La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 113)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 113)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
esclaveAstride dans le bureau du Marquis d'Evans
Je suis le Marquis d’Evans et je suis en train d’écrire un énième récit de D/s dans mon bureau. Ayant promis à Astride de lui écrire une histoire, je commence à porter quelques mots sur une feuille blanche quand je me décide à la faire venir près de moi. Après quelques instructions à Walter, celui-ci va la chercher à la cuisine. Et quelques minutes après, on frappe à ma porte. Après avoir prononcé un ‘’Entrer » sèchement, la porte s’ouvre et esclaveAstride apparaît tête baissée. Elle se tient droite et immobile ainsi en face de moi. Chose rare, elle est habillée. Mais, je ne suis pas étonné car Walter m’avait dit qu’elle venait juste d’arriver avec Marie la Cuisinière de faire les courses en ville. Mais habillée est vite dit car une simple robe d’été sans rien dessous cachait son corps pour suivre Marie à la grande surface.
- « Approche, chienne et fait-toi désirer, afin que je sois plus inspirer à t’écrire quelques lignes… », dis-je à esclaveAstride sans préambule sur un ton calme mais autoritaire
Alors, elle s’approche lentement, puis accote sa tête sur mon épaule tout aussi lentement. Elle oriente sa tête vers mon visage et se met à fixer mes lèvres intensément. Elle a des yeux pleins d'envies et une expression qui me confirme qu'elle a vraiment envie d’apporter satisfaction à son Maître. J'approche mes lèvres des siennes. Elle vient rapidement à ma rencontre et le contact de nos lèvres la fait frissonner. Un long baiser remplie de toute la fougue que l'on peut mettre à un tel geste, s'en suit. Je dégrafe sa robe d’été dans le dos et baisse sa fermeture éclair. Je la repousse un peu et, d'un mouvement sec mais maîtrisé, baisse le haut de sa robe. Elle ne bouge pas, reste immobile, comme si elle attendait encore plus de son Maître. Je tends les deux mains et presse ses seins entre mes mains. Elle se laisse toujours faire en docile chienne. Je m'empare de ses tétons déjà durcis et les écrase entre mes doigts. Elle ferme les yeux et oscille les épaules, me démontrant le plaisir qu'elle ressent. Je prends le haut de sa robe sous ses seins, la remonte un peu et, d'un geste sec, la déchire sur toute la longueur et la jette par terre. esclaveAstride se laisse encore totalement faire en bonne soumise. Je la contourne et m'assois dans mon fauteuil.
- « Ecarte bien les jambes, que je vois ta chatte, puis tourne toi que je vois ton cul de chienne » lui ordonnais-je, d'un ton encore plus autoritaire.
esclaveAstride obtempère avec sensualité et crainte mais toujours très lentement puis se tourne, le visage un peu rougeaud, ce qui me permet d'admirer ses belles fesses appétissantes. Me tournant donc le dos, je lui ordonne :
- « Penche-toi en avant et écarte tes fesses pour que je vois ton trou de cul »
Elle obéit à nouveau sans hésiter. Elle me dévoile un magnifique anus d'une bonne dimension. Je la laisse dans cette position bien 5 minutes puis :
- « Redresse-toi. Très bien. Écarte encore tes jambes et ouvre tes lèvres de ta chatte de chienne, bien grandes »
Je la laisse dans cette position humiliante et admire le corps de cette chienne. J'admire ces magnifiques formes de sa silhouette. Je sens gonfler quelque chose dans mon pantalon. Je baisse les yeux et examine sa fente qu'elle tient bien ouverte. La lumière fait miroiter ses babines qui commencent à suinter, dévoilant un début d’excitation en elle. Son clito est gonflé
- « Approche chienne »
Elle fait deux pas en ma direction. Je la regarde droit dans les yeux et lui caresse la fente tout en écrasant son bouton d'amour du pouce. Des gémissements de plaisir se font entendre à répétition.
