La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 100)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 100) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 100)
Pour marquer le centième épisode de la Saga, voici une nouvelle histoire écrite par 2 de mes soumis : esclaveAstrideMDE et esclave69MDE

L'île déserte

4e jour de la croisière :
Le journal d’Astride (extrait) :
Nous avons appareillé depuis quatre jours... Il fait un temps magnifique et je tente de profiter au maximum de cette croisière. Je suis vraiment très heureuse d'avoir gagné ce concours ! Je découvre tous les charmes d'une croisière dans les mers du Sud et... j'adore ! Tout le monde est si décontracté (...) j'ai un peu de mal à me mettre dans l'ambiance, c'est tellement différent de mes montagnes ! Mais j'aime bien quand même. J'ai surtout remarqué la présence d'une personne qui attire vers lui l'attention de tous, passagers et autres. Je l'ai remarqué dès le premier soir, alors qu'il dînait à la table du capitaine. C'est d'ailleurs lui qui captait touts les regards. Et sur le deck, comme dans les salons, il apparaît clairement comme "La personnalité" de la croisière. J'ignore précisément qui il est. On parle de lui en disant "Monsieur le Marquis" (...) J'aimerai pouvoir l'approcher, lui parler mais je n'ai pas encore osé... demain peut-être...

Les notes de Philippe le journaliste en reportage (extrait) :
Je suis à bord depuis quatre jours et je n'ai vraiment pas grand chose à me mettre sous la dent. Je sais bien que ce voyage de presse était plus un cadeau de mon rédacteur en chef qu'un vrai reportage. Mais je m'ennuie. La mer m'ennuie, d'autant plus que je vis à proximité tout au long de l'année. Je me demande juste qui peut bien être ce type qu'on appelle "Le Marquis" (...) Même le capitaine à l'air d'être son subordonnée lorsqu'ils sont côte à côte ! Et ce Marquis ne se déplace qu'avec une foule d'admirateurs (et d'admiratrices) dans son sillage !!! Je vais gratter un peu de ce côté là...
...
5e jour de la croisière
Le journal d'Astride (extrait) : Il m'a regardée !! Il y avait une foule autour de lui, pendant qu'il disputait une partie de bridge avec des relations. Comme d'hab' il y avait foule autour de lui mais j'ai joué des coudes pour être aux premières loges et à un moment, il a regardé dans ma direction, j'ai été si intimidée que j'ai baissé les yeux, mais j'ai senti son regard ! Je sais qu'il m'a regardée ! (...) Je suis épuisée, parce que j'ai quand même aussi pratiqué plusieurs activités sportives, autant profiter de tout !! J'ai pris un cachet contre le mal de mer, parce que ça secouait pas mal, ce soir. Ces pilules m'endorment, alors je vais lire quelques pages de mon roman et puis dodo !

Philippe, notes (extrait) :
Pfffhh ... suis crevé. Faut dire que j'ai pas mal picolé, ce soir ! J'ai tenté une approche avec "ce Marquis", mais c'est un flop ! Ce type m'a à peine remarqué. Je l'ai observé et j'ai vu qu'il avait plusieurs fois porté son regard vers une jeune passagère. Elle semble l'intéresser... je l'ai un peu suivie, pour voir... Je sais qu'elle est Suisse, guide de montagne... Mais ensuite, je me suis lié avec un groupe d'Australiens au bar et on a pas mal bu. Fatigué, je vais essayer de dormir malgré la mer démontée et demain j'aborderai la fille... je suis curieux d'en savoir plus sur elle ...

6e jour
Philippe, notes (extrait) :
Incroyable ! Je n'aurai jamais cru vivre un truc pareil ! Hier soir, j'ai été brutalement réveillé par une sorte de bruit strident. Avec la cuite de la veille, j'ai eu un peu de mal à émerger. Mais il y avait des cris dans les coursives. Je suis sorti et j'ai vu des gens courir... On était en plein naufrage ! Panique totale ! Par chance j'ai pu trouver un gilet de sauvetage, mais arrivé sur le pont, plus une seule chaloupe (...) Dans la catastrophe j'ai eu la chance de pouvoir me raccrocher à un débris flottant... Je ne sais pas trop comment ça s'est passé, mais les courants m'ont entraîné loin du naufrage. J'ai résisté toute la nuit et au matin, les vagues m'ont déposé sur une plage... Epuisé je me suis endormi. Là je viens de me réveiller, je ne sais pas du tout où je suis. Je me repose un peu et puis je vais aller explorer les lieux...

