
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