- « Penche-toi et donne-moi tes tétons à manger »
esclaveAstride se plie vers moi et ses grosses boules sont à portées de ma bouche. Je bouffe ses nichons à tour de rôle, les couvrant de ma salive abondante. Elle se lamente comme une chienne en chaleur. Lorsque je lui enfonce un doigt dans la fente, je constate qu’elle est trempée et elle se met à vibrer tout son corps.
- « À genoux maintenant chienne »
Elle se prosterne à mes pieds. Je me lève de mon fauteuil et placé devant elle, je défaits mon pantalon et mon slip. Ma queue, bien bandée et rigide comme un bâton me donne une idée. Je la prends dans ma main droite et je commence à lui frapper le visage avec ma tige. Je la frappe encore de quelques coups sur chaque joue puis je dépose mon Vit sur ta tête. Mes testicules plaqués contre son front, la base de ma verge raidie sur ses cheveux je m’immobilise ainsi un long moment. Sous ma bite, la tête baissée d’esclaveAstride est aussi immobile. Agenouillée, nue, elle ne bouge pas et semble apprécier ce moment où apparemment elle ressent cette scène comme un symbole fort de soumission. Elle se sent ainsi chienne soumise, docile, où le Maître est le chef d’Orchestre et elle soumise un simple instrument d’obéissance absolue. Elle ressent toute la domination de son Maître, toute la puissance de l’emprise qu’il porte sur elle. Elle se sent si petite sous ce phallus déposé sur sa petite tête que ce membre viril ainsi positionné lui donne des sensations fortes. Alors je lui caresse les cheveux, tendrement, longuement, comme on caresse un animal de compagnie. Je lui laisse savourer chaque seconde de cet instant qui dure une bonne dizaine de minutes. Astride mouille fortement, Je ne débande pas, bien au contraire, ayant une vue extraordinaire sur ses formes. Puis n’y tenant plus, je me recule d’un pas et lui ordonne :
- « Suce-moi maintenant chienne que tu es, mais ne me fais pas jouir »
Alors, esclaveAstride lève la tête et enroule ses deux mains autour de ma longue verge et se met à la sucer. Elle entre et sort mon engin de sa bouche à plusieurs reprises, tantôt fixant intensément mon long manche, tantôt osant me regarder dans les yeux pour voir si j'étais satisfait. Elle me suce comme une experte et je dois rapidement l'arrêter sinon je ne vais pas tarder d’exploser.
- « Arrête pour le moment et couche-toi à plat ventre sur mon bureau, le cul à ma portée et accroche-toi à l'autre côté du bureau, je vais te fourrer, chienne »
Elle prend donc la position exigée. Je ne peux résister à l'envie de lui donner une dizaine de claques sur les fesses. Elle se laisse faire, et je vois même du jus de sa grotte s'écouler. Alors je lui enfonce ma volumineuse verge dans sa chatte mouillée qui ne demande pas mieux. Après quelques virils vas-et-viens, elle se met à crier comme une perdue pendant que je la lime à fond. Elle secoue sa tête dans tous les sens tout en criant :
- « C'est boooooooon.... c'est trop booooooooon..... encore.... défoncez-moi Maître.... comme c'est bon se faire fourrer par Votre si grosse queue aaaaaaaaahhhhhhhh......oui… défoncez Votre chienne … »
- « Silence chienne, tu n’es pas autorisée à parler … »
esclaveAstride explose vraiment de jouissance. Une fontaine ne doit pas faire gicler du liquide beaucoup plus que ça. C'est incroyable comme elle jouit. Son jus coule … Des floucs! Se font entendre à répétition… J'ai les couilles toutes trempes ainsi que le bas du ventre et les jambes.