Le journal d'Astride (extraits) :
Quelle nuit !! J'étais désespérée, à moitié assommée par les somnifères... Mais heureusement, alors que je errais dans une coursive, une haute silhouette s'est soudain dressée devant moi... Je crois rêver ! Le marquis était là. Il m'a dit qu'il s'était inquiété de ne pas me voir à proximité des canots de sauvetage. Alors il est revenu vers les cabines et m'a trouvée. Il m'a aidée à regagner le pont, mais tous les canots étaient déjà à l'eau. Malgré nos appels, personne ne nous a vus ou entendus, le bruit de la tempête faisant trop de bruit ... Le Marquis a finalement su où trouver une petite embarcation gonflable. Il l'a mise à l'eau, m'a fait enfiler un gilet et nous avons plongé et rejoint ce minuscule bout de plastique flottant. Sans rames, nous n'avons pas pu rejoindre les autres... Mais les courants nous ont portés jusqu'à une île. Nous avons pu nous diriger en ramant avec nos mains vers une sorte de crique à l'abri et nous avons accosté (...) Puis nous avons dormi sur le sable. Le Marquis est parti explorer les alentours, il m'a dit de l'attendre. Alors, comme j'ai pu emporter mon journal à l'abri dans un sachet en plastique, j'en profite pour écrire un peu (...) Je sais que notre situation est sans doute assez désespérée, mais je me sens bien, rassurée par la présence de cet homme de ce Marquis. Il a l'air tellement sur de lui ! Et il a pensé à moi... à revenir me chercher ! Quel bonheur !!!

8e jour (le 2e sur l'île)
Le journal d'Astride (extraits) :
Déjà deux jours que nous sommes arrivés sur cette île. Je sais que je devrais être désespérée, car nous sommes sans doute perdus pour les autres. Mais en fait, je ne ressens que du bien être (...) Le Marquis organise à merveille notre vie de naufragés. Grâce à des débris ramenés sur la plage, nous avons pu organiser un semblant de cabane et assurer un minimum de confort. Il y a même un fauteuil qui a flotté jusqu'à la plage. Nous l'avons installé face à la mer et le Marquis aime à s'y installer, scrutant l'horizon, lorsqu'il se repose. Tout naturellement, j'ai pris l'habitude de m'installer à ses pieds. je pose ma tête sur sa cuisse et je ne me sens jamais aussi bien que lorsqu'il caresse mes cheveux tout doucement avec tendresse. Nous parlons peu, mais il sait m'apaiser et je me sens si bien avec lui! (...)

9e jour (le 3e sur l'île)
Le journal d'Astride (extraits) :
Jamais je n'aurai cru pouvoir être autant à l'aise... Pas de vêtements dans les débris que nous avons pu récupérer... Et le tissu fragile de ma chemise de nuit, abîmée lors du naufrage n'a guère résisté (...) Je me suis confectionné un simple pagne et j'évolue ainsi, les seins nus avec une facilité que je n'aurai pas pu imaginer. je n'ai aucune gêne à aller et venir ainsi devant le Marquis (...) Notre vie s'organise. Le Marquis, qui était si mondain dans les salons de la croisière se révèle un expert en matière de survie ! Il a su nous faire du feu et confectionne des pièges qui lui ont déjà permis de capturer un oiseau de belle taille. Il m'a expliqué que pendant son enfance, il y avait un brave braconnier dans les bois du domaine familial que son père laissait agir, car il était discret et raisonnable dans ses prises, ce vieil homme braconnait juste pour manger du petit gibier. C'est cet homme qui a révélé au Marquis les secrets du braconnage. Ainsi il assure notre survie et moi, afin de ne pas être inutile je m'applique à rendre notre petit espace agréable. Je nettoie, je cueille des fleurs exotiques, je prépare les repas et je sers le Marquis. je lui dois bien ça, car sans lui je me demande bien comment je survivrai ! (...)

