La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 165)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 165)
Les esclaves dans L'Entreprise ... ( 8 ème partie) - La fin d'un samedi au château –
(suite de l'épisode 161)
La journée s'était ainsi poursuivie au gré des désirs des deux Maîtres, usant et
abusant des nombreux et variés services que les deux femelles pouvaient leur prodiguer
par l'offrande de leurs orifices, ou de nouvelles scènes saphiques dans les endroits
les plus divers... Mais le point d'orgue de ces moments se déroula dans le salon du
château. Là, Le Marquis avait mis sur sa platine CD, un enregistrement du fameux "Duo
des Fleurs" de Lakmé tandis que O-de et émeline prenaient place au centre de la vaste
pièce... Elles se tenaient debout, les tétons érigés de leurs seins nus se touchant
presque, leurs visages à portée de souffle, les bras le long du corps, les corsets
"serre-taille" marquant si joliment leurs hanches et mettant en valeurs les rondeurs
de leurs croupes nues. Immobiles elles attendaient. Une corde était posée à leurs
pieds. Tandis que Sir Stephen s'installait confortablement dans un fauteuil, le
Marquis d'Evans lançait l'introduction musicale et prenait place à son tour...
- "Sir Stephen, connaissez vous ce duo ?"
- "Eh bien ma fois, à ma grande honte je dois dire que non cher ami"
- "Eh bien, je me réjouis donc de vous en offrir la découverte. Le "Duo des Fleurs",
le vrai titre en est "Sous le dôme épais", est extrait de Lakmé, l'opéra en trois
actes de Delibes"
Le Marquis su tût un instant pour laisser entendre les voix du Compact Disque......
"Viens Malika, les lianes en fleurs, Jettent déjà leur ombre Sur le ruisseau sacré,
qui coule calme et sombre Eveillé par le chant des oiseaux tapageurs" chantait Lakmé.
Et "Oh ! Maîtresse, C'est l'heure ou je te vois sourire, L'heure bénie où je puis lire
Dans le coeur toujours fermé de Lakmé !" répondait la servante Mallika...
Se baissant lentement, pour ne point troubler l'harmonie de ce chant, émeline s'était
emparée d'une main de la corde posée au sol... elle en jouait lentement, faisant peu à
peu onduler son corps tout en faisant aller et venir la corde sur sa peau, puis,
saisissant avec douceur les hanches de O-de pour l'attirer plus près encore... Et
tandis que la musique haussait peu à peu ses tons, elles échangeaient un premier
baiser sur les lèvres... Puis, les cuivres intervenant, émeline accélérait le rythme
de sa danse, entraînant avec elle O-de qui, d'abord surprise, semblait avoir saisi à
quel jeu on la conviait et, désireuse de ne point décevoir ni son Maître, ni son hôte
(ni, mais elle n'aurait osé l'avouer, cette délicieuse partenaire qu'on lui avait
offert), elle s'adaptait aux gestes, aux ondulations, aux courbes d'émeline et y
mêlait les siennes...
"Sous le dôme épais où le blanc jasmin À la rose s'assemble, Sur la rive en fleurs,
riant au matin, Viens, descendons ensemble. Doucement glissons; De son flot charmant
Suivons le courant fuyant; Dans l'onde frémissante, D'une main nonchalante, Viens,
gagnons le bord Où la source dort"... chantaient à l'unisson les voix de Lakmé et
Mallika...
Tandis qu'avec lascivité, les deux esclaves harmonisaient leurs gestes faisaient
danser leurs mains sur leurs corps respectifs. Les mains lentement enveloppaient le
globe d'un sein, glissaient lentement vers le ventre, effleuraient la rose cicatrice
béante d'un sexe... jouant de la corde comme de leurs membres, les deux jeunes femmes
offraient à leurs Maîtres un délicieux spectacles au son de l'opéra...