- « Écarte tes fesses, salope de chienne »
Obéissante, elle étend ses mains par en arrière, empoigne ses fesses et tire dessus très fort pour les écarter l'une de l'une. Je ramasse le liquide de son orgasme avec une main et lui mouille l'anus. Lorsqu'il est bien humecté, je lui enfonce un doigt dans le cul. L'imposant diamètre de son anus m'incite à y joindre un deuxième doigt qui se fraie un chemin sans aucune difficulté. L'anneau se dilate et je décide d'ajouter un troisième doigt. C'est l'euphorie. Elle crie à en perdre l'âme: Je retire mes doigts, tire sur elle pour ramener son cul plus à ma portée et j'enfonce mon gros dard dans son fondement chaud. Je lui pistonne alors le cul à plein régime. Elle se met à jouir comme une folle. Sa grotte vaginale crache son jus. J'atteins à mon tour la limite et je lui décharge plusieurs jets chauds de mon liquide laiteux dans les entrailles. Elle jouit encore plus. Je m'effondre sur son dos et reste longtemps en coït viril sans bouger. Puis quand mon manche reprend lentement sa forme normale, je me retire et je prends une poignée de ses cheveux et l'oblige à se relever puis à s'agenouiller de nouveau. Et je lui ordonne de nettoyer mon dard :
- « Obéis à ton Maître et montre lui comme tu es chienne obéissante. Lèche sa queue souillée, nettoie bien, ensuite tu pourras la sucer de nouveau »
esclaveAstride baisse les yeux, regarde mon engin, la prend de nouveau dans sa main et la porte à sa bouche. Elle a un léger haut-le-cœur mais s'abaisse à l'enfouir dans sa bouche comme l’esclave qui fait tout ce qu'on lui ordonne sans poser de questions. Elle suce bien la chienne et avec appétit en plus. Elle me lave complètement la queue sur toute sa longueur. Une fois finit, elle me regarde en baissant de temps en temps les yeux. A l’évidence, elle attend que je lui impose une autre humiliation, cela se voit dans ses yeux. Je m'assois dans mon fauteuil de cuir et la regarde. J'ouvre un des tiroirs de mon bureau et je sors une boîte pleine de crayon à mine. Je la vide sur le bureau et la divise en deux. Je prends une moitié de la pile d'une main et l'autre moitié dans l'autre main et je vais me placer derrière elle. Je lui flatte les fesses et lui fait une caresse entre les jambes puis j'enfonce la poignée de crayon de ma main droite dans son vagin. Cela entre aisément, car elle est encore humide la chienne. Puis, un à un, je rentre les crayons de l'autre moitié de la boîte, dans son rectum. Elle a maintenant 12 crayons dans chaque trou intime. Je retourne m'asseoir et la regarde un long moment, puis :
- « Monte sur mon bureau et installe-toi à quatre pattes et attention de ne perdre aucuns crayons »
esclaveAstride grimpe et prend position en faisant très attention de garder en elle, les crayons enfoncés. Je commence alors à la pistonner avec les crayons. Les deux trous à la fois se font ramoner. Je vois couler des larmes de plaisirs intenses de ses yeux. Un important orgasme s'en suit. Le jus coule de sa fente et inonde le dessus de mon bureau. Je retire tous les crayons.
- « Je vais m’allonger sur la moquette, chienne et tu vas t’enfiler sur ma queue que je vais te présenter »
Elle regardait intensément mon sexe qui reprenait de la vigueur depuis plusieurs minutes. Elle en avait une envie folle, cela se voyait à son regard. Elle se met alors sur moi, prend ma queue et se l'enfouit au fond du vagin. Elle se met à sautiller sur mon manche comme un kangourou. Puis au bout d’un moment, je la renverse et lui fait prendre ma place du dessous. Je la monte à cheval sur son ventre. Elle s'empare de ma longue queue et tire dessus jusqu'à ce qu'elle puisse me la manger. Sur le point de me vider, je recule. Elle continue à me masturber et les jets de mon liquide chaud giclent. Elle ouvre la bouche et cherche à avaler les gouttes qui tombent sur sa figure. Je me recule encore un peu et je lui décharge la balance de mon sperme sur la poitrine et les seins. Elle l'étend sur tout le haut de son corps et dans sa figure.