10e jour (le 4e sur l'île)
Le journal d'Astride (extraits) :
Aujourd'hui il s'est passé quelque chose. Ce matin le Marquis était installé sur son fauteuil et il m'a appelé. Bien sur je me suis empressée de le rejoindre et il m'a fait signe de venir jusqu'à lui. Lorsque j'ai été tout près, il a saisi ma main et m'a fixé. L'intensité de son regard était telle que j'ai fini par baisser les yeux. Quelle étrange sensation ! Doucement, il m'a attiré vers lui et je me suis retrouvée assise sur ses genoux (...) je n'ai même pas essayé de reculer. D'ailleurs je n'en avais pas envie. Sa main se promenait sur mes cuisses, sur mes seins... De l'autre il avait saisi mes cheveux et imprimait une légère pression, rien de douloureux, juste assez pour me cambrer en arrière. J'étais très excitée, spontanément mes cuisses se sont ouvertes, sa main est passée sous la fragile barrière de tissus de mon pagne... ses doigts se sont glissés dans mon intimité (...) Oh ! Quelle sensation... Une formidable chaleur m'envahissait tandis que ses doigts jouaient avec ma fente, mon clitoris (...)

Philippe, notes de reportage (extraits) :
J'ai découvert aujourd'hui que je ne suis pas seul sur l'île ! Incroyable ! Pour explorer ce territoire (et essayer de trouver de la nourriture, parce que ça devient limite, je m'affaiblis chaque jour un peu plus) j'ai décidé de faire le tour en suivant la côte. Et en abordant une petite crique j'ai cru apercevoir des gens... Je me suis approché discrètement et j'ai découvert une scène incroyable ! Le Marquis, ce type que je surveillais à bord du navire était installé sur un fauteuil que j'ai identifié comme l'un de ceux du salon du bateau. Agenouillée devant lui, il y avait une femme, entièrement nue, le visage plongé entre ses cuisses. Aucune équivoque sur ce qu'elle faisait ! Même sur une île déserte, ce mec a réussi à se faire pomper par une fille !!! (...) j'ai hésité, mais j'ai décidé de ne pas me faire connaître. Je vais les observer, je pourrai peut-être en tirer un bon sujet, si par chance on nous retrouve un jour ! PS : J'ai bien aimé le cul de la fille, d’une belle rondeur !

13e jour (le 7e sur l'île)
Philippe, notes de reportage (extraits) :
Je me suis trouvé un bon petit point d'observation, sur un rocher qui surplombe la plage où ils sont installés. Quel dommage que je ne puisse pas m'approcher plus pour les entendre ! Car les choses avancent rapidement. Il me semble clair que c'est une relation très particulière qui unit mes "cibles". Manifestement, la fille est sous l'emprise de ce Marquis. Elle évolue toujours totalement nue et se charge de maintenir un cadre de vie agréable. Le Marquis, quant à lui, quitte leur campement une à deux fois par jour et revient régulièrement avec du gibier. Il a fabriqué un arc et semble savoir très bien s'en servir. La fille a passé une journée entière (hier) à tresser de fines lianes, pour confectionner une sorte de corde. Et ce matin, lorsqu'il est parti chasser, le Marquis l'a attachée avec cette corde improvisée au tronc d'un palmier. Elle s'est laissée faire docilement, je voyais mal son visage, mais il m'a semblé qu'elle souriait...

14e jour (le 8e sur l'île)
Philippe, notes de reportage (extraits) :
(...) J'avais trop faim ! J'ai suivi le Marquis à distance et découvert un collet dans lequel avait été pris un volatile. Je l'ai plumé tant bien que mal et dévoré cru ! Il faudra aussi que je réussisse à leur voler quelques fruits. Je ne sais pas où il les trouve ! Moi je ne vois rien et j'ai faim (...) Je suis fasciné par la relation qui s'est établie entre le Marquis et la fille (je l'ai reconnue, c'est celle qui n'avait d'yeux que pour lui sur le bateau, la suissesse). Elle se comporte vraiment comme si elle était son esclave ! C'est encore plus fort que du Daniel Defoe. Je les ai surnommés Robinson et Vendredi. Elle est totalement au service du Marquis. Elle se tient en permanence à ses pieds, s'empresse de le servir... et j'ai eu droit à quelques scènes très chaudes ! Bon sang !! Impossible de ne pas me branler en les voyant ! Ce matin, en rentrant de sa chasse, le Marquis s'est installé sur son fauteuil. La fille lui a fait une sorte de "lap dance" très explicite ! Elle est venue lui présenter sa croupe, il l'a laissée faire un moment, puis il s'est levé, l'a renversée sur le fauteuil et l'a prise tout en lui claquant les fesses ! Bon sang !!!!! Et dire que je suis seul comme un c.... à me masturber …