- "J'aimerai pouvoir, un jour, faire peindre ces charmantes odalisques, faire saisir
par l'artiste toute la sensualité de ces corps entremêlés" rêvait le Marquis
- "Excellente idée, surenchérissait Sir Stephen, "mon cher Edouard, il faut le
faire... je connais un jeune peintre qui pourrait, j'en suis sur, nous en réaliser une
toile fort satisfaisante"...
- "Mhh oui, pourquoi pas, j'ai en tête deux toiles de Mariano Fortuny, qui sont
accrochées dans l'une des chambres de ce château. Il pourrait s'inspirer du style,
mais je les veux toutes deux ensemble, liées et enlacées, telles qu'en cet instant..."
approuva Le Marquis d'Evans.
Au centre de la pièce, les deux esclaves femelles enchaînaient en effet les positions
de plus en plus lascives, trouvant à chaque instant une utilisation un peu plus
ardente de la corde qui constituait leur unique accessoire. Se liant et déliant,
s'enlaçant, se caressant et se léchant, elles n'étaient plus deux corps mais une seule
créature dotée de multiples membres, riches de maints orifices que leurs langues,
leurs doigts caressaient et fouillaient... Comme scellées l'une à l'autre, les deux
jeunes femmes se couvraient peu à peu d'une fine pellicule de sueur, montrant ainsi
l'ardeur qu'elles mettaient dans cette danse emplie d'une formidable densité érotique
qui ne laissait pas leurs Maîtres indifférents... Certes, les deux esclaves avaient
pour but d'offrir aux Deux Hommes Maîtres de leurs destins, le plus excitant des
spectacles; montrant par leurs contorsions et leurs attouchements, combien elles leur
appartenaient, à quelles extrémités sexuelles elles étaient prêtes à se livrer afin de
combler Leurs Désirs, de susciter Leur Excitation, de mériter Leur Jouissance !
Mais tandis qu'émeline ne pensait qu'à son Maître Le Marquis, qu'elle n'ouvrait ses
cuisses, ne livrait son sexe, son anus, sa bouche, qu'avec le désir profond de Le
combler, O-de tout en souhaitant satisfaire Sir Stephen, nourrissait également le
désir inavoué mais si présent à son esprit de voir jouir encore émeline dont elle
avait tant aimé admirer la façon dont elle se livrait. O-de avait subi un dressage
sévère de la part de sir Stephen, comme elle savait que sa soeur "O" avant elle
l'avait aussi enduré. Mais Sir Stephen était dur, inflexible, tranchant... Bien sur O-
de savait qu'elle n'avait rien d'autre à attendre, qu'elle n'était qu'une esclave.
Mais elle enviait la façon dont émeline, si désirable complice de ces instants, se
livrait avec une douceur languide. Il émanait de sa si jeune mais expérimentée
partenaire comme une sensation de bonheur. Elle subissait humiliations, punitions,
contraintes, pénétrations avec vénération, lorsqu'elle laissait d'abord la contrainte
l'emporter. O-de ressentait profondément la différence entre leurs deux conditions.
Aussi asservies l'une que l'autre, livrées sans aucune limite à La Volonté d'Hommes
exigeants, elles vivaient pourtant deux expériences totalement différentes et O-de
enviait celle qui maintenant effectuait une sorte d'extension dorsale pour amener sa
bouche entre les cuisses de O-de... émeline dans cette fort inconfortable position
(mais qui par nécessité d'équilibre la forçait à garder les cuisses largement
ouvertes, face bien sur aux fauteuils des Deux Hommes, pour le plus humide des
spectacles) offrait un baiser de ses lèvres aux chairs intimes de O-de... Ainsi se
poursuivit le ballet, jusqu'à la fin du duo de Lakmé...
- "Suffit !" lança Le Marquis, se levant et invitant Sir Stephen à faire de même...