Une fois remis de nos ébats, je renvoie, nue esclaveAstride aux cuisines :
- Va te présenter ainsi à Marie, elle jugera d’elle-même si tu peux te laver ou rester avec mon foutre collant sur ta peau toute la journée …
(A suivre …)
esclaveAstride dans le bureau du Marquis d'Evans
Je suis le Marquis d’Evans et je suis en train d’écrire un énième récit de D/s dans mon bureau. Ayant promis à Astride de lui écrire une histoire, je commence à porter quelques mots sur une feuille blanche quand je me décide à la faire venir près de moi. Après quelques instructions à Walter, celui-ci va la chercher à la cuisine. Et quelques minutes après, on frappe à ma porte. Après avoir prononcé un ‘’Entrer » sèchement, la porte s’ouvre et esclaveAstride apparaît tête baissée. Elle se tient droite et immobile ainsi en face de moi. Chose rare, elle est habillée. Mais, je ne suis pas étonné car Walter m’avait dit qu’elle venait juste d’arriver avec Marie la Cuisinière de faire les courses en ville. Mais habillée est vite dit car une simple robe d’été sans rien dessous cachait son corps pour suivre Marie à la grande surface.
- « Approche, chienne et fait-toi désirer, afin que je sois plus inspirer à t’écrire quelques lignes… », dis-je à esclaveAstride sans préambule sur un ton calme mais autoritaire
Alors, elle s’approche lentement, puis accote sa tête sur mon épaule tout aussi lentement. Elle oriente sa tête vers mon visage et se met à fixer mes lèvres intensément. Elle a des yeux pleins d'envies et une expression qui me confirme qu'elle a vraiment envie d’apporter satisfaction à son Maître. J'approche mes lèvres des siennes. Elle vient rapidement à ma rencontre et le contact de nos lèvres la fait frissonner. Un long baiser remplie de toute la fougue que l'on peut mettre à un tel geste, s'en suit. Je dégrafe sa robe d’été dans le dos et baisse sa fermeture éclair. Je la repousse un peu et, d'un mouvement sec mais maîtrisé, baisse le haut de sa robe. Elle ne bouge pas, reste immobile, comme si elle attendait encore plus de son Maître. Je tends les deux mains et presse ses seins entre mes mains. Elle se laisse toujours faire en docile chienne. Je m'empare de ses tétons déjà durcis et les écrase entre mes doigts. Elle ferme les yeux et oscille les épaules, me démontrant le plaisir qu'elle ressent. Je prends le haut de sa robe sous ses seins, la remonte un peu et, d'un geste sec, la déchire sur toute la longueur et la jette par terre. esclaveAstride se laisse encore totalement faire en bonne soumise. Je la contourne et m'assois dans mon fauteuil.
- « Ecarte bien les jambes, que je vois ta chatte, puis tourne toi que je vois ton cul de chienne » lui ordonnais-je, d'un ton encore plus autoritaire.
esclaveAstride obtempère avec sensualité et crainte mais toujours très lentement puis se tourne, le visage un peu rougeaud, ce qui me permet d'admirer ses belles fesses appétissantes. Me tournant donc le dos, je lui ordonne :
- « Penche-toi en avant et écarte tes fesses pour que je vois ton trou de cul »
Elle obéit à nouveau sans hésiter. Elle me dévoile un magnifique anus d'une bonne dimension. Je la laisse dans cette position bien 5 minutes puis :
- « Redresse-toi. Très bien. Écarte encore tes jambes et ouvre tes lèvres de ta chatte de chienne, bien grandes »
Je la laisse dans cette position humiliante et admire le corps de cette chienne. J'admire ces magnifiques formes de sa silhouette. Je sens gonfler quelque chose dans mon pantalon. Je baisse les yeux et examine sa fente qu'elle tient bien ouverte. La lumière fait miroiter ses babines qui commencent à suinter, dévoilant un début d’excitation en elle. Son clito est gonflé
- « Approche chienne »
Elle fait deux pas en ma direction. Je la regarde droit dans les yeux et lui caresse la fente tout en écrasant son bouton d'amour du pouce. Des gémissements de plaisir se font entendre à répétition.