Le journal d'Astride (extraits) :
Le Marquis est revenu en colère. Il a découvert un de ses piège détruit et le gibier envolé. Il pense que c'est un rat ou une autre bestiole qui a fait ça ! Pour le calmer, j'ai dansé pour lui et il m'a prise, plusieurs fois, par mes deux orifices intimes... j'ai tellement joui que j'ai perdu tout contrôle ! Plus les jours passent et plus je désire que nous demeurions ici indéfiniment ! Je suis si bien ! Je suis heureuse de l'écrire, car je sais que mon Maître (oui c'est ainsi désormais que je dois Le désigner) va lire ces lignes. Hier en effet, Il m'a ordonné de Lui apporter mon journal. J'étais très gênée mais bien sur j'ai obéi. J'étais si mal à l'aise quand il a commencé à lire. J'étais à genoux, à un mètre du fauteuil (...) Il l'a lu longuement... Puis il s'est levé et l'a laissé tomber devant moi. "Tu peux continuer", m'a-t-il simplement dit. Je Lui ai baisé les pieds pour Le remercier et j'ai remporté mon précieux cahier (...)

16e jour (le 10e sur l'île)
Le journal d'Astride (extraits) :
Quelle fascinante expérience ! Je ne sais s'il reste encore quelque chose de la petite montagnarde que j'étais encore voici peu de temps ! Hier j'arpentais les sentiers en tenue de montagne, aujourd'hui, nue, j'avance à quatre pattes sur la plage, à la suite de celui qui est mon Maître. Jour après jour, Le Maître m'apprend à laisser s'exprimer ma nature profonde, qu'il avait décelée en moi et que je n'osais pas m'avouer : J'aime être une esclave ! Le Maître n'a eu aucune difficulté à me le faire comprendre, en quelques jours seulement (...) Ici libérée de la crainte de tout jugement, je peux m'épanouir en m'acceptant telle que je suis. Je suis au service de mon Maître, totalement. Corps et âme. Il m'a révélée ! (...) Lorsqu'Il ne m'utilise pas pour satisfaire Ses Désirs, le Maître m'a appris à tresser des cordages, ce qui lui permet ensuite de m'entraver, pour le plaisir de contempler mon corps ainsi livré à Son bon vouloir, ou pour m'attacher au tronc d'un palmier, lorsqu'il s'éloigne (...) Aujourd'hui, j'ai tressé selon une autre technique, un lien plus court mais assez flexible... Le Maître m'a expliqué que ce serait une laisse et qu'il va me promener un peu à travers l'île (...) j'arrête d'écrire, Le Maître m'a apporté des fruits et des noix de coco, j'ai du travail pour Son repas de ce soir...

19e jour (le 13e sur l'île)
Philippe, notes de reportage (extraits) :
Je ne cesse de les observer. Robinson et Vendredi (lol) ont désormais une vie parfaitement réglée. La fille se réveille tôt. Immédiatement elle s'applique à préparer des fruits, puis elle va réveiller son Robinson-le marquis qui s'installe dans son fauteuil. La fille vient à ses pieds et lui présente le plateau qu'il déguste. De temps en temps, il lui tend un bout de fruit qu'elle vient cueillir du bout des lèvres entre ses doigts. Ensuite, il est fréquent qu'il fixe une sorte de laisse à son cou et l'entraîne dans une longue promenade le long de la plage (...) Hier, j'ai profité de leur longue balade pour aller sur leur camp et j'ai dérobé des fruits et quelques petites choses qui me seront utiles. J'ai fait en sorte que ce soit discret, pas question que les deux autres découvrent que je suis aussi sur l'île. Il sera toujours temps (...) Je ne sais pas trop ce qui s'est passé, mais Robinson n'a pas l'air content. Ce sont des éclats de voix qui m'ont tiré de ma sieste.

D'après ce que je peux voir de mon poste d'observation, la fille est debout entre deux palmiers, ses poignets entravés et ses bras écartelés entre les deux troncs. Ses chevilles sont également entravées et reliés de la même façon aux troncs. Robinson s'est saisi d'une sorte de tige, sans doute une petite branche fine et il a commencé à en appliquer une série de coups sur les fesses et le dos de la fille. Au début elle a crié, c'est sûrement ce qui m'a réveillé. Mais il s'est approché d'elle et semble l'avoir bâillonnée avec un bout de tissus. (...) Le Marquis a repris ce qui me semble être une punition (...) Je ne sais pas ce qui s'est passé exactement mais la fille a dérouillé ! Le Marquis l'a ensuite laissée un moment écartelée, avant de revenir et de la détacher, puis de nettoyer les chairs tuméfiées avec de l'eau fraîche qu'il a puisée à la source proche de leur campement.