Une dizaine de minutes plus tard, les deux Maîtres gagnaient les écuries, docilement
suivis par leurs deux esclaves tête basse, luisantes de sueur. Même pas de laisses
reliées à leurs colliers, tant Le Marquis et Sir Stephen étaient sûrs de l'humble
obéissance de leurs douces femelles. Avec elles, ils avaient atteint la pleine
satisfaction d'un façonnage qui leur permettait de n'avoir nul besoin d'exagérer leurs
effets. Un mot, un claquement de doigts, un regard même, suffisait à faire comprendre
à ces deux femelles aussi dévouées que délicieuses, tout ce qu'Ils voulaient d'elles.
Ainsi, ils n'avaient eu qu'à prendre la direction des écuries pour que, d'un même
mouvement, elles emboîtent leurs pas, maintenant juste la distance nécessaire pour
montrer leur déférence, mais assez proches pour être à portée de main...
Dans les écuries, les palefreniers avaient fini de bouchonner les deux esclaves, cyril
et philippe... Ceux-ci avaient été installés dans des stalles spéciales, fermées par
des portes basses équipées d'un trou par lequel on pouvait faire passer la tête du
pony-boy qui l'occupait. Pour l'heure, les deux esclaves avaient été enchaînés par la
cheville, la chaîne reliée à un anneau au mur du fond de la stalle. Ils attendaient,
immobiles, totalement nus puisque débarrassés des harnachements de cuir dont ils
avaient été équipés afin de servir d'attelage au sulky de leur Maître. Sur un geste Du
Marquis, un palefrenier s'approcha et ouvrit la porte de la stalle de philippe. Comme
dans un ballet bien réglé, émeline y entra et alla jusqu'à l'esclave, le prenant par
la main pour le mener jusqu'à la porte refermée et l'aider à passer sa tête dans le
trou qui y avait été ménagé. Dans cette position, la tête basse, précisément au niveau
des hanches d'une personne debout, l'esclave devait se tenir avec la croupe relevée...
émeline restant derrière. Un palefrenier qui s'était éloigné revenait précipitamment,
porteur d'un objet qu'il tendit à la jeune femme... Sans hésitation, celle-ci se
saisit du godemichet et d'un geste sûr, l'enfonça d'un coup dans l'anus de philippe
qui, immobilisé par le joug formé par la porte (tel un pilori), ne pouvait en rien
bouger... puis, se penchant sur lui, tout en maintenant d'une main l'objet enfonce
dans son cul, elle entreprit de le branler, lentement, régulièrement...
Dans la stalle voisine, c'est un colosse esclave noir à l'impressionnante carrure qui
venait de placer cyril dans la même position. Mais sans qu'il fut enculé. Par contre,
Sir Stephen s'approche de lui, défît sa braguette et, exhibant une queue épaisse et
érigée, il l'enfonça entre les lèvres de l'esclave, poussant jusqu'au fond de la
gorge, jusqu'à ce que le gland heurte le fond du palais et que le membre ne puisse
plus progresser. Sir Stephen commença alors à limer cette bouche servile, tout en
regardant O-de qui venait se blottir contre le large torse d'un autre esclave noir
athlétique que l'on avait mené là... Sans un mot, demeurant d'une impressionnante
impassibilité, le noir s'était emparé de ce corps minuscule en comparaison à sa
puissance... Il l'avait soulevée et venait de planter son pieu long et épais en elle,
la faisant aller et venir le long de son volumineux sexe comme une petite poupée sans
volonté... Elle glissait le long de la tige démesurée, réduite à l'état de poupée
empalée.
Ainsi, cette belle journée de samedi s'achevait par une explosive série de
pénétrations, O-de baisée par le noir, cyril suçant avec avidité le sexe de Sir
Stephen et émeline godant le cul de philippe qu'elle branlait en même temps...
Satisfait, Le Marquis défit à son tour les boutons de son pantalon et présenta à la
bouche docile de philippe, Son Sexe dressé... Lentement, il poussa entre les lèvres,
possédant avec délices cette créature qui Lui appartenait totalement, maintenant et à
jamais... cet esclave qui, dès lundi, serait à nouveau au travail dans les locaux de
L'Entreprise...