- « Penche-toi et donne-moi tes tétons à manger »
esclaveAstride se plie vers moi et ses grosses boules sont à portées de ma bouche. Je bouffe ses nichons à tour de rôle, les couvrant de ma salive abondante. Elle se lamente comme une chienne en chaleur. Lorsque je lui enfonce un doigt dans la fente, je constate qu’elle est trempée et elle se met à vibrer tout son corps.
- « À genoux maintenant chienne »
Elle se prosterne à mes pieds. Je me lève de mon fauteuil et placé devant elle, je défaits mon pantalon et mon slip. Ma queue, bien bandée et rigide comme un bâton me donne une idée. Je la prends dans ma main droite et je commence à lui frapper le visage avec ma tige. Je la frappe encore de quelques coups sur chaque joue puis je dépose mon Vit sur ta tête. Mes testicules plaqués contre son front, la base de ma verge raidie sur ses cheveux je m’immobilise ainsi un long moment. Sous ma bite, la tête baissée d’esclaveAstride est aussi immobile. Agenouillée, nue, elle ne bouge pas et semble apprécier ce moment où apparemment elle ressent cette scène comme un symbole fort de soumission. Elle se sent ainsi chienne soumise, docile, où le Maître est le chef d’Orchestre et elle soumise un simple instrument d’obéissance absolue. Elle ressent toute la domination de son Maître, toute la puissance de l’emprise qu’il porte sur elle. Elle se sent si petite sous ce phallus déposé sur sa petite tête que ce membre viril ainsi positionné lui donne des sensations fortes. Alors je lui caresse les cheveux, tendrement, longuement, comme on caresse un animal de compagnie. Je lui laisse savourer chaque seconde de cet instant qui dure une bonne dizaine de minutes. Astride mouille fortement, Je ne débande pas, bien au contraire, ayant une vue extraordinaire sur ses formes. Puis n’y tenant plus, je me recule d’un pas et lui ordonne :
- « Suce-moi maintenant chienne que tu es, mais ne me fais pas jouir »
Alors, esclaveAstride lève la tête et enroule ses deux mains autour de ma longue verge et se met à la sucer. Elle entre et sort mon engin de sa bouche à plusieurs reprises, tantôt fixant intensément mon long manche, tantôt osant me regarder dans les yeux pour voir si j'étais satisfait. Elle me suce comme une experte et je dois rapidement l'arrêter sinon je ne vais pas tarder d’exploser.
- « Arrête pour le moment et couche-toi à plat ventre sur mon bureau, le cul à ma portée et accroche-toi à l'autre côté du bureau, je vais te fourrer, chienne »
Elle prend donc la position exigée. Je ne peux résister à l'envie de lui donner une dizaine de claques sur les fesses. Elle se laisse faire, et je vois même du jus de sa grotte s'écouler. Alors je lui enfonce ma volumineuse verge dans sa chatte mouillée qui ne demande pas mieux. Après quelques virils vas-et-viens, elle se met à crier comme une perdue pendant que je la lime à fond. Elle secoue sa tête dans tous les sens tout en criant :
- « C'est boooooooon.... c'est trop booooooooon..... encore.... défoncez-moi Maître.... comme c'est bon se faire fourrer par Votre si grosse queue aaaaaaaaahhhhhhhh......oui… défoncez Votre chienne … »
- « Silence chienne, tu n’es pas autorisée à parler … »
esclaveAstride explose vraiment de jouissance. Une fontaine ne doit pas faire gicler du liquide beaucoup plus que ça. C'est incroyable comme elle jouit. Son jus coule … Des floucs! Se font entendre à répétition… J'ai les couilles toutes trempes ainsi que le bas du ventre et les jambes.