Le journal d'Astride (extrait) :
Je peux enfin écrire quelques lignes. J'ai vécu une terrible journée. Sans doute la plus terrible de mon existence ! Des choses ont disparu sur le campement, en particulier des fruits. Le Maître a longuement réfléchi et Il s'est persuadé que je suis la seule coupable possible, car ils étaient à l'abri des animaux susceptibles de s'en emparer. Il a dit qu'Il serait indulgent si je me dénonçais, mais ce n'était pas moi (...) Pas convaincu, il a décidé de me punir et m'a battue avec une badine qu'il avait taillé dans une fine branche (...) Après m'avoir infligé cette correction, Le Maître m'a ensuite soulagée, avec de l'eau fraîche et une substance un peu collante qu'Il a extraite d'un fruit et m'a soulagée (...) Nous avons eu une longue conversation et il a fini par me croire. Il m'a dit qu'après une telle correction, il me faisait confiance. Je Lui en ai été si reconnaissante !! Je n'ai pas pu me retenir et j'ai saisi Sa Main et je l'ai embrassée. Ca l'a attendri, il m'a caressé la nuque, puis, avec une extrême douceur, il m'a fait mettre à quatre pattes et lentement, il m'a pénétrée. Il s'est enfoncé dans mon petit trou, qu'il travaille régulièrement avec des fruits allongés. Il m'a ainsi longuement pénétrée et possédée, avec une infinie douceur et j'ai gémis de bonheur autant que de plaisir tandis qu'Il me montrait ainsi sa confiance revenue (...) Le Marquis est sûr que cela ne peut pas être un animal qui nous a volés. Il y aurait donc quelqu'un d'autre sur l'île. Pourtant Le Maître l'a explorée en long et en large ! Mais il m'a assurée que demain il y verrait plus clair (...)

20e jour (le 14e sur l'île)
Le journal d'Astride (extraits) :
Je ne sais pas ce que prépare Le Maître. Mais Il s'est levé très discrètement au cours de la nuit après m'avoir intimé l'ordre de ne bouger sous aucun prétexte. Et il a gagné la forêt (...) Maintenant il est en train de pêcher et je nettoie Son Fauteuil. Ma cheville est attachée par une longue liane tressée au tronc d'un palmier. Ainsi, je peux accéder à tous les points du campement, mais pas au-delà. C'est là le périmètre qui m'est accordé, plus loin, je ne puis y aller qu'avec l'assentiment Du Maître (...) Le Maître ne m'a rien dit, mais il est détendu. Oh ! Il revient vers le camp et me fait signe, vite...

Philippe, notes de reportage (extrait) :
j'ai repris mon poste d'observation. Après la correction d'hier, il me semble que les choses se sont arrangées entre Robinson et vendredi. C'est marrant, je vois qu'elle écrit elle aussi. je serai curieux de lire ça ! Tiens, il l'appelle. La voilà qui lâche tout et se précipite vers lui. Il péchait et vient de ramener un énorme poisson ! Quand je pense que je dois me contenter de racines. Enfin, les fruits que j'ai volés ont un peu amélioré mon ordinaire. A refaire ! (...) le Marquis a montré à la fille comment vider et nettoyer le poisson. Maintenant ils le font cuire, beau repas en perspective pendant que je suçote un caillou pour tromper la faim ! C'est décidé, ce soir je vais m'approcher et piquer à bouffer. J'ai trop faim !

21e jour (le 15e sur l'île)
Le journal d'Astride (extrait) :
Quelle nuit ! Incroyable ! Il y avait un autre rescapé du naufrage sur l'île ! Et c'est lui qui avait volé dans nos réserves. Le Maître s'en doutait. Convaincu que ça ne pouvait pas être moi, Il avait compris. Il a donc fait exprès de laisser sécher une partie du poisson qu'il avait pêché un peu à l'écart du camp. Sur que s'il y avait un voleur, il allait sans aucun doute essayer de s'en emparer. Mais s'en se douter qu'il y avait un piège ! C'est bien ce qui s'est passé, le type s'est approché pendant la nuit du poisson suspendu et il s'est pris le pied dans le collet préparé par le Maître. Le type s'est retrouvé suspendu par la cheville, la tête en bas. Le Maître le guettait et il s'est immédiatement porté jusqu'à lui. Le type gigotait et éructait, incapable de se libérer. Le Maître m'a permis de m'approcher et je l'ai reconnu. Il m'avait abordée à bord pour essayer d'en savoir plus sur le Marquis, mais à l'époque j'étais si ignorante ! Le Marquis a dit au type qu'il allait le laisser comme ça, qu'Il n'avait aucune pitié pour un voleur. Le type a râlé, crié, supplié ... pendant un bon moment. Finalement, Le Maître s'est approché de lui et lui a lié les poignets dans le dos et aussi les chevilles. Puis il a sorti son couteau. Le type s'est mis à beugler... Mais Le Maître s'est contenté de couper la liane qui le retenait suspendu. Il s'est affalé dans le sable. Le Marquis l'a entraîné jusqu'à un palmier et il l'a ligoté au tronc. Puis nous sommes allés dormir.