(à suivre)
(suite de l'épisode 161)
La journée s'était ainsi poursuivie au gré des désirs des deux Maîtres, usant et
abusant des nombreux et variés services que les deux femelles pouvaient leur prodiguer
par l'offrande de leurs orifices, ou de nouvelles scènes saphiques dans les endroits
les plus divers... Mais le point d'orgue de ces moments se déroula dans le salon du
château. Là, Le Marquis avait mis sur sa platine CD, un enregistrement du fameux "Duo
des Fleurs" de Lakmé tandis que O-de et émeline prenaient place au centre de la vaste
pièce... Elles se tenaient debout, les tétons érigés de leurs seins nus se touchant
presque, leurs visages à portée de souffle, les bras le long du corps, les corsets
"serre-taille" marquant si joliment leurs hanches et mettant en valeurs les rondeurs
de leurs croupes nues. Immobiles elles attendaient. Une corde était posée à leurs
pieds. Tandis que Sir Stephen s'installait confortablement dans un fauteuil, le
Marquis d'Evans lançait l'introduction musicale et prenait place à son tour...
- "Sir Stephen, connaissez vous ce duo ?"
- "Eh bien ma fois, à ma grande honte je dois dire que non cher ami"
- "Eh bien, je me réjouis donc de vous en offrir la découverte. Le "Duo des Fleurs",
le vrai titre en est "Sous le dôme épais", est extrait de Lakmé, l'opéra en trois
actes de Delibes"
Le Marquis su tût un instant pour laisser entendre les voix du Compact Disque......
"Viens Malika, les lianes en fleurs, Jettent déjà leur ombre Sur le ruisseau sacré,
qui coule calme et sombre Eveillé par le chant des oiseaux tapageurs" chantait Lakmé.
Et "Oh ! Maîtresse, C'est l'heure ou je te vois sourire, L'heure bénie où je puis lire
Dans le coeur toujours fermé de Lakmé !" répondait la servante Mallika...
Se baissant lentement, pour ne point troubler l'harmonie de ce chant, émeline s'était
emparée d'une main de la corde posée au sol... elle en jouait lentement, faisant peu à
peu onduler son corps tout en faisant aller et venir la corde sur sa peau, puis,
saisissant avec douceur les hanches de O-de pour l'attirer plus près encore... Et
tandis que la musique haussait peu à peu ses tons, elles échangeaient un premier
baiser sur les lèvres... Puis, les cuivres intervenant, émeline accélérait le rythme
de sa danse, entraînant avec elle O-de qui, d'abord surprise, semblait avoir saisi à
quel jeu on la conviait et, désireuse de ne point décevoir ni son Maître, ni son hôte
(ni, mais elle n'aurait osé l'avouer, cette délicieuse partenaire qu'on lui avait
offert), elle s'adaptait aux gestes, aux ondulations, aux courbes d'émeline et y
mêlait les siennes...
"Sous le dôme épais où le blanc jasmin À la rose s'assemble, Sur la rive en fleurs,
riant au matin, Viens, descendons ensemble. Doucement glissons; De son flot charmant
Suivons le courant fuyant; Dans l'onde frémissante, D'une main nonchalante, Viens,
gagnons le bord Où la source dort"... chantaient à l'unisson les voix de Lakmé et
Mallika...
Tandis qu'avec lascivité, les deux esclaves harmonisaient leurs gestes faisaient
danser leurs mains sur leurs corps respectifs. Les mains lentement enveloppaient le
globe d'un sein, glissaient lentement vers le ventre, effleuraient la rose cicatrice
béante d'un sexe... jouant de la corde comme de leurs membres, les deux jeunes femmes
offraient à leurs Maîtres un délicieux spectacles au son de l'opéra...
- "J'aimerai pouvoir, un jour, faire peindre ces charmantes odalisques, faire saisir
par l'artiste toute la sensualité de ces corps entremêlés" rêvait le Marquis
- "Excellente idée, surenchérissait Sir Stephen, "mon cher Edouard, il faut le
faire... je connais un jeune peintre qui pourrait, j'en suis sur, nous en réaliser une
toile fort satisfaisante"...