- « Écarte tes fesses, salope de chienne »
Obéissante, elle étend ses mains par en arrière, empoigne ses fesses et tire dessus très fort pour les écarter l'une de l'une. Je ramasse le liquide de son orgasme avec une main et lui mouille l'anus. Lorsqu'il est bien humecté, je lui enfonce un doigt dans le cul. L'imposant diamètre de son anus m'incite à y joindre un deuxième doigt qui se fraie un chemin sans aucune difficulté. L'anneau se dilate et je décide d'ajouter un troisième doigt. C'est l'euphorie. Elle crie à en perdre l'âme: Je retire mes doigts, tire sur elle pour ramener son cul plus à ma portée et j'enfonce mon gros dard dans son fondement chaud. Je lui pistonne alors le cul à plein régime. Elle se met à jouir comme une folle. Sa grotte vaginale crache son jus. J'atteins à mon tour la limite et je lui décharge plusieurs jets chauds de mon liquide laiteux dans les entrailles. Elle jouit encore plus. Je m'effondre sur son dos et reste longtemps en coït viril sans bouger. Puis quand mon manche reprend lentement sa forme normale, je me retire et je prends une poignée de ses cheveux et l'oblige à se relever puis à s'agenouiller de nouveau. Et je lui ordonne de nettoyer mon dard :
- « Obéis à ton Maître et montre lui comme tu es chienne obéissante. Lèche sa queue souillée, nettoie bien, ensuite tu pourras la sucer de nouveau »
esclaveAstride baisse les yeux, regarde mon engin, la prend de nouveau dans sa main et la porte à sa bouche. Elle a un léger haut-le-cœur mais s'abaisse à l'enfouir dans sa bouche comme l’esclave qui fait tout ce qu'on lui ordonne sans poser de questions. Elle suce bien la chienne et avec appétit en plus. Elle me lave complètement la queue sur toute sa longueur. Une fois finit, elle me regarde en baissant de temps en temps les yeux. A l’évidence, elle attend que je lui impose une autre humiliation, cela se voit dans ses yeux. Je m'assois dans mon fauteuil de cuir et la regarde. J'ouvre un des tiroirs de mon bureau et je sors une boîte pleine de crayon à mine. Je la vide sur le bureau et la divise en deux. Je prends une moitié de la pile d'une main et l'autre moitié dans l'autre main et je vais me placer derrière elle. Je lui flatte les fesses et lui fait une caresse entre les jambes puis j'enfonce la poignée de crayon de ma main droite dans son vagin. Cela entre aisément, car elle est encore humide la chienne. Puis, un à un, je rentre les crayons de l'autre moitié de la boîte, dans son rectum. Elle a maintenant 12 crayons dans chaque trou intime. Je retourne m'asseoir et la regarde un long moment, puis :
- « Monte sur mon bureau et installe-toi à quatre pattes et attention de ne perdre aucuns crayons »
esclaveAstride grimpe et prend position en faisant très attention de garder en elle, les crayons enfoncés. Je commence alors à la pistonner avec les crayons. Les deux trous à la fois se font ramoner. Je vois couler des larmes de plaisirs intenses de ses yeux. Un important orgasme s'en suit. Le jus coule de sa fente et inonde le dessus de mon bureau. Je retire tous les crayons.
- « Je vais m’allonger sur la moquette, chienne et tu vas t’enfiler sur ma queue que je vais te présenter »
Elle regardait intensément mon sexe qui reprenait de la vigueur depuis plusieurs minutes. Elle en avait une envie folle, cela se voyait à son regard. Elle se met alors sur moi, prend ma queue et se l'enfouit au fond du vagin. Elle se met à sautiller sur mon manche comme un kangourou. Puis au bout d’un moment, je la renverse et lui fait prendre ma place du dessous. Je la monte à cheval sur son ventre. Elle s'empare de ma longue queue et tire dessus jusqu'à ce qu'elle puisse me la manger. Sur le point de me vider, je recule. Elle continue à me masturber et les jets de mon liquide chaud giclent. Elle ouvre la bouche et cherche à avaler les gouttes qui tombent sur sa figure. Je me recule encore un peu et je lui décharge la balance de mon sperme sur la poitrine et les seins. Elle l'étend sur tout le haut de son corps et dans sa figure.
Une fois remis de nos ébats, je renvoie, nue esclaveAstride aux cuisines :
- Va te présenter ainsi à Marie, elle jugera d’elle-même si tu peux te laver ou rester avec mon foutre collant sur ta peau toute la journée …
(A suivre …)
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