21e jour; suite du journal d'Astride :
Le type est un journaliste qui s'appelle Philippe. Il a avoué au Marquis qu'il nous surveillait depuis le naufrage, car il voulait écrire un reportage sur Lui. Encore heureux qu'il n'ait pas pu faire de photos ! Quel sale type, au lieu de venir se joindre à nous, il a préféré nous espionner et même nous voler ! Le Maître est très mécontent à son égard, d'autant qu'à cause de lui Il m'a punie (...) Depuis un long moment, Le Maître l'interroge, mais je n'ai pas été conviée, c'est pour ça que je peux écrire (...) L'entretien a duré longtemps. Le Maître avait pris sa badine et lorsqu'Il ne semblait pas satisfait d'une réponse, il en frappait le prisonnier. Juste un coup, mais assez vite, ça l'a calmé. Il a d'abord protesté, mais rapidement il a compris que de toute façon il n'avait pas le choix, alors il s'est calmé et a répondu. Le Maître est ensuite venu me raconter ce qu'Il avait appris. Ensuite il m'a expliqué ce qui allait suivre : Il a déchiré les vêtements déjà en lambeaux du type jusqu'à ce qu'il soit entièrement nu et il l'a attaché écartelé comme je l'avais été. Et il m'a confié la badine. "Tu as été punie à cause de lui, il est juste que tu appliques ma sentence", m'a dit. Le Maître. J'étais gênée, hésitante, j'ai donné quelques coups mais pas assez appuyés au goût Du Maître. Il est venu me montrer et le type à crié. Alors comme pour moi, Le Maître l'a bâillonné. Et j'ai recommencé, cette fois Le Maître a été satisfait. Au bout de vingt coups (vingt réussis, car il y en a eu qui ne comptaient pas) Il m'a dit d'arrêter.
On a laissé notre "prisonnier" se reposer. Puis Le Maître l'a détaché des troncs auxquels il était écartelé, mais en lui laissant les poignets entravés dans le dos. Il l'a forcé à se tenir à genoux face au fauteuil dans lequel il est allé prendre place, avec moi à ses pieds. Il avait placé une liane autour de son cou et le tenait ainsi.

"Puisque tu nous a espionné, tu sais la teneur de notre relation" a dit mon Maître. "elle est mon esclave et c'est aussi ce que tu vas être" , le type a voulu se lever, mais le Maître a tiré sur la liane et il est tombé dans le sable. "A genoux !"... le type avait du mal à respirer, il est resté un moment allongé le nez dans le sable, puis il s'est agenouillé. "Bien ! Tu vas vite comprendre que tu n'as guère le choix. Si tu es docile, obéissant, tu seras correctement nourri et sous Ma protection. Sinon, tu seras puni et tu demeureras entravé, car je ne peux plus te laisser aller librement, je ne peux en aucun cas te faire confiance". Le type restait silencieux. "Je vais compter jusqu'à 10. A l'issue du décompte tu devras te prononcer. Si c'est oui, tu m'appelleras désormais Maître et tu te plieras à Ma Loi. Si c'est non, tu seras attaché à un tronc et tu y resteras". Le Maître a compté, puis Il s'est levé et s'est placé devant le type. "Alors ?". Le type a baissé la tête et d'une petite voix, il a dit : "j'accepte". "Plus fort et dis moi ce que je suis" a tonné Le Maître. "J'accepte, Maître ! Je serai Votre esclave !" a lancé le type.

Puis Le Maître l'a attaché pour la nuit, en disant que demain Il nous fixerait nos nouvelles règles de vie.
...
(à suivre)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 100)
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