- "Mhh oui, pourquoi pas, j'ai en tête deux toiles de Mariano Fortuny, qui sont
accrochées dans l'une des chambres de ce château. Il pourrait s'inspirer du style,
mais je les veux toutes deux ensemble, liées et enlacées, telles qu'en cet instant..."
approuva Le Marquis d'Evans.
Au centre de la pièce, les deux esclaves femelles enchaînaient en effet les positions
de plus en plus lascives, trouvant à chaque instant une utilisation un peu plus
ardente de la corde qui constituait leur unique accessoire. Se liant et déliant,
s'enlaçant, se caressant et se léchant, elles n'étaient plus deux corps mais une seule
créature dotée de multiples membres, riches de maints orifices que leurs langues,
leurs doigts caressaient et fouillaient... Comme scellées l'une à l'autre, les deux
jeunes femmes se couvraient peu à peu d'une fine pellicule de sueur, montrant ainsi
l'ardeur qu'elles mettaient dans cette danse emplie d'une formidable densité érotique
qui ne laissait pas leurs Maîtres indifférents... Certes, les deux esclaves avaient
pour but d'offrir aux Deux Hommes Maîtres de leurs destins, le plus excitant des
spectacles; montrant par leurs contorsions et leurs attouchements, combien elles leur
appartenaient, à quelles extrémités sexuelles elles étaient prêtes à se livrer afin de
combler Leurs Désirs, de susciter Leur Excitation, de mériter Leur Jouissance !
Mais tandis qu'émeline ne pensait qu'à son Maître Le Marquis, qu'elle n'ouvrait ses
cuisses, ne livrait son sexe, son anus, sa bouche, qu'avec le désir profond de Le
combler, O-de tout en souhaitant satisfaire Sir Stephen, nourrissait également le
désir inavoué mais si présent à son esprit de voir jouir encore émeline dont elle
avait tant aimé admirer la façon dont elle se livrait. O-de avait subi un dressage
sévère de la part de sir Stephen, comme elle savait que sa soeur "O" avant elle
l'avait aussi enduré. Mais Sir Stephen était dur, inflexible, tranchant... Bien sur O-
de savait qu'elle n'avait rien d'autre à attendre, qu'elle n'était qu'une esclave.
Mais elle enviait la façon dont émeline, si désirable complice de ces instants, se
livrait avec une douceur languide. Il émanait de sa si jeune mais expérimentée
partenaire comme une sensation de bonheur. Elle subissait humiliations, punitions,
contraintes, pénétrations avec vénération, lorsqu'elle laissait d'abord la contrainte
l'emporter. O-de ressentait profondément la différence entre leurs deux conditions.
Aussi asservies l'une que l'autre, livrées sans aucune limite à La Volonté d'Hommes
exigeants, elles vivaient pourtant deux expériences totalement différentes et O-de
enviait celle qui maintenant effectuait une sorte d'extension dorsale pour amener sa
bouche entre les cuisses de O-de... émeline dans cette fort inconfortable position
(mais qui par nécessité d'équilibre la forçait à garder les cuisses largement
ouvertes, face bien sur aux fauteuils des Deux Hommes, pour le plus humide des
spectacles) offrait un baiser de ses lèvres aux chairs intimes de O-de... Ainsi se
poursuivit le ballet, jusqu'à la fin du duo de Lakmé...
- "Suffit !" lança Le Marquis, se levant et invitant Sir Stephen à faire de même...
Une dizaine de minutes plus tard, les deux Maîtres gagnaient les écuries, docilement
suivis par leurs deux esclaves tête basse, luisantes de sueur. Même pas de laisses
reliées à leurs colliers, tant Le Marquis et Sir Stephen étaient sûrs de l'humble
obéissance de leurs douces femelles. Avec elles, ils avaient atteint la pleine
satisfaction d'un façonnage qui leur permettait de n'avoir nul besoin d'exagérer leurs
effets. Un mot, un claquement de doigts, un regard même, suffisait à faire comprendre
à ces deux femelles aussi dévouées que délicieuses, tout ce qu'Ils voulaient d'elles.
Ainsi, ils n'avaient eu qu'à prendre la direction des écuries pour que, d'un même
mouvement, elles emboîtent leurs pas, maintenant juste la distance nécessaire pour
montrer leur déférence, mais assez proches pour être à portée de main...
Dans les écuries, les palefreniers avaient fini de bouchonner les deux esclaves, cyril
et philippe... Ceux-ci avaient été installés dans des stalles spéciales, fermées par
des portes basses équipées d'un trou par lequel on pouvait faire passer la tête du
pony-boy qui l'occupait. Pour l'heure, les deux esclaves avaient été enchaînés par la
cheville, la chaîne reliée à un anneau au mur du fond de la stalle. Ils attendaient,
immobiles, totalement nus puisque débarrassés des harnachements de cuir dont ils
avaient été équipés afin de servir d'attelage au sulky de leur Maître. Sur un geste Du
Marquis, un palefrenier s'approcha et ouvrit la porte de la stalle de philippe. Comme
dans un ballet bien réglé, émeline y entra et alla jusqu'à l'esclave, le prenant par
la main pour le mener jusqu'à la porte refermée et l'aider à passer sa tête dans le
trou qui y avait été ménagé. Dans cette position, la tête basse, précisément au niveau
des hanches d'une personne debout, l'esclave devait se tenir avec la croupe relevée...
émeline restant derrière. Un palefrenier qui s'était éloigné revenait précipitamment,
porteur d'un objet qu'il tendit à la jeune femme... Sans hésitation, celle-ci se
saisit du godemichet et d'un geste sûr, l'enfonça d'un coup dans l'anus de philippe
qui, immobilisé par le joug formé par la porte (tel un pilori), ne pouvait en rien
bouger... puis, se penchant sur lui, tout en maintenant d'une main l'objet enfonce
dans son cul, elle entreprit de le branler, lentement, régulièrement...
Dans la stalle voisine, c'est un colosse esclave noir à l'impressionnante carrure qui
venait de placer cyril dans la même position. Mais sans qu'il fut enculé. Par contre,
Sir Stephen s'approche de lui, défît sa braguette et, exhibant une queue épaisse et
érigée, il l'enfonça entre les lèvres de l'esclave, poussant jusqu'au fond de la
gorge, jusqu'à ce que le gland heurte le fond du palais et que le membre ne puisse
plus progresser. Sir Stephen commença alors à limer cette bouche servile, tout en
regardant O-de qui venait se blottir contre le large torse d'un autre esclave noir
athlétique que l'on avait mené là... Sans un mot, demeurant d'une impressionnante
impassibilité, le noir s'était emparé de ce corps minuscule en comparaison à sa
puissance... Il l'avait soulevée et venait de planter son pieu long et épais en elle,
la faisant aller et venir le long de son volumineux sexe comme une petite poupée sans
volonté... Elle glissait le long de la tige démesurée, réduite à l'état de poupée
empalée.
Ainsi, cette belle journée de samedi s'achevait par une explosive série de
pénétrations, O-de baisée par le noir, cyril suçant avec avidité le sexe de Sir
Stephen et émeline godant le cul de philippe qu'elle branlait en même temps...
Satisfait, Le Marquis défit à son tour les boutons de son pantalon et présenta à la
bouche docile de philippe, Son Sexe dressé... Lentement, il poussa entre les lèvres,
possédant avec délices cette créature qui Lui appartenait totalement, maintenant et à
jamais... cet esclave qui, dès lundi, serait à nouveau au travail dans les locaux de
L'Entreprise...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est un délice d'imaginer ces 2 filles enroulées dans une danse lascive et toutes ces
belles bêtes en action aux écuries. Des scènes magnifiques. GG
belles bêtes en action aux écuries. Des scènes magnifiques. GG
Un travail fortement intrusif pour Philippe.
Je veux le même travail !
Rudy
Je veux le même travail !
Rudy